Récit sexe Ma petite femme Thérèse et moi sommes au super marché comme tous les mercredis ;tu sais m’avoue — t-elle en rougissant le vigile, tu vois le grand là, elle me désigne un grand mec aux cheveux courts en brosse vêtu d’un élégant costume noir, il n’arrête pas de me draguer, quand je viens seule pour des fringues où des trucs qu’on a oubliés.
– Il me répète qu’il me veut et qu’il m’aura coûte que coûte, même s’il doit me forcer, et il dit ça en rigolant.
– Merde je fais, le salaud ! bien emmerdé quand même, car le mec est balèze, en plus comme il ne s’est rien passé jusque-là, à part des paroles !
– Je sais bien chéri que tu ne peux pas faire grand-chose ; elle soupire !
– Hier encore je suis venue pour regarder des sous-vêtements, il m’a suivie, il voulait que j’en essaie devant lui ! je suis partie sans rien acheter.
– Il m’a dit que j’allais bientôt changer d’avis !
– Notre caddie rempli de nos courses nous arrivons à la caisse, et là !
Sonnerie stridente : l’hôtesse de caisse nous demande de rester sur place, elle a un drôle d’air, une sorte de sourire narquois !
– Elle a passé un appel rapide sur son portable et voici notre vigile qui arrive en souriant lui aussi accompagné d’une femme d’une cinquantaine d’années, l’air sévère avec sa coupe de cheveux gris et son tailleur bleu !
– Ils s’approchent de nous ; on a à faire à des voleurs ?
– Je proteste, vert de rage ;c’est quoi cette histoire ?
– Donnez-moi votre sac madame, ma femme lui tend, l’autre l’ouvre, plonge sa main et en ressort un joli collier de perles !
– Mais, mais, je n’ai jamais pris ça bafouille mon épouse !
– Alors comment expliquez-vous sa présence dans votre sac à main ?
– Déjà un petit groupe de clients curieux s’est formé autour de nous ; regards suspicieux, sourires en coin, murmures !
– vous allez nous suivre nous intime la femme ;venez lance-t-elle à l’hôtesse de caisse, vous nous aiderez pour la fouille !
– J’ai le souffle coupé, la fouille !
– Vous allez les fouiller, demande une cliente en rigolant, tous les deux ? On va les déshabiller demande un jeunot, l’air vicieux !
– En effet, la fouille au corps, précise la femme, c’est entièrement nu !
– Rires murmures divers, de plus en plus de monde autour de nous, veillez à ce qu’elle ne file pas lance la femme au vigile qui, aussitôt prend le bras de Thérèse, qui pousse un petit cri.
– Dommage qu’on ne puisse pas voir ça !
– Oui, on aurait bien aimé assister !
– Oui, ce doit être intéressant ! rires !
– Au contraire fait la femme regardez : ça se passe dans ce local à côté des bureaux, vous voyez, là où la vitrine est cachée par un rideau, qui est tiré pour l’instant ;pendant l’opération, il sera ouvert et chacun pourra regarder ;de plus, tout sera filmé en vidéo et retransmis sur les écrans du magasin ;et il y aura sûrement des détails plus visibles sur les vidéos qu’en direct ! ils rient ;je pense aux gros plans précise la femme en souriant !
– Je suis sidéré ; je marmonne : vous n’allez quand même pas mettre ma femme toute nue devant tout le monde !
– Mais si bien sûr ! cela fait partie de la punition pour les voleuses !
– Allez ! en route ! nous sommes menés ma femme et moi vers le local, entouré d’une foule goguenarde.
– Nous entrons ; la femme fait coulisser le rideau qui découvre une grande baie vitrée ! l’équipe de vidéo et déjà là ;un jeune homme muni d’une caméra perfectionnée portable, et deux jeunes filles, l’une portant un projecteur pour la lumière et l’autre un micro pour enregistrer les paroles.
– Ils se mettent immédiatement à l’œuvre et nous sommes bientôt en pleine lumière !
– Une grande table trône au milieu de la pièce ; il y a deux armoires, un grand lavabo, je remarque aussi deux grandes cuvettes en plastique.
– Le cameraman braque son outil sur nous attendant l’évolution de la situation.
– Je vous signale que les sons sont aussi transmis sur les écrans, donc on vous verra et l’on vous entendra !
– Nous allons procéder à la dénudation dans un premier temps ;je frissonne en entendant ces mots !
