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Confession Intime Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025

Récit Érotique Tabou 2025 : La Première Fois de Ma Femme avec un Inconnu Sous Mes Yeux

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Moi, c’est Julien, 42 ans, et elle, c’est Sophie, 40 ans – un couple qui s’aime à en crever, mais qui a décidé de plonger ensemble dans nos fantasmes les plus tordus, sans limites, sans tabous, et on va tout vous raconter. Attendez-vous à des confessions qui brûlent, parce qu’avec nous, ça va loin – femme offerte, uro, interdits hardcore – et c’est que le début de notre descente dans le plaisir.

 

Je me souviens encore de la première fois que l’idée m’a traversé l’esprit. C’était un soir d’été, lourd, moite, on était vautrés sur le canapé, Sophie collée contre moi, sa peau chaude qui se fondait dans la mienne. Elle avait un débardeur blanc, un truc fin qui laissait deviner ses seins libres dessous, et un short qui remontait haut, dévoilant ses cuisses lisses. Elle sentait la vanille, avec une pointe de sueur, et je sais pas pourquoi, mais en la regardant, j’ai vu un autre mec poser ses mains sur elle. Pas une pensée claire, juste un flash, un truc qui m’a fait durcir d’un coup, comme si mon corps avait capté avant moi. Sophie, ma femme depuis six ans, 40 ans, belle à te couper le souffle avec ses cheveux châtains en désordre et ses yeux noisette qui te fouillent l’âme. Moi, Julien, 42 ans, un mec normal mais raide dingue d’elle, j’avais ce fantasme qui me rongeait : la voir avec un autre, sous mes yeux.

Ça m’a pas lâché après ça. Ça revenait sans arrêt, surtout la nuit, quand elle dormait à côté, ses cheveux en vrac sur l’oreiller, ses lèvres entrouvertes qui laissaient passer un souffle léger. J’ai fini par lui en parler, un soir où on avait trop bu – du gin avec du tonic, pas du vin, les bulles qui éclataient encore dans les verres. “Et si un mec te touchait, là, devant moi ?” que je lui ai glissé, la voix rauque, presque cassée. Elle a ri, un rire doux, sexy, et m’a fixé avec ses yeux brillants sous la lampe. “Tu déconnes ou quoi ?” J’ai secoué la tête, sérieux comme un pape. “Non, imagine… toi, lui, et moi qui mate.” Elle a mordu sa lèvre – elle fait ça quand elle est troublée – et elle a murmuré : “Ça te plairait vraiment ?” J’ai pas répondu direct, mais elle a vu dans mon regard que oui. On a laissé ça en suspens, mais c’était là, entre nous, comme une promesse silencieuse.

Quelques semaines plus tard, on y était. Une chambre d’hôtel, pas trop classe, un coin discret loin de la ville. Le lit était énorme, les draps blancs déjà un peu chiffonnés, et y avait cette odeur de propre qui flottait, mêlée d’une tension qu’on sentait dans l’air. Sophie était debout près du lit, dans une robe noire moulante, pas tape-à-l’œil mais sacrément chaude – elle suivait ses hanches, sa taille fine, et laissait entrevoir la dentelle de son soutif. Elle jouait avec une mèche de cheveux, nerveuse, sexy sans le vouloir. “T’es sûr de toi, Julien ?” qu’elle m’a demandé, sa voix tremblante mais avec un éclat d’excitation. J’étais assis dans un fauteuil près de la fenêtre, les mains crispées, et j’ai hoché la tête. “Ouais. Et toi ?” Elle a souri, hésitante. “Je sais pas… mais j’ai envie de voir.” On était au bord d’un truc énorme, un précipice qu’on allait sauter à deux.

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Et puis il a frappé à la porte. Un coup sec, qui m’a fait sursauter. Sophie a retenu son souffle. Je me suis levé, le cœur qui cognait comme un marteau, et j’ai ouvert. Il était là, grand, brun, pas un top model mais un mec brut, avec un truc animal dans le regard. Une chemise ouverte sur un torse carré, un jean qui moulait juste ce qu’il fallait. Il m’a fait un signe de tête, un “salut” muet, et il est entré. Sophie l’a regardé, ses joues ont rosi d’un coup, et lui, il a lâché : “T’es encore plus belle que ce qu’il m’a dit.” Elle a baissé les yeux, gênée, mais ses lèvres ont frissonné, comme si ça l’allumait déjà. Moi, je sentais mon sang bouillir, un mélange de jalousie et de désir qui me tordait le bide.

Il s’est posé sur une chaise, cool, pendant que je retournais m’asseoir, à quelques mètres, prêt à voir ma femme se faire offrir – un fantasme qu’on lit parfois dans des récits comme femme offerte, mais là, c’était réel. “Alors, on fait comment ?” qu’il a demandé, sa voix grave emplissant la pièce. J’ai ravalé ma salive, le sang dans mes tempes. “Tu la touches, tu fais ce que tu veux… mais vas-y doucement au début.” Sophie m’a jeté un regard, peur et désir mélangés, et lui, il a juste hoché la tête, comme si c’était rien.

Il s’est levé, s’est approché d’elle, et tout a basculé. Sa main a effleuré son épaule, un geste simple mais chargé, et elle a frissonné, un tremblement qui m’a fait serrer les dents. “Ça te va ?” qu’il a murmuré, assez fort pour moi. Elle a fait oui de la tête, un souffle à peine audible, et sa main a glissé, lente, sur son bras, puis sur sa taille. J’ai senti une chaleur monter, un feu dans mon ventre. Il l’a tirée vers lui, leurs corps presque collés, et il l’a embrassée. Un baiser doux d’abord, puis plus profond, plus vorace. Ses lèvres à elle, celles que je connais par cœur, s’ouvraient pour lui, et moi, je pouvais pas détourner les yeux, fasciné, excité, perdu.

