Préface :
Histoire racontée par Véronique l’épouse de Loïc !
Cela se passe avec mon mari Loïc que j’invite au restaurant pour son anniversaire. Je suis vêtue d’une jupe courte légèrement au-dessus des genoux, un chemisier bleu marine plissé très joli et comme dessous un soutien-gorge blanc et une petite culotte blanche.
Nous sommes assis dans une bonne auberge en dehors de la ville. Après l’apéritif, l’entrée, voilà la délicieuse truite meunière spécialité de la maison, accompagné d’une bouteille de pouilly fouissé… J’ai bu un peu plus que de coutume, et je me sens très légère.
Puis mon mari me lance un défi :
« Fais-moi plaisir, chérie, ça m’excitera beaucoup que tu sois sans culotte, si tu veux me faire plaisir, vas aux toilettes et reviens avec ta petite culotte dans ton sac à main ».

Inhibée par ce bon vin, je vais aux toilettes, quitte ma petite culotte et la mets dans mon sac, j’en profite pour faire pipi, me regarder dans le miroir, j’ai l’air euphorique…
Puis je retraverse la salle du restaurant, passant entre les tables occupées, je suis toute rouge, comme si c’était écrit sur mon front ‘’Je suis sans culotte’’.
En m’asseyant je passe le trophée à mon mari, il me regarde heureux, il a profité pour commander une bouteille de champagne, puis il se lève en emportant ma culotte il se rend aux toilettes des hommes et revient à sa place, me disant :
« J’ai laissée ta culotte bien en évidence, que tous les hommes qui se rendent aux toilettes la voit »
Je suis encore plus rouge ? Il me sert une coupe de champagne et je commence à rire détendue, j’observe du coin de l’oeil qui se rend aux toilettes…
Loïc m’écarte alors mes jambes avec ses pieds, le monstre, me voici les cuisses écartées, la jupe troussée. Mon mari m’a demandé de retrousser ma jupe de façon que mes fesses soient directement en contact avec la paille de la chaise. Le pire c’est que je mouille et je vais certainement tacher la chaise…
Lorsque le garçon apporte les desserts, mon mari laisse volontairement tomber la petite cuillère à mes pieds, aussitôt le garçon se penche pour la ramasser, il s’attarde un peu et je suis sûre qu’il mate entre mes cuisses et qu’il aperçoit ma chatte nue. Pour me faire comprendre qu’il a vu il caresse ma cheville et me sourit en se relevant… Quelle honte… Je ne sais plus ou me mettre.
Depuis ce moment jusqu’à notre départ, le serveur m’observe et en arrivant à sa hauteur il nous accompagne jusqu’à la porte, Pendant que Loïc ouvre la porte il en profite pour me toucher mes fesses.
Ouf, arriver à la voiture, le souffle coupé, Loïc super excité reprend la route direction la maison, après avoir parcouru 1km il s’arrête dans un petit chemin, me demande de descendre de voiture, et me fait pencher sur le capot moteur. Puis il retrousse ma jupe sur ma croupe et je sens sa grosse queue se frotter contre mes lèvres avant de se positionner à l’entrée de mon vagin, puis me pénétrer. Il me pilonne sans ménagement et j’atteins vite un orgasme. Bien que ce soit mon mari qui me baise j’imagine que c’est le serveur du restaurant qui me saute.
Après m’avoir baisé, nous remontons en voiture, je sens le sperme de mon mari qui coule entre mes cuisses. Loïc toujours excité, s’arrête à nouveau à l’entrée du chemin qui mène à la maison. C’est un chemin privé sans issue ou se trouve d’autres propriétés, ou la nuit personne ne passe personne. De là ou Loïc s’est arrêté jusqu’à la maison il y a 500 mètres. Loïc me dit :
« Descends de voiture, déshabille-toi et marche jusqu’à la maison »
Je me déshabille devant la voiture éclairée par les phares, chemisier , jupe et soutien-gorge, ne gardant que mes escarpins me voici nue, en plein air, cuisses poisseuses de sperme. Je crois que sans les effets de l’alcool je ne l’aurais pas fait.