– Je propose que le mari soit plutôt dévêtu par Pascal (le vigile), et sa femme par vous Brigitte (la caissière).
– En effet je sais que se faire déshabiller par un homme sera plus humiliant pour le mari ; n’est-ce pas monsieur me fait-elle en souriant !
– Attendez qu’il soit nu pour vous occuper de sa femme ce sera intéressant de voir ses réactions quand on s’occupera de son épouse ! rires !
– Allons-y !
– Je suis tétanisé, lorsque l’homme commence à déboutonner ma chemise, j’esquisse un geste de protestation ; chlac ! une magistrale gifle m’arrive en plein visage ; on se laisse faire ! c’est la femme qui vient de me claquer !
– Le souffle coupé, je baisse les bras ; ma chemise est ôtée ; tout en s’activant le type me murmure : tu vas voir je vais m’occuper de ta femme tout à l’heure depuis le temps que je veux la baiser hihi !
– Il vient de me retirer le tee-shirt ;je suis torse nu ;la caméra est sur moi.
– Il s’attaque alors à la ceinture de mon pantalon, puis baisse ma braguette ; je n’ose pas regarder vers la vitre ; je devine les regards hilares des vicieux qui nous mattent !
– Mon pantalon est baissé, jusqu’aux chevilles ; j’ai senti un instant sa main frôler mon sexe sous le slip ;
– Il passe les mains sous l’élastique du slip, et le tire vers le bas ;je suis déculotté en public ;il se penche m’a fait lever les pieds, il se relève avec mon froc et mon slip dans les mains ;je suis nu !
– Au tour de madame la voleuse ; foutez-moi ça à poils comme son mari !
– Brigitte s’active à son tour ;je vais vous aider Brigitte fait la femme à nous deux ça ira plus vite !
– Je crois que notre ami Pascal a hâte de découvrir les charmes de la dame ! rires !
– L’une s’occupe de déboutonner son corsage tandis que l’autre baisse la fermeture éclair de la jupe, qui est tirée vers le bas ;
– Je vais faire une petite vidéo personnelle lance Pascal en pointant son portable sur ma femme.
– La jupe est tombée aux pieds de ma femme ; tandis que son corsage lui est enlevé ! il lui reste son collant en bas sous lequel on devine la culotte blanche.
– Brigitte l’a fait pivoter pour dégrafer son soutien-gorge ;clic ;elle fait passer les bretelles du soutien sur les épaules de ma femme, et voici Thérèse seins à l’air ! je vois ses petits bouts bruns qui pointent !
– L’autre femme s’attaque au collant, elle passe els mains sous l’élastique et tire ; ah fait-elle je crois que j’ai pris le slip avec ! elle sourit ;
– Effectivement, culotte et collant sont tirés vers ses chevilles, sa touffe de petits poils bruns frisés apparait ;la femme lui fait lever les pieds tout est ôté ;mon épouse est entièrement nue !
– Je me rends alors compte que je suis en érection à ma grande honte, je bande !
– Pascal s’en aperçoit le premier ; regardez ça fait bander son mari de voir sa femme mise à poils en public ! rires !
– Une vraie petite bite de cocu en plus ! rires !
– je suis mort de honte !
– Combien fait-elle demande la femme,
– Attendez, on va la mesurer ; Pascal ouvre une armoire et revient avec un mètre souple qu’il déplie !
– Voyons fait il en ricanant ;il pose la base sur mon pubis et lit le résultat, en même temps que le mètre il tient le bout de ma bite.
– ils se penchent tous vers mon engin ; hummm ! 10 cm ! oh disons 11 fait la femme ! il ne doit pas te faire jouir des masses avec sa petite queue, lance Pascal ! tu dois le faire cocu, non ?
– Ma femme baisse la tête en rougissant de plus belle !
– On va se renseigner ! rires !
– Bon, en attendant on va explorer leurs cavités naturelles ; allez mes jolis grimpez sur la table et mettez-vous à quatre pattes !
– on place un petit tabouret pour nous aider ; la table est revêtue d’une texture souple et probablement imperméable.
– Frissonnant de honte nous prenons position ; nus à quatre pattes le cul à l’air ;je sens mes couilles qui pendent ! j’imagine la vision que doivent avoir les spectateurs quant à la vidéo qui nous filment sans cesse !
