Récit sexe Une fouille poussée de ma femme par un vigile partie 6

— afin que les récits de Thérèse nous paraissent plus clairs nous allons laisser la parole aux différents protagonistes, nous suivrons donc ses aventures en directs comme si cela lui arrivait sous nos yeux !

— premières affaire : quelques temps avant notre mariage ;Thérèse vit encore avec sa sœur Mary dans un petit appartement qu’elles partagent.

— Première affaire : presque un viol !

— Regardez qui est là lance Alain au volant de sa Peugeot, c’est la petite Thérèse ! vous avez vu son gros cul comme il ; ballote quand elle marche ! rires !

— Sûr ajoute Marc, je lui foutrais bien la main au cul à celle-là !

— Rires !

— Ya pas que toi, ricanent Alex et Jean à l’arrière !

— Eh, au lieu d’aller à la pêche, si on allait à la chasse !

— Ils se sont arrêtés, pour ne pas la doubler ;elle va où, là ?

Sûrement au super faire des courses ; c’est samedi elle ne basse pas !

— On l’embarque, suggère Alain ; chiche !

— Les autres vont nous attendre, on les préviendra ; ça va les intêresser aussi ! hihi !

Bon, y a pas grand monde, on la rattrape et on l’emmêne ?

— Elle va gueuler !

— On est copain quand même ! Elle ne va pas se méfier !

— Allez, banzai ! hihi

— La voiture arrive à la hauteur de Thérèse et stoppe ;

— Alors ma jolie, tu te promènes ? On t’emmène ? y a de la place à l’arrière ;ils ouvrent la portière et, avant que Thérèse ait pu protester la voici tiré à l’intérieur.

— Alex et Jean la font asseoir entre eux, et la voiture repart !

— Laissez-moi ! où m’emmenez — vous ? Laissez-moi descendre !

— Allez, on va faire une ballade, ça va te détendre, tu sais qu’on t’aime bien !

— Tu es si mignonne ! on t’admirait de dos !! rires !

— Mais c’est pas ton dos qu’on admirait ! rires !

— Vous êtes cons !

— Alex et Jean posent leurs mains sur un genou de Thérèse et le caresse !

— Comme tu as la peau douce ma chérie ; imperceptiblement en se regardant ils tirent chacun d’un coté en lui écartant les cuisses !

— Elle résiste, mais c’est peine perdue, voilà notre petite femme avec les jambes et donc les cuisses écartées.

— Elle rosit un peu ; ça suffit laissez-moi !

— Je me demande quelle couleur est sa petite culotte murmure Alain !

— Attend on va jeter un œil, et Alex et Jean se penchent pour regarder ; on ne voit pas bien il faudrait lui relever un peu la jupe !

— Non vous éxagerez quand même proteste Thérèse en essayant d’enlever leurs mains qui, déjà soulèvent l’ourlet de sa petite jupe plissée, et voici ses belles cuisses blanches qui apparaissent, Thérèse est troussée juqu’au ventre ;ah là on voit mieux ;en effet sa petite culotte blanche est là sous leurs yeux ses cuisses écartées tirent sur le nylon dessinant ainsi la forme de ses lèvres sexuelles !

— Et si on lui enlevait sa petite culotte murmure Alex et grattant du bout de l’ongle la fente que l’on devine ! il gratte et passe et repasse son index ! le sillon apparaît plus nettement comme si les lèvres s’écartaient doucement !

Thérèse grimace ! arrétez ! je vais me marier dans un mois quand même, et avec votre copain en plus !

— La femme des copains rigole Alain, c’est sacré, faut qu’elle y passe !

— Allez déculottez la, merde, on veut voir sa petite chatte !

— Alex prend les mains de Thérèse dans les siennes pour l’empêcher de réagir tandis que Jean passe les mains sous l’élastique du slip et tire dessus ;Thérèse frissonne en se sentant déculottée ;non non, pas ça bafouille-t-elle.

