Rencontre fortuite qui procure beaucoup de plaisirs

Ted adorait son jogging de l’après-midi. Non seulement cela lui permettait de rester en forme, mais le chemin qu’il empruntait habituellement était toujours rempli de jeunes femmes et de jeunes filles magnifiques, dont la plupart utilisaient le jogging comme excuse pour montrer leur corps ferme et sexy. Elles étaient invariablement vêtues de shorts de course moulants et de tee-shirts encore plus moulants, ne laissant que peu de place à l’imagination. La vue de tant de jolies jeunes filles bondissant le long du chemin rendait généralement Ted plus chaud que l’exercice lui-même, et lorsqu’il rentrait chez lui auprès de sa femme, il avait envie d’une bonne et longue baise pour se défouler.

Aujourd’hui n’était pas différent, et alors que Ted tournait le coin de son chemin habituel, il vit une superbe rousse qui courait dans la même direction que lui, à une cinquantaine de mètres devant lui. « Mmmmm, c’est vraiment beau, putain ! » souffla-t-il en regardant les jolies joues rondes du cul de la fille rebondir de manière alléchante à chaque pas qu’elle faisait. « Jésus, qu’est-ce que je ne donnerais pas pour un peu de ça maintenant, » marmonna-t-il pour lui-même. Ted augmenta sa vitesse, essayant de réduire l’écart, mais au bout d’un moment, il réalisa qu’il n’allait pas pouvoir rattraper la jeune fille athlétique sans gaspiller beaucoup d’énergie précieuse. En désespoir de cause, il regarda autour de lui à la recherche d’un raccourci quelconque, et repéra immédiatement un sentier latéral qui partait sur sa gauche et qui semblait prometteur. Ted décida de l’emprunter. Il quitta le sentier principal et s’engagea sur la piste partiellement envahie par la végétation.

Ce n’est pas ce qu’on peut appeler un sentier bien usé », se dit-il, évitant les fréquentes branches basses et sautant par-dessus les racines des arbres et les troncs tombés qui menaçaient de le faire trébucher à chaque pas. Il commença à regretter sa décision hâtive alors que le chemin se dégradait de plus en plus, devenant finalement tellement envahi par la végétation que Ted dut s’arrêter pour s’orienter.

« Putain ! » jura-t-il en réalisant que le chemin avait complètement disparu. « Pas moyen de passer par là ».

Avec un haussement d’épaules, Ted se retourna et reprit le chemin qu’il avait emprunté. Il ne fit que quelques pas avant qu’un léger bruit n’attire son attention. Il s’arrêta et écouta. C’était encore le cas ! Il était faible mais audible et semblait provenir de derrière les buissons à sa droite. Ted se pencha et loucha dans le sous-bois. Il ne voyait rien, mais le bruit devenait de plus en plus fort.

Curieux, Ted écarta prudemment les branches et se dirigea vers la direction d’où semblaient provenir les bruits. Alors qu’il s’enfonçait silencieusement dans le buisson, le bruit devint de plus en plus fort et de plus en plus clair, jusqu’à ce que soudain le sous-bois dense s’éclaircisse et que là, dans une petite clairière, se trouve la source des sons mystérieux. Il s’agissait d’un couple de jeunes enfants, un garçon et une fille, tous deux à moitié nus sur l’herbe près du bord de la clairière.

La fille portait ce qui restait de son uniforme de lycéenne. Elle était allongée sur l’herbe, sur le dos, les genoux pliés et les jambes écartées, sa culotte blanche s’enroulant de façon obscène autour d’une cheville fine. L’adolescent était entre les cuisses ouvertes de la jeune fille, son pantalon baissé jusqu’aux genoux, et il baisait de toutes ses forces la chatte dodue aux cheveux clairsemés de la jeune fille. Les sons qu’il avait entendus étaient les gémissements de plaisir de la jeune fille tandis que la fine bite du garçon s’enfonçait profondément dans son petit trou serré et humide.

La fille, qui semblait assez âgée pour s’amuser, avait les yeux fermés et son jeune corps souple se cambrait, s’efforçant de recevoir la bite de son amant. Chaque fois que le garçon plongeait sa petite bite dans sa chatte, la fille poussait un gémissement sonore, appréciant manifestement le peu de pénétration qu’il parvenait à lui donner. Ted pouvait voir clairement entre les jambes qui se tordaient, et il sursauta à la vue de la petite chatte compacte de la fille. Chaque fois que le garçon retirait sa bite raide de sa fente étroite et juvénile, les lèvres de la jolie petite fille se retiraient autour d’elle, serrant la bite raide du garçon comme une minuscule bouche froncée. Jésus, elle doit être bien serrée » pensa Ted, tandis qu’il s’émerveillait de la merveilleuse vue de la chatte remplie de la fille étalée devant lui.

