Le premier coup de canif dans le contrat.
Son nom est Florence, mais tout le monde l’appelle Florence. Elle est heureuse en ménage avec Luc, son mari depuis cinq ans. Ils ont un fils de deux ans.
Luc doit s’absenter pendant plus d’un trimestre, pour voir s’il est capable d’être le directeur d’une succursale de sa société. En partant à l’autre bout du pays, il rassure Florence en lui faisant miroiter un avenir meilleur, d’être directeur de succursale dans sa société.
Ils habitent dans une maison un peu isolée à la sortie de la ville. Ils ont comme voisin depuis cinq ans, monsieur Richard. Sa femme est décédée d’un cancer, il y a deux ans à présent. C’est un homme sympathique toujours souriant. Il rend de nombreux services au jeune couple.
Quatre jours après le départ de Luc. Richard est parti en ville pour réceptionner un colis pour Florence. Pendant son absence, un feu électrique c’est déclarer dans sa maison. Le temps que Florence s’en aperçoive et appelle les pompiers, la maison est entièrement en flamme. La maison est entièrement ravagée, Richard a le cœur brisé, il ne sait pas où il va loger, car il n’a personne vers qui se retourner.
Se sentant un peu coupable de l’absence de Richard au départ de l’incendie. Florence téléphone à Luc pour venir en aide à Richard. Comme ils ont une chambre de libre, Luc propose de l’héberger le temps qu’il fasse reconstruire sa maison. Richard accepte la proposition et vient vivre avec le couple en participant aux frais du ménage.
Pendant ses activités, Florence sent le regard de Richard sur elle. Elle n’y voit pas de malice obsessionnelle. Elle ne réagit pas, car elle est contente d’attirer le regard d’un homme de soixante huit ans sur sa personne. Cependant, elle sent qu’il y a quelque chose dans son regard. Il s’est installé une petite complicité entre eux. Richard la trouve très belle dans sa fine petite robe d’été.
Plus Richard cohabite avec Florence et son fils, plus il est attiré par ses formes de femme blanche. La vue par transparence de ses seins où de ses fesses, le tout bien ferme, le fait bander à mort. Richard est un Martiniquais noir, très attiré par les femmes blanches à cause d’un souvenir d’adolescence où il fut séparé de force par les frères de la fille blanche qu’il bécotait.
Deux semaines plus tard, alors que Florence prend une douche, elle a l’impression que dernièrement Richard la regarde un peu plus vicieusement. Qu’il faut, qu’elle s’habille un peu moins attirante et aussi qu’elle se couvre un peu plus le corps. Ce qu’elle ne soupçonne pas, c’est qu’à l’extérieur de la porte de la douche ?
Richard nu à genou sur le sol, se branle en humant le fond du string de Florence, pris dans la corbeille de linge sale. L’odeur de Florence l’excite bien plus que celle de sa défunte femme. Il désire mettre sa grosse queue noire, dans la tirelire de la jeune femme blanche qui est là sous la douche, à sa portée.
Le parfum de la croupe de Florence rend le fou Richard. Il n’en peut plus, de se masturber, alors qu’il pourrait se vider les couilles dans cette chatte blanche et sûrement humide. Florence est une femme au grand cœur, elle veut toujours aider les autres et il va tenter d’utiliser cet avantage. Il espère qu’elle ne le foutra pas à la rue ? Il pose sa main sur la poignée de la porte de la douche. Il n’a jamais ressenti une telle excitation, même avec sa femme. Il faut qu’il le fasse sinon ?
Florence se rend compte que la porte de la douche s’ouvre ?
– Florence, je suis désolé, mais je n’en peux plus ? Vous me faites un tel effet que ma queue me fait mal ! Si mal, s’il vous plaît aidez-moi ?
– AAH ? Richard ? Que faite vous là tout nu ? Avec une ? – Florence, je suis désolé ! Depuis que je suis chez vous, vous êtes si bonne avec moi en m’hébergeant après l’incendie de ma maison. Vous êtes si belle que j’en bande si fort ! Aidez-moi ? – Quoi ? Comment puis-je vous aider ? Vous sortez d’ici ! Je suis mariée. Je ne suis pas une salope ! – Sortez tout de suite Richard. Crie Florence en cachant ses seins et son pubis avec ses mains.
Ils sortent tous les deux de la douche. – Pourquoi vous restez là ? Laissez-moi ou je vais ? – Non ! Attendez Florence ? Regardez mon état ? Je souffre atrocement, vous êtes la seule à pouvoir m’aider ? Cela m’arrive que depuis que je suis chez vous. Je n’ai pas de femme pour combler cette immense peine. Vous êtes la seule ici qui puisse m’assister ? Ça pourrait être le dernier plaisir que je n’aurais plus. Juste une fois ? M’aideriez vous ? Je suppose que vous ne vouliez pas faire ça avec un vieux noir comme moi ? Veuillez m’excuser de vous avoir demandé ça. – Mais ? Je ? Je, euh ?
– Je suis vraiment désolé de vous avoir importuné avec ça ? Je vais aller dans ma maison en ruine. – MME ? Attendez ? Richard, attendez ? Je suis désolée si j’ai suscité ce genre de désir chez vous. Mais, si vous me promettez, que ce n’est que pour cette fois ? Je prendrai soin de vous. – Vous le feriez pour moi Florence ? Vous me donneriez ce plaisir ultime ? – M ? Oui ? Oui, je vais le faire Richard ? Une fois de plus, s’est de ma faute si vous êtes dans cet état là ? En échange ? Promettez moi de ne rein dire à mon mari ? – Bien sûr que je vous le promets de ne rein dire.
– Comment voulez vous ? Que je m’occupe de vous Richard ? Richard passe dans le dos de Florence. – Je peux tenir vos seins ? Il n’attend pas la réponse, il les empoigne à deux mains. – Mon dieu ? Ils sont si gros et si doux, remplis de lait. Florence se demande qu’est-ce qu’elle vient de faire ? Que va t’il faire à présent ? Richard, collé à son dos, malaxe ses seins et tire les tétons. – Vous sentez comme vos énormes seins me font bander ? – OH ! Richard ? C’est très embarrassant ? Il triture, et pince ses tétons.
– Vous êtes embarrassé parce que je vous fais ça ? – AAAFFH ! Richard ne me touchez pas comme ça, vous m’excitez ! Luc est le seul homme qui m’ait touchez ainsi ! Richard se met devant Florence et lèche et suce ses tétons ? – Est-ce que votre mari vous prend corps et âme ? Moi, je vais vous montrer ce que prendre veut dire. En tordant ses tétons, il la fait se mettre à genoux sur le tapis de la salle de bain. Il approche sa queue tendue devant le visage de Florence. – Mon dieu ! Richard, pourquoi vous mettez votre grosse bite devant moi ? – Je crois qu’avant d’éteindre le feu qui monte en vous. Il est impératif de calmer cette atroce douleur que vous avez suscité chez moi ? Ne me dites pas que vous refusez ça à un vieux noir.
Florence s’interroge : OH ? Mon dieu ! Il a mis sa grosse bite dans ma bouche ? Je n’ai jamais fait ça à mon mari. Alors qu’un vieux noir à sa queue dans ma gorge ? – OH ! Oui, Florence, continuez comme ça ? La douleur va bientôt sortir de ma grosse bite ? BRR ! C’est dégouttant de faire ça ! Mais, si ça peut l’aide, je pense que c’est bien. Sa bite est si grosse et si chaude dans ma bouche ? Pourquoi on ne fait ça avec Luc ? – Oui ! Sucez moi bien la queue Florence. Avalez là bien au fond de votre gorge ?
SCHURLP ! UUFF ! Elle est presque au fond de ma gorge, j’ai toute sa queue dans ma gorge ? Florence obéit, elle aspire sa queue jusqu’à ce que son front soit sur le pubis de Richard. Florence avec son un état d’âme :
Pourquoi je deviens chaude avec la bite d’un autre homme dans la bouche ? Ça m’excite et me fait mouiller. Je ne peux plus contrôler ma bouche et je ne veux qu’avaler toute sa bite. Mon puits d’amour veut être défoncé par cette queue un peu plus grosse que celle de Luc. Je ne pensais pas que ça m’arriverait comme ça ? Je dois me contrôler ?
Florence sent la queue de Richard tressauter dans sa bouche et une giclé de sperme chaud fuse au fond de sa gorge, qu’elle avale par réflexe. – Désolé Florence ! Je suis tellement excité que je suis presque parti. – GLUP ! RRAA ! Oh ? Richard ?
Florence se dit : Quel est ce sentiment qui m’assaille ? J’ai aimé sucer sa grosse queue noire ? Il faut que tu arrête ça, Florence, tu es mariée.
– Nous devrions continuer ça dans votre chambre ? Vous ne croyez pas ?
Ils vont dans la chambre conjugale, Florence, nue, s’allonge sur le lit les jambes écartées ? La moule baveuse malgré elle.
– Nous le ferons qu’une fois, Richard. Vous m’avez promis ? – Je vous le jure Florence ! Richard s’approche de Florence, il lui met ses mains sur les cuisses ouvertes. – Vous êtes magnifique Florence ! La blancheur de votre corps m’éblouit de désire. – C’est très embarrassant Richard ? A part mon mari et mon docteur, aucun autre homme ne m’a jamais vu nue.
Il se baisse au dessus du pubis de Florence. – Je vous remercie pour votre aide pour atténuer ma douleur Florence. Je vous chérirai pour toujours.
Florence se demande pourquoi son cœur bat si vite ? Est-ce parce qu’elle est sur le point de se donner à un autre homme, qui est noir et qu’il a une bite plus grosse que son mari ? Il écarte les lèvres intimes de Florence avec ses doigts. – Regardez ses pétales de cette rose que j’ouvre ? Sa forme, sa rosée, son odeur. Votre fleur d’amour est parfaite Florence.
Elle s’étonne : OOH ! Mon dieu ! Les mains d’un autre homme sont entrain d’écarter les lèvres de ma moule et ça me fait mouiller encore plus.
Richard passe le bout de sa langue entre les lèvres de la moule. – MMMH ! C’est le paradis ! J’aime le goût et l’odeur de votre fleur blanche Florence ! – S’il vous plaît ? Ne dites pas ça, c’est très gênant pour moi ! Il enfonce sa langue dans cette grotte humide et en racle les bords. – Je me délecte de votre fente blanche Florence !
Elle se rencontre, que plus il lèche son vagin et son clito, plus elle ressent un immense trouble de bien être et de plaisir inconnu. Richard constat qu’elle avance son pubis sur sa bouche, alors il se dit que la partie est gagnée. Il saisit de ses lèvres son clitoris qui bande à présent. Il l’aspire, le suce et le mordille. Elle se tortille, écarte encore plus les cuisses, elle jouit. – M ? Mais ? Qu’est-ce qui m’arrive ? Attendez ? Je ? Je ? OH ! Mon dieu ? AAAAARRRFFF ! Je JOUIIIIIIS !
Florence jouit en inondant de son plaisir la bouche de Richard. Il se redresse, les lèvres humides du plaisir de Florence et la regarde redescendre de son nuage.
– OOH ! Mon dieu ? Qu’est-ce qui s’est passé ? Je n’ai jamais rien senti de tel auparavant. C’était si fort ! Je me sens si faible, quel orgasme ! Richard en profite pour mettre sa queue à l’entrée du paradis de Florence. – Rien qu’a pensée que vous avez eu un orgasme avec ma bouche. Je me demande quel effet ma grosse queue au fond de votre grotte d’amour, va vous faire ?
Doucement, lentement pour ne pas la brusquer, il enfonce sa queue dans son puits d’amour. – OOUURRR ! AAAAFFF ! OOOUUIII !
– C’est la chatte la plus serrée que j’ai baisée. Dite moi Florence ? Vous aimez ma grosse queue dans votre minou ? – AAAARRF ! Elle est grosse ? Vous m’écartez la vulve ! MMMM ! RRRAAAAFF ! Florence s’interroge : OH ! Mon dieu ! Le sexe ainsi ? C’est si bon ! Je ne me rappelle pas avoir un jour ressenti ça ? C’est si intense ? Je ne peux pas permettre à Richard de me contrôler, pourtant mon corps n’a jamais connu un si intense plaisir d’être possédée.
Richard bascule Florence et la fait asseoir sur sa queue qui s’enfonce au fond de son vagin. – Vous avez englouti toute ma queue et elle est si bien prisonnière de votre moule .
– OOORRR ! Cessez de dire ce genre de chose Richard ? Vous me rendez folle. AAARRFFF ! ROOOO ! – OOH ! Florence, je crois que votre moule si serrée a été faite pour ma grosse queue de noire. Je pense qu’en vérité, vous l’adorez en vous ? Florence lui répond mentalement : Il a raison. Je me doutais pas que cela serait si extrême ? La poussée de sa queue dans le fond de ma grotte d’amour me rend folle. J’adore cette intrusion au fond de ma moule.
– OOH ! Mon dieu ! C’est si merveilleux Richard ? OORR ! OOUUII ! Encore Richard, encore ! Richard s’étend sur le lit, elle a ses genoux de chaque côté des hanches de Richard. A présent, c’est Florence qui monte et descend sa moule sur la queue de Richard. – Allez y Florence ! Enfoncez vous sur ma queue qui vous fait du bien ? – OOH ! Mon dieu ! Mon dieu ! Elle est si grosse ? OORR ! Je vais encore jouir ? Je AAARRFF ! – Ça c’est bon ! Vous aimez vous empaler sur ma grosse queue !