— Mais hop la culotte arrive à ses chevilles, Jean lui soulèves les pieds pour la faire passer et voilà Thérèse cul nu !

— Pendant ce temps ils sont arrivés au point de rendez-vous avec les autres soit : Patrice Louis, et Luc ; leur voiture est là.

— Qu’est-ce que vous foutez ? lance Patrice, le copain de Mary !

— On a choppé Thérèse, on vient de la déculotter, ça vous interesse ? rires ! Et par la vitre ouverte Alex brandit le slip de ma femme comme un trophée !

— Oh merde ! ça alors !

— On va dans un coin tranquille, suivez nous !

— Attendez-moi fait Patrice je passe prendre mon appareil photo et je vous rejoins !

— Bonne idée on aura des souvenirs ! rires !

— On va sur l’ancien parking du vieux super abandonné ; Thérèse, privée de sa culotte, ayant toujours les cuisses écartées sentait les regards fixés sur sa petite chatte, mais bientôt ce fût les doigts d’Alex et Jean qu’elle perçût ;en effet, ces deux salauds avaient commencé à investir la place.

— Elle mouille la cochonne ricane Jean en sortant son majeur du con de ma femme, tout gluant de cyprine.

— Si elle mouille c’est qu’elle en veut !

— Arretez, marmonne Thérèse, vous êtes des salauds ; ça suffit !

— Pas avant d’avoir vu le reste !

— On la déshabille ?

— Allez, on la fout à poils !

— Ouais, allez-y !

— Déjà les mains des deux vicieux commencent à déboutonner son corsage ; ils tirent sur les manches, il est ôté ;joli soutien-gorge !

— Thérèse sent alors que l’agrafe dans son dos est défaite ;elle frissonne, quand les bretelles glissent sur ses épaules ;le soutien-gorge rejoint la culotte sur le siège ;la voici seins à l’air.

— Elle comprend que désormais plus rien ne les arrêtera !

— C’est au tour de sa jupe d’être tirée vers le bas, puis enlevée à son tour ; elle est nue — Alors ma belle Thérèse, tu n’as plus rien à nous cacher ! elle sent ses bouts de seins, aspirés par la bouche de Jean qui lui bouffe ses petits nichons, tandis qu’Alex continue de la branler ;deux doigts dans le vagin qu’il fait coulisser, tout en caressant son bouton avec le pouce !

— Thérèse n’oppose maintenant plus aucune résistance ; elle commence même à soupirer et couiner doucement !

— Ils sont arrivés sur le parking ; la deuxième voiture arrive.

— Patrice qui tient son appareil photo, Louis et Luc se précipitent vers la Peugeot, dont ils ouvrent les portes arrière.

— Oh vous l’avez déjà foutue à poils !

— On la baise, alors ?

— Ben, on l’a pas déssapée pour juste la mater, non ?

— Sortez là qu’on la voit bien !

— La pauvre Thérèse, tirée de la voiture, entièrement nue est amenée, devant tous les gars qui l’entourent en palpant sa chair nue ;ses fesses, ses seins ses cuisses son sexe tout est palpé, tripoté, des lèvres se posent sur elle, on cherche à l’embrasser, on la branle, même son petit trou est investi !

— Elle ne cherche même plus à se défendre, ce n’est plus qu’une poupée de chair nue, qui sait qui l’attend désormais.

— Patrice a commencé à prendre des clichés ;on lui fait prendre un peu la pose rigole –t-il !

— Tu la veux comment ?

— De face, de profil, de dos qu’on voit son gros cul.

— les mecs la positionnent selon les directives de Patrice !

— Prend bien son visage, il faut qu’on la reconnaisse !

— Tinquiètes pas, je connais mon métier ;rires !

— Tournes toi Thérèse, penche toi en avant, tiens mets tes mains sur tes fesses et écarte les !

— Non, non salaud !

— claquez lui le cul si elle n’obéit pas ; je veux son trou du cul en gros plan !

— Clac, clac clac fessée copieusement, son cul commence à rougir ! aie aie ! arretez, je vais le faire !

