Philippe emmène sa fille Julie au restaurant

Philippe emmène sa fille Julie au restaurant !

 À l’occasion de l’anniversaire de Julie, qui fête aujourd’hui ses vingt-trois ans, son père Philippe a décidé de lui réserver une surprise.

  Comme Julie travaille en équipe du matin, et qu’elle ne rentre qu’à treize heures, il a décidé de fêter cet événement ce soir.

 Pour que la surprise soit totale, il désire que personne ne lui révèle quoi que ce soit Il nous informe aussi qu’il a réservé une table pour deux personnes.

  Il s’aperçoit que certaines comme Manon et Muriel sont déçues de ne pas être invitées.

 Pour les calmer, il précise que dorénavant ce sera ainsi qu’il invitera la personne qui aura son anniversaire seule à seul.

 « Manon, tu as quand ton anniversaire ? »

 « Le vingt-cinq septembre papa »

 « Et toi Muriel ? »

 « Le treize novembre »

 Voilà, mais rien ne vous empêche de le souhaiter lorsqu’elle rentre du travail.

 Lorsqu’elle est rentrée du travail, nous l’avons accueilli en chantant :

 « JOYEUX ANNIVERSAIRE NOS VOEUX LES PLUS SINCERES, JULIE ! »

 Après avoir embrassé tout le monde, maman annonça à Julie qu’elle doit être, présente ce soir à dix-huit heures, papa à une surprise ; et de rajouter, papa aimerait que tu mettes ta robe rouge, celle qui t’arrive à mi-cuisses et qui a un décolleté plongeant.

 Julie a déjà une idée en tête ; si elle doit s’habiller, c’est que nous sortons et il y a de fortes chances que ce soit dans un restaurant.

  Julie prend sa douche, se maquille et enfile la robe que papa avait demandée et se rend ensuite dans le salon où nous tous sommes réunis et présents pour la surprise.

 En rentrant dans le salon, elles se mettent à me féliciter pour cette robe qui il est vrai me plait beaucoup, elle ne cache pas grand-chose et m’arrive sous les fesses.

 Voilà papa tu me trouves comment ?

  Julie ma fille tu es très belle tu es une princesse et je te souhaite un « joyeux anniversaire », maintenant ma chérie découvre le cadeau que je t’ai ramené des USA !

 Il est sur la table basse. Je savais pourquoi il la poser sur la table basse, il voulait voir mon cul lorsque je me penche.

 Je me suis penchée, j’ai pris le paquet, emballé dans un papier noir et entouré d’un ruban rose. J’étais déjà excitée alors que je ne savais même pas ce que le paquet contenait, alors j’ai déchiré le papier. C’était un œuf vibrant avec télécommande.

  Papa m’a alors pris la boite des mains et il s’est agenouillé, il a sorti l’œuf et l’a nettoyé avec une lingette. Il a ensuite enduit l’œuf avec le lubrifiant contenu dans la boite et me l’a enfoncé dans ma chatte.

  J’ai poussé un petit couinement en le sentant glisser dans mon vagin.

 Les autres étaient très excitées en voyant la scène et leurs mains fouillaient leurs vagins ou ceux de la voisine.

 Nous allons le tester à présent. Papa s’est levé en prenant la télécommande et a appuyé sur un bouton. Aussitôt l’œuf s’est mis à vibrer. C’était comme si je ressentais chacun de ses mouvements dans tout mon corps. Mes muscles se sont crispés et une vague de plaisir m’a envahie. Je me suis mise à gémir.

Je constate que le test est concluant, affirma papa. Il a arrêté alors l’engin.

 — Allez Julie on y va !

 — Je te suis papa chéri !

 Même si l’œuf ne vibre pas, je le sens bouger à chacun de mes pas et à chaque fois c’était comme une décharge électrique qui parcourt l’intérieur de mes cuisses.

 Philippe m’a emmené au restaurant. C’est bizarre d’être dans un lieu public avec ce jouet, en robe et sans culotte car je mouille beaucoup.

 Le restaurant est bondé et le serveur nous installe à une table au milieu de la salle.

  Lorsqu’il est venu nous apporter la carte, l’œuf se met à vibrer. Surprise, j’ai poussé un petit couinement et la moitié de la salle s’est retournée vers moi.

 — Tout va bien, madame ? M’a demandé le serveur.

 — Oui… ai-je bredouillé.

 Une délicieuse sensation se propageait aux creux de mes reins, mais c’était une torture, car je ne devais rien laisser transparaitre de mon plaisir.

 Je supplie papa d’arrêter, il ne m’écoute même pas.

 Mes doigts se sont crispés et je me suis mordu les lèvres pour étouffer les gémissements. Tout à coup les vibrations s’arrêtent. Papa s’est amusé ainsi pendant tout le repas. Je n’en pouvais plus. J’étais proche de la jouissance, alors papa a arrêté.