Richard se redresse en attrapant Florence par la nuque. Il colle sa bouche à la sienne. Il la fait basculer sur le côte avec lui. Leurs lèvres sont toujours unies bouche fermée. Florence ne veut pas ouvrir la bouche, cependant elle n’a jamais ressenti pareil plaisir, lorsqu’elle fait l’amour avec son mari ? Richard vide complètement son corps de toutes ses forces, avec sa queue qui la rend dingue. Il la met sur le dos, il redresse son torse et la baise encore plus fort.
Florence mouille abondamment, on entend un bruit mouillé à chaque coup de queue de Richard. – OOH ? Richard ? Qu’est-ce que vous ? Je ? Je vais ? Je vais encore ? OORRH ! Jouir ! Il est ravi, il considère qu’elle est à présent toute à lui ? Qu’elle ne désirera que lui, que sa grosse queue. Il se retire du paradis offert.
Florence constate que son cœur bat si fort, qu’elle ne sent plus son corps. Il vient de sortir de sa moule qui se sent vide. A présent, elle désire que sa grosse queue revienne la remplir à nouveau. Et par dessus tout ça, Florence la veut encore. Elle désire, plus que tout, que la grosse queue de Richard rentre profondément en elle. Tant pis, si elle est une mauvaise épouse, qui ne désirera plus qu’être baisée par la bite d’un autre homme que son mari.
Richard la retourne sur le ventre, lui relève le postérieur, elle le laisse la mettre en levrette. – Ma Florence ? Je n’ai pas encore fini, car je n’ai pas encore joui comme vous.
– Vous allez me rendre folle avec votre grosse queue, Richard ! – Je veux profiter de votre chatte blanche. C’est la meilleure que j’aie jamais eu ?
Vingt minutes plus tard et après trois orgasmes, Florence supplie : – Richard ? Je ne peux en prendre plus ? Vous m’avez déjà donner trop de plaisir. – Florence ? Voulez vous bien que je jouisse dans votre paradis ?
Les yeux révulsés par le plaisir, elle est dans un état second. Alors, elle répond. – OOH ! OUUII ! Noyé mon paradis de votre semence. Je veux la sentir dans mon ventre ? – Très bien ! AARRRFF ! RRROOUU ! Prenez tout ça AAAKKK ! – OOORR ! Dieu ! Je viens avec vous. Je vous sens en moi ! OOUUU ! C’est bon ! C’est chaud OOOOOHH ! Je sens vos giclées de sperme tout au fond de mon ventre ! C’est bon de se faire remplir ? – Je sais ! Je vais bien vous remplir la moule Florence ! Ils sont restés un bon moment comme ça le temps que la pression retombe, le temps que la queue de Richard débande. Il a rejoint sa chambre les couilles vident.
CHAP 2
Florence s’abandonne.
Le lendemain matin Florence médite en essuyant la vaisselle du petit déjeuner : Même, si je me suis fait prendre par le frisson du moment ? J’ai du mal à croire ce qui m’est arrivé ? D’avoir été aussi excité par Richard. Mais, pourquoi ? Je n’ai jamais eu aucune attirance pour les hommes noirs de surcroît et encore moins avec des vieux de l’age de mon père. Mais, pourquoi je l’ai laissé me faire ça ? Pourtant ? Je n’ai jamais rien ressenti quoi que ce soit d’aussi puissant et d’aussi fort de toute ma vie de femme mariée ? En plus, je n’arrive pas à chasser de mon esprit la grosse queue noire de Richard qui m’a donné autant de plaisir ? Je dois me concentrer sur quelque chose d’autre, sinon je vais encore vouloir en moi sa grosse bite noire.
Elle continue son ménage en constatant que : Rien que de penser à lui, elle a déjà la moule toute baveuse, elle mouille à l’idée de recommencer. Quand soudain ? Richard vient derrière elle, il passe ses deux mains par devant Florence et empoigne ses seins en les pressant.
– Bonjour Florence ! – OUUAAS ! Richard ? On devait le faire qu’hier soir ? Vous m’avez promis ? – OOH ! OOH ? Tes seins sont tout gonflés et tes tétons sont déjà tout durs ? Tu pensais au plaisir que tu as eu hier soir ? – Richard ? Arrêtez ça s’il vous plaît ? Je suis mariée ! Vous aviez promis ? – Les promesses sont faites pour être rompues. Et tu en as encore envie, c’est pour ça que tes tétons sont si durs ?
– Ne sois pas si rébarbative ? Hier soir, tu me suppliais de te remplir la chatte de Ma semence. Richard emprisonne le poignet droit de Florence et dirige la main de Florence qu’il pose sur sa braguette . – Tu sens comme ma vielle queue bande pour toi ? Elle désire se mettre au chaud dans ton ventre. Ensuite, son autre main libre passe sous la jupe de Florence. Il passe ses doigts dans son string. – OOOH ! NON ! Regarde moi ça ? Tu es déjà toute trempée ! Tu as envie de ma grosse queue ? – OOOHHRR ! Pitié ! Ne fait pas ÇAAAA ! – C’est ce que dit ta bouche, mais ta moule me dit autre chose ? Elle me demande d’y lui mettre ma grosse queue ? Alors, dis-le que tu veux ma grosse queue dans ton ventre ? – OOH ! OUII ! Je ? Je ? Je la veux Richard ? Oui, je la veux dans mon minou ?
– Tu es une bonne fille ! Aller, au lit avant que le petit se réveille ? Les deux amants se retrouvent nu sur le lit conjugal. Florence, la bouche garnit de la queue de Richard, pousse des MMMFFF ! GGNNNFFF ! – Très bien ma belle. Suce ma queue de vieux ? Avale la plus profondément ? Tu sais que tu es très belle avec ma queue noire dans ta bouche.
Pendant que Florence suce la queue de son amant, celui-ci lui branle son clitoris frénétiquement. Richard retire sa queue de la gorge de Florence qui pousse un gémissement de frustration.
– Arrête ! Je veux t’entendre réclamer ma grosse queue dans ta moule ? – S’il vous plaît Richard ne me fait pas demander ça ?
– Je tiens à t’entendre me réclamer ? Dis moi, que tu me veux dans ton ventre où que tu souhiate que je parte ?
– OH ! Non ! Je ? Je ? Oui ! Je veux que vous mettiez, votre grosse queue noire au fond de mon ventre ?
Richard se met entre les cuisses ouvertes de Florence. – OH ! Oui, je vais te la mettre dans le ventre. Après ça, tu aimeras te faire encore baiser par ma grosse queue de vieux noir ? Hein ? Tu la voudras encore et encore ? – OH ! Oui ? Oui, je veux me faire baiser par votre grosse queue noire de vieux. Il présente son gland à l’entrée de sa grotte d’amour ruisselante de désir. -Tu es une bonne fille. Prend là ? Elle est à toi à présent. Florence prend sa bite en main et l’enfonce dans son puits d’amour offert.
– Vous saviez que tout ça arriverait ? N’est ce pas Richard ? Vous saviez que j’allais devenir accro à votre grosse queue noire ? Vous êtes mon gentil pervers ! – Je ne suis pas un pervers. Je suis juste un vieux noir, très excité par une jeune et jolie blanche. Richard baise allègrement la chatte de Florence, qui le ceinture autour de sa taille, de ses jambes. Après son deuxième orgasme, elle lui roule une pelle d’amoureuse. – Je vais décharger ma liqueur dans ton ventre Florence ! – OOH ! OOUUIII ! Richard, remplissez moi de toute votre semence.
Il passe ses cuisses sur ses épaules pour mieux atteindre le fond de sa grotte. – Tiens prend ça ! Tu es à moi ? – OOH ! OOUUIII ! Envoyer votre sperme au fond de mon ventre ! Oui, je suis à vous Richard ! Ils jouissent ensemble, Florence est terrassée par un autre orgasme. Ils émergent tranquillement l’un à côté de l’autre. Florence se lâche :
– Je suis une mauvaise épouse. J’aime le sexe avec un vieil homme noir et qui n’est même pas mon mari.
– C’est votre destin, Florence. J’ai réveillé en toi la vraie femme qui sommeillait.
– Mon mari ne m’a même pas fait ressentir le dixième de ce plaisir que vous m’avez donné. Je culpabilise moins de l’avoir fait avec vous, Richard. Il se rapproche de Florence, il lui prend le menton pour lui répondre. – Ce sont nos instincts qui nous gouvernent, bon ou mauvais ? Le naturel y gagne toujours. Il embrasse Florence qui ouvre la bouche et accueille sa langue. Le baiser d’amour dure un bon moment, Florence fond littéralement, elle prolonge le mélange de salive et de langue dans sa bouche avec Richard.
A partir de cet instant, Florence se donne délibérément à son vieux Richard. Elle baise avec lui, jour et nuit, pendant que son mari est absent. Elle est même heureuse de recevoir au fond de son ventre le sperme de son vieux voisin. Un matin, dans la chambre conjugale, Florence s’interroge :
Que dois je faire ? Cette nuit, j’ai bien essayé d’arrêter Richard. Cependant, pour, je ne sais quelle raison, le désire de mon corps a pris le dessus. Et, en plus, je laisse Richard partager avec moi, le même lit que je partage avec mon Luc. Mes sens veulent toujours jouir de la grosse bite noire de Richard.
Richard se réveille et embrasse Florence, leur langue se mélange. – Richard ? Ce que nous faisons est mal, vous profitez de moi et de mon besoin de gros sexe en moi ? – Mais, non, Florence ! C’est dans ta nature. Tu dois accepter d’être devenue accro ma grosse queue. Je comble le vide en toi qu’a laissé ton mari. – Que voulez vous au petit déjeuner ? – Toi ! Ma belle.
Il unit sa bouche à la sienne en lui pelotant les seins. Elle fond une nouvelle fois, lorsqu’il lui masse le clitoris de ses doigts. Il descend son visage entre les cuisses de Florence. Il lui mange la moule à grands coups de langue et en aspirant ses lèvres intimes. – AAARRGG ! Vous savez vraiment de quoi j’ai besoin ! OOH ! OUIII ! N’arrêtez pas ? Encore, oui encore !
– Oui, ma belle, laisse toi contrôler par ton désir ? Donne toi à moi ! Tu m’appartiens à présent. Hein ? Tu as déjà la moule ouverte et humide Florence. Allez, dis moi ce que tu désires ?
– Je veux votre grosse bite ! Je désire que votre queue me défonce la moule, parce que je vous appartiens.
– Tu es entrain de devenir ma salope blanche, tu le sais ça ? – Oh oui, je le sais que je suis à présent votre salope à qui vous pouvez tout faire pour la faire jouir. – Ah ! Oui, ta grotte est si serrée que c’est si bon. – OOOOH ! OOUUUII ! Poussez la moi fort au fond de mon ventre ? – OOUUAAIS ! Tu l’as toute entière au fond de ton ventre. – OOH ! OOUUII ! Plus fort, je vais jouir ?
– OOH ! OOUUII ! On jouit ensemble mon Richard ! RROOOH ! Je peux sentir tout votre sperme giclé dans mon utérus. Vous m’avez fécondée, c’est ça sûr. – Il y a toujours une première fois, ma belle. Tu es ma première femme blanche. Maintenant embrasse moi. Ce qu’elle fait de plaisir, le baiser dure très longtemps.
Luc, le mari est rentré depuis quatre jours. Mais à chaque fois qu’ils font l’amour, Florence n’a plus de plaisir, même si elle se branle en même temps. Elle aime portant son mari, mais ce feu entre ses cuisses est insupportable. Surtout qu’elle sait que dans cette maison, une seule personne peut s’en occuper.
Luc ronfle bruyamment, Florence se lève et quitte la chambre pour aller dans celle de Richard. Elle ne peut plus supporter se désire qui lui ronge la moule. Elle ouvre la porte, vêtue seulement de sa petite nuisette transparente.
– Félicitation, d’avoir tenu aussi longtemps avant de venir me voir ici. – Vous êtes un salaud ! Vous saviez que j’allais venir vous voir ? – Oh oui, depuis qu’il est revenu, ma grosse queue vous manque ? Vous la voulez ? – Oui, je la veux. Devenir ici, je suis toute trempée et déjà prête. – Viens prendre ce que tu désires, comme tu es ma salope. Ils ont baisé toute la nuit. A chaque fois, il a joui en elle et elle a adoré sentir son sperme chaud au fond de son ventre.
Trois semaines plus tard, ils sont tous les trois à table à la fin du déjeuner. Luc prend la parole. – Je regrette de vous voir partir Richard. La reconstruction de votre maison a été rapide ? – Avec les nouveaux matériaux, ça va plus vite à présent. Je ne peux pas vous dire à quel point je vous suis reconnaissant de m’avoir aidé en m’hébergeant après l’incendie. – Ce n’est rien Richard. Nous sommes voisins et de plus, ça m’a rassuré de savoir qu’un homme veille vous encore veiller sur eux pendant trois semaines. Je dois repartir pour mon travail. J’aurais l’esprit tranquille ?
– Mais, bien sûr Luc, je le ferais avec grand plaisir.
Florence sait exactement ce que Richard veut dire. Une semaine plus tard, Luc part pour son déplacement professionnel. Mais, au bout de trois jours, elle n’a pas de nouvelle de Richard, qui n’a rien fait pour tenter de la revoir ? Le troisième soir, elle se demande pourquoi elle est tellement excitée, et qu’elle ne souhaite rien de plus que la venue de Richard. Elle a besoin de se faire baiser par sa grosse queue noire. Elle n’arrive pas à sortir de sa tête, lui et sa grosse queue noire. Hier, elle s’est baisée avec une courgette en s’imaginant qu’il était dans sa chambre pour la défoncée. Mais, elle n’a pas atteint l’orgasme escompté. Alors, pourquoi lutter contre ça, elle cède à ses pulsions et s’en va en nuisette jusqu’à la maison de Richard.