— La pauvre pose ses mains sur ses grosses fesses rouges et les écarte, montrant ainsi son petit anus brun !

— Maintenant accroupit toi, comme si tu pissais et ouvre bien les genoux !

— En soupirant de honte ma petite Thérèse prend la pose !

— ça va faire de jolies photos ;et puis c’est du noir et blanc, c’est moi qui developpe !

— Bon on s’organise comment pour la baiser ?

— On met les sièges en couchette ; on l’allonge sur le dos, et on lui écarte bien les cuisses !! hummm !!!

— Thérèse est amenée, allongée sur la banquette ; elle sent ses jambes relevées sur son buste, bien écartées ;

— Tu vas nous prendre en photo pendant qu’on la baise j’éspère !

— Bien sûr, et vous ferez la même chose pour moi quand je la niquerai !

— On lui bouffe un peu le cul avant de la baiser ?

— Oui, oui ! Allez chacun son tour, et quand tout le monde lui aura bouffé le cul on la tringle, moi je bande sec !

— Thérèse entend tout cela, rouge de honte ;déjà une bouche se pose sur son sexe, des doigts écartent ses grandes lèvres, une langue habille la lèche de haut en bas puis se positionne sur son clitoris !

— Des petits coups de langue lui titillent le bouton ;elle ne peut résister et se met à couiner doucement !

— Tu aimes ça salope, einh ?

— Humm oh fait Thérèse !

— Allez avoues que tu aimes te faire bouffer la chatte et sucer le bouton !

— Elle sent qu’elle va commencer à jouir malgrè la honte d’être prise de force !

— Tu veux que j’arrête lui demande vicieusement Marc qui la lèche ?

— Non, non marmonne Thérèse qui sent des ondes de plaisir envahir son corp !

— HIhi ! petite cochonne va !

— Allez à moi !

— Chacun des mecs présents va donc se mettre entre ses cuisses pour lui, brouter le minou.

— Thérèse n’est plus qu’une femme en chaleur qui ne demande qu’à jouir.

— Bon, tout le monde a bouffé sa chatte, on la met en perce ! rires !

— Voici donc le moment où chacun des acteurs de cette histoire va pénetrer ma femme, lui limer le con et jouir en elle à grand renfort de han han humm !

— Tandis qu’elle se met à couiner de plus en plus fort jusqu’à jouir sans retenue sous les coups de bite des hommes : hummm ouiii humm ohhh ça vient ! ouiii encore encore, plus fort ouiii ohh ça y est c’est bon ouiiiiii je jouis !

— Il aura fallu, une petite demi-heure pour que tous les hommes soient satisfaits et déchargé en elle !

— Ils se renculottent laissant Thérèse nue baignant dans son sperme.

— Une grosse larme de foutre lui coule doucement du sexe sur ses cuisses.

— Tu as fait de bons clichés Patrice ?

— Oui, je n’ai plus qu’à développer !

— J’ai hâte de les voir !

— J’éspère que vous n’allez pas montrer ça à tout le monde marmonne Thérèse qui revient doucement à elle !

— Seulement à nos copains s’esclaffe Patrice !

— Si tu es bien gentille et que tu fais tout ce qu’on veut on sera discret sinon on va montrer ton cul à tout le monde ;au café par exemple ;ton futur mari serait peut-être content de les voir ! rires !

— Oh, non pas ça, pas lui ! ne le dites pas surtout !

— Ok si tu es d’accord pour qu’on se revoit régulièrement pour une petite séance !

— Thérèse baisse la tête, et d’une petite voix, fait : oui pas pas vous tous ! Pas en même temps ! juste deux où trois à la fois, pas plus !

— Les mecs se regardent un peu surpris quand même.

— C’est d’accord ma petite Thérèse ; alors on se revoit demain ?

— Et c’est ainsi que Thérèse devient la maîtresse de sept types qu’elle revit régulièrement pour se faire tringler ;j’étais donc cocu avant d’être son mari !

Harry Covert