Il l’a poussée sur le lit, décidé, et elle s’est laissée faire, allongée là, la robe remontant sur ses cuisses. Il a relevé le tissu, dévoilant sa peau claire, douce, et la dentelle noire de sa culotte. Elle respirait fort, ses seins se soulevant sous la robe, et lui, il a dit : “T’es magnifique, tu sais ?” Elle a ri, un rire nerveux mais sexy, et j’ai senti mon sexe durcir malgré moi. On était lancés, impossible de reculer.

Tout est allé vite après. Il a viré sa chemise, torse nu, un peu marqué par la vie, pas parfait mais bandant dans sa simplicité. Sophie l’a maté, les yeux brillants, et j’ai vu qu’elle le voulait, vraiment. Il a fait glisser les bretelles de sa robe, elle a bougé pour l’aider, et le tissu est tombé, laissant apparaître son soutif noir, puis rien – il l’a dégrafé d’un geste, et ses seins sont sortis, petits, ronds, les tétons déjà durs. Il les a touchés, d’abord léger, puis plus ferme, et elle a gémi, un son rauque qui m’a traversé comme un choc. Il s’est penché, sa langue sur sa peau, et elle a cambré le dos, les mains dans les draps, complètement offerte. Ça me rappelait ces confessions brûlantes qu’on trouve sur des sites, genre candaulisme, mais là, c’était ma Sophie.

“Dis-moi ce que t’aimes,” qu’il a soufflé, sa bouche contre son sein. Elle a hésité, puis : “Plus bas… fais-moi…” Elle a pas fini, mais il a compris. Ses mains ont glissé, ont arraché sa culotte – un mouvement rapide, sauvage – et j’ai vu son sexe, humide, prêt, luisant sous la lumière fade. Il s’est mis entre ses jambes, sa langue l’a trouvée, et elle a crié, un son aigu, primal. Moi, j’étais là, à quelques mètres, le souffle court, les mains tremblantes, incapable de bouger. Elle se tordait sous lui, ses gémissements montaient, et lui, il continuait, implacable, ses doigts la fouillant pendant que sa bouche la dévorait.

Et puis il s’est redressé. Il a viré son pantalon, son boxer, et j’ai vu son sexe, dur, gros, prêt à la prendre. Sophie l’a regardé, un éclair de surprise dans les yeux, mais elle a rien dit. Il a chopé un préservatif dans sa poche – un détail qui m’a fait respirer – et il l’a enfilé, vite, précis. Il s’est placé au-dessus d’elle, ses mains sur ses hanches, et il a demandé : “T’es prête ?” Elle m’a regardé, une seconde, juste une, et j’ai hoché la tête, la gorge sèche. “Oui,” qu’elle a soufflé, presque un murmure.

Quand il l’a pénétrée, j’ai cru que j’allais perdre pied. Elle a gémi, fort, ses jambes se sont enroulées autour de lui, et il a commencé à bouger, lent d’abord, puis plus dur, plus profond. Le lit grinçait, un bruit qui tapait dans ma tête, et leurs corps claquaient ensemble, un rythme qui me rendait fou. Ses seins dansaient sous les coups, ses mains griffaient son dos, et elle criait, des sons qui me déchiraient. “Oui, encore,” qu’elle lâchait, à bout de souffle, et moi, j’étais là, dur comme jamais, à regarder ma femme se faire prendre. C’était sa première fois dans un truc aussi dingue, et moi, j’en étais le témoin.

Il l’a retournée, à quatre pattes, ses cheveux collés par la sueur, et il l’a reprise, encore plus fort. Elle a joui, une fois, deux fois, des cris qui résonnaient dans la pièce, et lui, il continuait, infatigable. À un moment, elle m’a regardé, les yeux pleins de feu, et elle a murmuré : “Tu kiffes ?” J’ai fait oui, incapable de parler, et il a ri, un rire grave, avant de la pilonner encore. Elle a joui encore, un hurlement presque, et lui, il a fini dans un grognement, s’effondrant sur elle, trempé de sueur.

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Après, y a eu ce silence, lourd, épais. Il s’est retiré, a jeté le préservatif, s’est rhabillé sans un mot. Sophie était là, nue, essoufflée, magnifique dans son désordre. Il m’a fait un signe, un “merci” rapide, et il s’est barré. La porte a claqué, et c’était fini. Ou presque.

Elle m’a regardé, un sourire fatigué sur les lèvres. “Ça va ?” qu’elle m’a demandé, douce. J’ai marché jusqu’au lit, je me suis assis près d’elle, et j’ai pris sa main. “Ouais. Toi ?” Elle a ri, un rire léger. “Ouais… c’était dingue.” J’ai caressé ses cheveux, encore humides, et je l’ai embrassée, un baiser profond, avec son goût et un peu du sien à lui. Et cette nuit-là, on a baisé, juste nous, comme des bêtes, avec une intensité qui m’a retourné. Lui, il avait allumé le feu, mais c’était nous qui brûlions encore. Si t’aimes ce genre de descente dans le tabou, y a des récits encore plus chauds à explorer, comme ceux sur fantasmes hardcore.

Julien et Sophie

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