récit sexe 10 ans de mariage, ma femme et moi sortons peu car tous les deux sommes casanier et préférons rester au chaud dans notre lit à se faire l’amour tendrement et régulièrement.
Poudrant ce soir, nous sommes invité a une soirée d’anniversaire et Julie est particulièrement fébrile et s’habille de façon très sexy avec sa longue robe noir moulante, très décolletée et fendue jusqu’en haut de ses cuisses ;
La soirée est vraiment festive et l’alcool coule à flot. Ma chérie danse avec tous les hommes présents et se fait largement peloter discrètement quand même. Julie rigole de ces mains baladeuses et comme elle à un petit verre dans le nez, elle ne s’offusque pas, pourtant dans un état normale elle aurait giflé le malotru.
Bref on s’éclate, on rigole et vers 2h00 du matin on décide de rentrer. Julie est pompette et en teint une solide. Je suis obligé de l’installer moi-même dans la voiture, elle en est bien incapable de le faire seule.
D’avoir vu toutes ces mains baladeuse palper les formes de Julie, j’ai une trique d’enfer et je suis excité comme rarement je ne l’ai été. Julie à la tête qui tourne et je pose ma main sur sa cuisse dénudée par la fente de sa robe de soirée.
Aussitôt que ma main la touche, elle écarte ses cuisses me laissant la liberté de remonter, jusqu’à sa chatte. Tout en conduisant prudemment, ma main remonte et à peine je touche sa petite culotte trempée comme une serpillière elle pousse un soupir.
Je me dis qu’elle doit être aussi excitée que moi. Je repère sur la route une aire de repos et je m’engage pour m’arrêter près de bosquets touffus.
Je me penche sur elle dès que je suis à l’arrêt et lui roule une pelle profonde et baveuse à souhait. Ma main trouve le chemin de sa chatte et mon doigt celui de son clitoris gonflé comme jamais il ne l’a été un jour.
Julie soupir dans ma bouche en se laissant doigter le clito et d’elle-même, pose sa main sur ma baguette pour malaxer ma bite tendue, mais encore dans mon pantalon et slip.
De ma main libre tout en continuant de lui rouler des pelles baveuses, je sors un de ses beaux seins et joue avec son téton aussi gros que son clito.
Sentant ses dispositions sexuelles avancées, je sors l’autre sein et lui fait subir le même sors que le premier. C’est à dire, je pince tire et malaxe le tétons. Julie soupir encore plus dans ma bouche et sa langue semble vouloir me faire une gorge profonde. C’est à ce moment précis que je vois une grosse bite collée à la vitre à côté de la tête de Julie.
Cette bite suinte déjà car elle laisse des trainés gluante sur la vitre. Soudain un de mes fantasmes les plus récurant surgit dans mon cerveau et je baisse la vitre coté Julie d’une dizaine de centimètres. Julie n’a toujours rien vu car le lui maintint sa tête vers le pare-brise en l’embrassant.
Le mec, avec sa grosse bite, comprend ce que je veux, entre sa bite dans l’habitacle et la colle contre la joue de Julie qui est totalement prise dans son délire sexuel.
Je fais en sorte que la tête de Julie se tourne vers la bite et celle-ci se retrouve entre nos deux bouches.
– Suce la bite mon amour ! Chuchote à Julie qui cette fois est seule à avoir la bite dans sa bouche.
Julie ne se saisi pas, ne fait aucun mouvement de révolte et commence à sucer ce gros engin bien gluant sur le bout.
Je continue de descendre la vitre et une main du mec entre et attrape un des seins de ma femme. Sans violence mais fermement quand même, il malaxe le sein, pince le téton et même tire dessus.
Je fais exactement la même chose que le mec sur l’autre téton de Julie. Et Julie accentue la fellation sur cette bite de taille géante.
Alors que la fellation s’éternise au-delà des trois minutes, que Julie est au bord d’un orgasme foudroyant, l’homme lâche le sein de ma femme prend la tête de celle-ci a deux mains et enfonce sa bite dans la bouche de ma Julie jusqu’à ce que le nez de Julie lui touche le pubis.
