Jeudi 9 mai 1985 .
Le lundi matin, le rituel avait repris ses droits, avec peut-être un petit sourire de Fabienne, mais j’ai de l’imagination. Et le soir avant de partir je prenais note du planning de Fabienne des fois que nos routes au cours de la semaine se croiseraient. Seule une journée montrait que le jeudi j’arriverais le soir à Guéret, pour en repartir le matin direction Aubusson. Par contre Fabienne serait elle aussi au secteur de Guéret, mais arrivant le matin vers 10 :00 heures. En effet venant de Limoges, elle ne couchait pas sur place, pouvant faire l’aller et retour dans la journée.
Ainsi le jeudi, comme tous les soirs de mes tournées, je dînais dans mon coin en face d’un livre. Je venais à peine de commencer quand :
« Bonsoir, tu m’invites à dîner »
Fabienne venait d’arriver.
« Oui, bien sûr assieds-toi, … Mais tu as changé ton planning »
« Exact, tout le monde sait qu’un planning s’est fait pour évoluer »
« Tu as des problèmes importants au secteur, car d’habitude tu fais l’aller et retour dans la journée ».
« Non, tout va bien, je suis ici incognito, … Autrement dit, j’ai quitté le bureau en fin de journée comme d’habitude. Par contre, chez moi, j’ai dit qu’il fallait que je sois de bonne heure demain au secteur, il faudra donc que tu aies la gentillesse de m’héberger ».
« Naturellement pas de problèmes, prends un buffet, ici, il est bon et copieux »
J’étais soufflé. Puis continuant notre conversation elle me dit :
« Je voulais te voir, et pour te faire plaisir, je suis habillée comme tu aimes, … Imagine »
Elle était vêtue d’un corsage, qui la moulait bien, (devait être au moins une ou deux tailles en dessous) et d’une jupe droite, serrée.
Le maître d’hôtel parti, elle défit un bouton de son corsage, ce qui augmenta son décolleté en laissant apparaître le début du sillon de ses seins. Puis se levant pour aller se servir, elle se pencha tellement en avant que j’eus une vue rapide sur l’intérieur de son décolleté. Surprise, elle ne portait pas de soutien-gorge.
La vue de son joli cul se déplaçant vers le buffet n’était pas désagréable, c’est là que j’ai imaginé qu’elle n’avait rien en dessous. Ce qui enclencha certaines idées érotiques, que je refoulais énergiquement. Vu ce qu’elle avait fait jusqu’à présent, elle devait s’attendre à ce que je lui dise, maintenant qu’elle avait un joli cul. Je m’en abstins, peut-être, inconsciemment par calcul.
Enfin de repas elle alla chercher un dessert et la voyant, de nouveau, se déplacer vers le buffet, je me fis la réflexion qu’elle avait vraiment un joli cul. Je changeais de tactique. Alors qu’elle s’asseyait, je lui dis :
« Tu as vraiment un joli cul »
« Ah, vraiment, il te plaît tant ? Tu en as envie ? »
« Oui, aux deux questions »
« Tu l’auras si tu me fais bien l’amour, que tu me fasses bien jouir, comme la dernière fois. D’abord as-tu envie de moi ? »
« Quelle question, c’est une évidence »
« Alors dis-le, dis-moi que tu as envie de moi, dis-moi ce que tu veux faire, ce que tu veux me faire, déjà de l’entendre c’est le début du plaisir », et elle me posa tendrement sa main sur la mienne.
Moi : « Tu sais très bien que j’ai envie de toi. Tu veux que je te dise ce que j’ai envie de te faire. Ne te fâche pas la première chose, très terre à terre mais essentiellement pratique, tu dois avoir une valise et n’étant pas inscrite, tu peux difficilement te promener avec ta valise et te diriger vers une chambre, on pourrait te poser des questions, donc, je vais aller la chercher, moi je peux. Tu vas m’accompagner à ta voiture et on va vérifier qu’elle est dans un endroit tranquille ».
« Elle est à côté de la tienne, j’ai fait comme toi, je ne veux pas être accroché ».
