Récit Sexe Vous me connaissez, je suis Véronique, l’amie de Julie et de Manon, ainsi que l’amante de Philippe et Brigitte. Je suis divorcée et par ce récit je vais vous narrer comment j’ai fait connaissance de mon mari. J’ai une particularité dans la composition de mes propres récits c’est de me mettre à la place de la personne adverse que ce soit un homme ou une femme. Pour ce récit ce sera Herman mon ex-mari un allemand parlant le français à la perfection. Je suis française habitante en Allemagne car mon père travaillait pour les Forces Française en Allemagne et est resté en Allemagne après la dissolution du régiment ou il œuvrait en tant que personnel civil. Il est décédé d’un ca ncer un an environ avant la date de ce récit.
Revenons à présent une trentaine d’années en arrière et donnant la parole à Herman :
Sait-elle les risques qu’elle encourt ? Sait-elle que ses agissements sont réprimandés par la morale de notre société ? Pourtant, elle ne semble pas en tenir cas.
Je m’appelle Herman, je vis à Freiburg en Allemagne.
J’ai acheté une petite maison au cœur de la ville avec jardin privatif. L’immeuble d’en face possède trois fenêtres donnant sur ma cour. À l’achat de la maison, j’ai longuement hésité, du fait de cette mitoyenneté qui aurait pu me déranger. Je craignais les regards indiscrets qui auraient pu se dissimuler derrière ces trois fenêtres.
Aujourd’hui, je dois avouer que ne regrette nullement mon achat. L’appartement aux trois fenêtres est occupé par une jeune femme d’environ trente ans, célibataire semble-t-il, et possédée par un vice qui égaye mes soirées d’homme célibataire. Je sais si peu de choses concernant ma lubrique voisine, sinon qu’elle se nomme Véronique, qu’elle est brune aux longs cheveux bouclés, jusqu’à mi-fesses, qu’elle a de gros seins plantureux, une taille de guêpe et de grosses fesses plantées fièrement sur de belles et longues jambes adorablement galbées. Je pourrais tenter de faire sa connaissance, l’aborder lorsqu’elle sort de son immeuble, mais je préfère maintenir le charme de notre relation à distance.
Plusieurs soirs par semaine, à la tombée de la nuit, ma voisine Véronique se poste à sa fenêtre, vêtue d’une robe légère qui met admirablement en valeur ses formes généreuses. Elle déambule d’abord d’une pièce à l’autre, et je peux suivre chacun de ses déplacements par les trois larges fenêtres de son appartement. Elle procède à quelques rangements, ouvre ses placards, en sort des affaires qu’elle place en d’autres endroits.
Elle se penche, ses jambes maintenues tendues, pour atteindre des tiroirs placés au niveau du sol. Là, j’aperçois clairement la moitié de son beau cul charnu, sous sa robe trop courte pour le cacher dans cette position. Elle sort délicatement quelques vêtements de sa garde-robe sexy qu’elle observe longuement avant de les jeter négligemment sur son lit blanc. Elle sait pertinemment que je suis en train d’observer ses faits et gestes depuis la fenêtre de mon salon. Elle se positionne de manière que je ne perde rien du spectacle qu’elle m’offre. Elle fait glisser sensuellement une bretelle le long de son épaule, tout en regardant amoureusement son sein lourd qui se découvre. Elle serre les bras de façon à compresser sa poitrine pour la mettre plus encore en avant.
La deuxième brettelle glisse alors seule de son épaule et laisse apparaître son autre sein plantureux. Elle desserre ensuite ses bras. Le tissu soyeux de sa robe glisse le long de son buste pour venir se loger sur ses hanches larges, au creux de sa taille ultra-fine. Elle s’assoit ensuite sur un fauteuil exposé à ma vue. Elle saisit un flacon contenant une lotion hydratante pour la peau et enduit généreusement sa poitrine opulente qu’elle masse longuement. Ses mains palpent les moindres recoins de ses formes, elle presse, caresse, malaxe jusqu’à pénétration complète de la lotion. Elle excite ses mamelons érectiles en les faisant rouler entre ses doigts, elle tire dessus comme pour les allonger, comme pour se procurer un plaisir jouissif. Son visage affiche un sourire de béatitude.
Elle soulève ensuite ses jambes qu’elle appuie sur le rebord de la fenêtre. Je peux ainsi admirer son sexe et ses fesses dodues lorsqu’elle soulève sa robe. Elle saisit de nouveau le flacon de lotion et l’applique maintenant le long de ses cuisses ouvertes. Elle repose le flacon et commence à faire pénétrer la lotion sur sa peau veloutée. Elle caresse l’intérieur de ses cuisses, sur toute leur longueur. Elle soulève d’abord une jambe bien en hauteur qu’elle saisit des deux mains et frictionne fermement, comme si elle frictionnait une énorme verge dressée vers le ciel. Elle attrape ensuite son pied qu’elle masse longuement. Le pied semble être, chez elle, une zone hautement érogène. Elle est prise de soubresauts. Parfois, elle porte son pied jusqu’à sa bouche et suce ou lèche langoureusement ses orteils.