Richard ouvre sa porte et sourit sans dire un mot. Florence marque une pause. Ensuite, elle rentre lentement chez Richard. A ce point, ils savent exactement de quoi ils ont besoin tous les deux. Tous les mots sont inutiles. Florence se dit que son cœur et toujours pour son Luc, mais son corps est à Richard pour le plaisir que lui donne. – Nous avons quinze jours pour nous aimer. Que veux tu faire ? – Tout ce que vous voulez Richard, je suis à vous. – Alors, je vais en profiter pour te baiser, ma salope, encore et encore ?
Ils unissent leur bouche dans un baiser terrible. Florence s’abandonne dans les bras de Richard. Elle se dit qu’il peut faire tout ce qu’il veut avec elle. Son corps lui appartient, elle lui en fait cadeau. Car, jamais, elle n’a eu autant de plaisir qu’avec lui de toute sa vie.
A partir de ce jour, pendant la sieste de son fils et toutes les nuits, après qu’elle a couché son fils. Elle va chez Richard, pour lui offrir son corps, sa moule étroite pour qu’il la baise bien. A chaque fois qu’il la baise, il déverse sa semence au fond de son puits d’amour. C’est elle qui l’implore de lui noyer l’utérus de son sperme.
Huit jours après le départ de Luc, Florence entre comme d’habitude chez Richard. Elle est très excitée à l’idée de prendre au fond de son puits d’amour, sa grosse bite noire et peu importe si elle était blanche, dû moment qu’elle en jouit énormément. – Richard ? Je suis là ! – Florence ? Prête à te faire défoncer comme jamais ? – OH ! Oui, je suis prête pour être baisée et profondément rempli de votre semence. – Très bien ! Va dans la chambre et met toi à quatre pattes sur le bord du lit.
Florence obéit, elle enlève sa nuisette et se met en position demandée. Richard entre dans la chambre. – Florence, ma salope ? Tu as un cul blanc magnifique, que de nombreux blacks voudraient bien baiser. Écarte tes fesses pour que je vois ton étoile ? La tête sur le lit, florence écarte ses fesses, avec ses deux mains. – Oui, comme ça, il est appétissant.
Avant que Florence ne puisse réaliser, Richard commence à lui lécher le trou de balle. – OH ? Mon dieu ! Richard ? Mais, que faite vous ? – Il est temps que le fasse connaissance avec ce trou que tu m’offres. – Mais ? C’est mon anus ? Vous voulez me sodomiser ? – Oui ! C’est ça Florence. Je veux t’enculer ? Maintenant, si tu ne veux pas ? Retourne chez toi. OK ?
Florence ne désire pas que Richard soit en colère contre elle et qui ne la baise plus du tout ? Alors ?
– Je ? Je suis désolée Richard. Bien-sûr, vous pouvez m’enculer. Mon cul vierge est aussi à vous comme le reste. Je vous en prie, ne soyez pas fâché contre moi pour ça ? – C’est bien ce que je pensais ? Richard insère lentement son majeur dans l’anus de Florence pour le desserrer. – AAAIIE ! AAARRGG ! Il sort son doigt de son cul et le présente à sa bouche, qu’elle garde fermée, mais il la force et l’oblige à sucer. – Qu’est-ce que ton cul est serré Florence. La seule solution et de le relaxer avec ça.
Proclame Richard en lui écartant les fesses et lui enfonce sa langue dans l’anus. Sa langue pénètre son cul, le détend, le lubrifie de sa salive, sa langue le pénètre de plus en plus loin, il lui détend son anus, et lui rentre un doigt puis deux.
– Mais ? C’est dégoûtant ce que vous faites. Ça fait bizarre et ? C’est un peu bon. Richard vient se placer à côté du flan de Florence et lui fait sucer sa queue. Il fait jouer un doigt dans son anus pendant un certain temps. Ensuite, il en rajoute un deuxième, jusqu’à ce qu’elle commence a relâché son sphincter. Il repasse entre les cuisses de Florence qui est à présent sur le dos. Il mouille abondamment sa queue et l’étoile de Florence. Il présente le gland de sa queue sur l’étoile de sa Florence.
Il le pousse et pénètre enfin l’anus de Florence. – AAAAARRRRGGG ! C’est trop gros ! RRRUUUFFRR ! Il s’enfonce encore dans son boyau. – Ouais ! Ton cul est extrêmement bon, Florence ! – AAAAARRR ! Ça fait mal Richard ! RRRUUURRAA ! – Ne t’inquiète pas ma belle, la douleur sera bientôt partie ?
En effet, peu de temps après la douleur fait place au plaisir et florence le crie. – AAAAARRRFF ! Mon dieu Richard ? Je jouis avec votre bite dans mon cul ? C’est si merveilleux ! OOUUUUIII ! – Tu vois Florence, je te l’avais dit que tu aimerais ma queue dans ton fion ! Maintenant retourne toi ? Je veux t’enculer en levrette. OORRR ! Ton cul m’appartient et toi aussi, tu es à moi toute entière ! – OORROO ! OOUUII ! Mon cul est à vous Richard ! AAAAARRRFF ! Baisez le ! Défoncez le ! OOOUUUIIII !
– RRRAAARR ! Je pars ! Je décharge dans ton ventre de salope blanche ! – OOOORRRRFF ! JEEE jouis encore ? Je jouis avec votre grosse queue dans mon cul ? OOORR ! OOUUII ! Remplissez moi les intestins ? OOUU ! Je sens ? C’est chaud ? C’est bon ! Florence n’aurait jamais cru qu’une femme pouvait se faire défoncer comme ça e d’en jouir. Elle se dit que Richard connaît vraiment tous les trucs qui la font jouir. Elle croit bien, qu’elle est devenue amoureuse de Richard et de sa grosse bite noire. Elle sait, qu’elle ne pourra plus s’en passer.
Elle est entrain de se transformer en une femme totalement différente. Elle ne pense plus qu’à Richard. Pendant la journée, elle guette Richard qui vaque à ses occupations pour le voir simplement. Elle pense qu’a l’instant où il la prendra pour remplir ses puits d’amour de sa grosse queue et de sa semence épaisse. A chaque fois qu’elle prend une douche ? Elle imagine sa grosse queue qui gicle sa semence au fond de son ventre et ça la rend folle. En sortant de la douche, elle entend le carillon de l’entrée ? Elle espère Richard ?
Elle ouvre la porte d’entrée et découvre un paquet sur le sol ? Qu’est-ce que c’est, elle le prend et l’ouvre dans la cuisine. Il y a un mot qui vient de Richard : C’est mon anniversaire. Mets ceci et vient chez moi à vingt et une heures précise. Ne sois pas en retard ou il n’y aura plus de queue noire pour toi ? Cependant, si tu désires plein de queues noires soit à l’heure ?
Florence est à l’heure devant la porte de Richard. Elle est revêtue de la cape et aussi du collier d’esclave, qu’ils y avaient dans le paquet.
– Je ne savais pas que c’était votre anniversaire Richard. Lui dit elle lorsqu’il ouvre la porte.
– J’aime t’entendre le dire, parce que s’est toi qui vas distraire mes amis ? – Mais de quoi parlez vous ? Richard. – Tu aimes te faire baiser ? – Oh ! Oui, depuis que c’est vous qui me pénétrez ! – Et tu m’obéis pour tout et à jamais ? – Mais, bien-sûr que oui Richard. – Alors, comme tu m’appartiens, je désire te partager avec tous mes amis ? Et, ils pénètrent dans le salon où Florence voit qu’il y a des ‘hommes qui sont tous noirs de peau.
Elle écarquille les yeux de stupéfaction. – Écoute Florence ? Tu sais quel effet que ça te fait, quand je te baise, pas vrai ? – Oh ? Oui, je le sais. – Alors, là ? Ça sera dix fois plus fort. C’est pour ça que je t’ai préparé la moule et le cul. Parce que tu aimes ça et que tu en veux toujours plus ? N’est-ce pas ? – Oui, je comprends ! – Je leur ai dit que ça ne te dérange pas qu’ils se déchargent en toi ? – NO ? Non ? Ça ne me gêne pas.
Richard la pousse à entrer en lui ouvrant la cape qui la recouvre. Elle apparaît nue avec juste au cou son collier d’esclave.
– Vous êtes un pervers Richard ? Et, vous savez très bien ce qu’il me faut. C’est pour ça que je vous aime.
– Je vous offre ma belle voisine, marié et mère d’un enfant. Dis-leur ce que tu veux ma salope ? – Je m’appelle Florence. J’appartiens à Richard et je dois faire tout ce que vous me demanderez pour votre plaisir et pour le mien aussi ? Je suis votre salope pour cette nuit. Prenez moi comme vous voulez, videz votre sperme dans mes puits d’amour autant que vous le pouvez. J’aime ça, donc je le veux au fond de mon ventre.
A présent Florence qui est devenu accro à la grosse bite noire de son voisin et de plus totalement dépendante de son addiction. Elle va être, son entière et vraie salope blanche, dont les trois orifices vont servir qu’à leur instinct les plus bestiaux.
Elle se retrouve vite accroupit à sucer des queues noires plus ou moins grosses. A présent, il n’y a rien au monde que Florence n’aurait pas fait pour pouvoir satisfaire la moindre exigence de Richard.
Plus elle en suce des bites, plus elle s’aperçoit qu’elle aime ça.
Florence est prise par tous ses trous. Elle découvre pour la première fois ce que veut dire : être prise en sandwich. Florence, pense qu’elle aime à présent être prise par ses trois trous, surtout quand ils sont bien remplis par des grosses queues noires. OORRH ! Je vais encore jouir de mes deux puits d’amour et aussi en avalant du sperme, en même temps.
Après plusieurs heures à se faire défoncer tous les trous. Florence a perdu le compte des puissants orgasmes que tous ses hommes ont réussi à lui faire prendre. Son être tout entier n’a plus soif que de ça.
L’une des choses que les amis de Richard préfèrent chez Florence ? C’est l’étroitesse de sa chatte et de son trou du cul. Et peu importe pour elle, s’ils lui déchirent les parois à chaque fois qu’ils pénètrent vicieusement ses orifices avec leur grosses bites de noirs.
Ils veulent toujours pousser plus loin, les limites de leur cadeau. Cette nuit sera, pour Florence, la première ou sa petite étoile de jeune femme mariée se fait défoncer par deux grosses queues noires en même temps, et cela, violemment et jusqu’aux couilles. Elle adore ça. La preuve en est que, quand ils l’ont fait jouir, elle a carrément giclée comme une fontaine.
CHAP 3
L’ événement qui change tout.
Florence est devenue la salope docile et soumise de Richard. De plus en plus d’amis de Richard l’attendent chez lui. Qu’est ce que Richard a comme amis ? Et, ils ne sont jamais les mêmes. Mais, Florence s’en fiche littéralement, dû moment qu’elle y trouve son plaisir et son bonheur.
Au fil des semaines, Richard voit le ventre blanc de sa salope s’arrondir et gonfler petit à petit. Ses seins se font de plus en plus fermes. En même temps, une autre métamorphose s’opère dans la personnalité de la mère de famille. Florence passe du rang de jeune femme blanche marié et mère de famille, à celui de vulgaire sac à foutre et de jouet sexuel, aux amis de Richard, son voisin. Et, elle a parfaitement accepté son nouveau statut avec plaisir.
– Richard ? Vous pouvez m’enculer autant que vous le voulez ? Mais, tant que le bébé n’est pas né, vous ne devez pas jouir au fond de mon vagin. – D’accord ! Ma salope, je ne désire pas que ton bébé prenne un coup de bite dans la tête ?
Richard où un autre de ses amis a fécondé Florence. Elle ne veut plus qu’on la prenne par la chatte. Elle préfère qu’on la sodomise à la place, alors qu’elle en jouit autant que par le devant.
Luc rentre dans la soirée et demande à sa femme en mettant une main sur son ventre rond. – Salut ma chérie. Comment va mon bébé et sa maman ? – Juste quelques crampes, mais ça va chéri. Quelques jours plus tard, Florence monte précipitamment dans la voiture de Luc qui l’aide. – Hé ! Richard, le bébé arrive ? Vous pouvez surveiller la maison s’il vous plaît ? Florence jette un sourire sous-entendu à Richard. – Pas de problème Luc, bien au contraire ?
Une fois en salle d’accouchement ? Elle se tourne vers son mari.
– RROUF ! ROUF ! Ça fait mal ! Ça fait si mal ! Je dois te dire quelque chose d’import ! AIIIE ! – Chut ! Ne pense qu’à ton souffle ? Va y souffle ? Voilà, c’est bien, souffle ! – Vous y êtes presque madame ? Une forte poussée ? Ça vient ? Ordonne le gynécologue. – AAAARRUUU ! GGNNUUFFF ! – Voilà ! Comme ça ! Il arrive ? Poussée ! Allez ! Poussée !
Étonné ? Le gynécologue s’exclame : Mais c’est un ? – Un problème docteur ? Demande Luc. – Quoi ? Oh non ! Tout va très bien ? C’est un garçon et il est en bonne santé. Il présente le bébé aux parents. – Il est déjà très costaud ! Hein ! Regardez ça ? Une belle couleur café au lait ! – OOOOH ! Il est magnifique ! S’exclame Florence tandis que Luc tombe dans les pommes.