 À la fin du diner, papa demande au serveur l’addition. J’informe papa que je vais aux toilettes et que je l’attends dans la voiture.

 Après le passage aux toilettes, je me suis rendue à la voiture, me suis installée sur la banquette arrière, les cuisses grandes ouvertes et je me suis masturbées, je n’ai qu’un but, atteindre enfin l’orgasme que je n’ai pas pu avoir à table. D’une main je me caresse le clitoris et de l’autre je rentre et sors l’œuf de plus en plus vite. Je mouille, tellement que ma cyprine coule sur la banquette, mes tétons grossissent.

 J’ai fermé les yeux, je gémis de plaisir, lorsque papa ouvre la portière, ne pensant pas que je me donnais du plaisir solitaire.

  Et maintenant papa, que vas-tu encore me faire, faire ?

 Je veux faire l’amour avec toi ma chérie, mais pas ici c’est trop risqué.

 J’aimerais que tu me dises, ou tu aimerais faire l’amour, trouve-moi un lieu insolite pas trop visible, car il ne fait pas encore nuit.

 Papa, que dirais tu du lac des cygnes ? À cette heure-ci, il ne doit plus y avoir grand monde. Et au cas où, tu me baises en express sans préliminaires.

  D’accord nous verrons ça sur place.

 Je voudrais que tu t’assoies devant, tu vois ou je veux en venir ma chérie ?

 Oui, papa !

 Tu veux que je te branle ?

 Ou que je te suce ?

 Tu me masturbes ma chérie ?

  Je m’installe à ses côtés, et avant qu’il démarre j’ouvre sa braguette et libère sa queue.

 Il prend alors la direction du lac des cygnes distant d’environ cinq kilomètres, une fois sorti du parking j’ai pris sa queue entre mes doigts et je l’ai masturbé. Il en profite parfois pour passer la main sur ma chatte.

  Attention nous arrivons, il vaut mieux que tu arrêtes de me branler, car je vois quelques voitures garées sur le parking.

 Je vais m’arrêter ici chérie, je vais voir où sont ces personnes.

 Je fais quelques pas et j’aperçois un groupe arriver dans ma direction. Je retourne à la voiture et j’attends.

 Julie baisse ta robe, voilà du monde.

  Cinq voitures sont parties, mais il reste encore une, je me garé à ses côtés et je retourne vers le lac alors j’aperçois un couple assis sur un banc en train de se bécoter.

 Julie a entre-temps remis l’œuf dans sa chatte, je lui fais alors signe de venir me rejoindre.

  La voici et en voyant le couple elle a d’abord voulu repartir, mais comme j’insiste elle est restée.

  Nous étions devant un banc et une table en bois, j’ai demandé à Julie de s’allonger sur la table les jambes pendantes et écartées. J’ai fait glisser mes doigts le long de sa fente pour retirer l’œuf et à la place j’ai enfoncé ma grosse queue toute dure. Je l’ai alors baisée violemment tout en gardant un œil sur le couple qui n’arrête pas de se rouler des pelles.

  Tout d’un coup, il s’est retiré de moi pour me remettre l’œuf dont il a enclenché les vibrations. Il m’a alors demandé de monter mes pieds sur la table et, d’avancer mon cul au bord, j’ai vite compris qu’il allait m’enculer.

 Alors il a présenté son gland à l’entrée de mon petit trou, il s’est enfoncé dans mon cul centimètre par centimètre sa queue s’est enfoncée jusqu’au bout.

 Mes deux orifices sont occupés et la sensation qui m’envahit est très puissante.

  Papa est tellement excité qu’il n’a même pas remarqué que le couple n’était plus là.

 Pourtant ils ne sont pas passés à côté de nous.

 Papa ne s’occupe plus du couple, et démarre ses mouvements de vas et vient qui m’ont amené à un orgasme foudroyant. Je n’en pouvais plus j’étais épuisée. Il a alors joui et à giclé tous son sperme au fond de mon cul.

  Il est resté immobile, sa queue plantée en moi, il a ouvert les yeux et s’est aperçu que le couple était derrière nous !

  C’est à ce moment-là que j’ai a prononcé le mot qu’il ne fallait pas dire : « PAPA »

  L’homme et la femme se sont regardés, et choqués ils sont partis.

  Papa m’a retiré l’œuf et m’a aidé à rejoindre la voiture.

  En rentrant à la maison, je n’ai même pas la force d’enlever ma robe qui était bonne à mettre au lavage, c’est Manon qui me l’a enlevée.

 Heureusement aussi que son anniversaire est vendredi et que le samedi elle ne travaille pas, elle a dormi jusqu’à samedi midi.

 Depuis ce jour l’œuf est à la disposition de tous, et rentre dans la collection des jouets sexuels.

Philippe

Essaye toi aussi de générer tes propres images pornos avec l'IA