– Nous allons maintenant explorer vos cavités ! cambrez vous pour vous ouvrir au maximum ! rires ! qu’on puisse accéder à vos trous !
– Je vais explorer le mari, lance la femme Brigitte va lui écarter ses petites fesses ;Pascal je vois Thérèse, je sais que vous allez la sonder habilement ! rires
– Bien madame répond celui-ci un large sourire sur sa face !
– Vous voulez la vaseline ?
– Inutile, ça va aller ; soudain je sens un doigt qui se fraie un passage dans mon rectum ! je ne peux retenir un cri : aie !
– Le doigt va et vient s’enfonce profondément, je sens qu’il me fouille ! puis ressort, juste une petite crotte fait la femme en essuyant son doigt sur mes fesses !
– Allez descendez, c’est fini pour vous, vous allez pouvoir regarder votre femme se faire doigter par notre ami Pascal !
– Rouge de honte je quitte la table ; mettez-vous dans un coin, et profitez du spectacle !
– Déjà Pascal vient d’introduire deux doigts dans le vagin de ma femme ;ses yeux brillent de plaisir, tandis qu’il les fait coulisser tranquillement !
Rien à signaler jusque-là fait il en me regardant ; je vais lui mettre un autre doigt pour être sûr !
– Mon épouse, reins cambrés, ses grosses fesses maintenues écartées par Brigitte se fait alors doigter à trois doigts, qui glissent d’avant en arrière dans son sexe ; on entend même un léger flic floc tandis qu’il entre sort ses doigts.
– Elle mouille bien s’amuse l’homme qui est en fait en train de la branler ! Et vite !
– Im retourne alors sa main st sort son index qu’il positionne juste sur son clitoris !
– Eh eh fait-il je crois que j’ai touché son petit bouton sans le vouloir précise-t-il en ricanant !
Ma femme qui toujours très sensible à cette caresse commence à couiner ; humm humm oh non ! arretez ! humm hummm !
– Très bien j’arrête rigole Pascal en sortant ses doigts du sexe de ma femme ; au tour du petit trou ; et sans se gêner le voici qui enfonce son index dans le cul de ma femme qui piaille ! aie ho ouille !
– Pas besoin de vaseline ; mon doigt est gluant de mouille s’amuse-t-il ! son index coulisse dans le trou du cul de ma femme ; flic floc !
– On lui voit tout ! ses grosses fesses nues écartées, l’anus perforé par le doigt, et dessous les grandes lèvres qui pendent un peu ainsi que sa touffe de poils !
– Bon fait la femme on va quand même lui donner un bon lavement pour être sûr !
– Je crois avoir mal entendu ; un lavement ? Je murmure ?
– Oui il y en a qui avalent des bijoux alors on les fait ressortir par le bas ! rires !
– Pascal est allé chercher une grosse seringue dans l’armoire munie d’une canule devant et une poignée pour actionner le piston !
– Cela contient 500 ml on va lui faire deux injections et on attendra l’évacuation ! le produit que l’on mélange à l’eau est très efficace ;je l’ai déjà expérimenté dans un autre magasin ;pour ici notre Thérèse va inaugurer la procédure !
– Pascal remplit la seringue puis s’approche de ma femme qui a toujours son gros cul nu ouvert ;je ne peux pas voir son visage, mais je devine ce qu’elle doit ressentir ! et dire que tout cela est filmé en gros plan, car le gars a la caméra s’est approché pour filmer ! les spectateurs ne louperont rien !
– Pascal approche alors la canule du petit trou de Thérèse, très doucement il enfonce l’embout dans son cul le plus loin possible !
– Ma femme pousse un petit cri de détresse ; puis, il commence à injecter le liquide en elle je vois le piston qui avance devinant le liquide qui envahit le cul de ma femme son intestin !
– Elle miaule ! hoooo haaaa !!!
– Le piston est vide, la canule est ressortie, il prépare l’outil pour la deuxième injection !
– Le trou du cul goutte un peu ; le tube replonge dans l’anus de Thérèse qui râle de nouveau ! on entend un léger chuintement lorsque le liquide passe en elle !
– ça y est le tube est ressorti ;
– Vous pouvez lâcher ses fesses Brigitte ; ça ne va pas être long ! allez chercher une civette et placez-lui sous son gros cul !
– On entend ma femme pleurnicher doucement ! puis elle commence à pousser des petits cris !
– ça ne va pas tarder s’amuse la femme !