Plus tard dans la chambre de la maternité. Luc pénètre dans la chambre, alors qu’elle allaite son bébé au sein. Elle regarde son mari qui a l’air préoccupé. – Luc ? Je ne peux pas me l’expliquer ? – Quoi ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Tu ne peux pas l’expliquer ? Florence tu m’as trompé ! Tu as couché avec un autre qui est en plus noir !
– Je suis vraiment désolé, Luc. C’est juste que je me sentais si seule et s’est arrivé comme ? Toi, qui n’est jamais là ? Et, quand tu étais là ? Je me sentais toujours aussi si seule. En plus, ne te fâche pas ? Luc, depuis que nous sommes mariés, tu ne m’a jamais comblée, niveau sexe. – Quoi ? Sexuellement ? Mais, pourquoi ne m’en as tu jamais parlé ? Si, j’avais su ? J’aurais pu ? – Non ! Luc, tu ne pourras plus jamais me combler sexuellement ? Tu n’as pas ce qu’il faut pour ça ? J’ai beaucoup réfléchi et j’ai pris ma décision. Si mon cœur sera toujours à toi, mon corps est à mon amant. Si tu veux me quitter ? Je comprends et me débrouillerai.
Le coup de masse arrive sur la tête de Luc. – Richard, m’a proposé de s’occuper de moi et du bébé, si tu veux me quitter ? – Richard, notre voisin ? Quoi richard ? Quoi ? Ne me dis pas que Richard, notre voisin de soixante neuf ans est le père de cet enfant ? – Si ? Luc, il est le père, enfin je pense que c’est lui ?
A son retour de la maternité, Luc expulse Florence et son bébé café au lait. Elle s’en va s’installer avec Richard comme promis. Il ne s’est pas jeté sur elle, attendant que son état émotionnel se stabilise suite à sa séparation et à son divorce.
– Florence ? On doit se marier. Il faut des parents qui s’aiment et qui aiment ton fils. – Bien-sûr Richard, je ne désire rien d’autre. – Parfait. On fait ça dans une semaine. Avoir une belle jeune femme blanche comme épouse, mes amis vont en être jaloux ?
Florence et Richard se marient et il est certain, que beaucoup de gens sont choqués, ou bien envieux qu’il ait réussi à séduire une si jolie jeune femme blanche. Ils ne peuvent pas croire qu’une superbe jeune femme blanche de surcroît ? tombe amoureuse d’un vieux noir comme Richard.
En cette fin de la journée de noce, ils sont nu sur le lit tout les deux. Florence se confie à son mari. – OH ! S’il te plaît Richard prend moi ? Je suis si heureuse d’être ta femme. Je t’appartiens totalement à présent. – Tu aimes être ma salope ? – OH ! Oui, j’adore être ta salope. Je suis tout ce que tu veux mon amour, tu es mon mari.
– Alors ? On va bien s’amuser tous les deux. – Je suis comblée d’entendre ça mon Richard ! – Suce mes couilles ma salope ? – Oh ! Oui, MMMM ! Tu as des couilles si savoureuses. J’aime tes boules noires. – Maintenant, avale toute ma grosse bite dans ta gorge de chienne ? Florence engloutit sa queue et l’aspire le plus loin possible dans le fond de sa gorge.
– A présent, tu es entièrement à moi, ma salope. Tu vas me montrer à quel point tu m’aimes ? Tu vas m’aspirer la queue jusqu’aux couilles et je ne veux rien entendre.
Florence est surprise de la nouvelle attitude très autoritaire de son nouveau mari ? – Ouais ! C’est ça ma pute, bien au fond de ta gueule ! – UUGGNN ! MMMGGNNN ! RRRUUUFFRR ! GGGNGNGN ! Dans un effort, elle dégurgite la grosse bite de son nouveau mari. – RRUUFF ! Richard, je ne peux plus respirer ? Elle est trop grosse ? Après qu’elle a repris son souffle, Richard saisit sa tête et ? – Tu es ma chienne et je désire jouir au fond de ta gorge ! – Mais ? Richard, mon chéri, elle est trop grosse ?
Mais ? Il ne l’écoute pas. Il la force pour planter brutalement sa grosse queue au fond de sa gorge. Il lui baise la bouche jusqu’à ce qu’il décharge son sperme au fond de sa gorge contre sa luette repoussée. Florence a des haut de cœur, des larmes plein les yeux. Elle a aussi le nez écrasé sur le pubis de son mari, elle s’accroche à ses fesses de désespoir. – OUAIS ! Comme ça, femme ! C’est tellement bon ! Dorénavant, tu devras me faire ça très souvent ma chérie !
Florence, laisse lentement la grosse bite de son mari, sortir du début de son œsophage, jusqu’à ce que son gland s’arrête sur le bout de sa langue. – Vas y avale out ce qu’il y a encore dans ta bouche ? Florence ingurgite tout ce qui reste dans sa bouche, avant qu’il sorte sa queue devenue molle. Florence hoquette en raclant le fond de sa gorge. – HHUUGNGNFF ! Je ne pense pas que je puisse refaire ça ? GGRRFFF ! – C’est absurde ! Avec de la pratique, tu y arriveras et tu apprendras à aimer, avoir ma grosse bite au plus profond de ta gorge.
– A ? A un moment, c’était même bon ? Éructe Florence. – Maintenant, tu restes couchée là ? Je dois aller faire un truc. – Mais ? C’est le jour de notre mariage ? Après que Richard s’est rhabillé. – Je sais femme ! C’est pourquoi je t’ai fait un joli cadeau de mariage que tu aimes. – Un cadeau que j’aime ? Pour moi ?
Richard ouvre la porte de la chambre ? Six hommes nus sont devant l’entrée de la chambre. – Voilà ? Je sais que tu adoreras la surprise que je t’offre. Ils vont tous baiser ma jeune épouse. – Wouah ! Ils sont nombreux et tous noirs ? Je suis heureuse d’être ta femme mon chéri ! – ALLEZ ! Amusez vous les enfants, je vais m’occuper de mon fils, je reviens plus tard.
Florence se regarde dans la glace du mur et l’image qu’elle projette est sans équivoque. Une femme blanche nue, avec six blacks nus aussi et bandant comme des taureaux, elle fait vraiment pute occupée avec des clients, et elle raffole de cette image.
Les types ne tardent pas à s’approcher de la jeune femme et commencent par la caresser. Dix mains tripotent ses seins, ses fesses, s’insinuant dans la raie jusque dans son anus. D’autres mains s’enhardissent vers son pubis et bientôt, deux doigts sont introduits dans sa chatte encore gluante de sperme.
Le plus vieux des lascars, prend Florence par la taille, il l’embrasse à pleine bouche, la fouillant de sa langue. Sans s’en apercevoir, elle répond à ce baiser en mêlant sa langue avec celle du vieux.
Les autres contemplent cette superbe blanche, fine, avec deux bons gros seins bien fermes et un cul à damner un saint.
Et, surtout, soumise au moindre de leurs désirs jusqu’aux plus pervers.
Mais, pendant ce court moment d’auto-voyeurisme, les amis ne la laisse pas longtemps sans occupation. Ils la forcent à se mettre à genoux devant eux et à sucer à tour de rôle les six bites dont l’une est à l’image d’un cheval. Elle les branle en même temps.
Ensuite, ils l’entraînent sur le lit et là l’un se couche et elle s’empale sur son sexe avec délice et toujours sans préservatif. Un autre vient devant sa bouche qu’elle ouvre en grande pour l’accueillir. Le plus jeune, comme par hasard celui qui a une queue de cheval, lubrifie son énorme gland avant de le positionner devant son étoile. Elle se dit alors qu’elle va passer un mauvais quart d’heure et elle le sent pousser comme un âne. Son anus résiste une fraction de seconde avant de s’ouvrir sous la pression. Elle a le sentiment d’être déchirée de part en part. Elle en oublie le sexe de l’autre dans son vagin humide.
Elle est ainsi doublement pénétrée par deux gros sexes noirs, sans pouvoir se détendre. Heureusement, il est doux dans ses mouvements tout en s’enfonçant toujours plus loin dans son boyau. Après trois ou quatre minutes de ses va et vient, il a les couilles qui lui frappent les fesses lui prouvant ainsi qu’elle a les trente cm de sa bite dans son cul. La douleur aiguë du début s’est transformée en douleur sourde. Ensuite, celle-ci a disparue à son tour lui laissant la sensation excitante d’être totalement remplie et dilatée par ses deux queues qui se touchent presque, séparée par une fine membrane de peau.
Elle se concentre à nouveau sur celui qu’elle suce pendant que les deux autres s’activent.
C’est à ce moment qu’elle jette un coup d’œil au miroir pour se regarder dans cette position de chienne et de pute pour black et le spectacle qu’elle renvoie l’excite prodigieusement.
Au bout d’un moment, ils parlent entre eux et ils échangent leurs places, celui qu’elle a dans le cul vient se faire sucer pendant que celui qu’elle suçait, s’enfilé dans son anus dilaté sans aucune difficulté. Sucer cette bite qui conserve quelques traces nauséabondes de son passage dans son boyau ne la dégoutte pas, la pression des mains du black sur sa nuque lui font comprendre qu’elle doit l’avaler le plus possible.
Là, ils commencent à la traiter de tous les noms en s’excitant et en la labourant. Au bout de dix à quinze minutes de ce sexe bestial, et d’au moins deux orgasmes de la part de Florence. Les deux blacks se vident presque en même temps dans la chatte et dans l’anus de Florence, dans de longs râles de plaisir. Elle sent d’abord celui qui l’encule aller de plus en plus vite et de râler très fort avant de jouir dans ses entrailles.
Cela déclenche la jouissance des deux autres. Elle se retrouve gavée de sperme dans la bouche et dans son vagin. Bien sûr ? Elle avale tout, car elle adore le goût et la consistance du sperme et celui-ci est copieux et visqueux à souhait.
Ils se retirent pour profiter de la scène: Pantelante, ravagée par les orgasmes, l’anus et la chatte de la jeune femme dégoulinent de sperme, qui tombe à belles gouttes sur le lit.
L’un des blacks embrasse Florence à pleine bouche, sans que celle-ci fasse le moindre geste pour l’éviter, bien au contraire.
Un autre black, placé derrière elle, attend la fin du baiser pour introduire deux de ses doigts dans la bouche de Florence. Il constate avec le plus grand plaisir que la jeune femme, les suce comme s’il s’agissait d’une bite ?
– Je n’en peux plus ! Défonçons la comme elle le mérite ?
Proclame un autre ami.
Comme dans un rêve, la jeune mariée se retrouve au centre d’une scène que l’on ne voit habituellement que dans les films pornos un peu crades. A quatre pattes, le cul offert, elle suce une et parfois deux bites en même temps, pendant qu’elle branle une bite dans chaque main. Pendant ce temps, un black placé derrière, elle lui ramone consciencieusement la chatte avant d’exploser dedans.
Chaque black qui s’est ainsi fait sucer, prend la place de celui qui vient d’éjaculer dans la grotte de Florence pour venir s’y soulager les couilles à son tour.
Le dernier lascar préfère juter dans sa bouche et la voir avaler sa semence.
Chez Richard, la fête continue, et la jeune mariée est au centre des attentions.
Elle chevauche un des amis qui s’est assis sur le lit pendant qu’un autre, debout, lui baise la bouche.
Un autre s’approche :
– Eh les amis, y a-t-il encore de la place pour moi ?
Il se positionne derrière Florence et entreprend de lui introduire son imposant membre dans l’anus. Curieusement, la grosse bite n’a aucun mal à entrer.
Richard, assis le fauteuil d’en face, se délecte du spectacle qui lui est offert. Sa superbe femme blanche, se fait triplement pénétrer par ses amis, le tout accompagné de râles de plaisir qui ne laissent aucun doute quant à ce qu’elle ressent.
Au bout de dix minutes de ce traitement, elle ne tarde pas à crier son plaisir, accompagnée de ses trois baiseurs qui éjaculent presque en même temps en elle.
Le dernier des amis préfère juter dans sa bouche et la voir avaler sa semence. Les amis l’ont reprise dans tous les sens et dans tous ses orifices, Cela a duré au moins deux heures, ils ont tous joui à deux ou à trois reprises chacun. Elle a le cul en feu, et mal à la mâchoire à force de sucer les queues et elle sent son vagin rempli de sperme, Cela faisait floc-floc à chaque fois qu’ils la prennent, ils ont joui au moins quatre ou cinq fois au total dans son vagin ou dans ses entrailles.
Ils sont enfin partis, la laissant vannée et heureuse, car ils l’ont fait jouir plus de huit fois.
Richard, qui n’a pas perdu une miette du spectacle, s’approche de Florence encore secouée du gang bang qu’elle vient de subir. La chatte débordante de sperme, un goût aigre dans la bouche, il laisse sa femme récupérer de ses orgasmes dans le lit, et vider quelque peu ses orifices du sperme qui les remplissent. Il lui demande, si elle a aimé ? Elle lui dit qu’elle a adoré.
Richard s’est coucher sur le dos et sa jeune mariée, s’accroupit au-dessus de sa bouche. Elle écarte les lèvres de son sexe et elle pousse comme pour faire pipi. Elle voit le sperme emmagasiné dans sa moule coulé par paquets gluants et glisser dans la bouche de son mari.
C’est ensuite à son cul de se vider et assise sur la bouche de son mari, elle force le sperme à sortir de son anus et à couler aussi dans sa bouche.
