-Thérèse est ainsi coincée entre deux femmes ; nue on lui fait relever les jambes en les écartant, chacune de ses accompagnatrices lui tenant les chevilles.
-On va faire un petit tout en ville lui dit Catherine en souriant ; on n’en n’a pas encore fini avec toi.
-Qu’est-ce- que vous allez encore me faire, pleurniche ma femme.
-On t’a pris un petit rendez-vous chez le coiffeur !rires !
-Mais, mais pourquoi faire ?
-Ne t’inquiètes pas ce n’est pas pour te raser le crâne comme c’est arrivé aux putains qui ont couché avec les allemands pendant l’occupation !rires !Quoiqu’il en a été question ;Par contre si jamais tu recommences avec nos maris, je te promets la tonte !
-Thérèse frissonne à cette pensée.
-Non aujourd’hui on va juste te faire raser la touffe ; mais en public, tu vas voir !rires !
-Elles arrivent dans le centre ; on doit se garer le salon de notre copine est dans la rue piétonne ; ça ne fait rien on va y aller à pieds !
-Mais je suis toute nue bredouille Thérèse !
-Ben on s’en fout ça fera un peu d’animation ; et puis ça fait une heure que tu es à poils et tu t’es même branlée en public, alors tu dois commencer à t’habituer.
-Et puis ça fait partie de la punition !
-Elles sortent ; Thérèse toute nue entourée de ses gardiennes qui l-entraînent, maintenue par les bras ;avec de temps en temps une bonne claque sur ses grosses fesses pour la faire avancer plus vite.
-La pauvre est pieds nus et elle boîte un peu en soufrant à chaque pas sur le macadam !
-Enfin elles arrivent devant le salon ; chez Christine !une grande vitrine, d’habitude fermée par un rideau qui pour l’occasion a été tiré.
-Bien vue au beau milieu de la salle face à la rue trône un magnifique fauteuil rouge.
-Elles entrent ;Thérèse est présentée à Christine, la patronne ; grande femme rousse d’une quarantaine d’années, qui accueille les femmes avec un grand sourire ;son sourire devient un peu cruel lorsque son regard se pose sur ma pauvre femme nue qui se recroqueville en essayant de cacher son intimité.
-Alors voilà ma cliente fait – elle ; et bien on va s’occuper d’elle ;elle empoigne ma femme par un bras et la traîne vers le fauteuil.
-Installe toi ma belle, confortablement ;et surtout pose bien tes cuisses sur les accoudoirs, qu’on puisse voir la zone de travail !rires !Allez !
-Thérèse s’assied en soupirant gardant toutefois ses pieds au sol.
-Catherine vient vers elle et la gifle .Qu’est- ce qu’on a dit ?
-Ecarte les cuisses et poses les sur les accoudoirs !
-Aie fait Thérèse en se frottant la joue ; timidement elle relève ses jambes et pose ses cuisses sur els accoudoirs du fauteuil, révélant ainsi toute son intimité ; son sexe s’entrouvre, les grands lèvres légèrement séparées, luisantes de mouille occasionnée par sa masturbation publique.
-Son sexe entrouvert est un peu rouge et brille aussi de mouille !
-Un jeune homme et une jeune fille s’approchent ; mon fils José est en apprentissage, on va le faire bosser un peu ;ça va lui plaire ;le môme d’une quinzaine d’années a les yeux qui brillent en contemplant le corps nu et offert de ma femme ;il fixe la chatte poilue de ma femme dont il va s’occuper.
-La jeune fille, une petite blonde potelée est une stagiaire ; elle est en classe de troisième.
-Ils vont se partager le travail ; déjà comme tu me l’as demandé on va lui couper le plus gros de ses poils avec des ciseaux ; José tirera dessus et Vanessa coupera. Ensuite José passera la crême à raser et la fille la rasera ;ensuite José lui mettra un peu de crême apaisante !
-Allez, au boulot !