Julie à comme un soubresaut et son orgasme explose en même temps, que le mec se vide dans sa gorge. Elle avale sans se demander ce qui lui arrive car son orgasme la prive de tout contrôle de son corps. C’est alors que je vois deux autres mains et une bite plus modeste entrer dans l’habitacle.
Les mains empoignent les seins de Julie et les tétons en particulier et la bite de taille normale se colle à celle qui fini son éjaculation.
Dès que la bite géante se retire l’autre bite la remplace immédiatement et Julie recommence à sucer cette nouvelle bite avec une certaine conviction.
Je suis totalement abasourdi et tétanisé de voir ma petite Julie qui depuis des mois n’accepte plus que la position du missionnaire lorsqu’on fait l’amour est occupé à sucer une deuxième bite et visiblement y prend beaucoup de plaisir de le faire.
Je me ressaisi et regarde autour de la voiture, pour voir si il n’y a pas une file de mec qui attendent leur tour. Mais rien seul le mec à la bite géante, qui remet son outil en place et l’autre qui baise la bouche de ma femme comme si sa vie était en jeu. Personne d’autre que nous quatre.
La nuit est sombre et j’entends parfaitement les soupirs du mec dans la bouche de Julie qui annonce une éjaculation éminente. Je dois aussi dire que les soupirs étouffés de ma femme sont aussi jouissif que ceux du mec.
Puis c’est l’apothéose, le mec se tend comme un arc et envois dans la gorge de Julie au moins 6 jets puissants que je crois et surtout imagine le bruit qu’ils font en sortant de la bite du mec et après cette série de jet le mec tremble encore et continue de déverser son sperme dans la bouche de Julie.
Il y en a tellement et malgré que Julie essaye de tout avaler, du sperme s’écoule de la bouche et tombe sur ses seins, dont les tétons sont tellement érigés qu’ils doivent mesurer près de 1, 5 cm et gros comme une bille en verre.
Le mec se retire de la bouche de ma chérie et essuie sa bite dans les cheveux de Julie en disant :
– j’espère que vous reviendrai, je n’ai jamais eu une bouche aussi bonne de toute ma vie !
– Qui sait ? Dis-je en refermant la vitre côté Julie.
Julie est dans les vapes de son orgasme et de ce qu’elle vient de faire, alors sans dire un mot de plus je redémarre en douceur et laisse ma femme les seins à l’air et tachés du sperme qu’elle n’a pas avalé.
Une heure plus tard je stoppe la voiture devant notre maison et aide Julie à sortir de celle-ci. Titubante et les seins toujours bien à l’air et visible de n’importe qui, je soutien ma femme dont les jambes tremble et se désistent sous ses pas. Heureusement qu’à 4 heures et demi du matin, la rue ne grouille pas de gens et nous rentrons dans la maison, pour que Julie s’écroule sur le divan dans l’état où elle est sa robe longue toute chiffonnée et rouler sur sa taille pour le haut.
Le pire dans tout ça c’est que je bande toujours et suis encore plus excité de ce que j’ai vu sur cette aire de repos. J’ai trop envie de ma Julie, alors je lève le bas de sa robe longue et la roule sur ses reins, tire sa petite culotte vers ses genoux et m’enfonce dans une chatte trempée comme si on avait ouvert un robinet à l’intérieur de sa chatte.
Ma bite glisse comme sur un sol ciré et je ne mets que quelques minutes avant de lui remplir le vagin de mon sperme épais et abondant.
C’est la première fois depuis des mois, que je prends ainsi Julie presque en levrette, une de mes positions favorites, que nous ne pratiquons plus depuis plusieurs années.
Tellement excité de ce qui vient de se passer sur le parking et le fait que je vient de jouir dans la chatte de Julie dans une position que j’adore, ma bite reste raide et je profite de l’inertie de Julie pour m’assoir devant son visage, lui soulever la tête par son menton et m’enfoncer avec une joie sans nom, dans a bouche qui vient de servir de vide-couille sur une aire de repos.