Au total, c’est le sperme d’au moins six jouissances qui se transvasent de ses orifices à la bouche de son mari. Il a tout avalé, avant qu’ils se couchent tous les deux en amoureux.
Elle est épuisée à mal partout, mais elle est ravie de la façon dont sa nouvelle vie commence.
CHAP 4
Le cadeau d’anniversaire
Quelques jours après, Florence s’est remise de son beau cadeau de mariage. Alors, qu’elle allaite son nouveau fils.
– Florence ? On va en ville et je veux que tu portes les vêtements, que je t’ai mis sur le lit ? Florence obéit, elle ressort de la chambre avec un débardeur moulant, sa poitrine non soutenue. Avec un short de sport, qui moule son entre jambe et s’incruste dans la raie de ses fesses les moulant aussi.
– Richard ? Vous voulez vraiment que j’aille en ville comme ça ? – Certainement ! Je désire te mettre en valeur. Tu es mon plus beau cadeau que la vie m’a fait. – Comme vous voulez, monsieur mon mari.
Ils marchent dans le quartier des noirs de la ville. Richard a toujours une main sur une fesse de sa femme.
– Tu vois comme ils nous matent ? Ils se demandent comment un vieux nègre comme moi, peut avoir une si belle jeune femme blanche comme toi.
– Vraiment ? Rien que de voir leurs regards sur moi, je suis excité, Richard. – Tu les regardes et tu leur souris ? Et bouge moi tes fesses pour leur faire voir que tu m’appartiens.
Ils arrivent devant une boutique ou il est écrit TATOU ? – Que faisons nous là, Richard ? – Ça fait partie de ton cadeau de mariage, femme. Richard fait tatouer un as de pique sur un sein de sa femme. – AAAIIIIEEE ! Ça pique ! – C’est presque fini Madame ! – C’est bien ça ! Il va être comme je le veux ? Ils ressortent du salon de tatouage. – Richard ? Je n’aime pas du tout ce tatouage ? Pourquoi l’avez voulu sur mon sein ? Là ? Tout le monde le voit ? – C’est le but ! Tu es à moi et je peux faire tout ce que je veux de toi. En plus, chaque gars qui voit ça, sait que tu baises avec les noirs.
– Vous savez toujours ce qu’il y a de mieux pour moi et c’est votre droit. C’est pour ça que je vous aime, Richard. – Hé oui ! Ça sert à ça un bon mari. – Et ? Maintenant, on fait quoi ? Mon chéri. – On va voir mon frère. J’ai une obligation à honoré chez lui. – D’accord, je vous suis mon chéri.
Ils prennent la voiture de Richard et une heure plus tard, ils arrivent devant une vieille bâtisse. – Merde ! Cet endroit me rappelle tellement de vieux souvenirs ? – Vous avez quel genre d’obligation ? Si je peux vous aider Richard ? – Oui, tu peux ! Je pense même que tu es la seule à pouvoir t’en acquitter ? Allez, on y va ! Ils descendent de la voiture et Richard sonne à la porte d’entrée.
Un vieux noir ouvre la porte ?
– Richard ? Ça fait plaisir de te voir ! Qu’est-ce qui t’amène chez nous ? – Je suis aussi content de te voir Marco ! J’ai un cadeau pour Patrick. Je suis désolé d’avoir loupé son anniversaire. Mais, je crois qu’il va me pardonner ça ? – Et, qui est cette charmante femme blanche qui est avec toi ? – C’est, Florence ma nouvelle femme. Florence, je te présente mon petit frère. – Ravie de vous connaître Marco. Je suis heureuse de rencontrer la famille de mon Mari. – Moi, de même jolie jeune femme.
– Où est mon neveu préféré ? – Patrick ! Ton oncle Richard est là ! Un jeune homme grand et balèze, d’une vingtaine d’années, vêtu d’une salopette, se pointe dans l’entrée. Florence est ébahie devant ce grand gaillard de neveu. – Salut oncle Richard ! Ça va ? Dis, tu as raté mon anniversaire? – Je sais Patrick ! Je suis désolé, mais je t’apporte un cadeau, dont tu te souviendras toute ta vie. Florence est étonnée ? Pourquoi, Richard lui parle d’un cadeau ? Car, elle n’en a vu aucun dans la voiture ?
Richard présente Florence. – Patrick, voici ta nouvelle tante Florence.
Lui dit Patrick en reluquant son décolleté avec le tatouage bien visible sur son sein. – Bonjour, tante Florence, ravi de te voir. – Bonjour, Patrick. Heureuse de te connaître. – Patrick, m’a sauvé le vie lorsque j’ai eu mon accident avec mon tracteur. J’ai eu de la chance que Patrick soit là ! Clame Richard en remerciement. – Je vous suis extrêmement reconnaissante d’avoir sauvé la vie de mon Richard.
Richard pose une main sur le sein tatoué de Florence.
– C’est pour ça que je t’offre en cadeau d’anniversaire, ta tante Florence. – Hein ? Quoi ? Mais que ? S’exclame Florence.
– Ta gueule, tu m’appartiens ? Alors, tu la fermes et tu fais ce que je te dis. Ta tante va te montrer comment tu dois baiser une vraie femme ! Si tu désires toujours découvrir ça ? Patrick. – Tu vas vraiment me montrer comment on baise avec une femme ? Richard, presse douloureusement le sein de sa femme, qui répond d’un air blasé. – Oh ! Oui Patrick, je vais te montrer comment on baise une femme.
Richard, pousse Patrick, avec une main dans son dos, à se diriger vers sa chambre. – Viens, Patrick ! Je vais te donner quelques explications avant que ta tante te montre la chose. – Je n’y crois pas ? Tu vas réellement laisser, ta belle épouse me faire découvrir ça ? C’est le meilleur cadeau d’anniversaire que j’ai jamais reçu ?
Florence les suit à l’intérieur en se disant : Moi, j’étais heureuse que mon Richard me présente sa famille, mais je ne me doutais pas qu’il allait me donner à celle-ci ? Enfin, je suppose que je ne peux rien y changer ? Je l’aime trop et je ferai tout pour lui. Même avec Patrick.
Richard sort de la chambre en proclamant : – Allez, ma femme, à toi de bien enseigner à Patrick, tous les secrets torrides d’une bonne baise ! Je reviens te chercher demain. Et, Florence lui répond. – Bien, mon chéri. Ensuite, elle s’adresse au neveu. – Prêt pour la leçon, Patrick ? – Oh ! Oui ma tante. – On y va ? Les femmes sont très sensibles, donc d’abord, tu dois toucher chaque partie de son corps. Les femmes adorent vraiment ça. Alors, va derrière moi et prends moi dans tes bras.
Patrick passe derrière sa tante, la prend dans ses bras en passant une main dans le débardeur de Florence. Il lui empoigne un sein.
– C’est très bien Patrick ! Maintenant, embrasse moi dans le cou et caresse moi les seins. AIE ! Ne sois pas trop brutal Patrick ? Voilà !
A présent, c’est avec ses deux mains dans le débardeur que Patrick caresse les seins de Florence. – C’est bien. Malaxe moi la poitrine ? MMM ! Ou, c’est bon.
Les seins hors du débardeur, Patrick le pelote avec plaisir, il descend une main entre les cuisses de sa tante.
– Tata Florence, ton corps et si doux et ta chatte est toute mouillée ? Pourquoi ? – A ce moment là, tu sais que le femme est prête à s’accoupler avec toi. Elle te désire Patrick. Elle a envie de ta grosse bite profondément en elle, Patrick ! A présent, ta tante Florence veut ta belle queue ! Tu pourras jouer avec mes seins, plus tard ! Laisse moi te déshabiller et voir ta grosse queue.
– Je te le dis tante Florence, tes seins sont merveilleux. Ils sont doux et fermes ! Je veux jouer avec, ils sont trop bons ! – Tu pourras jouer avec eux autant que tu voudras ? Mais, tata désire jouer avec te jolie queue Patrick ?
Florence se retourne et commence à déshabiller le neveu.
– Dis moi Patrick, tu es puceau ? – Oui, tata Florence, je suis puceau. Et, je suis très heureux, car je vais perdre ma virginité, avec une très belle femme blanche qui est ma tante ! Aucun de mes amis ne me croira, lorsque je leurs raconterais ça ? – Ne t’inquiète pas, je vais t’apprendre tout ça. Et si la question se pose, je leur prouverai le contraire. – Tu es la meilleur tata, Florence.
Quand la salopette tombe au sol, Florence pousse un cri de surprise en voyant la queue raide de Patrick. Elle se dit :
OOH ? Mon dieu, elle est énorme, c’est la plus grosse queue que j’ai pu voir jusqu’à présent ? Je ne sais pas comment je vais pouvoir faire rentrer cette bite de cheval en moi. La taille de son engin m’effraie vraiment. Je ne sais même pas comment commencer avec cette énorme queue ? Peut-être avec une pipe et je verrai bien où cela nous mènera ?
Elle s’abaisse devant la queue de cheval, la saisit avec ses deux mains et commence par la lécher et y faire des bisous sur le gland.
– OOH ! Tata ! Tu es trop belle, quand je te vois entrain de lécher ma queue de noir ! C’est drôlement bon ! – Je sais Patrick. Tante Florence fera tout pour que ta grosse bite aille partout ? Florence se reproche, qu’elle n’est pas capable d’avaler entièrement son gland. Ça va être vraiment dur. Est-ce que Richard sait que son neveu a une queue gigantesque ? Je vais essayer de faire de mon mieux pour initier Patrick à l’art de la baise.
Je le fais pour Richard que j’aime tant.
– OOH ! Tata, c’est trop bon ce que tu me fais ? Et, voir ton beau visage blanc au bout de ma bite noire. C’est trop, je vais partir ! – Vas y, laisse venir et lâche tout ! Tata va prendre soin de ta magnifique queue noire. Aimerais-tu que ta tante avale ton jeune sperme ? Lui clame Florence en embouchant le bout de la bite du neveu. – OOORH ! OOUUII ! PUTAIN ! AAAVVAAALLLEE ! Clame Patrick en jouissant dans la bouche de sa tante Florence.
Après avoir bien joui dans la bouche de sa tante qui a avalé non sans mal toute sa jeune semence. Florence se débarrasse de son short.
– Tu en avais plein de sperme dans les bourses. Comme, tu es jeune, je sais que tu vas rebander rapidement. Mais, pour le moment, viens là pour t’amuser avec les seins de tata Florence. Patrick s’approche, les deux mains en avant. – Ils sont tellement gros et si beaux tata ! – Vas y Patrick, je désire que tu t’occupes de ma belle poitrine ?
Patrick empoigne les seins de Florence et commence par les lécher. – HUMMM ! Ils ont un si bon goût ! A présent suce bien les bouts et mord les un peu ? Patrick ne se le fait pas dire deux fois. Il suce, tète, mordille les tétons de tante Florence qui aime. – OUII ! C’est bon Patrick ! OOH ! Vraiment très bon ! Tout en jouant avec la poitrine de Florence, Patrick fait tomber sa tante, dos sur le lit et lui au dessus d’elle.
Il ne peut plus attendre, il essaie de prendre Florence ?
– OOH ! Ma tante ? Ton corps contre le mien, c’est si bon ! Je te veux tout de suite ? – Patrick ! Attends, il ne faut pas te précipiter comme ça, mon chéri ! – Mais, je suis tout dur, ma tante ! Et, je désire aller en toi Florence ? – Tu y iras Patrick ! Mais, tata a besoin d’être prête pour bien accueillir ta bite de cheval ? Embarrasse moi ? Patrick chéri, embrasse ta première femme blanche ? Leur bouche se colle, elle introduit sa langue dans la bouche de Patrick et s’est un long baiser d’amoureux qu’ils se donnent.
Ils désunissent leur bouche, Florence explique au jeune homme. – Patrick, lorsque tu vas me baiser, surtout ne te dépêche pas ? Tu as tout le temps pour me baiser comme tu veux ? Compris tata ! Excuse moi tatie ? Mais, c’est que ton corps est si doux et excitant que je voudrais le manger ! – Ce n’est rien Patrick ! Ta tante est un peu anxieuse ? Parce que ? Tu as la plus colossale des bites que j’ai pu prendre dans le ventre. – Vraiment tata ? – Oui, Patrick chéri ! Il faut me promettre que tu pénétreras tatie doucement, d’accord ?
Patrick met une main à la moule de Florence. – Je te le promets tata, Merde ! Tu es carrément toute trempée là ? – Je sais Patrick. Ta tante est prête pour recevoir ta grosse queue de cheval ! Tu sais, si je suis capable de prendre toute ton énorme queue dans mon paradis ? Je crois que ça ne sera sûrement pas la dernière fois qu’elle sentira ta magnifique queue en elle ? Il se peut même qu’elle en devienne folle ? Tout en la caressant, en lui malaxant les seins, il répond. – Réellement ? Donc ? Si tu peux prendre en entier ma bite en toi ? Tu voudras bien revenir et baiser encore avec moi Florence ? – Oh ! Oui, Patrick, sois sûr ! En plus, tu me dilateras comme aucun homme n’a pu le faire avant.
– AH ! Mon oncle est cool ! Il me fait baiser sa femme pour mes vingt ans ! – Oui, ça c’est ton oncle ! Je ferais n’importe quoi pour lui. Je l’aime tellement. Et, il t’aime aussi Patrick. Florence se met sur le dos et écarte ses cuisses en offrande. – Maintenant, place ta prodigieuse bite devant l’entrée de ma chatte, Patrick chéri ! – Oui, tata Florence.