« Bien, en attendant que je revienne d’avoir déposé ta valise, tu t’installeras à l’arrière de ma voiture, tu ouvriras ton corsage et tu laisseras libre tes seins ».
« Dehors, comme ça, …Pourquoi pas ? Et puis »
« Dans la voiture, tu remonteras ta jupe, écarteras les jambes pour dégager ton minou »
« OOHHH, tu crois ? », mais, sans s’en rendre compte, elle avait déjà le souffle court.
« Tu m’as demandé ce que je voulais qu’on fasse. Ça nous rappellera nos flirts des dix-huit ans Mais en as-tu envie ? »
« Tu ne peux pas me demander ça »
« Mais si, et déjà ça t’excite de t’imaginer ainsi. Et si je suis trop long, tu pourras te caresser un peu».
Elle avait légèrement crispé sa main sur la mienne.
« Tu veux vraiment que, … »
« Bien sûr, tu aimes ça, tu es sensuelle et je suis persuadé que tu aimes le sexe et tout ce qui l’accompagne et tu te le caches ».
« Tu n’en sais rien »
« Il te faut juste une petite poussée, pour que tu veuilles l’admettre et à cette pensée, tes yeux brillent et tes seins vont percer ton corsage, alors, … »
« Mais pourquoi je t’écoute, … Personne ne t’a jamais dit que tu étais un salopard ? »
« Viens, on s’en va, je vais m’occuper de ta valise et ensuite je m’occuperais de tes appâts ».
Et nous partîmes vers le parking. Effectivement sa voiture était à côté de la mienne, dans le fond sombre du parking. Arrivée sur place, elle se laissa pousser contre la voiture et l’ayant enlacé, je collais mes lèves contre les siennes, il y eut un dixième de seconde d’hésitation, mais ses lèvres s’entrouvrirent et nos langues se trouvèrent et s’enlacèrent, alors que nos corps se collaient, l’étreinte fut rapide et violente.
Elle ouvrit son coffre et se penchant pour prendre sa valise son joli cul fut à l’honneur, je me retins de lui caresser les fesses, ce geste ayant pu être considéré comme grivois à la limite de la grossièreté.
Prenant la valise, je lui dis :
« Dans moins de cinq minutes je suis de retour »
Je revenais quelques minutes après ayant pris mon temps, de façon à lui laisser le temps de se convaincre que l’envie d’ouvrir son corsage et de remonter sa jupe fut plus forte que son propre qu’en dira soit.
À mon arrivée, elle n’était pas dans la voiture, par contre, elle s’était installée entre les deux voitures, et malgré le peu de clarté, je vis que ses seins étaient libres de corsage et que sa jupe était remontée, lui formant une ceinture. Je m’approchais et la maintenant à distance de bras tendus j’admirais le spectacle :
« Tu es très belle ainsi, j’ai encore plus envie de toi »
« Tu es content de toi, j’ai fait ce que tu voulais, serres moi dans tes bras, serres moi fort, très fort,… Tu me rends folle, … Pourquoi je me laisse à t’écouter, … J’ai envie de toi,… Viens prends-moi, …Oui, prends-moi »
C’est ce que je fis. Je l’enserrais de mon bras droit et me penchais pour l’embrasser dans le cou, ce qui, en général, générait d’agréables frissons et je plongeais sur ses seins, qui étaient gonflés et souples durs, certainement de la fraîcheur, mais, et j’en étais persuadé par l’excitation. Pendant ce temps, ma main droite descendait vers son entrejambe, dont l’accessibilité était facilitée par des jambes qui s’écartèrent largement à mon arrivée. Je posais ma paume sur sa chatte chaude, gonflée et humide. À peine arrivée, la main de Fabienne se posa sur la mienne et suivait les caresses que je pratiquais à son intimité.
« Rentre, … Rentre vite, … S’il te plaît,… »
Deux doigts trouvèrent sans difficulté l’entrée de sa moule, guidés ou suivis par la main de Fabienne, qui avait le souffle de plus en plus court.