J’ai comme l’impression que c’est la première fois que j’entre dans sa bouche tellement il y a longtemps qu’elle ne m’a plus sucé.
Julie presque inconsciente va commencer à me sucer comme elle le faisait au début de notre mariage et malheureusement pour elle, comme je viens d’éjaculer dans sa chatte elle va devoir me sucer de très longues minutes.
C’est au bout d’un gros quart d’heure que je sens monter une nouvelle éjaculation et laisse ma bite se vider dans sa bouche.
Sans doute par automatisme très récente, Julie va avaler chaque jet et même aspirer mon gland pour avoir les dernières gouttes de mon jus.
Tellement heureux de ce déroulement des évènements, je porte Julie jusqu’à notre lit et la couche sur le dos. Le temps de me déshabiller et Julie ronfle come une bien heureuse.
Je me couche à côté d’elle et m’endors moi aussi.
Le lendemain je me réveille seul dans le lit et entend du bruit provenant de la cuisine. Je me lève un eu dans les vapes du sommeil et des récents évènements et me dirige vers la cuisine. Dedans se trouve Julie complètement nue et lorsqu’elle m’entend arriver, se retourne et me dit de façon assez violente et même limite, méchante :
– C’est comme ça que tu me veux, salaud de pervers !
– Mais… mais chérie ? Qu’est-ce qui te prend ?
– Tu crois peut-être que je ne me rappel de rien ?
– Te… Te rappeler quoi, ma Chérie ?- Que ta femme est une pute et que tu as profité de moi, pour me faire des choses que je n’aurais jamais fait normalement !
– Mais… Mais je ne t’ai pas forcée et puis…. Et puis tu as bien jouie, non ?
– Oui, j’ai jouie !… Oui, j’ai eut des orgasmes comme jamais tu m’en as donné, mais maintenant que je suis une pute que vas-tu faire avec moi ?…. Me mettre sur le trottoir ?
– Arrête ton cirque ! C’est toi qui a sucer et avaler leur sperme, même que le deuxième lorsqu’il t’a prévenue qu’il allait juter, tu as continuée de le sucer, jusqu’au bout, sans que j’intervienne ! Alors… Arrête ton char et va mettre des vêtements !
– Salaud ! Crie-t-elle en s’encourant vers les chambres, les mains sur son visage.
Pendant une semaine, je n’ai eu que l’image et pas le son. Ce fut la même chose au lit, je n’ai pas pu la toucher ou même lui rouler une pelle.
J’étais bon pour me masturber dans mon lit lorsqu’elle était endormie en pensant à l’épisode des pipes sauvages. Je dois reconnaitre que rien que de me rappeler comment ma chérie avait sucé ses deux bites, j’éjaculais comme un cheval.
Le samedi suivant, nous devions aller chez ses parents pour un souper prévu de longue date, lorsque je la vis avec sa robe de soirée qu’elle avait mise le jour des pipes.
– Mais… Mais pourquoi tu mets cette robe-là ?
– J’ai envie ! Tu ne me trouve pas jolie avec cette robe-là ?
– Si mon amour ! Non seulement tu es jolie mais très sexy aussi dedans !… Tu risque de donner un infar à ton papa chéri !
– Laisse mon père où il est et allons à notre souper !
– Comme tu veux chérie.
Je l’a sentant toute fébrile et à la limite excitée. Est-ce le fait de remettre cette robe qui devait surement lui rappeler l’aventure des pipes ou pour me provoquer comme parfois elle aime le faire.
Son père ne l’a quitte pas d’une semelle pendant tout le repas et même que lorsque avec sa mère ils étaient tous les trois dans la cuisine et que sa mère est revenue seule à table, j’ai entendu un petit cri et puis un rire nerveux de ma chérie.
Lorsqu’ils sont revenus à table, son père était souriant comme jamais et Julie rouge sur les joues. Lorsqu’on s’est dit « au revoir », j’ai bien vu que les baisers de Julie sur son père, frôlaient le coin de sa bouche plutôt que sa joue.