Patrick pousse sa grosse bite dans le paradis de sa tante. Le gland repousse les lèvres de la moule à l’intérieur. La bite de cheval distend très largement les parois de la moule de Florence, au fur et à mesure qu’elle s’enfonce. Florence s’inquiète un peu. – AAARRR ! RRROOUU ! Qu’il est gros ? Tu vas détruire mon paradis ? Je t’en prie Patrick ? Vas y doucement. OOORR ! Florence sent soudainement monter en elle, un très puissant orgasme. Comment cette très grosse bite peut lui faire un tel effet ? Plus l’engin s’enfonce en elle, Florence jouit tout de suite, dans un premier spasme de plaisir intense.
– AAARRRF ! RRROOORO ! JE ! JE ! JE JOUIIII ! NON ? C’est trop tôt ? Pas déjà ! OOOUIIII !
Patrick a presque tout enfoncé dans le paradis de sa tante. C’est juste l’incroyable de son engin qui fait que Florence jouisse aussi vite et aussi fort. – OOH ! Ta chatte est si étroite que j’adore comme elle me serre la queue.
Florence s’envole : Mon dieu ? Uniquement en rentrant son gland en moi, et en me dilatant la moule. Il a réussi à me faire jouir. Ça ne m’était jamais arrivée auparavant ? Même avec Richard. Et, en plus, il n’a pas encore tout rentré ? Quelle monstrueuse queue. Ça me fait un peu peur, mais que c’est bon et excitant.
– Attend un peu Patrick que ma chatte s’adapte la grosseur de ta queue.
Patrick en reste là. Il se couche sur sa tante et unit sa bouche à la sienne dans une baiser d’amoureux.
Après, se long baiser, la pression de Florence est un peu retombé, mais pas l’excitation de la situation. Patrick reprend sa lente introduction. Il s’enfonce encore un peu. – MON ! DIEU ! Patrick, JE ! JE ! Je jouis encore ! OOUUIIIII ! Elle a encore un hallucinant orgasme, qui crée dans son vagin si trempé, un tel phénomène de succion, que la bite de Patrick y est littéralement aspirée ?
– OOH ! Tatie ? Ta chatte est entrain de m’avaler toute ma queue. Je ne peux plus attendre ? Je te mets tout dans le ventre Florence ! Et, en une seule poussée, il rentre toute sa gigantesque queue au fond du paradis de sa tante. – AAAARRFF ! RROOOOOOHHH ! – OH ! Putain ! RRRAAAQQQ ! Toute ma queue est dans ton ventre Florence ! OOOOHH ! C’est si BBOONN ! Bordel ? C’est bon une femme ! L’esprit de Florence s’envol : Oh ! Mon dieu ? Je ne peux pas croire ça ? Je suis capable de prendre toute l’énorme queue de Patrick en moi. Ça me fait mal et pourtant, c’est si bon. Je la sens bien dans toute ma moule. Je la sens qui m’ouvre l’utérus. C’est incroyable ? Cette sensation d’avoir le ventre tellement dilaté ? C’est trop génial. J’aime Patrick et sa bite de cheval.
Patrick commence à se retirer pour entreprendre un va et vient dans le ventre de sa tante. – AAARRGG ! Patrick chéri, vas y lentement ? RRRUUUFFRR ! J’essaye de m AAAARRRGG ! M’habituer à la grosseur de ta QUEUEEEEEE ! Accroché aux seins de sa tante qui presse. Il remue sa queue à l’intérieur de la chatte de sa tante, qui dérive dans la jouissance. Les yeux mouillés, la bave sort de sa bouche. Elle dérive en pensant :
OOOOH ! C’est absolument divin. C’est comme-ci, j’avais un orgasme ininterrompu ? Il va me rendre folle de plaisir ?
Patrick attrape les cuisses de sa tante par derrière les genoux. – Fait aller ta queue d’avant en arrière dans mon ventre, Patrick. -D’accord Florence, mais je ne sais pas si je pourrais me contrôler ? Il entame un va et vient puissant, il s’active frénétiquement à baiser sa tante. – PUTAIN ! Patrick, tu me rends dingue ! Défonce moi ! Défonce ta putain de tante!Baise moi ! Baise moi ! – TATAAAA ! J’adore ta chatte blanche ! J’aime te baiser ! AAAAARRRFF ! Tante Florence ! AAAGN !
– Mon dieu ? AAAARRGGUUU ! Je ne peux pas m’arrêter de JOUIIIIIIR ! AAAAARRRFF ! La chambre est remplie de râle et de cri de jouissance. Au bout d’un très long va et vient dans le ventre de Florence, accompagné de baisers baveux. Patrick déverse sa semence au fond de la moule de sa tante, qui part dans un orgasme si démentiel, que toute sa vue se brouille, que la chambre devient sombre. Son corps tout entier, essais de garder la monstrueuse bite noire au fond d’elle. Sous l’effet de cette démente jouissance, Florence s’évanouit. Alors que Patrick continue à la bourrée en lui remplissant le ventre de sa semence. – Tante, Florence je crois que je t’aime ? Oh ? Oui, je t’aime Florence.
Pendant que Florence est encore inconsciente. Patrick en profite pour lui envoyer une nouvelle charge de sperme. Il lui dit dans l’oreille : – Je t’aime Florence et je veux encore te baiser ! Quand Florence revient à elle. Patrick l’a retourné et il est de nouveau entrain de lui pistonner le fond de son puits d’amour. Elle est à deux doigts de s’évanouir de jouissance encore une fois. Alors, qu’elle émerge à peine de son orgasme précédent ? – Oh ! Patrick ! Il faut te calmer un peu ? Tu pourras me baiser autant que tu le désires. Prends ton temps, je vais nulle part ?
Elle est à genoux les fesses en l’air avec la bite de Patrick dans son puits d’amour. La tête sur le lit avec les seins comprimés sur le matelas. La raie de ses fesses est pleine de mouille mélangé à du sperme.
Patrick se prit en faute, il sort sa queue du ventre de sa tante. – Non ! Patrick, tu peux continuer, mais plus doucement. Rassuré, Patrick écarte les fesses de sa tante, révélant le petit œillet entrouvert et garnit de lubrifiant d’amour. Florence surprise, devine l’intention de son neveu.
– Attends, Patrick ? Par tout de suite par là ?
Excité, comme il est, Patrick ne l’entend pas. Alors ? qu’elle sent l’énorme champignon se presser contre son anneau anal. Elle essaye de se relaxer, elle n’est vraiment pas sûre de pouvoir accueillir son énorme queue dans son rectum.
Elle lève les yeux, alors qu’elle sent son trou balle s’entrouvrir sous la pression. A sa grande surprise la massive queue de cheval s’insère aisément dans son boyau assez distendu pour s’accommoder de la taille d’un tel engin. Lorsqu’elle sent les couilles de son neveu frapper les lèvres de sa moule enfiévrées, elle entend le bruit de la chair heurtant ses fesses, alors qu’il l’envahit jusqu’à son gros colon. Il la sodomise lentement tout d’abord. Florence sent rapidement son inconfort se transformer en vagues de plaisir qui éclatent dans ses reins.
Après plusieurs minutes, elle se cabre et jette ses hanches à la rencontre de la bite de son neveu qui lui fore l’anus.
– Baise-moi à couilles rabattues mon neveu chéri ! Hurle Florence, alors que vagues après vagues un intense orgasme la terrasse.
– Baise-moi ? Baise-moi ? Encore ? Encore. ? Encule ta une salope de tante ! Hurle-t-elle à tue-tête jusqu’après un long moment où son neveu Patrick se tétanise projetant d’épais jets de foutre au fin fond de ses entrailles.
Lorsqu’il extirpe sa bite de son trou de balle béant, elle s’écroule à plat ventre sur le lit.
Jusqu’à la fin de la nuit, Florence baise avec son neveu ? que la jeunesse fait bander plus que la normale. Sa grotte d’amour s’est enfin accoutumée à la gigantesque bite de Patrick qu’à l’évidence, elle adore.
En collant sa bouche à celle de sa tante ? Patrick lui déclare, qu’il l’aime à présent. – Moi aussi, mon Patrick chéri. J’aime énormément ta très grosse queue. Aucun des hommes que j’ai connus n’avait une telle taille ? Et, tata Florence a encore envie de baiser avec toi, plein de fois. – C’est vrai tata que tu m’aimes aussi ?
Florence ne préfère pas lui dire, qu’elle aime surtout sa grosse queue. Elle lui roule une pelle d’amoureuse pour éluder la réponse.
Le lendemain matin, Richard vient rechercher sa charmante épouse. – Mon oncle ? C’est le plus beau cadeau d’anniversaire que j’ai jamais eu. – Aller ! On rentre ! Proclame Richard en se dirigeant vers sa voiture.
Patrick prend sa tante dans ses bras, l’embrasse sur la bouche et lui murmure ? – Je te baiserais bien encore ? – Je sais Patrick, je ne peux n’y ne peux oublier ta magnifique queue ? On le refera, promis. – Mon oncle à de la chance de t’avoir comme épouse ? – Je sais ! Et moi je suis heureuse de l’avoir comme mari. Maintenant donne moi un baiser avant de partir ? Ils se roulent une pelle d’enfer.
Dans la voiture, Florence demande à Richard ? – Vous saviez qu’il a une queue gigantesque ? N’est-ce pas ? – Oui, et je sais qu’il n’y a pas de femme par ici ? qui soit capable de prendre toute sa queue en elle. C’est pour ça que j’ai voulu que tu essaies, parce que tu raffoles de ça ? – Au début, ça m’a fait vraiment très mal. Mais, quand je me suis faite à sa taille, et qu’il m’a prise en entièrement, ça a été dément. – Je savais que tu pouvais le faire. Patrick à l’air si heureux ? Que tu as fait de l’excellent travail, ma pute chérie. – Merci Richard ! J’ai été surprise quand vous m’avez donné en cadeau à Patrick ? Mais, ça a été formidable ! Merci beaucoup, vous êtes si attentionné avec moi. Je vous aime. – Je t’aime aussi ma salope.
CHAP 5
Un acte de charité ?
Quinze jours plus tard ?
En faisant le ménage, Florence gamberge :
Il y a deux semaines que j’ai passé la nuit avec Patrick. Depuis Richard ne m’a pas touché ? Pourquoi ? Est-ce qu’il n’a plus envie de moi ? Oh, mon dieu, j’espère que ce n’est pas le cas ? A présent, je suis si excitée. Mais, pourquoi il repousse mes avances, en me disant d’attendre ? Pourquoi veut il que j’attende ? Que j’attende quoi ? Je désire sa bite noir, et cela, à présent.
Richard est de retour à la maison. – Vous avez dû travailler dur ce matin ? Voulez-vous prendre un bain ? – Non ! Flo, nous avons des choses à faire. – Qu’elle chose à faire ? Nous allons dans le foyer des vieux travailleurs. Nous allons aider bénévolement certain de mes vieux copains. En prendre soin et s’occuper un peu d’eux. – Très bien Richard ! On y va pour leur rendre le goût de vivre et de s’occuper de leurs envies ? – C’est exactement ça ! On va leur redonner la joie de vivre ma salope.
Richard, donne un paquet à Florence ? – Voilà l’uniforme qu’ils demandent que tu portes ? – Un uniforme ? Bon d’accord. Elle va se changer et revient dans le salon.
Nue sous une petite robe noire d’été à très fines bretelles ? qui ne lui autorise pas le port de soutien gorge, elle se sent sexy. Le tissu fait comme une seconde peau sur elle mettant à son avantage son opulente poitrine. Arrivant juste au dessus du genou, Florence sent de petites brides de vents lui chatouiller les cuisses, elle en frissonne.
Perchée sur ses escarpins à talons, son cœur bat fort, elle n’arrive pas à savoir si c’est de l’angoisse, de l’envie ou les deux.
Une chose est certaine, elle sait que tout le monde va voir qu’elle est en tenue d’Ève.
Au bout d’une heure de route, ils arrivent à destination.
Richard se gare à côté d’un bâtiment collé à un grand chalet.
– Reste là, je reviens ?
Il descend et entre dans le chalet. Ensuite, il rejoint la voiture, ouvre la porte côté passager.
– Aller, sort ?
Florence se lève et le suit jusque dans le chalet.
Elle entre dans le chalet et qu’elle n’est pas sa surprise de voir des photos d’elle nue, placardées sur un mur.
– Mais, Richard ? Qu’est-ce que ça veut dire ?
– Je t’ai exposée à la vue de mes copains. Je peux te dire qu’ils aiment beaucoup.
Florence ne sait plus quoi penser, elle a honte et pourtant elle se sent fière de plaire.
– Pourquoi m’avez-vous emmenée ici ?
– Je t’ai parlé de mes copains ? Eh, bien, ils arrivent. Avec ton aide, je vais pouvoir enfin réaliser leur tout dernier souhait ?
– Ah ? Et, que souhait il ? – Tous n’ont jamais baisé une femme blanche, et c’est là que tu les aides ! – Voulez dire qu’ils n’ont jamais fait l’amour avec une femme blanche ? – OUI ! C’est ça et je leur ai dit que tu es volontaire pour exaucé leur souhait ?
Elle a à peine terminé sa phrase que la porte du chalet s’ouvre et des vieux travailleurs noirs remplissent la pièce.
Elle se retrouve face à une bonne vingtaine d’hommes.
Ils parlent fort, certains sifflent, d’autres font des gestes sans équivoques.
Florence les regarde affoler. Il y a que des noirs, ils ont tous entre soixante huit et soixante dix huit ans.
-Messieurs ? Du calme !