Elle était bien chaude, et était prête à se faire sauter sur place, mais je me retirais.
« Reste, … J’ai envie de toi, … Restes, … Prends-moi,… »
Et je lui disais on sera plus confortable dans ma chambre que sur le capot de la voiture.
« Tu es vraiment un salaud, me faire ça, … Tu me rends folle, … Je te veux, … »
« Viens, on va dans la chambre on sera plus confortable »
« Pourquoi pas ici, j’en ai envie ? Tu m’as fait rêver et tu fuis »
Je ne répondis pas et rapidement nous avons rejoint la chambre, Fabienne fut nue rapidement, quant à moi, même en me dépêchant, il me fallut un certain temps, que Fabienne mit à profit pour se coucher, le compas de ses jambes largement ouvert et la main droite sur sa chatte en train de se caresser.
« Tu vois ce que tu perds, comme tu l’as dit, j’aime à me caresser et encore plus excitant devant toi, je suis sûr que ça te fait bander et si tu tardes trop j’aurais joui, … Regarde, …, tu aimes, …, ma chatte t’attend, …»
Je m’empressais de me coucher à côté d’elle et reprenais ma discussion avec ses seins, ce qui lui fit abandonner sa moule, pour me les proposer à sucer, lécher, … Puis j’abandonnais la partie haute pour descendre sur son ventre et vers son intimité. Alors que j’entreprenais l’attaque de sa grotte d’amour, elle se retourna et se mettant à califourchon sur moi, remonta jusqu’à ma bouche et s’asseyant pratiquement dessus :
« Je t’amène ma chatte, suce-la, lèche-moi, j’aime cette position, prends-moi avec ta langue, oui,… Comme ça, … Oui c’est bon, … Bois mon jus, …»
Puis elle abandonna cette position pour venir s’empaler sur ma trique, qui était dure et gonflée au possible. Elle me prit et me guidant en elle se laissa descendre sans difficulté tellement elle était trempée :
« Tu vois, …, je me fais l’amour,…, j’aime cette position, …, restes dur que je me fasse jouir, …, OOOHHHH, je te sens bien, …, OUUUIII, … »
Elle montait, descendait lentement puis en accélérant, … J’étais son sex-toy, elle se masturbait avec ma tige, elle dansait autour de mon pieu, se donnant du plaisir et m’en donnant. Par moments elle écartait les bras, puis mettant ses mains sur ses hanches elle dansait du bassin, ce qui était incroyablement excitant, puis elle partait en arrière.
« OUUIIIII,…, c’est bon, …, j’aime que tu me baises comme ça, …, j’aime me faire jouir, …, retiens-toi, …, »
Et je subissais son et mon plaisir. Quand, ne pouvant plus me retenir, je me cambrais et me vidais d’une seule et importante giclée, elle sembla s’arrêter et tout à coup, elle eut un spasme assez conséquent, partit en arrière puis revenant retomba sur moi, haletante, le souffle court. Reprenant son souffle elle dit :
« Oh, que c’était bon, j’ai aimé, … »
Puis se collant contre moi : « Je suis heureuse, je vais pouvoir rester avec toi, dormir avec toi, depuis le temps que j’en avais envie » et elle m’embrassa, un gentil petit baiser. Peut-être une dizaine de minutes après elle dormait. Je mis du temps à m’endormir, la sentant contre moi, il m’arrivait des idées, … Deux ou trois fois, je m’aventurais à la caresser, mais sans résultat probant, je finissais par m’endormir. Mon sommeil ne fut pas très réparateur, car encombré de rêves érotiques, qui, naturellement ne se terminèrent pas ou mal.
Vers le petit matin, le jour était en train de se lever, quand je fus réveillé par un bruit d’eau. Mon premier réflexe fut de regarder le réveil ayant craint de ne pas l’avoir entendu et d’être à la bourre. En fait Il était à peine six heures. Je comprenais que Fabienne devait être sous la douche et effectivement quelques instants plus tard, elle sortait de la douche enveloppée dans un drap de bain.