-devant la vitrine une foule importante s’est rassemblée ; ce n’est pas tous les jours qu’on peut assister au rasage de la chatte d’une femme ; les portables et tablettes numériques sont de sortie bien sûr !
-N’oublies pas de mettre les petits poils dans l’enveloppe ça fera un souvenir !
-ça y est l’opération est en route ;le gamin tire des petites poignées de poils et la fille tranche ;parfois Thérèse pousse un petit cri lorsque le gars tire un peu fort ;ça fait rire la fille.
-L’opération dure une dizaine de minutes ; voilà, le plus gros des poils est parti ; mets lui la mousse José !
-L’enveloppe est remplie des petits poils frisés de ma femme qui ferme les yeux de honte !
-Une gifle ! Ne ferme pas les yeux, salope, regarde ton public ;regarde les te mater le con et le cul ; regarde les te filmer !rires !
-Vas – y José badigeonne la ;la crème à raser est appliquée à l’aide d’un blaireau ;méthode ancienne mais qui permet au gamin de passer et repasser sur la chatte et la moule de Thérèse qui laisse entendre de tous petits gémissements ;bien sûr que le môme ne se prive pas de passer entre les lèvres, voire de temps à autre de fourrer un ou même deux doigts dans le con de ma femme.
-Enfin le pubis est bien blanc de crème ;la fille s’approche à son tour et procède au rasage de ma femme ;cela gratte scratch ! scratch ;elle essuie le rasoir et recommence ;le pubis est devenu glabre ,elle passe le rasoir le long de ses lèvres sexuelles ;il reste un peu de crème qu’elle essuie avec une serviette !
-Voilà fait –t- elle satisfaite .
-La patronne s’approche et passe doucement sa main sur le pubis de Thérèse ; c’est bien ;José mets lui un peu de pommade et ça ira !
-Le gamin s’empresse se malaxer le pubis de ma femme avec la fameuse crème apaisante, non sans lui fourrer de nouveau les doigts dans la moule au passage !
-Merci pour tout lance Catherine, je passerai te régler le travail.
-Pas question pour ça c’est gratos , ça va me faire de la pub !hihi !
-Mes clients vont me demander quand je recommence ; rires !
-Bon, on ramène la pute chez elle ; à bientôt et merci encore !
-Cet épisode raconté par ma femme m’a mis dans un état ; ma queue st raide ; dressée, décalottée ; mais apparemment je ne suis pas le seul ;
-Oh fait Jimmy, quelle histoire ça m’a foutu la trique !
-Moi aussi fait Pascal ; regarde le cocu !rires sa petite bite est aussi toute raide ; quel cochon, apprendre toutes ces misères sur sa petite femme et bander !rires !
-Bon, Thérèse, allonges toi sur le canapé, on va t’n foutre un coup j’ai trop envie fait Pascal ; Moi aussi lance Jimmy, j’irai après toi !
-Ma femme s’allonge, elle ouvre ses belles cuisses blanche et s’apprête à se faire fourrer.
-Jimmy s’approche de moi ; en attendant, toi le cocu tu vas me sucer un peu ;allez !
-je n’essaie même pas de protester ,le visage rouge, j’ouvre le bec et enfourne la queue du gamin !gloup gloup slurp slurp hupfff fgloup !
Tout en mattant Pascal qui besogne ma femme !
-Ce soir, lance Pascal à Jimmy, ça m’arrangerait que tu couches avec Thérèse ;tu sais j’ai quelques nanas à m’occuper ;et j’avais promis cette soirée à une autre salope !
-Pas de problème lui répond Jimmy je préviendrai ma mère que je ne la baiserai pas ce soir ; elle va faire la gueule mais tant pis.
-De toutes façons on va bientôt la faire venir ici définitivement, lorsque je me serai occupé d’elle ; au fait il faut que je lui commande aussi un pot de chambre ; quelle couleur on va lui prendre ?hihi !
Harry Covert
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