Loïc me prend mes vêtements et je me mets devant la voiture qui me suit au pas éclairant ma marche de 500 mètres. En arrivant à hauteur d’un croisement qui même à une autre maison, Loïc fait un appel de phares pour que je m’arrête, puis il me dit :
« Accroupis-toi et fais pipi »
Je m’exécute, j’avais très envie, c’est le champagne, le jet frappe le gravier. Puis je me redresse, me sentant un peu pompette mais de plus en plus excitée, je continue la promenade naturiste toujours suivie par mon mari que j’imagine avoir une trique.
Arrivé devant la maison, sur le perron, mon mari me demande de le sucer, je m’agenouille devant la porte d’entrée, je lui pompe la queue en massant ses couilles, jusqu’à obtenir les fruits de mes efforts dans ma bouche de petite dévergondée.
Le lendemain je trouve un mot dans la boîte aux lettres.
— Chère voisine, cette nuit j’ai été intrigué par une voiture roulant au pas, je suis sortie voir de quoi il s’agissait. Laisser moi vous dire que le spectacle m’a plu au plus haut point. Grâce à un appareil photo de vision nocturne qui permet de prendre des photos, j’ai immortalisé ces merveilleux moments —.
Je suis votre voisin qui vit seul, je pensais que ça vous ferait plaisir de me rendre visite, les photos sont de très bonnes qualités, je pense que nous devrions en parler lorsque votre mari sera parti au travail. Surtout ne lui parlez de rien, imaginez vos photos que je pourrais envoyer à des sites pornos et sans cacher votre visage…
Loïc sortait à ce moment-là :
« Du courrier ? »
« Non, juste un prospectus publicitaire »
Après quelques baisers, il monta en voiture et se rendit à son travail.
Que faire, quelle intention a cet homme avec les photos, qui ça peut bien être ? Ça y est, je me souviens, c’est un retraité de l’armée, toujours habillé avec des tenues impeccables, toujours en pantalon de cheval, j’avais ri une fois quand mon mari m’avait dit : « Il ne lui manque que la cravache »
Je me pose la question : N’aurais-je pas dû en parler à Loïc pour le laisser résoudre cette affaire ?–
Je vais m’en charger, il n’aura rien de moi. Loïc est parti, je passe à la salle de bains, je me douche et me demande ce que je vais mettre pour cette visite au voisin.
Je décide de m’habiller strict, jupe aux genoux, chemisier tailleur, rien de provoquant, et je me rends à pied à sa maison qui se situe à deux cents mètres.
Arrivée devant la porte d’entrée, je sonne. La porte s’ouvre, je suis accueillie par une espèce de serviteur :
« Rentrez Madame, Monsieur le Capitaine est dans le salon »
Le serviteur me fait pénétrer dans le salon où je me retrouve devant le Capitaine vêtu très élégant, à 4 épingles, cet ancien Capitaine de l’armée a du port. Il est debout, pantalon de cheval, chemise manches longues beige, bottes vernies, cette fois il a la cravache à la main.
Je suis debout devant cet homme qui me scrute de la tête aux pieds, intimidée, comme paralysée. Il appuie sur le bouton d’une télécommande et sur un grand écran commence à défiler mes photos, nue, marchant devant la voiture, accroupie en train d’uriner, et à genoux sur le perron en train de sucer mon mari.
Madame, vous allez voir maintenant défiler sur l’écran les sites pornographiques ou je pourrais envoyer vos photos…
« Soit vous sortez, ce qui fait que j’envoie les photos, ou vous restez et vous vous déshabillez ».
Je réfléchis un court instant et je réponds :
« Je reste sur place »
Le Capitaine appelle Éric :
« Éric déshabille Madame, elle est timide, elle l’était moins hier soir quand elle jouait la prostituée ».
Je suis figée par le regard de cet homme, et sans réaction quand Éric déboutonne mon chemisier me l’enlève, dégrafe mon soutien-gorge et l’ôte dévoilant mes gros seins avec leurs larges aréoles foncées et mes gros tétons. Ma respiration courte et la chaleur dans mon bas-ventre, je sens que je mouille.
« Quels nichons à la salope », s’exclame-t-il alors que ma jupe tombe et que ma petite culotte, dernier rempart tombe, je suis nue, je me sens comme exhibée dans une foire.
