« – Baise-moi !, criait-elle. Vas y baise moi !!! »
Ricky accéléra ses vas et viens. De plus en plus vite, de plus en plus fort. La sueur perlait sur son front, ses tempes et son torse. Il sentit son cœur s’accélérer. Il crut pendant un petit instant que ce muscle si nécessaire à la vie allait faire exploser sa poitrine. Il le voyait déjà s’éjecter de celle-ci et atterrir sur les draps blancs crasseux du lit de cette chambre d’hôtel miteux. Ce cœur continuerait-il à émettre des palpitations ou bien resterait-il inerte ? Une chose était certaine pour lui : il pourrirait sans attendre. Lui-même est pourri de l’intérieur. Il est un pourri tout court. Mais bon sang qu’il aime cela. Et là, en ce moment, il tringle une femme du monde bien plus âgée que lui. Ho pas de beaucoup pensait-il. Juste 15 ans de différence. Mais bon Dieu qu’elle est bandante. Un cul à faire dresser la queue d’un impuissant.
Il la prenait en levrette, lui debout sur la moquette dégueulasse de cette chambre. Il voyait sa bite entrer et sortir de cette chatte quinquagénaire bien rasée et parfumée.
Un doux parfum avait envahi ses narines lorsqu’il l’avait léchée — non, dévorée plutôt — cette petite chatte de bourge. Sa langue avait parcouru les moindres recoins de ce sexe parfumé. Il s’était attardé sur le clitoris puis avait entrepris de déguster ces lèvres humides et fraîches. Elle lui avait tenu la tête et l’avait poussé à descendre jusqu’à son vagin trempé. Il l’avait pénétré avec sa langue comme il faisait maintenant avec sa queue bien dure effectuant des vas et vient rapides et de plus en plus profonds jusqu’à ressentir une crampe sous son menton.
Et là, pendant qu’il la prenait bien, il observa son petit trou. Il lui fit envie. Ricky humecta son pouce puis vint caresser et branler lentement le petit anneau sombre. Il vit que la bourgeoise était réceptive et prit l’initiative de l’enfoncer lentement. Un petit cri de plaisir de fit entendre dans la chambre. Ce petit cri l’encouragea à poursuivre cette nouvelle expérience pour elle. Le jeune mafieux fit entrer et sortir lentement son pouce dans l’anus de la femme. Il se retient de jouir de suite tellement l’excitation était immense. Il finit par retourner la quinquagénaire, lui releva les jambes et présenta sa queue devant ce petit trou.
« – Je vais t’enculer ma salope, lui annonça-t-il. Comme tu encules tes administrés… Bien profond. »
Elle ne dit rien, mais le regarda avec des yeux désireux de tenter cette expérience. Ricky enfonça lentement sa bite dans le cul de l’adjointe au maire de la ville. Son gland entra petit à petit. Il vit que sa queue pénétrer comme dans du beurre dans ce petit trou et ne prit pas de gants pour faire entrer le reste de sa bite. L’adjointe au maire poussa un cri de douleur puis, à son plus grand étonnement, commença à prendre du plaisir. Ricky allait et venait dans son cul de plus en plus vite. Il sentit la jouissance montait. Le sphincter de cette femme serrait de plus en plus sa queue. Il ressortit rapidement et explosa sur le corps de l’élue. Son sperme s’étala sur le ventre et la poitrine recouverte de son soutien-gorge de vieille bourgeoise qui hurla son plaisir à qui voulait bien l’entendre.
Ricky s’allongea, exténué, près de l’adjointe. Il reprenait doucement son souffle. La vieille en faisait autant tout en étalant avec ses doigts le sperme encore chaud du jeune étalon.
« — Hum, finit-elle par dire. C’était bon. Et ta queue dans mon cul… Exquis…
- Je sais, répondit le jeune macho. Va prendre une douche. »
Ricky l’imita une fois qu’elle fut sortie de la douche.
« — Où ça en est ? demande-t-il pendant qu’il se rinçait les cheveux.
- C’est en bonne voie. En très bonne voie, répondit-elle en se remaquillant.
- Ça ne m’avance pas, Hélène, lui fit-il remarquer avec un agacement non dissimulé.
- .. Il nous manque encore deux voix pour que le projet passe.
- Deux voix ? Je croyais que tout était réglé à ce sujet ! lança Ricky en sortant de la douche.
- Diansaint et Merault font des siennes. Ils… Ils disent qu’ils ne sont pas sûrs d’assurer un tel projet dans leurs circonscriptions.
- D’assurer ? D’assurer ? répéta-t-il d’un ton agacé. Je dirai plutôt d’assumer. Ces deux lâches nous ont promis leurs voix. Qu’ils ne reviennent pas en arrière ou je leur ferai payer très cher.
