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Podcast Érotique 2025 : Une Nuit de BDSM Sans Limites Sous les Cordes

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Salut… c’est moi, Léa. 32 ans, un appart minuscule à Paris où les murs laissent tout passer – les engueulades des voisins, le bruit des klaxons, tout. Mais là, je vais pas vous parler de ma vie de tous les jours, de mon boulot à la con ou de mes plantes qui crèvent sur le balcon. Non, je vais vous emmener ailleurs, dans une nuit qui m’a retournée, il y a deux semaines, dans une maison perdue au milieu de nulle part. Une nuit avec lui – un mec que j’appelle Maître, même si ça fait un peu film, mais bon, ça lui va trop bien. C’était du BDSM, du vrai, du dur, sans limites, et je vais essayer de vous faire entendre ça, comme si vous y étiez, avec moi.

Tout a démarré avec un message. J’étais sur mon canapé, un soir où je zonais, un verre de vin blanc à la main – un truc pas terrible, acheté en promo au Franprix du coin, mais ça faisait l’affaire. « Tu veux tenter un truc différent ? » qu’il m’a écrit. Lui, je l’avais chopé sur un site un peu spécial, là où les gens parlent cash de ce qu’ils veulent vraiment, où les mots comme « douleur » ou « soumission » sont pas tabous. On avait déjà testé des trucs ensemble – des menottes en cuir, une fessée qui claque, rien de bien méchant – mais là, c’était autre chose. Il parlait d’aller loin, de lâcher prise pour de bon. J’ai répondu « ouais, pourquoi pas », sans trop réfléchir, parce que j’en avais marre de tourner en rond dans ma tête, de bosser pour des deadlines qui servent à rien. J’avais envie de sentir quelque chose, n’importe quoi, mais fort.

Il m’a filé une adresse, une heure – minuit pile – et une règle : « Viens en noir, rien en dessous. » Toute la journée, j’ai été une boule de nerfs, à me demander si j’allais vraiment y aller ou si j’allais rester chez moi à mater Netflix comme une lâche. Mais vers 23h, j’étais dans ma salle de bain, devant le miroir, à enfiler une robe noire, courte, qui collait à mes hanches, sans soutif, sans culotte, juste ma peau nue dessous. J’ai pris un taxi, le cœur qui tapait comme un dingue, et quand je suis arrivée devant cette maison – une vieille baraque en pierre, entourée d’arbres sombres qui grinçaient dans le vent – j’ai eu un moment où j’ai voulu dire au chauffeur de faire demi-tour. Mais j’ai poussé la porte, et il était là, grand, brun, avec des yeux qui te clouent sur place, un jean usé et une chemise entrouverte qui laissait voir son torse. « T’es venue, » qu’il a dit, un sourire qui promettait tout, et mes jambes ont flageolé direct.

Il m’a fait entrer, et là, ça a commencé pour de vrai. La pièce était sombre, juste des bougies partout, des flammes qui dansaient sur les murs, une odeur de cire chaude mélangée à celle du bois vieux. Au milieu, une chaise, toute simple, avec des cordes posées dessus – rouges, épaisses, belles et flippantes à la fois. « Assieds-toi, » qu’il a murmuré, sa voix grave, un peu rauque, comme un ordre qu’on peut pas refuser. Je me suis posée, la robe qui glissait sur mes cuisses, et il s’est approché, les cordes dans les mains. Il a pris mes poignets, les a attachés derrière le dossier, pas trop fort au début, juste assez pour que je sente la pression. « Ça va ? » qu’il a demandé, et j’ai fait oui de la tête, même si j’avais déjà le souffle court. Puis il a attrapé mes chevilles, les a écartées, les a liées aux pieds de la chaise, et là, j’étais ouverte, exposée, complètement à lui.

(Un petit rire nerveux, un frottement dans le micro, comme si elle bougeait.)