Elle fait de même avec son autre jambe, avec tout autant d’application. L’excitation croît, tant de son côté que du mien. Sa langue commence à courir sensuellement sur ses lèvres roses et charnues. Elle saisit encore son flacon de lotion et s’enduit cette fois copieusement le bas-ventre et le pourtour de son sexe presque entièrement épilé. Avec une souplesse étonnante, elle ouvre les jambes jusqu’au grand écart. Elle commence à masser son ventre pour se rapprocher de son pubis et plaquer la paume de sa main sur la zone la plus érogène de son corps. Elle fait pénétrer son enduit huileux sur ses grandes lèvres d’abord, puis les écarte pour chercher son clitoris. Elle accélère peu à peu les mouvements circulaires de sa main posée à plat sur sa chatte.
Elle se masturbe énergiquement, sous mes yeux, sans jamais porter le moindre regard dans ma direction. Je me branle à son rythme, ma position de voyeur m’excite au plus haut point. Je m’enduis même parfois le pénis d’une lotion magique que j’ai acquise sur un sex-shop et dont le parfum musqué joue le rôle de phéromones sexuelles. Cela décuple fortement mon excitation et mon orgasme. Ma voisine s’astique avec toujours la retenue d’une femme du monde, tout en se tordant de jouissance sur son fauteuil. Elle étire ses seins, les triture avec une moue de plaisir intense que je peux lire sur son visage radieux. Elle est alors secouée par un orgasme qui semble décuplé par le plaisir lubrique de se savoir observée par un inconnu. À mon tour, je laisse échapper mon sperme que je contiens depuis plusieurs minutes. Mon éjaculation fulgurante m’emporte pour quelques secondes dans une extase indicible.
Elle s’écroule de tout le poids de son corps dans les creux de son fauteuil et reste là, de longues minutes à savourer la sérénité et le calme que procure une séance d’onanisme intensément vécue. Nous restons, elle et moi, un long moment dans un état de semi-conscience, séparés par nos fenêtres, comme nous pourrions rester lovés dans les bras l’un de l’autre après avoir fait fougueusement l’amour ensemble. Pourtant, sans ne nous être jamais concertés, nous savons tous deux que nous ne partagerons jamais un moment d’amour ensemble.
Nous sommes tacitement d’accord et satisfaits des règles de ce jeu qui nous unit.
Voilà je, Véronique reprend la plume pour la conclusion de ce récit.
Quelques jours suivant par un pur hasard en rentrant des courses avec le coffre plein d’achats, je tombe nez à nez avec mon voyeur d’en face. Faisant mine de faire l’innocente il me propose de m’aider à décharger la voiture. Hésitante dans un premier temps je finissais par accepter. Pour le remercier je lui offris un verre et nous avons alors fait plus ample connaissance, il se présenta alors comme s’appelant Herman qu’il à 32 ans et qu’il travaille de nuit à la DB, (la SNCF allemande).
Après une seconde chope de bière la conversation déviait vers le sexe. Il m’avoua qu’il me regardait m’exhiber et me masturber, ce que je savais car il n’était pas discret, je le remarquais au rideau qui bouge et aux mouvements de son bras.
Soudain Herman me demanda si je ne voulais pas le faire en sa présence et promis de ne pas me toucher. D’abord réticente, j’acceptais de m’exhiber et de me masturber comme je le faisais régulièrement derrière les fenêtres. Il se masturbait et allait jouir lorsque je me précipitais sur cette énorme queue bandée pour la prendre en bouche. Surpris, il éjacula au fond de la gorge.
Nous en sommes restés la pour ce soir car il devait aller travailler.
Notre relation s’est ensuite transformée en mariage qui ne dura pas longtemps. Nous avons divorcé l’année suivante pour des raisons d’ordres personnelles.
Je suis retournée vivre en France ou j’ai exercé le métier de secrétaire de direction pendant de longues années et c’est là que j’ai connu celui qui allait devenir mon amant Philippe en cachette de mon second mari qui me donna 2 enfants, mais celui-ci se termina aussi par un divorce.
J’ai décidé alors de ne plus me marier de rester libre tout en gardant mes relations avec Philippe mon patron relations qui s’est élargi en devenant bi lors d’une soirée libertine ou j’ai eu ma première relation sexuelle avec Brigitte l’épouse de Philippe.
Voilà ce récit que je classerais dans la rubrique biographie,
Véronique
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