Dès que je démarre, Julie baisse l’avant de sa robe faisant sortir ses beaux seins à l’air libre et me dit sans aucune hésitation dans la voix
– Conduit moi où on s’est arrêté la dernière fois !
– Tu… Tu es sur de toi ?
– Fait ce que je te dit et surtout… Surtout ne dit rien !
– Heu ! D’accord chérie !
Alors que je conduis prudemment je retrouve très vite l’aire de repos de la dernière fois et chance pour moi, je me gare exactement à l’endroit où nous étions garé la semaine précédente.
– Embrasse-moi et ouvre ma fenêtre !
– Mais….
– Je t’ai dis de te taire !
– Hum !… D’accord.
Mon sexe me faisait tellement mal de bander que j’ai ouvert ma braguette et j’ai sorti ma bite qui a presque émis un « ouf » de soulagement.
Julie m’a regardé puis à regardé ma bite et sans un mot s’est penché dessus et a commencé une pipe d’enfer. J’ai profité que ses seins étaient sortis de sa robe pour les malaxer et jouer avec ses tétons.
Sa pipe est divine et extrêmement jouissive au point que je la préviens que je vais éjaculer dans les secondes qui suivent. Habituellement, à ce moment-là Julie arrête sa fellation et me termine à la main, sauf que à ce moment précis, non seulement elle continue de me sucer, mais renforce ses aspirations sur ma bite.
Juste au moment de jouir dans la bouche de ma femme, je vois depuis la fenêtre ouverte du côté de Julie une grosse bite que je crois reconnaitre. Cette vision me donne l’impulsion nécessaire pour que j’explose dans sa bouche et lui envois une série de jet abondant dans sa gorge.
Julie va avaler l’entièreté de mon éjaculation, sans relever la tête et sucer mon gland pour aspirer les dernières gouttes.
– Waouh ! Quelle pipe ma chérie !…. mais je crois qu’on t’attend-là ?
Julie se redresse encore étourdie de mon éjaculation assez exceptionnelle et se retrouve avec la bite de la dernière fois devant son nez.
Julie prend alors une grande goulée d’air et embouche la bite sans que je ne doive faire un geste. Comme un habitué, le mec empoigne les tétons de Julie et les tirent, les pincent et le malaxe comme un malade.
J’entends les soupirs de Julie, étouffé par la grosse bite du gars et voir les mains de Julie caresser les couilles du mec qu’elle a sorti elle-même du pantalon du gars. Les minutes passent et deux autres bites viennent se placer à côté de la première.
Non seulement Julie va sucer bites et avaler la presque totalité des éjaculations, le reste ayant souillé visage et seins.
Je verrai Julie avoir plusieurs orgasme en 5 fellations et couler tellement de la chatte, que sa robe bien sur, mais surtout le siège en prenne une bonne ration de sa mouille.
Le cinquième gars satisfait, Julie referme elle-même sa vitre car elle voit deux autres mecs arriver la bite à le main.
– Ça suffit pour aujourd’hui ! Dit-elle très vite avec un essoufflement évident !
– Tu es sur ?
– Filons ! J’ai eu mon compte !
Mon pantalon dégouline de mon sperme car pendant ces 5 fellation j’ai éjaculé trois fois sans prendre aucune précaution et j’ai salopé, pantalon, siège, sol et même le volant de la voiture.
Je n’avais jamais vu une femme aussi acharnée à sucer des bites inconnues à la chaine et avec autant de dextérité et plaisir de le faire.
Nous sommes rentrer dans l’état où on était et après s’être déshabillé et douché nous nous sommes couché dans le lit et Julie m’a sauter dessus en criant :
– Baise-moi à en crever !
J’ai essayé de donner le meilleur de moi, mais après trois éjaculations dans la voiture, je dois reconnaitre que je n’étais pas à la hauteur des besoins de ma Julie.