Le Capitaine s’approche de moi, je sens son souffle sur mon visage alors qu’il tripote mes seins, pince les tétons, sa main empoigne ma chatte puis un doigt inquisiteur lui procure un ricanement :
« Déjà mouillée la salope, tourne-toi que je vois ta croupe »
J’obéis et je suis face à Éric qui sourie en me contemplant, les ordres fusent, écartent les jambes dit le Capitaine en tapotant entre mes cuisses avec la cravache pour me les faire ouvrir.
« Tu as un beau cul de jument, Éric, mets lui le collier », c’est un collier de cuir avec un petit boîtier noir. C’est un collier pour chienne rebelle à éduquer, grâce à cette télécommande je peux t’envoyer une décharge électrique. Aussitôt dit aussitôt fait je ressens une décharge qui me provoque un cri.
Vous allez souffrir Madame, en effet, ça me provoque un immense plaisir de voir une femme BCBG, bourgeoise, humiliée, rabaissée au rang d’une PUTE de basse catégorie, au rang de chienne, et voir qu’elle aime ça, de qui me fait dire que toutes les femmes, toutes sans exception, sont des putes qui s’ignorent. Il suffit de faire revenir à la surface cette aptitude ancestrale au plus vieux métier du monde.
« Éric, conduit la dans la salle de ‘’travail’’ »
Éric fixa la laisse au collier m’emmène dans le fond de la pièce ou il y a une petite porte cochère donnant sur une alcôve qui parait sortir de la sainte inquisition. Je peux voir, pilori, croix de Saint André, anneaux, chaînes, palans, des instruments sur une table, comme poires d’angoisse, une foule d’objets…
Sur une estrade, un cheval d’arçons ou Éric m’installe, liant mes poignets sur le devant, ma croupe est exposée impudiquement. Mes seins ne sont pas écrasés sur le cuir, parce que deux dégagements permettent de les laisser pendre…
Éric m’installe deux poids de coucou Suisse en forme de pomme de pin dotés de pinces, c’est lourd, mes deux nichons étirés ressemblent à des bouteilles de coca-cola de 1,5 litre ou deux pis de vache pleins de lait… J’ai l’air d’une vache prête à la traite…
Le Capitaine ordonne alors à Éric de me cravacher d’une dizaine de coups sur mon cul rebondit. Cela lui fera le plus grand bien.
Éric exécute la sentence en me cravachant mes fesses sous les yeux du Capitaine, sans compassion, mes fesses sont vite striées de marques rouges, des larmes coulent sur mes joues, mais ma chatte dégouline…
Éric présente devant moi un petit banc en bois, le Capitaine enlève son pantalon, monte sur le banc et présente à ma bouche, un chibre court mais très gros émergeant d’une forêt de poils noirs et drus.
« Suce salope ! Traînée, pute, chienne, suce la queue de ton Maitre… »
Je prends en bouche ce chibre au gros gland violacé alors qu’Éric explore mon cul avec son plus long doigt. Le vicieux introduit un autre doigt dans mon vagin et bouge les deux doigts en même temps. C’est trop bon ; je libère de la cyprine comme une fontaine…
Le gros chibre du Capitaine va-et-vient dans ma bouche de salope BCBG, de la pute que je suis devenue, alors que le Capitaine impose la cadence.
Éric vient de remplacer son doigt par quelque chose de plus gros et me bourre le cul, mes nichons ballottent comme des cloches, mes yeux sont exorbités.
Puis le Capitaine éjacule et rempli ma bouche, j’avale ce que je peux et le reste coule à la commissure de mes lèvres.
Le Capitaine s’adresse à Éric :
« Éric, arrête de l’enculer, cherche Joseph le palefrenier nous allons nous amuser un peu »
Éric sort et revient dans la salle un homme à l’air mongol, niais, un vrai nabot, petit, bossu, un vrai quasimodo, il bave de me voir, sa queue bande et est énorme, il enlève les poids de mes seins et commence à les tripoter, à les traire, il suce mords mes tétons… Puis il passe derrière moi ou Éric a installé le petit banc. Il monte dessus et pénètre sa grosse queue dans ma chatte d’une seule poussée, m’arrachant un cri de bête blessée ? Il me laboure sans ménagement, me claquant les fesses et en grognant son plaisir de me défoncer.