Sa propre bite commença à gonfler inconfortablement dans son pantalon, et Ted baissa une main pour saisir l’érection qui se raidissait, frottant ses doigts le long de sa longueur dure tout en regardant les activités terriblement excitantes qui se déroulaient dans la clairière. La fille se déhanchait maintenant, secouant son petit con presque imberbe contre la bite plongeante de son amant en rythme avec ses coups féroces vers le bas… gémissant et gémissant en extase pendant tout ce temps. Mon Dieu, elle n’a même pas encore de poils sur sa chatte… et elle est ici dans les bois, les jambes en l’air, en train de baiser comme une putain de pro » pensa Ted, de plus en plus excité à chaque minute.

Le chemisier de la fille était ouvert, révélant ses jeunes et fermes seins. Ted fut agréablement surpris de constater qu’ils n’étaient pas aussi petits qu’il s’y attendait pour une fille de cet âge. Ils étaient de forme conique, avec de gros mamelons roses, parfaits pour être sucés. Comme s’il lisait dans l’esprit de Ted, le garçon pencha la tête et commença à mordiller les petits morceaux de la taille d’une bouche, les suçant dans sa bouche pendant que sa bite glissait continuellement dans et hors de son trou chaud et avide. « C’est ça gamin… lance-lui ! » se dit Ted en chuchotant. « Baise-la bien !… Fais en sorte que cette petite salope en chaleur le sente vraiment ! »

Ted fixait la chatte rose et juteuse de la fille, souhaitant que ce soit lui qui enfonce sa grosse bite dure dans son petit trou à baiser serré au lieu de son petit ami sous-développé. La bite de ce dernier était minuscule comparée à celle de Ted, mais à en juger par la façon dont la fille inclinait ses hanches vers lui, le suppliant d’en faire plus, Ted était persuadé que même son énorme bite entrerait dans ce petit fourreau bien huilé… avec un peu de place en trop… Mon Dieu, ce serait vraiment quelque chose d’autre !

Ted était sur le point de sortir sa bite de son pantalon et de se branler pour atteindre un orgasme bien mérité lorsque le garçon trembla et s’affaissa contre la poitrine de la fille. Sa petite chatte chaude et serrée avait manifestement été trop forte pour le garçon inexpérimenté, et il avait épuisé sa charge prématurément, éjaculant un flot soudain de sperme de garçon dans la jeune chatte encore insatisfaite de la fille. Alors que le garçon retirait sa bite qui se dégonflait rapidement et roulait hors d’elle, le regard sur le visage de la jolie jeune fille lui indiqua qu’il avait eu raison. Elle n’avait pas encore joui, et à la façon dont elle le regardait, elle n’était certainement pas satisfaite de la situation. Elle dit quelque chose au garçon et il répondit avec un air de colère sur le visage. Ted ne pouvait pas entendre ce qu’ils disaient, mais il était clair qu’une dispute avait lieu, dont le sujet n’était pas difficile à deviner.

Le garçon dit quelque chose et se leva brusquement en enfilant son pantalon. La fille n’avait pas bougé depuis que son jeune amant avait roulé sur elle. Ses jambes étaient toujours écartées et Ted se délectait de son regard sur sa chatte récemment baisée. Les minuscules lèvres de la chatte étaient gonflées et très légèrement écartées, seules quelques gouttes de sperme et de jus de chatte s’échappaient de l’étroite fente. Ted sourit en lui-même. Après une bonne baise, les lèvres de la plupart des femmes s’ouvrent de façon obscène, laissant échapper une véritable marée de sperme et de crème de chatte qui s’écoule dans les fentes de leur cul. Cette jeune fille était tout à fait différente, la réponse au fantasme le plus secret de Ted. Elle ne devait pas baiser depuis très longtemps, avec une chatte aussi serrée », pensa-t-il. Mmmmm !…mais la façon dont elle se tortillait et suppliait pour en avoir plus pendant que son petit ami la perçait, signifiait que sous cette jeune apparence, elle était un volcan sexuel prêt à exploser !