- Ils ont peur. Les élections approchent et ils doivent lancer leur campagne.
- Dans ce cas, pioche dans notre budget et donne-leur une rallonge. S’ils refusent, ils le regretteront amèrement.
- Piocher dans les comptes de campagne de notre candidat ? répondit-elle surprise. Mais tu es devenu fou. Ces fonds ne servent pas à ça. Si quelqu’un s’en aperçoit, ce sera fini de tout ça.
- Fais ce que je te dis, lui répondit Ricky en la pointant avec son index. Pour le reste, je gère. »
Claire s’allongea sur son lit tout en repensant à ce qu’elle venait de faire avec son beau-père. Elle était dégoutée et excitée à la fois. Dégoutée par l’âge très avancé du patriarche, mais excitée par sa vigueur et… sa belle queue. Cette excitation dériva aussitôt en une envie quasi incontrôlable de se caresser. Elle posa sa main dans le creux de son cou puis la fit descendre lentement vers sa poitrine. Ses doigts effleuraient sa peau. Unléger frisson la fit tressaillir. Elle caressa doucement son sein gauche à travers le tissu de sa nuisette. Une nuisette noire légèrement transparente laissant paraître deux magnifiques seins. Ses tétons durcirent rapidement. La lingerie lui parut de trop et elle laissa échapper ses deux magnifiques globes laiteux qu’elle continua d’effleurer. Elle sentit une chaleur envahir son sexe lequel se libéra du désir humide dans son string. De sa main libre, elle vient se caresser le sexe. Ses doigts se remplirent de cyprine. Elle laissa entrer un doigt puis deux et commença des vas et viens tout en continuant de se caresser les seins faisant des petits cercles autour de ses mamelons.
Claire se laissait aller à cette excitation quasi extrême. Elle sortit sa main de son string et récupéra dans sa table de nuit le lovetoy avec lequel Ricky aimait la voir jouer. Le vibromasseur émit son petit bruit qu’elle aimait tant lorsqu’elle l’allumait. Elle fit passer doucement et lentement la pointe de l’objet vibrant sur son clitoris. La sensation ne se fit pas attendre et commença à la faire décoller de plaisir. Elle descendait et remontait lentement le vibromasseur sur les lèvres de sa vulve et revenait vers son clito gonflé. Elle le passa à l’entrée de son vagin et le sentit très humide. Elle décida de le faire entrer légèrement à l’intérieur de son puits d’amour afin de l’humidifier. Puis elle revint exciter sa vulve et son clito avec sa mouille légèrement parfumée. Elle sentait l’odeur de son sexe emplir la pièce, les fluides qui s’en dégageaient étaient tellement agréables, presque apaisante. L’excitation finit par atteindre son paroxysme. Maintenant elle voulait jouir. Elle régla le vibromasseur sur une position plus forte et accéléra ses caresses.
Elle se pénétra bien profondément avec son lovetoy, faisant des vas et viens de plus en plus rapide, de plus en plus profond. Puis elle serra ses cuisses et enferma le vibro dans son intérieur pour jouir de tout son être. Elle n’osait crier son plaisir. Elle prit un oreiller et le colla sur son visage.
Lorsqu’elle fut calmée, elle desserra son étreinte et retira son jouet. Claire entendit Ricky rentrer. Elle reconnut son pas. Elle se leva rapidement pour aller l’accueillir, mais stoppa dans le haut des escaliers menant au salon. Ricky n’était pas seul. Claire reconnut la voix de son beau-père. Elle tendit l’oreille afin d’épier leur conversation.
« — Alors ? Qu’est-ce qu’ils ont dit ? demanda le patriarche.
- Ils veulent faire marche arrière. Je leur propose une rallonge.
- Aaaarrfff, pas de rallonge, bon sang. Tu es faible Ricky. De mon temps, je les aurai fait disparaître sans aucune émotion.
Écoute, papa. Tu n’as rien à dire sur ma façon de tout gérer. Tu n’as même pas un droit de regard. Je vais aller passer quelques coups de fil et régler deux trois dossiers ».
Le vieux mafieux ne dit mot et remonta à l’étage tandis que Ricky alla se chercher un whisky avant de se rendre dans son bureau. Claire se précipita dans son lit en entendant le vieux remonter. Celui-ci s’arrêta devant la chambre de son fils et de sa belle-fille.
« — Je sais que tu ne dors pas et que tu écoutais… Rejoins-moi… J’ai envie de te baiser… »
Claire commença à mouiller de nouveau en pensant à la belle queue de son beau-père. Mais c’était également une occasion pour en apprendre davantage et tenter de le contrôler pour mieux éliminer son mari….
A suivre…
Je peû lui proposé un notre jouer ;-)
comment je remplacerai bien son gode
j’aimerai m’occuper de son petit trou du cul