« J’espère que je ne t’ai pas réveillé ? »
« Non, il était temps que je me remue, mais tu pouvais rester dormir »
« Tu devrais savoir que les femmes n’aiment être vues au saut du lit, et je suis dans ce cas ».
Je l’attirais par le drap de bain qui s’ouvrit et naturellement elle apparut nue, ce qui enclencha une réaction dans mon anatomie. Je l’attirais un peu plus. Moi assis sur le lit, elle debout, elle avait la chatte à hauteur de bouche, ce que je fis, je plongeais entre ses cuisses, qu’elle ouvrit légèrement et avança le bassin pour me faciliter l’accès à ses grosses lèvres.
« SI tu continues, je sens que je vais avoir une envie folle que tu me fasses l’amour ».
Je dois reconnaître que je n’étais pas encore au mieux de ma forme, ça venait, mais, il me fallait encore un petit effort. Elle se laissa tomber sur le lit et se tournant nous étions tête bêche, autrement dit en position 69. Son minou était à portée de langue et je m’employais à m’occuper au mieux de ce qui m’était offert, et je sentais que des doigts, une langue et des lèvres s’activaient sérieusement à redresser la situation, de façon à ce que « popol » soit plus à même d’honorer une jeune et jolie femelle. Les choses évoluèrent rapidement, car Fabienne enclencha la sono en émettant des grognements de satisfaction quant à mes prestations et ayant la langue sérieusement occupée et souvent la bouche pleine elle ne pouvait guère être plus explicite.
Enfin elle se retourna et se mettant sur le dos :
« Viens, viens vite prends-moi,,… Je te veux dans moi,… »
Je roulais entre ses jambes déjà bien ouvertes. Elle s’empara de ma tige, qui après le traitement qu’elle lui avait fait subir avait retrouvé une forme et une dureté digne de son propriétaire. À peine sur elle, elle s’empara de mon outil et le guida vers son fourreau, qui, bien préparé était ouvert, chaud et humide à souhait. Après m’être enfoncé complètement en elle, ponctuée par un OOOHHH OUIII. Les va-et-vient commencèrent, j’étais déchaîné, je voulais la faire jouir, je voulais la posséder entièrement, complètement, et la sono se mit en marche. Ce qui était agréable avec elle, c’est qu’à partir de l’instant où elle se faisait baiser, et qu’elle appréciait, elle accompagnait l’acte de réaction vocale indiquant son plaisir et l’intensité de son plaisir.
« Ouiii, … Prends-moi, …, comme ça, …, je veux te sentir me remplir, …, tu me rends folle, …, ouiiii baises moi fort, …, dis-moi que t’aime me baiser, …, OOOOHHHH, OUIIIIII,…, dis-moi que tu bandes de me savoir nue pour toi, …, causes un peu, …, OOOOHHH OOUUIIIII, c’est bon, ….»
Et comme d’habitude elle partit d’un seul coup avec un orgasme aussi brutal qu’inattendu, et comme je n’arrivais plus à me retenir, je lâchais tout et me vidais dans sa grotte d’amour.
Elle mit quelques minutes à revenir sur terre et se penchant sur moi elle dit :
« C’était bon, tu me rends folle, j’aime quand tu me fais l’amour, … Quand tu me baises, … Pourquoi tu n’as pas voulu hier soir, j’aurais aimé, comme vous dites les bonshommes, me faire sauter sur la voiture »Je ne pouvais pas lui dire que la sauter dans un parking, cela faisait un peu la fille qui attend le client, mais comme elle insistait je lui proposais :
« Si tu veux la prochaine fois on fera comme tu voudras. Peux-tu recommencer le même scenario que cette fois »
« Non, je ne pense pas, même pour ta proposition »
« Bon, je vais voir comment m’organiser, profite de la chambre, tu peux encore te reposer tu ne commences qu’à dix heures ».
On s’embrassa tendrement et si je n’avais pas eu des rendez-vous, je pense qu’elle aurait bien remis le couvert.
À suivre !
Véronique
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