– Écartez — vous ça pourrait éclabousser !
– En effet un jet jaillit du cul de Thérèse, d’abord faible, puis plus fort, giclant sur les bords de la cuvette heureusement assez hauts !
– La couleur du liquide passe de clair à marron, de plus en plus foncé ! puis des petites crottes de merde apparaissent mêlées à l’eau !
Plic ploc contre la cuvette, puis de nouveau de l’eau marron foncé, puis marron clair ; puis encore quelques gouttes puis plus rien !
– Apparemment pas de bijoux dans sa merde rigole Pascal en jetant un coup d’œil rapide au contenu !
– On vous épargne ça fait la femme en me regardant ; c’est plutôt elle la voleuse !
– Maintenant nous allons passer à la punition !
– Je la regarde ébahi ; ce n’est pas fini ?
– ça c’était l’examen, maintenant la sanction ! vous aurez remarqué une nouvelle installation dans le hall d’entrée ;une estrade avec un cheval de saut ! pour donner la fessée aux voleurs et voleuses ! suivant la valeur du vol c’est soit sur la culotte soit culotte baissée, soit entièrement nue, et toujours en public !
– Pour Thérèse ce sera donc entièrement nue, telle qu’elle est !
Vous allez être conduits sur l’estrade, le mari restera nu, il est quand même responsable de sa femme, pour assister à la punition ;la punie sera hissée sur l’engin et sera fessée par des volontaires de l’assistance.
– On y va ; vous allez devoir faire le tour complet du magasin avant d’arriver à l’estrade ; l’exhibition faisant partie de la sanction ; l’humiliation ressentie participe autant que les claques sur le cul ! rires !
– Nous sortons, nus de la pièce, sous les rires et les quolibets ;le trajet à travers les divers rayons, nus comme des vers est un véritable supplice ;nous avons les yeux baissés pour ne pas voir ceux qui nous scrutent !
– Et nous arrivons à l’estrade ; trois petites marches et nous voici de nouveau en pleine lumière ; Pascal et Brigitte aident ma femme à se mettre à califourchon sur l’engin de gymnastique qui n’a sans doute jamais servie à accueillir une femme nue ;les jambes de chaque coté, elle est allongée ;des courroies enserrent ses mains et ses chevilles !
– La femme prend un micro : cette femme Thérèse, surprise à voler un bijou de valeur, après avoir été examinée comme vous avez pu le constater mérite donc une sévère punition sévère et exemplaire, afin que cesse la pratique du vol !
– Vous allez pouvoir venir la punir vous — mêmes en lui donnant chacun deux claques sur chaque fesse ! elle sera ensuite rendue à son mari ! que les volontaires se présentent !
– Ouais oui !! chic allons y ! claquons lui son gros cul cette salpe de voleuse !
– Les candidats sont bien sûr nombreux à se présenter, le pire étant la diversité aussi bien pour le sexe que pour l’âge, car de nombreux gamins certaine n’ayant qu’une douzaine d’années vont venir lui claquer le cul, ce sont même les plus nombreux, ce qui amuse Pascal qui les encourage.
– Allez — y n’ayez pas peur de lui claquer fort son gros cul, elle le mérite ! ajoute — t-il en rigolant !
– Et, sous mes yeux embués de larmes de honte, je dois assister à ce spectacle terrible : voir sa petite femme toute nue, son gros cul bien relevé, montrant ainsi non seulement son arrière-train, mais également son sexe, dont on voit distinctement les grandes lèvres et ses poils — Ils y vont de bon cœur ! les claques se succèdent, ses fesses commencent à rougir ; elle se met à pleurnicher en suppliant ! ça suffit aie aie !!! arrêtez ! stop ça me brûle !
Mais les fesseurs loin de s’apitoyer redoublent de zèle !
– Les femmes ne sont pas les plus tendres, et je lis dans leurs yeux tout le plaisir qu’elles ont à punir et humilier ma femme !
– Quant aux mômes, ils essaient surtout entre deux claques de fourrer leurs doigts dans ses trous ; tantôt le petit tantôt son vagin ;et comme Pascal qui surveille l’opération les laisse faire, elle doit subir ces pénétrations juvéniles !
– La séance dure presque une demi-heure, avec une courte pause et sous les applaudissements, nous sommes redescendus de l’estrade et reconduits dans la pièce où nous avons étés examinés !
– Le rideau a été refermé !