Tous se taisent.
-Vous la reconnaissez tous, elle est sur le mur. Vous l’avez observé, vous en avez beaucoup parlé, certains se sont certainement branlé, mais ce qui est sûr, elle va donc exaucer votre souhait.
Richard chuchote à l’oreille de Florence : – Dis leur, que tu vas payer de ta personne en t’offrant à eux.
Elle est tétanisée, elle ne s’attendait pas à cela, elle tremble de peur et d’envie. Elle prend une grande respiration.
– Messieurs, je suis volontaire pour vous aider à exaucer votre ultime désir. Je suis une femme blanche et prête à vous satisfaire.
– Vous l’avez entendu, elle s’offre à vous, mais il est hors de question de sauter dessus tous ensemble ? Elle a l’impression que son cœur va exploser. Les copains de Richard sont ravis.
Richard parle en aparté avec deux hommes, ils quittent rapidement la baraque.
Il y a juste les deux tables qui trônent en son centre du chalet ? Pas de lit ou de canapé ? Les copains sont tous côte à côte.
– Qu’est-ce que vous attendez ?
Demande Florence.
– On attend Jef et Didou ?
Silence.
Une très longue minute passe, les deux hommes arrivent avec un sac de toile.
-Voilà, tout est prêt. Mais, avant que vous ne commenciez ? je vais vous présenter notre hôtesse.
Richard se place derrière elle et place ses mains sous la poitrine de sa femme, il les soupèse et les fait ballotter. Autant dire que l’assistance n’en perd pas une miette. Il les prend, les caresse, les malaxe.
Florence sent monter le désir en elle.
-Bouba, amène deux bouteilles, une deux litres de cola et une petite à côté.
Le grand black ramène l’ensemble
– Relève sa robe ?
Avec ses grandes mains, il prend le tissu et le relève. Il le fait rouler et le coince entre ses deux seins, de telle façon qu’il ne retombera pas.
Un tonnerre de sifflement inonde la pièce, tous voient qu’elle ne porte pas de sous vêtement.
-Bouba prend la petite bouteille et vide en une bonne partie sur la grande puis place celle-ci entre les jambes de Florence.
C’est une grande bouteille de quarante cinq cm de haut ? Elle écarte légèrement ses cuisses. Le bouchon frotte contre ses lèvres.
– Retourne avec les autres, je vais vous montrer ce que sait faire ma belle salope ?
Richard murmure à l’oreille de sa femme : – Vas-y, empale toi, comme sur Patrick, montre leur.
Tandis que Richard joue avec sa poitrine, Florence fait descendre et monter son bassin.
A chaque descente, elle va toujours un peu plus bas, se sentant toujours un peu plus écartée.
Richard lui pince les tétons, il les roule, puis fait remonter ses seins en tirant dessus.
Elle a mal, mais en même temps, elle prend du plaisir, ce qui la fait s’enfoncer encore plus sur la bouteille.
La douleur se transforme, elle se transcende en bonheur, elle descend encore, doucement sans remonter, elle ne sait pas jusqu’où elle est allée, cependant elle sait que c’est plus que ce qu’elle n’a jamais encore fait, elle sent le plastique l’écarteler et la posséder.
Une bonne moitié a déjà sorti leurs sexes et se caresse.
Florence voit ces mandrins de chaire noire gonfler, il y en a de toutes tailles, de toutes largeurs, et ils sont tous rien que pour elle. Cette simple idée lui provoque un orgasme.
Richard,
la libère de toute entrave.
– Aller, à présent, tu vas bien nettoyer quelques queues.
Les copains qui n’ont pas encore sorti leurs engins le font, ils sont tous devant elle. Les yeux de Florence pétillent d’envie, elle n’aurait jamais imaginé qu’un jour Richard l’offrirait à autant d’hommes à la fois.
Avec lenteur et délicatesse, elle se met nue devant eux, et d’une démarche féline s’approche du groupe. Elle s’accroupit devant un colosse d’ébène, elle n’en revient pas, son sexe fait bien vingt cinq cm pour six de large. Elle prend sans ménagement le gland en bouche, et le pompe. De sa main droite, elle branle la longue hampe tout en pensant que tout à l’heure, elle l’aura certainement en elle. Elle gobe littéralement cette queue.
Les autres râles un peu. Une queue plus petite se présente, elle la prend, elle sent des mains lui caresser les fesses, le dos, les cuisses.
Elle suce, passant de sexe en sexe, elle a un peu mal à la mâchoire. Pourtant, elle prend goût à cette pluralité massive. Ses mains masturbent tout ce qu’elles peuvent attraper.
On lui malaxe les seins et ses tétons sont en feu. Des doigts lui fouillent la moule et l’anus.
Tous sont corps n’est qu’attouchement, palpations d’envies, de tous et d’elle. Car oui, elle est active et envieuse, elle réalise leur ultime souhait.
Un vieux s’impose dans sa bouche, il est large, mais pas trop long. L’homme prend sa tête dans ses mains et par coups de reins lui laboure la bouche jusqu’à s’épancher abondamment. C’est le premier ,mais pas le dernier.
Elle se relève, tous y sont passés et elle a besoin de souffler un peu, elle avale leur semence qui n’est pas abondante, alors elle l’a fait couler sensuellement dans sa bouche.
Elle est entourée par cette troupe, ils sont tous nus. Certains avec leurs téléphones, elle sait qu’elle va faire la une des foyers pendant de longs mois.
Les membres en érections se frottent contre ses cuisses, ses fesses.
-laissez-la respirer un peu messieurs. Table haute ou table basse ?
Elle choisit la table haute, elle pourra se reposer un peu.
Richard, l’aide à s’allonger sur la table, les fesses au bord, les jambes pendantes.
Bouba, avec ses vingt cinq cm s’approche, il place les pieds de Florence sur ses épaules et fait glisser son membre le long de la fente humide. Deux hommes se mettent à lui sucer les seins, le peu sperme non avaler, qui est dessus ne semble pas ralentir leurs ardeurs. Elle sent sa poitrine se faire aspirer tandis qu’une main anonyme lui caresse le clitoris.
Bouba présente son gland lubrifié de mouille contre sa petite porte de derrière. Il pousse lentement, elle s’ouvre.
Son anus se dilate de plus en plus, elle se souvient qu’avant les autres n’étaient pas si gros.
Le gland passe entièrement, puis il continue, il s’enfonce progressivement sans s’arrêter.
Elle se sent remplie de plus en plus, comme jamais, et ça continue. Elle a peur que la longueur ne pose un problème, cependant cette inquiétude disparaît, quand deux ou trois doigts lui écartent les lèvres de sa moule, entrent et sortent rapidement.
Tout cela la fait mouiller abondamment et de petits flocs-flocs se font entendre. Elle ne maîtrise plus rien et décide de prendre tout pour du plaisir.
Les couilles de Bouba se collent contre ses fesses, elle en est contente.
Il commence un lent va-et-vient, qui progressivement se fait de plus en plus rapides. L’homme lui maintient les hanches avec ses mains, les autres se sont reculés.
Ses coups de boutoirs sont si forts, que la poitrine s’affole dans tous les sens, elle se sent bien prise.
Des queues se présentent contre ses mains, elle les prend et les branle, un plus jeune s’approche de sa tête, il la fait pivoter vers lui et fourre sa bite dans la bouche de Florence.
Comme elle a du mal à le sucer, il lui prend la tête et fait lui même les va et vient. Le rondin de Bouba lui labourent le fondement, il est si long et si gros, qu’elle a l’impression qu’il va la transpercer, ? Cependant, il glisse en elle avec virtuosité.
Il ne la ménage pas, on pourrait même dire, qu’il y va comme un jeune mâle. Tout le corps de la femme bouge à chaque coup, le spectacle doit plaire, car elle sent deux petites giclées chaudes se répandre sur sa poitrine en mouvement.
Momo qui s’occupe de sa bouche lui éjacule de sa gorge. Il en bouge très peu ? Donc, elle est obligée d’avaler sa maigre semence pour ne pas étouffer. Elle a à peine le temps de reprendre sa respiration qu’un autre vieux copain se présente.
Il est ventripotent, sa queue marron et épaisse passe entre ses lèvres entre-ouvertes. Il lui attrape les cheveux et lentement prend possession de sa bouche. Elle fait tourner sa langue autour du gland.
Bouba se fige entièrement en elle et pousse un grognement, une onde chaude déferle dans ses intestins. Ensuit, il ressort son braquemart, elle sent que son anus ne se referme pas complètement.
Un autre pas très vieux vient s’occuper d’elle, il se glisse entre ses jambes et d’un coup sec. Il fait entrer son calibre, il va vite et fort, il n’est pas large, mais long et son gland tape le fond contre son utérus ?
Tout son corps est parcouru par des décharges de plaisir et de chaleur, elle crie son plaisir. Cet orgasme lui fait contracter ses muscles vaginaux, ce qui lui fait beaucoup plus sentir la bite en elle.
Un jeune vieux se met à califourchon sur elle, une jambe de chaque côté, il met son sexe entre les gros seins de Florence, il lui attrape les tétons et avec les seins de Florence, il fait recouvrir sa verge.
Le vaillant vieillard joue du marteau pilon entre ses seins, et il pince à chaque coup les tétons. Un homme dans sa bouche, un entre les seins, un entre ses cuisses.
Les trois viennent l’un à la suite de l’autre, d’abord dans la bouche, puis dans le vagin et enfin entre ses seins.
– Bon, on va un peu changer.
Richard aide sa belle salope à descendre de la table, les jambes flagellantes.
– Ça va ma belle ?
– OH ! Oui, on va dire ça ?
Il lui tend un verre d’eau. Elle prend quelques gorgées bien rafraîchissantes.
Du sperme s’échappe en petits filets du coin de ses lèvres et son cul.
– Assied toi sur le rebord, jambes bien écartées.
Florence s’exécute sans souci, c’est bien la première fois que son mari prend en main les opérations.
– Mike, allonge toi sur la table basse.
Un autre vieux géant d’ébène s’avance, tout aussi bien monté que l’autre, il s’allonge.
– Allez ma salope, empale toi sur lui.
Elle s’approche, et monte sur la table basse, il y a juste la place pour qu’elle s’accroupisse au dessus de l’homme.
Elle prend sa grande queue large en main. Elle fait frotter le gland contre les lèvres de sa moule baveuse et la fait entrer, quelle bonheur, elle est dure comme la pierre.
Lentement, elle s’empale jusqu’à la faire complètement disparaître. Elle ne bouge plus et profite de cette sensation d’avoir son vagin bien remplit. De ses grandes mains, Mike lui masse les seins, il les malaxe e les caresse, il en joue, au plaisir de la dame.
Un moment de grande douceur, puis il donne des coups de reins qui soulève Florence, elle a l’impression de s’envoler. Un autre copain battit comme une armoire à glace se place dans son dos ? Il passe ses bras sous ses siens et les attrape. Alors, que Mike vient de les lâcher pour plus de stabilité.
Elle râle de bonheur, elle se sens assaillit par un marteau piqueur et dans la position où elle se trouve, les sensations lui semblent décuplées.
Elle se sent telle une balle que l’on fait rebondir sur une raquette.
Elle accompagne les mouvements de Mike, après elle n’en peut plus, c’est trop, elle veut descendre. Cependant l’autre la pousse en avant.
Pour ne pas s’effondrer sur Mike, elle a le réflexe de placer ses mains de chaque côté de la tête de l’homme.
Il s’empresse de la prendre dans ses bras, autant pour la protéger que pour l’empêcher de se relever.
Elle plonge ses yeux dans ceux de son sauveur, une passion sauvage passe en eux quand elle sent les mains de l’autre lui écarter les fesses et entrer son sexe dans son anus. Visiblement, il est long et fin avec un gland assez gros, un changement de sensation bien agréable.
Mike suit le rythme, quand il pousse l’autre se retire et ainsi de suite.
Cette doublette la rend folle et ses cris couvrent le flot de remarques de tous les copains.
De temps en temps L’un de ses assaillants s’arrête, alors là le deuxième lui défonce l’orifice, ils alternent régulièrement.
Florence jouit, elle voudrait faire une pause, mais ils en ont décidé autrement, ils ne pensent qu’à eux. L’enculeur jouit en elle, il se retire, un autre vieux copain prend sa place.Il est monté comme un cheval, il prend la même place que le précédent. Elle se sent prise, soumise et désirée.
Au bout de quelques va-et-vient, il se retire.
Elle ne comprend pas ? Jusqu’à ce qu’elle sente les lèvres de sa moule, déjà prise par Mike s’écarter.
– RRROOOO ! RRAAAAAA ! RROOUUUUUUIIIIIII !
Gibi à glisser son mandrin contre celui de Mike, ils ont à peu près le même calibre, mais pas la même longueur, ce dernier est plus court.
Les deux hommes vont et viennent en même temps, elle ne peut plus bouger, c’est trop gros, trop fort, trop tout. Elle se sent écartelée, défoncée. Elle adore ça.
Ils accélèrent
– RRROOOUUUH ! NNNNOOOOOONN ! BBBOONNN !
Richard inquiet s’approche et il fait couler du gel dans la raie de ses fesses. Sur les lèvres de la moule de sa salope et la queue de GIbi. Ça glisse plus facilement, la respiration de Florence s’accélère, elle halète, elle n’est plus elle même ? Elle se sent comme un trou que l’on utilise, mais un trou extraordinaire, qui lui donne énormément encore de sensations nouvelles et fantastiques.