J’ai du utilisé ma langue pour lui donner un premier orgasme et elle à utilisé ses propre doigt pour s’en donner un autre.
Insatiable était Julie cette nuit-là. Jusqu’aux premières lueurs de l’aube, Julie a sollicité ma bite et ma langue, pour enfin s’endormir comme une petite fille sage.
Vers midi lorsqu’elle s’est levé son visage rouge de honte elle m’a pris dans ses bras et m’a dit dans l’oreille :
– Maintenant tu as vraiment une pute chez toi !
– Mais…. Mais non, ma chérie !
– Promets-moi qu’on recommencera !
– Quoi ? Tu aime vraiment ça ?
– Hummmmm ! Oui ! J’ai adoré sucer toutes ces grosse bites et surtout avaler leur sperme épais et onctueux !
Je n’e n revenais pas du changement extraordinaire de Julie, changement sexuelle entendons-nous bien.
Nous avons passé ce dimanche après-midi chacun de notre côté du divan, moi repensant à la nuit d’hier et Julie en se caressant la chatte, car elle était nue sous sa nuisette transparent, qu’elle a gardée toute la journée.
Pendant trois semaines nous avons vécu normalement en faisant l’amour presque tous les jours et sentant bien, que je ne satisfais que moyennement ma Julie devenue presque nymphomane. C’est le troisième samedi après les évènements du samedi aux 5 fellations qu’elle arrive à l’heure du souper à nouveau vêtue de sa robe de soirée noire et décolleté
– Ce soir je veux battre mon record ! Dit-elle en me regardant droit dans les yeux.
J’ai presque éjaculé sans me toucher de voir le regard déterminé de ma petite femme devenue une véritable salope.
Mais ce soir-là je vais vivre presque un cauchemar, car Julie à décidée d’aller plus loin beaucoup plus loin …. Beaucoup trop loin, dans sa démarche, lorsqu’on arrive sur l’aire de repos.
Cette fois à peine arrêté Julie ouvre la portière et sort de la voiture. Devant mes yeux exorbités, elle retire sa robe et je l’a voie complètement nue juste habillée d’un porte-jarretelle en dentelle.
Elle va jeter sa robe sur son siège et poser ses mains sur le toi de la voiture en poussant son cul en arrière.
Elle ne reste pas comme ça deux minutes que l’homme à la grosse bite que je reconnais de suite, se colle dans le dos de ma femme et en quelques secondes enfile par derrière ma Julie, complètement consentante, même si, elle pousse un cri au moment où la grosse bite lui rentre dans sa chatte trempée.
Comme la portière est reste grande ouverte, j’ai la vision de la grosse bite qui martèle la chatte rasée de ma Julie. Elle a du se raser la chatte avant de partir car hier encor elle avait de poils sur sa vulve et pubis.
Vu qu’elle est rasée totalement, je peux voir la bite du mec entrer et sortir de plus en plus vite et éjaculer dedans, sans que Julie ne se désiste à ce remplissage de sa chatte.
Le type se retire, me fait un signe de son poing fermé le pouce lever et dit :
– Ta salope est aussi bonne de sa bouche que de sa chatte ! Bravo mon vieux !
– De… de rien ! Dis-je bêtement en regardant le sperme sortir de la chatte de Julie qui garde sa position et à même pousser encore un peu son cul vers les bosquets.
Comme un signal, plusieurs hommes sortent des buissons la bite à la main et Julie va se retrouver avec une bite dans le cul et une autre dans la bouche l’empêchant de crier lors de cette première sodomie par un inconnu.
Tous ces mecs n’ont pas spécialement des grosses bites, mais aucun d’eux, n’est en-dessous des 15 cm de long.