– Maintenant, je vais passer à la phase finale lance Pascal : la baise de Thérèse ! il rit ! Je le regarde, soufflé !
– Co comment ça,
– Et bien comme je lui avais promis je vais la baiser ! et devant son cocu !
– soit vous êtes bien obéissants tous les deux soit la semaine prochaine vous aurez de nouveau un bijou volé sur vous ; alors comme récidivistes nous devrons prévenir les flics !
– Je connais leurs méthodes, j’ai été des leurs ! ils sont une cinquantaine au commissariat, une dizaine de femmes et 40 mecs.
– Ils vont la garder jusqu’à ce qu’ils lui soient passés dessus une ou deux fois chacun !
– Alors c’est soit eux, soit moi ! choisissez !
– Je comprends avec douleur que nous n’avons pas beaucoup le choix ;je lis dans le regard de ma femme qu’elle aussi s’est résignée !
– Bon je crois qu’on s’est compris clame Pascal d’un air triomphant !
– Il a gagné, ce salaud !
– Donc voilà comment on va procéder, chaque semaine, après votre passage en caisse, car bien sûr vous êtes tenus de revenir nous voir, sinon vous serez dénoncés aux flics, que ce soit clair !
– Donc après votre passage en caisse je viendrai vous chercher pour une fouille complète, mais privée.
– Vous vous mettrez nus ; je le regarde ; oui le cocu aussi !
– Et ce cocu devra me sucer avant que je baise Thérèse sous ses yeux !
– Quoi !! comment ?
– Il sourit ; et oui, c’est comme ça et on va commencer immédiatement ; agenouille-toi devant moi !
– Mais, mais, non je ne veux pas !
– Clac clac un aller et retour !
– mes joues sont brûlantes !
– Après tout on pourrait considérer que le mari est aussi responsable du vol de sa femme, complice ! et qu’il mérite la fessée ! comme sa femme !
– Brigitte et la femme qui nous ont accompagnés approuvent ! Oui dans le fond ;on y retourne ?
– Je frissonne de peur ; non non pas ça je vous en prie !
– Alors, on suce ?
– Je baisse la tête, vaincu ; oui je fais d’une voix faible !
– Mesdames voulez — vous bien installer Thérèse sur la table, et lui écarter les cuisses, pendant que son gentil cocu va me sucer la bite !
– Il sourit ; c’est très courant, un cocu qui suce la bite de l’amant de sa femme ! rires ! ça se fait beaucoup dans le grand monde !! re—rires !
– Agenouillé devant lui, il s’approche ; sors-la et pompe-moi, allez !
– Regarde, ta femme est déjà en position, elle n’attend que ma queue ! rires !
– En effet, ma petite femme est allongée sur le dos, ses jambes relevées et écartées, les femmes lui ont fait tenir ses chevilles.
– Elle est prête à se faire fourrer ; je frémis.
– Regardez la petite bite du cocu redresse ! ça l’excite de voir sa petite femme prête à être baisée par un autre homme, à moins que ce soit la perspective de te sucer précise la femme. Rires ! Ou les deux !!! hihi !
– Les mains tremblantes j’ouvre la braguette et je sors son morceau qui est déjà bien gros et commence à durcir dans ma main ; j’approche ma bouche et je l’enfourne ;gloup gloup, slurp slurp gloup humphh ;je commence à le sucer ;elle grossit et durcit vite !
– J’ai alors un énorme sexe en bouche ; slurp slurp gloup !
– Mets-moi des petits coups de langue sur le gland et sur le filet ;il rit !
– J’obéis, je le lèche, rouge de honte !
– Regardez comme elle bande sa petite queue ! Il est excité ce petit cochon ! rires !
– A ma grande honte je dois constater que c’est vrai ! Un instant je crois le regard de ma femme qui semble un peu surprise, mais ce n’est pas un regard de reproche, mais le regard d’une femme aimante !
– Elle sait ce qu’elle va subir, et elle sait que je vais la voir tringlée !
– Pascal s’écarte ; allons fourrer la petite Thérèse je vois bien qu’elle s’impatiente ! hihi !
– Je vais lui bouffer un peu le cul avant de lui mettre !
– Tu aimes te faire lécher le bouton ma chérie lui demande-t-il d’un air narquois !
– Sans attendre sa réponse, il plonge son visage entre les cuisses de ma femme !