Mike prend un sein et suce un téton, puis l’autre. Ensuite, il s’y agrippe fortement quand la montée de sève jaillit, ce qui fait jaillir aussi celle de Gibi.
Le trio reste immobile quelque instant, ensuite, chacun se retrouve libéré.
Richard est allé chercher une chaise, il y fait asseoir sa belle, il lui offre de nouveau un verre d’eau.
– Alors ? Tu prends ton pied à leur offrir l’ultime plaisir de baiser une jeune femme blanche.
– Oh ! Oui, j’adore leur rendre ce service avant qu’il tombe dans l’oubli.
Richard écarte les cuisses de Florence, son vagin est très dilaté, une petite rivière visqueuse s’en échappe. Bader s’agenouille au pied de la belle, il lui fait avancer ses fesses vers le bord de la chaise. Il lui lèche sa moule baveuse.
Un homme trapu lui présente son sexe, elle le prend, elle le suce, l’aspire, le pompe, elle donne le meilleur qu’elle puisse faire, une verge d’aussi petite taille, ça change.
Bader ferme son poing et le fait entrer dans la chatte béante, fortement lubrifier de foutre et de gel.
Il le fait sortir complètement et ensuite, entrer de nouveau, il y va doucement, mais avec fermeté. Florence sent une chaleur envahir son bas ventre, le désir la reprend, et la douleur du poing se transforme en de puissantes décharges de plaisir.
Plus, il joue du poing avec elle plus ,elle pompe, elle pompe si fort qu’il éjacule.
Elle a besoin de se lever, elle se redresse, mais bader ne veut pas sortir son poing.
Elle marche comme elle peut jusqu’à la table basse et s-y met à quatre pattes.
Bader sort son poing et l’encule comme un diable déchaîné, il grogne à chaque coup de butée. Les derniers hommes font la queue soit près de sa bouche, soit derrière Bader.
Elle suce comme une diablesse, elle veut vider les couilles de ces vieux messieurs.
Les décharges s’accumulent, elle bave et rote du sperme.
Bader donne de si grand coup de reins que sa poitrine tape de temps en temps dans son cou.
Il se vide et laisse sa place, ils sont tellement chauds, qu’ils ne prennent plus leur temps. Ils y vont à fond et se vident rapidement dans son cul et sa chatte.Tout n’est plus que pilonnages successifs et éjaculations, et pour Florence, c’est comme une fin de marathon dans lequel tout s’accélère et où chacun donne tout ce qu’il a.
Elle ne peut plus sucer, elle ne fait que prendre et recevoir, elle jouit à répétition en râle de plaisir.
Elle tourne la tête, il n’y en a plus que trois, un vieux décrépit qui est en train de jouir et Bouba et Mike.
L’homme se retire, Bouba la fait se lever, des flots visqueux sortent de ses orifices et coulent le long de ses cuisses. Bouba s’allonge sur la grande table. Mike, avec ses bras musclés, fait monter Florence, elle chevauche le vieux géant noir et s’empale, ça passe beaucoup plus facilement à présent. Elle est assise, monte et descend le corps luisant et dégoulinant de sueur.
Mike se présente derrière elle, elle se penche, il la sodomise lentement.
– RRROOOUUIII ! AAARRRFFF ! RRROOUUU ! AARRAARRAARRAA !
C’est la sensation la plus forte de la partie. Elle a l’impression que les deux hommes ont l’habitude de faire ça ensemble tant qu’ils la pilonnent parfaitement.
Deux fois vingt cinq cm de longueur, deux fois six cm de diamètre, c’est tellement fort et bon.
Elle, la jeune femme blanche mariée, se fait prendre en sandwich par deux vieux noirs.
Quand elle se sent vider de l’anus, c’est sa chatte qui se remplit et ceci en alternance. De temps en temps, ils se reculent ensemble pour d’un coup sec rentré en elle jusqu’aux couilles.
C’est ce que préfère Florence, à ce moment là, elle entre dans une extase puissante.
Le duo a bien comprit et il en joue habilement jusqu’à accélérer leur cadence pour un sprint finale explosif. Ils jouissent tous les trois de concert.
Florence est dans un autre monde, ses sens sont en ébullition, elle ne contrôle plus rien, elle est comme droguée. Une jouissance qui perdure, un corps qui réclame le calme tout en gérant le plaisir qu’il vient de recevoir.
Debout ou couché ou pas, pas un seul des vieux copains qui sont présents. N’inonde de sa vieille semence le corps de Florence. Chaque vieux copain de Richard dans la salle a baisé au moins deux fois Florence. Il s’est organisé un roulement ? Les comblés et épuisés sont remplacés par d’autres qui viennent du fond du foyer. Florence les exhorte à l’utiliser exactement comme ils le veulent. Le roulement fait que Florence baise toute la journée et une bonne partie de la nuit dans tous les sens, avec deux, trois voir quatre copains ensemble des fois.
Chacun des vieux copains, qui s’est vidé et avant de regagner sa chambre. Exprime à Richard sa plus profonde gratitude, de lui avoir prêté sa jeune épouse. D’avoir fait de leur rêve de baiser une femme blanche, une réalité avant de mourir.
Quand elle reprend ses esprits, la salle est vide, il n’y a que Richard, qui lui est resté là.
– Comment va la reine des salopes ?
– Vidée
– Ce sont plutôt mes copains que tu as vidés !
– Tu as rendu beaucoup de mes copains heureux. Et, ils veulent recommencer ? Et toi, tu veux le refaire ? – Si vous le voulez ? Je serai ravie de la refaire pour vous mon Richard.
– Je me doute bien que tu le désires ? Tu es accro à nos bites noires et tu as sacrément pris aujourd’hui. Tu as aimé ?
– Au risque de vous décevoir, oui.
– Alors ? Dis le que tu es une pute, que tu es ma pute ?
– Oh ! Oui, je suis votre pute
– J’en suis très content. Aller, je t’emmène te laver.
Elle se redresse, descend de la table et essaye de marcher. Ses jambes la tiennent à peine, Richard l’aide.
Elle passe ses mains sur son corps poisseux et humide de sueur.
Elle glisse sa main droite entre ses cuisses, elle peut pratiquement y passer sa main, tant elle est dilatée, immédiatement elle fait de même derrière, ce sont les quatre doigts sans souci. Elle en est béate.
Richard l’emmène dans la douche, d’une chambre vide
Il se met nu et guide sa belle sous le jet d’eau chaude. Il la savonne, la shampouine, la cajole.
Elle apprécie cette douceur, un tel contraste est des plus appréciable.
Richard dévisse la paume de douche et dirige le jet du tuyau sur le corps de sa belle épouse qui est devant lui.
Il joue, faisant passer le jet sur les seins, les tétons, les aisselles.
Ensuite, il se met à genoux aux pieds de Florence, il place le bout du flexible dans son vagin, ensuite de sa main gauche fait referme l’entrée avec les lèvres.
L’eau ne s’écoule plus, mais reste emprisonnée en elle.
Elle sent son intérieur gonflé, gonflé, puis il relâche tout. Un flot très abondant s’en échappe, mélange d’eau et de sperme. Il refait ce petit jeu deux fois.
– Te voilà toute propre de ce côté.
Il la fait se pencher en avant et ensuite, insère le bout du flexible dans l’anus, elle sent l’eau parcourir ses entrailles. Dès qu’elle se redresse, son ventre se vide du lavement.
– Te voilà aussi nettoyé derrière.
Il enlace sa femme, ils s’embrassent.
Florence s’allonge sur le carrelage, l’eau chaude perle sur son corps. Richard s’allonge sur elle, il la pénètre doucement.Tout n’est que lenteur, elle ne ressent pas beaucoup de plaisir, elle en a trop reçu avant.
Il accélère, puis se retire, elle se redresse et prend son sexe dans sa bouche, très lentement elle le suce, elle fait jouer sa langue le long de sa hampe, titille le méat et joue sur l’aspiration. Dès qu’elle sent son gland gonfler fortement, elle joue les gorges profondes. Elle s’active jusqu’à ce qu’il jouisse au plus profond de sa bouche. La verge est parcourue de violents spasmes, elle continue et en gagnante, elle sent couler dans sa gorge le sirop de son amour d’homme.
Après la douche, il l’aide à se rhabiller et la raccompagne à sa voiture.
De retour chez eux, elle va se coucher. Elle ne se réveille que le lendemain matin, le corps courbaturé, la vulve et l’anus endolori. Malgré tout cela, elle se sent vraiment bien, comme si une nouvelle Florence venait de renaître.
CHAP 6
EPILOGUE
Un mois plus tard.
Florence allaite son enfant.
– Est-ce que tout va bien Richard ? Je vous sens soucieux ? – Tout va bien ma belle. Tout va très bien.
– Très bien mon amour. Je vais préparer le dîner. Pourriez vous faire faire le rot à notre fils dès que j’ai fini de l’allaiter ? – Bien sûr que oui ma femme.
Le soir au lit, Richard est sur le dos pendant que sa femme le chevauche. – Es tu heureuse avec moi Florence ? – Je suis très heureuse mon chéri ! – Tu as fait de moi un homme très heureux. Je t’aime pour ça. – Je vous aime aussi, mon cœur.
Florence s’active de plus belle sur le mandrin de son amour, qui râle son plaisir. – RRROOOO ! OOOUUFF ! Je jouis. AAAARRRQQ ! – OOOOH ! OOUUIII ! Remplissez moi de votre semence. – HHUUURRG ! – RRRAAAH ! GGGNNNUU ! Repu de bonheur, Florence pose sa tête dans le cou de Richard. – Je vous aime. Je vous aime tellement fort Richard. Florence s’interroge ? – Richard ? – Chéri ? – Mon amour ? – Non ! Ne m’abandonnez pas s’il vous plaît ? Non ?
Richard vient de rendre son dernier souffle dans un râle de plaisir.
Quatre jours plus tard, Florence enterre l’amour de sa vie. Elle se retrouve seule avec son fils de la couleur de son père. Elle se demande ce qu’elle va devenir.
Elle pleure devant la tombe refermé de son époux. Un homme vient tout près d’elle ?
– Je vous présente mes plus sincères condoléances, Madame. – Je vous en prie, vous êtes le quinzième qui vient me voir pour coucher avec moi. Je désire pleurer mon mari en paix ! – Vous vous méprenez Madame ? Je suis le notaire de votre défunt mari, je représente ses intérêts. – Oh ! Excusez moi ? J’ignorais que mon Richard avait un notaire ? – Il y a tant de choses que vous ignorez, il prenait soin de sa famille.
Ils prennent un rendez vous pour transmettre la succession. Le jour, dans l’étude du notaire, Florence demande :
– Comment puis-je vous aider Maître ? – Maintenant en vous voyant ici, je comprends pourquoi Richard a tout légué a une si charmante et gentille femme blanche. – Je ne vous comprends pas ? Me léguer quoi ? Il n’était pas riche et moi, je n’ai rien du tout à moi. Je vais sûrement être obligée de vendre la maison pour pouvoir m’en sortir ?
– Vous ne vous êtes jamais demandée pourquoi le reconstruction de cette maison à pris que cinq mois ? – Oh ? A présent que vous le dites, c’est vrai que cela a été très vite. – Bien ! Selon les dernières volontés de Richard, votre défunt mari, vous héritez de tous ses biens. Florence vacille un peu d’étonnement. – Vous allez bien Madame ? – Oh, ce n’est rien Maître. C’est que même mort, il essaie encore de prendre soin de moi. Au moins je serai à l’abri, le temps que je trouve un travail.
– Vous dites du travail ? – Oui ? De quoi d’autre, j’hériterai de Richard ? – Allons, voyons ? Il y a sa maison, son terrain, sa voiture, ses chevaux, ses quatre cents hectares de terres agricoles et ses quatre vingt dix millions d’euros en actions et en placements garantis. – Comment ? Quoi ? Tout ça ? Vous avez dit quatre vingt dix millions d’euros ? Mais ? Comment richard a-t-il eu une somme pareille ?
– Eh, bien ? Richard, durant l’année écoulée, vous avez toujours fait ce que votre mari vous demandait, et pour cela, il recevait une gratification des participants. Alors, il a investi cet argent et il en a fait des profits considérables. Mais ! Pour que tout ça vous revienne, il y a une condition que vous devez respecter. – Quelle genre de condition ? – Mais ? Avant de vous la dévoiler ? J’accepterais bien volontiers une petite pipe d’on, vous avez le secret ?
Le notaire sort de son pantalon sa queue molle de bonne taille. Florence, résigné une fois de plus, attrape la queue du notaire. Elle la porte à ses lèvres et l’aspire à l’intérieur de sa bouche. La bite du notaire se redresse rapidement dans la chaude cavité buccale. Le vieux notaire est assez long à éjaculer son sperme au fond de la gorge de Florence. Une fois la fellation terminée, il reprend : – Pour pouvoir hériter de la totalité des bien de votre mari ? Vous devez vous remarier avec son neveu préféré Patrick ? A cette seule condition, l’ensemble de l’héritage sera à vous ? – Donc ? Si j’épouse Patrick, j’aurais tout l’héritage de Richard ? – Absolument tout ! Qu’en dites vous ?
– Ma réponse ? Eh ! Oui, maître. Je serai heureuse d’être sa femme s’il veut de moi ? Florence s’en réjouit, elle aura sa gigantesque queue pour elle toute seule. Elle la désire déjà dans tous ses orifices.
Un mois plus tard, Florence se marie avec un Patrick heureux d’avoir la femme blanche de son oncle pour lui tout seul. Ils ont eu trois bébés et vivent toujours heureux aujourd’hui.
FIN
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