Cette pensée remplit Ted d’un désir incontrôlable… il donnerait n’importe quoi pour enfoncer sa grosse bite dans sa petite chatte excitée et continuer là où son malheureux jeune amant s’était arrêté. Soudain, Ted eut une idée. Il poussa à travers le mince couvert de buissons à travers lequel il avait espionné la paire de baiseurs, et s’avança dans la clairière. Le garçon leva les yeux le premier, vit Ted se diriger vers lui et s’enfuit dans les buissons. La fille était toujours allongée dans l’herbe, nue jusqu’à la taille. Elle ne l’a pas vu ni entendu s’approcher parce qu’elle avait un bras sur le visage et qu’elle pleurait. Ses jeunes jambes minces étaient toujours écartées et ses petits seins apparaissaient de manière provocante à travers le devant de son chemisier ouvert. En s’approchant, Ted put voir que sa jolie petite chatte n’était pas aussi glabre qu’il l’avait d’abord pensé. Elle était recouverte d’un léger duvet brun pâle, presque invisible jusqu’à ce qu’on s’approche suffisamment pour le voir.

Il se tenait au-dessus d’elle, admirant la beauté adolescente de cette jolie jeune fille. Elle ne l’avait toujours pas remarqué. Ses pleurs s’étaient un peu calmés, mais de temps en temps, de petits sanglots secouaient son corps svelte. Pendant qu’il regardait, elle laissa tomber une petite main vers sa chatte et glissa son majeur à l’intérieur des lèvres gonflées, frottant activement son petit bouton d’amour négligé. Ted se sentit désolé pour la jeune fille en regardant ses doigts lisses travailler désespérément à l’intérieur de sa jeune chatte avide… son besoin évident amplifiait le sien. Comment peut-on laisser une belle jeune fille comme elle dans cet état ? Ted se racla bruyamment la gorge pour attirer son attention.

Perdue dans un nuage brumeux d’autogratification, la jeune fille dut penser qu’il s’agissait de son petit ami, car son doigt resta profondément enfoncé dans sa chatte lorsqu’elle retira sa main de son visage et leva les yeux. Lorsqu’elle vit Ted, elle regarda rapidement autour d’elle à la recherche de son petit ami. Il n’était pas en vue, ce qui l’effraya encore plus. Alors qu’elle regardait Ted, sa petite bouche s’ouvrit et ses yeux bruns s’écarquillèrent de stupeur. Réalisant soudain que son doigt était toujours dans sa chatte, elle le retira rapidement, essayant désespérément de couvrir ses seins et sa chatte en même temps, sans succès. Ted la regarda, simulant un visage sévère.

« Qu’est-ce que tu crois faire, jeune fille ? », hurle-t-il. La jeune fille essaya de se lever, mais lorsqu’elle réalisa que cela signifierait exposer ses seins ou sa chatte une fois de plus, elle décida de ne pas le faire et ramena ses genoux devant elle. Des larmes commencèrent à inonder ses yeux alors qu’elle essayait de lui répondre.

« N… n… rien ! », sanglote-t-elle en le regardant avec ses grands yeux innocents de petite fille.

« Ne me dis pas que tu ne faisais rien ! tonna Ted. « Je t’ai vue avec ce garçon !…. Vous baisiez tous les deux, n’est-ce pas ? ».

« Oh, p… s’il vous plaît, monsieur, ne le dites à personne… mon père va me tuer ! »

« Quel âge as-tu d’ailleurs ? » aboya Ted, faisant de son mieux pour être aussi menaçant que possible envers la jeune fille effrayée.

Ted la regarda de haut en bas, il ne la croyait pas.

« Quel âge ? dit-il d’un air renfrogné.

J’ai l’âge d’avoir une bite. Je le suis, honnêtement ! » répondit la jeune fille en pleurant. La bite de Ted tressaillit dans son pantalon.

« Depuis combien de temps ce garçon… ah, comment s’appelle-t-il ?… »

« Robbie », répondit-elle. « Il s’appelle Robbie. »

« C’est vrai… Depuis combien de temps ce Robbie te baise-t-il ? »

La fille n’a pas répondu. Elle a baissé la tête, honteuse de raconter un détail aussi intime à un parfait inconnu.

« Regarde-moi, ma fille ! Maintenant, dis-moi… depuis combien de temps toi et Robbie vous baisez ? »

« Th… c’était seulement la deuxième fois. »

‘Bon sang, pas étonnant qu’elle ait l’air si serrée’, pensa Ted.

« Comment tu t’appelles ? »

« Melissa », sanglote la fille.

« Melissa quoi ? » grogna-t-il.

