Voilà le compte rendu que j’ai fait à Brigitte à mon retour de Londres suite à un déplacement professionnel. Pour vous rappeler que Brigitte et Philippe, couple libertin, ont promis de ne rien se cacher et de se raconter mutuellement nos aventures extraconjugales, dont voici le compte rendu.
Après quelques jours en déplacement à Londres, je suis content de rentrer en France. Un peu fatigué, mais heureux des rencontres professionnelles faites au cours de mon séjour.
Je m’installe dans le train à ma place réservée dans un carré, en face de moi s’installe une jeune femme et dans les deux places à côté de nous s’installe un couple d’indien.
J’allume mon ordinateur et commence à faire mon rapport de ma visite londonienne. Je suis concentré par mon travail et en levant mes yeux je remarque que ma voisine revient du bar avec de l’eau. Je n’avais pas remarqué son départ. La femme d’à côté d’elle s’est assoupie et elle n’ose pas la réveiller pour rejoindre sa place à son siège. Nos regards se croisent avec une ébauche de sourire. Elle essaye de se faufiler sans déranger sa voisine. Elle me présente son dos et peut l’observer tranquillement. Un chemisier léger laisse entrevoir des bretelles de soutien-gorge noir, une jupe courte sur des fesses bien rondes comme je les aime passe devant moi à hauteur de la table. Beau spectacle.
Elle se retourne pour s’asseoir et nos regards se recroisent et elle dit :
« Je vous ai vus quelque part à la télé, je crois. Je cherche depuis tout à l’heure, mais je ne trouve pas. »
« Ne cherchez plus ! » lui répondis-je « Je ne travaille pas à la télé je dois avoir un sosie ».
« Peut-être, je vais chercher encore ! »
Je lui souris et replonge dans mon rapport. Mais je suis un peu déconcentré par ce début de dialogue par cette approche à la façon « drague masculine de base » !
Après quelques minutes, je lui demande :
« Alors vous avez trouvé mon sosie ? »
« Non, mais je cherche… » me dit-elle en me souriant et me fixant d’un regard appuyé.
Nous nous fixons un peu plus longtemps que la convention le permet…
J’étends un peu ma jambe et je touche son genou. Sa jambe ne bouge pas et son regard reste fixer dans le mien.
Je bouge doucement ma jambe pour effleurer son mollet. Je retire ma chaussure et je pose mon pied sur le rebord de son siège. Elle écarte un peu les jambes et j’effleure ses cuisses doucement.
Mon téléphone posé sur la table tombe au sol avec le soubresaut du train et je me penche pour le ramasser. Je vois qu’elle écarte un peu plus les jambes et j’aperçois une culotte blanche un peu transparente qui laisse deviner ces lèvres légèrement gonflées. Je ne peux pas rester indéfiniment penché et je suis obligé de quitter ce joli paysage. Je bande fort et heureusement que l’entourage somnole, car la bosse laisse deviner mon état.
Je la regarde fixement et ces yeux commencent par briller d’excitation. Je vois sa main posée sur la table disparaître sous la table et j’imagine qu’elle est posée sur son entrejambe. Les mouvements de son coude semblent confirmer mon idée. Je me caresse aussi doucement et nous ressentons notre excitation dans notre regard.
Nos voisins réveillés se lèvent pour aller au bar, je lève les yeux vers le début du wagon et je vois que les toilettes sont libres. Je passe mon regard plusieurs fois de ses yeux à l’affichage SNCF. Au bout de quelques instants, elle lève les yeux, me regarde et se lève.
Je la regarde se diriger vers les toilettes, je me lève à mon tour après quelques instants. Je m’approche de la porte et actionne la poignée. La porte s’ouvre, je me faufile et ferme derrière moi.
Elle est assise sur le rebord de l’évier, la jupe relevée, je m’approche d’elle passe ma main sur sa culotte toute trempée. Je l’écarte et passe un doigt dans sa chatte. Je bande comme un fou. Je bouge un puis deux puis trois doigts dans son sexe. Elle remue son bassin puis m’ouvre ma braguette et sort ma queue toute tendue et la caresse.
Mes doigts se déplacent de plus en plus vite dans son sexe qui est trempé, avec mon autre main j’écarte sa culotte et caresse ses seins et la pénètre d’un coup ses et violent.
J’attrape ses fesses avec mes mains et j’effectue de grands mouvements rapides avec mon sexe.
Nous retenons nos cris.
J’accélère et je sens que je vais jouir. Au dernier moment je me retire et je me finis en me masturbant. Elle glisse ses doigts dans sa chatte et se masturbe à son tour. Elle finit par avoir un orgasme.
Je me lave mes mains et nous sortons des toilettes et retournons à nos places en ayant l’air de rien.
Arrivé à nos places, le couple était certainement descendu du train, ce qui nous laissait seuls assis face à face. Elle profita de cette absence pour enlever sa culotte, pensant qu’elle allait en remettre une culotte propre, je me suis trompé, elle resta sans culotte pendant le restant du voyage. J’aurais bien voulu la reprendre, mais le temps me manquait.
Voilà le compte rendu que j’ai fait à Brigitte qui suite à ce récit m’emmena au lit pour me faire l’amour une bonne partie de la soirée.
Philippe
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