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Prof mariée, je succombe à mon élève de 19 ans

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Je m’appelle Isabelle, j’ai 49 ans, et j’enseigne la littérature au lycée Stendhal à Grenoble. Nous sommes en juillet 2025, les vacances viennent de commencer, mais l’air reste lourd, chargé d’une chaleur qui pèse sur les rues étroites de la ville et les montagnes au loin. Je suis mariée depuis vingt-deux ans à Paul, un ingénieur discret, un homme stable mais dont les attentions se sont fanées avec le temps. Ma vie est ordonnée, rythmée par les copies à corriger et les dîners silencieux, jusqu’à ce qu’Adrien, un élève de 19 ans, vienne fissurer mes remparts.

Adrien était en Terminale cette année, un garçon grand, élancé, avec des cheveux bruns en bataille et des yeux sombres qui semblaient toujours chercher quelque chose au-delà de mes cours sur Baudelaire. Il avait une assurance rare pour son âge, une manière de s’asseoir au premier rang, de me fixer pendant que je parlais, qui me troublait sans que je veuille l’admettre. Ses notes étaient médiocres, mais il venait souvent me voir après les cours, soi-disant pour des conseils, et je sentais ses regards s’attarder sur moi, sur mes hanches moulées dans mes jupes droites, sur ma poitrine qui tendait mes chemisiers sages.

Tout a basculé il y a une semaine, lors d’une permanence que je tenais pour les rattrapages. La salle était vide, sauf lui, assis face à moi, son cahier ouvert mais intouché. “Madame, vous êtes différente des autres profs,” m’a-t-il dit, sa voix basse, presque un murmure. J’ai ri, un peu Nerveuse, “et en quoi, Adrien ?” Il s’est levé, s’est approché de mon bureau, ses doigts frôlant le bois. “Vous êtes belle, vraiment.” Mon souffle s’est suspendu, et avant que je puisse répondre, il a contourné le bureau, s’est penché, et m’a embrassée, ses lèvres chaudes et audacieuses contre les miennes.

J’aurais dû le repousser, le renvoyer, appeler la direction. Mais je n’ai pas bougé, figée par une chaleur qui montait en moi, un désir que je n’avais pas senti depuis des années. Il m’a prise par la main, m’a tirée vers le fond de la salle, là où les stores baissés nous cachaient du monde extérieur. “Je veux vous toucher,” a-t-il soufflé, et je l’ai laissé faire, mon cœur battant à tout rompre. Il a déboutonné mon chemisier, révélant mon soutien-gorge beige, mes seins lourds qui s’affaissaient légèrement sous le tissu. Ses mains, jeunes, fermes, les ont saisis, les ont pressés, et j’ai étouffé un gémissement, mes tétons durcissant sous ses doigts.

Il m’a poussée contre un mur, ma jupe relevée d’un geste impatient, et sa main a glissé sous ma culotte, trouvant ma fente déjà humide, un secret que je ne pouvais nier. “Vous mouillez pour moi,” m’a-t-il dit, un sourire dans la voix, et ses doigts m’ont explorée, écartant mes lèvres, frottant mon clitoris avec une maladresse qui m’a électrisée. J’ai fermé les yeux, mes mains agrippées à ses épaules, et je l’ai laissé me pénétrer avec ses doigts, un va-et-vient qui faisait trembler mes jambes encore valides sous cette pulsion interdite.

Il a baissé son jean, sa queue jaillissant, longue, raide, luisante au bout, et je l’ai regardée, fascinée, coupable, affamée. “Prenez-moi,” ai-je murmuré, à peine audible, et il m’a plaquée plus fort contre le mur, a écarté ma culotte, et m’a pénétrée d’un coup sec. La douleur initiale s’est mêlée à une chaleur intense, son sexe qui m’emplissait, mes parois qui l’enserraient malgré les années d’habitude conjugale. Il bougeait vite, ses hanches claquant contre les miennes, mes seins qui s’agitaient sous ses mains qui les malaxaient sans retenue.

Je sentais tout : sa sueur qui gouttait sur ma poitrine, son souffle court dans mon cou, l’odeur de son désir mêlée à celle de la salle, crayons et papier oubliés. “Vous êtes si bonne,” a-t-il grogné, et j’ai cédé complètement, mes gémissements échappant à mon contrôle, mes doigts crispés dans ses cheveux. Il m’a soulevée légèrement, mes cuisses autour de sa taille, et m’a baisée ainsi, suspendue, ma chatte trempée qui coulait sur lui, un plaisir brut qui montait en vagues incontrôlables. J’ai joui, un cri rauque étouffé contre son épaule, mon corps secoué comme jamais avec Paul.

Il a joui juste après, un râle profond, son sperme chaud qui se répandait en moi, glissant le long de mes cuisses quand il s’est retiré. On est restés là, haletants, mes vêtements froissés, son jean encore à moitié baissé. “On recommencera ?” m’a-t-il demandé, un éclat de défi dans les yeux. J’ai hoché la tête, incapable de mentir, “oui.” Paul peut bien attendre à la maison, ignorant tout, car Adrien a réveillé en moi une faim que je ne veux plus taire.

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