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Il a relevé ma robe, doucement, jusqu’à ma taille, et j’ai senti l’air frais sur ma peau, sur mon sexe qui était déjà trempé, je pouvais pas le cacher. « T’es magnifique comme ça, » qu’il a dit, et j’ai senti mes joues chauffer, incapable de répondre quoi que ce soit. Il a sorti une cravache – un truc en cuir noir, fin, qui brillait sous les bougies – et il l’a passée sur moi, sur mon ventre, mes seins encore cachés par le tissu, sans frapper, juste pour me faire attendre, me faire flipper un peu. Et puis, le premier coup, sur l’intérieur de ma cuisse, un choc qui m’a fait sursauter, un cri qui a jailli tout seul. Ça brûlait, ça piquait, mais y avait une chaleur qui suivait, un truc qui montait en moi et qui me faisait trembler. Il a continué, des coups précis, sur mes cuisses, mon ventre, mes seins à travers la robe, et à chaque fois, je gémissais, entre la douleur et un plaisir bizarre qui prenait le dessus.

Il a posé la cravache, et là, ses mains ont pris la relève. Il a tiré ma robe plus haut, jusqu’à mes épaules, et ses doigts ont glissé sur moi, trouvant mon sexe, le caressant d’abord doucement, puis plus fort, plus profond, jusqu’à ce que je sente ses ongles contre ma peau. « T’aimes ça, hein ? » qu’il a murmuré, tout près de mon oreille, et j’ai hoché la tête, les yeux humides, pas de douleur mais d’un truc qui me dépassait. Il m’a détachée, juste les poignets, et m’a fait mettre à quatre pattes, là, sur le sol, les cordes encore aux chevilles. Le parquet était froid sous mes mains, mais derrière moi, je sentais sa chaleur, son souffle sur ma nuque. J’ai entendu sa fermeture éclair – un bruit sec, presque trop fort – et il m’a prise, d’un coup, sans attendre, un mouvement qui m’a rempli et m’a fait crier.

(Un silence, un souffle plus lourd, comme si elle revivait ça.)

Il m’a baisée comme ça, sans douceur, ses mains qui serraient mes hanches, mes seins qui bougeaient sous moi, libres, lourds, tapant contre ma poitrine. Les cordes tiraient sur mes chevilles, la douleur se mélangeait à ses coups, et je jouissais, fort, des vagues qui me traversaient sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. À un moment, il m’a relevée, m’a attachée debout, les bras en l’air, accrochés à une poutre au plafond, et il a repris la cravache, plus dur, sur mes fesses, mon dos, jusqu’à ce que ma peau soit rouge, en feu. Et puis il m’a prise encore, par derrière, ses mains autour de ma gorge, pas trop serrées, juste assez pour que je sente son contrôle, sa force. J’ai perdu le fil, je criais « Maître », encore et encore, comme une dingue, et quand il a joui, un grognement rauque contre mon cou, j’ai suivi, un orgasme qui m’a laissée pendue là, tremblante, à bout.

Après, il m’a détachée, doucement, presque tendre, et je me suis écroulée contre lui, la peau brûlante, la tête vide. On a pas beaucoup parlé, juste des regards, un silence qui disait tout. Cette nuit, elle m’a changée, elle m’a montré un truc sur moi que j’avais jamais vu avant. Si t’as déjà goûté à ce mélange de douleur et de plaisir, tu sais de quoi je parle – y a des histoires sur soumission extrême qui racontent ça mieux que moi, peut-être. Mais moi, je l’ai vécu, et je veux y replonger, aller encore plus loin. Si t’es curieux de ces désirs sombres, t’es pas seul – moi, je suis déjà dedans, et il m’attend pour la suite. Cherche des plaisirs tabous si ça te branche, mais là, c’était ma nuit, ma voix.

(Un soupir, un bruit de chaise qui racle, le micro qui coupe.)

Léa, 32 ans, Paris

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