Ça le change des putes que nous lui offrons d’habitude, dit le Capitaine. Riant, c’est difficile d’en trouver une pour copuler avec ce monstre.
Éric, regarde la bourgeoise, elle jouit, en effet, sous les coups de buttoir nu nabot, je jouis comme une folle, il alterne, se plantant dans ma chatte, dans mon cul, c’est trop bon, jamais je n’ai eu une jouissance aussi intense. Je hurle ma jouissance alors que le nabot décharge son foutre dans ma chatte. Je dodeline la tête, gémie, secoue ma croupe, je ne suis plus qu’une femelle en chaleur qui crie :
« Encore, plus vite, plus fort… »
Le Capitaine et Éric ricanent, et me libèrent, il m’emmène dans le salon et il m’offrait une boisson. Croyant que c’était la fin de la punition, le Capitaine me donna des instructions :
« Désormais vous devrez venir une fois par semaine le lundi matin après le départ de votre mari, ce dernier ne doit pas être mis au courant de rien, vous avez compris ? » « Oui, Monsieur ! »
« Attendez ce n’est pas fini, chaque mercredi matin après le départ de votre mari , Éric viendra chez vous, il viendra pour vous baiser et vous enculer. Vous devez l’accueillir nue »
« Les vendredis matin, je viendrais avec Joseph pour vous baiser et enculer en double pénétration »
« Vous savez ce qui vous attend si vous n’obéissez pas ? Les photos seront envoyées ! »
« Oui Monsieur, puis-je me rhabiller et rentrer chez moi ? »
« Oui bien sûr, mais vous rentrer chez vous nue comme vous l’avez fait la nuit dernière. Éric va vous accompagner et vous rendre vos habits une fois arriver »
Malgré ma protestation de rentrée chez moi nue en plein jour il prit la télécommande et menaça d’envoyer la première photo ou je marche nue devant la voiture de mon mari à un site pornographique.
Éric qui avait pris mes habits me dit de ne pas avoir peur il va s’assurer que personne ne nous voit sur les 200 mètres à parcourir.
Je suis bien rentrée et pour remercier Éric je lui ai fait une fellation sur le perron comme je l’avais fait la nuit dernière avec Loïc.
Dimanche, la veille de mon rendez-vous du lundi matin, mon mari trouva dans la boîte aux lettres un papier du Capitaine comme quoi le rendez-vous du lundi matin est reporté au lundi suivant, cependant les rendez-vous du mercredi et du vendredi sont maintenus.
Loïc, me demanda des explications, je lui ai tout avoué car il menaçait de faire un scandale et de me quitter. Alors après réflexion il accepta ces deux rendez-vous, mais il va installer des caméras dans les différentes pièces ou pourrait se passer la séance. Par contre il me demanda de ne pas révéler la présence de ses caméras.
Par contre il voudrait bien assister à la séance du lundi suivant, et il me demanda aussi d’être le plus souvent sans culotte et même sans soutien-gorge suivant la tenue que je porte et ou le lieu où nous nous rendons,
Lundi et mardi, Loïc installa les caméras, et les séances de baise eurent lieu comme prévu sans problème et le soir nous avons visionné l’enregistrement et mon mari m’a baisé et sodomiser comme jamais.
Le lundi d’après je me suis présentée nue chez le Capitaine accompagné par mon mari. Le Capitaine surpris par sa présence voulait à nouveau mettre sa menace d’envoyer les photos , accepta sa présence en tant que spectateur et lui donna même l’autorisation de filmer la séance,
J’avais demandé que ce soit la même séance que la première fois,
Tout se passa très bien, à la fin de cette séance le Capitaine nous rassurâmes qu’il n’enverra pas les photos et que si je voulais arrêter les séances de Sm je le pouvais.
Il demanda par contre s’il pouvait avoir de temps en temps des rapports sexuels avec lui et aussi avec Éric.
Loïc et moi nous sommes tombé d’accord et depuis le capitaine et Éric sont devenus nos amants réguliers.
Récit rédigé par Marie en collaboration avec Véronique, Loïc, Eric et le Capitaine
Toujours magnifique à lire chaque ligne de tes histoires Marie