Julie va se taper 6 mecs dans sa chatte ou son cul et 4 autres dans sa bouche. À tous les mecs qui ont jutés en elle, elle les remercie et leur dit : « à la prochaine »
Je n’en crois pas mes oreilles et j’avoue que de voir ma Julie se faire ainsi prendre des deux côté à la fois avaler et remercier ces pervers m’ont donne trois nouvelles éjaculations incontrôlables et je me sens honteux de laisser ma femme se faire démonter comme ça par des inconnus, mais en même temps je n’aurais jamais fait un seul geste pour arrêter le massacre de la chatte, de son cul et bouche de Julie
Julie est rentrée dans la voiture en mettant sa belle robe longue entre ses jambes et s’est assise en disant :
– On rentre, il n’y a plus personne !
– Tu… Tu… tu veux dire que tu aurais continué ?….
– Oui !
Le ton est sec et cassant, ce qui m’empêche de continuer ce dialogue inutile vu les dispositions de Julie à ce moment précis.
Juste avant d’arrive devant notre maison Julie se tourne vers moi me regarde quelques instants droit dans les yeux et dit :
– J’espère que maintenant, tu es content d’avoir une vraie pute à domicile et sache que ce n’est pas la dernière fois que je me ferai sauter en ta présence !
– Mais… mais je ne te demande pas de faire ça ?
– Trop tard ! il ne fallait pas commencé ! Maintenant je ne peux plus m’en passer et d’ailleurs le weekend prochain, j’irai tout le weekend chez mon père ! Tu peux même venir avec moi si tu veux !
– Bien sur que oui, je viens avec toi, mais….
– Pas de mais !…. à partir d’aujourd’hui, je gère moi-même mes envies s sexuelles ! tu ne seras qu’un parmi les autres !
– Qu… Quoi ?
– Tu as bien entendu !
Voilà où en est notre couple et je ne vous raconte même pas le fameux weekend chez son père, où elle s’est tapé tous les membres du club de billard que son père fréquente depuis des années.
Je n’ai jamais vu une folie sexuelle pareille de la part d’une femme, soit-elle très jolie et sexy. La seule chose qui va rester très longtemps à ma vue, c’est que Julie s’est retrouvée enceinte et que je suis bien incapable de savoir qui en est le père biologique.
Neuf mois plus tard et sans que Julie ne cesse d’aller régulièrement sur notre aire de repos se faire mettre par les trois trous en avoir de plus en plus d’amateur qui se sont passé le tuyau et que tous ces salopards, vont apprécier la grossesse de Julie. On aurait dit que ça les motivent encore plus de baiser une femme enceinte.
Jusqu’à trois semaines avant d’accouché, Julie s’est fait baiser par une bande de type qu’elle appelle par leur prénom et qu’elle reçoit à la maison, sans se préoccupée de ma présence ou non.
Combien de fois je vais rentrer de mon boulot et voir Julie se faire enfiler par un ou plusieurs de ses « Clients » ou « Amants »
Je n’ai jamais compté, mais je pense que Julie, en plus des nouveaux inconnus, qu’elle accepte pour se faire remplir de sperme, doit avoir une cinquantaine de clients ou d’amants, dont Jean, l’homme à la grosse bite, qu’elle a sucé en tout premier lieu, qui est devenu son amant préférentiel et qui me remplace régulièrement dans mon lit, pour baiser ma salope de femme. Plusieurs fois par semaine. Ces jours-là, je dors dans le divan et les entend baiser comme des animaux en rut. J’ai du accepter la chose sinon, Julie me quittait pour lui.
J’en suis là actuellement et je dois avouer que j’ai pris une jeune maitresse, pour me soulager, tant ma Julie est toujours remplie de sperme de ses amants/client et souvent indisponible pour moi.
J’aime aussi avoir une petite chatte bien propre et vide pour la remplir moi-même et entendre les cris de jouissance que je donne à la fille, ce que ma femme ne fait plus, lorsque j’ai la chance de la baiser enfin.
Le pourquoi, je parle de client, c’est que depuis le jour ou pour la première fois elle s’est donné totalement au pervers de l’aire de repos, elle demande du pognon, pas beaucoup, mais quand même, à chacun d’entre eux. Ses prix fonctionnent selon que le mec est riche ou pauvre.
Fin de cette histoire-là.
Bernard
un récit absolument incroyable et excitant.
Merci