– Je vois son crâne qui monte et descend tout doucement, j’imagine sa langue qui passe et repasse sur le petit bouton d’amour de mon épouse, qui adore cette caresse !
– Elle ne tarde d’ailleurs pas à le prouver en se mettant à couiner : humm humm hooo ho hummm oui oui !!!
– Elle aime ça la salope on dirait commente Brigitte en me lançant un regard ironique !
– Thérèse continue à miauler ! huummm ouiii !! hoo oui !
– Pascal se redresse, se met face à elle approche sa bite du con de ma femme et, d’une main ferme l’introduit en elle !
– Oh fait ma femme ! ohh hummm ohh !
– Il commence à la limer doucement, je vois ses fesses qui se contractent, ses coups de bite ; j’imagine sa queue qui entre et sort !
– Approche-toi, cocu ! viens voir de près ; vient voir ma queue qui lime le con de ta femme ça va te plaire !
– Je suis tiré par les deux femmes ; elles approchent mon visage et je vois en gros plan la bite du gars qui entre et sort de la moule de mon épouse !
– Tu n’avais jamais vu ça, je parie ?
– Tu auras d’autres occasions de la voir se faire baiser, je te le promets ! pendant que Pascal baisait mon épouse, les deux femmes filmaient la scène grâce à leur tablette numérique !
– Bientôt Thérèse se mit à couiner plus fort miauler ! ouiii ohhh oui oh oui !! ça vient !!! ça vient !!! ouiii !! hummm c’est bon !! plus fort plus fort encore !!! ouiii !!! ça y est ouiiiii ! elle a jouit la salope ! gronde Pascal en râlant à son tour !!! haaaaa je décharge !!!
– J’imagine la giclée de sperme envahissant le vagin de ma femme, qui continue de gémir doucement ! hummm haaa !
– Pascal sort sa queue qui pendouille un peu, luisante de la mouille de ma femme ;il me fait un clin d’œil ;viens donc me la nettoyer avec ta petite langue !
– Sans force, j’obéis, m’agenouille de nouveau et, du bout de ma langue je nettoie la bite du baiseur de ma femme !
– C’est gluant ; gout de sperme mêlé au gout de la cyprine de Thérèse !
– Quand tu auras fini nettoie un peu le cul de ta femme ! rires !
– Je passe de la queue de Pascal au minou de ma femme d’où suinte une grosse larme de sperme, que je dois avaler.
– C’est bon ?
– Euh euh.. je… rires !
– Il faut t’habituer au sperme tu auras l’occasion d’en avaler ! rires !
– Bien, on va vous libérer ;à la semaine prochaine, pour un coup de bite ma petite Thérèse, j’ai vu que tu avais aimé !
– Ma femme baisse la tête gênée d’avoir montré son plaisir !
– Avoue que tu as joui petite pute !
– Oui oui, marmonne ma femme d’une voix faible en baissant les yeux !
– tu y auras droit chaque semaine ; mais je vais peut-être envisager des visites à votre domicile parce qu’une baise par semaine c’est trop peu ; alors attendez — vous à ma visite ! j’ai très envie de coucher avec toi ma jolie ; on enverra le cocu dans la chambre d’ami ! rires !
– Il pourra branler sa petite queue en t’écoutant jouir !
– Il empoigne ma femme qui est descendue de la table et l’enlace, il colle sa bouche sur la sienne ; et.. Je devine leurs langues qui se mêlent ;ma femme a fermé les yeux, tandis qu’ils se roulent une pelle le type malaxe furieusement le cul de ma femme qui, inconsciemment écarte les jambes, en se laissant toucher l’entrecuisse !
– On va devenir très proches ma chérie lance Pascal ! Thérèse un peu confuse baisse les yeux, puis cherche mon regard ;elle se mordille els lèvres ! j’esquisse un pauvre sourire lui faisant comprendre que je ne lui en veux pas !
– Rhabillez-vous et sauvez-vous, mes chéris avant que j’ai envie de recommencer !
– À bientôt !
– Nous sortons du magasin, ayant récupéré nos courses, vite à la voiture avant qu’on nous reconnaisse !
Harry Covert
Qu’est-ce que je ne donnerais pas pour que cela arrive à ma femme et à moi. J’ai beau regarder les vigiles de mon supermarché, car eux aussi regardent ma salope comme une friandise à déguster, malheureusement ils ne font rien que de la regarder.
peut etre provoquer la chance?