« Melissa Harvey »

« Harvey… Harvey… » marmonna Ted, faisant semblant de reconnaître le nom. « Je crois que je connais ta mère. »

« Tu connais ma mère ? » gémit Melissa, les yeux grands comme des assiettes. « Oooh Jésus, ne lui dis pas ça, s’il te plaît ? S’il te plaît, non ! »

Ted s’assit près de la jeune fille et passa un bras autour de ses jeunes épaules. Il posa son autre main sur son genou d’une manière paternelle, en prenant soin de ne pas l’alarmer. Sa jeune chair lisse était incroyablement ferme et chaude au toucher, presque fiévreuse… chaude et humide de la sueur de ses récents ébats.

« Je ne dirai rien à personne, Melissa… tant que tu ne le fais pas, chérie », sourit Ted en écartant doucement les cuisses serrées de la jeune femme.

« Qu’est-ce que tu veux dire ? demanda la jeune fille effrayée, sanglotant de temps en temps.

« Voilà ce que je veux dire, chérie », murmura Ted.

Il sortit sa bite en érection de son short et posa sa petite main dessus. La jeune fille saisit instinctivement l’énorme érection, haletant avec un mélange de surprise et d’excitation lorsque ses doigts sexy s’enroulèrent autour de la longue tige dure. Elle la regarde avec des yeux pétillants, hypnotisée par sa taille. Soudain, Melissa réalisa ce qu’elle était en train de faire. Elle était en train de toucher la bite d’un parfait inconnu !

« Non, monsieur ! S’il vous plaît… nous ne devrions pas ! » s’exclama-t-elle. Ted remarqua que même si la voix de Melissa protestait, sa main ne quittait pas sa bite.

« Appelle-moi Ted, chérie », répondit-il en glissant sa main entre les jeunes cuisses crémeuses de la jeune fille. « Bien sûr que oui, bébé… Je vois que tu le veux autant que moi ! Tu veux que je finisse ce que Robbie a commencé, n’est-ce pas ? Melissa sentit un frisson de plaisir parcourir ses reins à son contact intime, et hocha la tête.

Ted se pencha vers son visage et sa bouche chaude se posa sur la sienne. Il écarta ses lèvres tendres et glissa sa langue brûlante entre elles. Le cerveau de Melissa semblait tourner sous l’effet de l’excitation tandis qu’il caressait sa langue à l’intérieur de sa bouche. Son cœur commença à palpiter et son corps tout entier frissonna d’un désir adolescent. Elle ouvrit la bouche de plus en plus grand, répondant au baiser passionné de Ted. Ses cuisses s’écartèrent de plus en plus, non pas parce que Ted les écartait, mais parce qu’elle avait très, très chaud entre elles.

Tandis que Ted plongeait sa langue dans la bouche chaude et mielleuse de la jeune fille, ses mains se promenaient librement sur son corps lisse et pubère, cherchant la douceur chaude de sa jeune chatte. Ses doigts descendaient avec amour sur son ventre ferme et rond… un peu plus bas et il était là. Aucun poil pour la dissimuler, aucun buisson féminin pour indiquer à ses doigts où aller, juste un léger duvet de chatte doux et duveteux.

La bite de Ted palpitait d’excitation, tressaillant soudainement dans la petite main de Melissa lorsqu’il glissa un doigt à l’intérieur de la chatte lisse de la jeune fille. Il n’alla pas très loin, l’étroitesse des reins de la jeune fille empêchant toute pénétration pour le moment. Mais il y avait de l’humidité, et beaucoup d’humidité.

« Mmmmmmmmmm ! » gémit la jeune fille, sa bouche chaude et jeune toujours collée fermement à la sienne. La façon dont Ted l’embrassait et la pénétration soudaine de son gros doigt dans la fente chaude et humide de sa chatte la faisaient trembler d’excitation, et en peu de temps, Melissa se retrouva à répondre avidement à la stimulation érotique du toucher expert de Ted. Ted retira sa bouche de la sienne.

« Tu aimes ça, n’est-ce pas, chérie ? » haleta-t-il en enfonçant encore plus son doigt dans sa chatte juvénile et serrée. « Dis-moi, Melissa, dis-moi combien tu aimes mon doigt dans ton petit trou chaud, bébé !

Melissa lève les yeux vers lui, ses grands yeux bruns sont des bassins profonds de luxure adolescente. Elle ne se souciait pas qu’il soit un étranger, tout ce qui comptait pour l’instant était le plaisir que son doigt générait dans sa jeune chatte extrêmement excitée.

« Oh Ted ! C’est si bon ! Mets-le plus profondément… joue avec moi… s’il te plaît ! »

La jeune fille haletait maintenant, sa joue pressée contre le devant de la chemise de Ted. Son doigt était plus qu’agréable, il était absolument merveilleux… meilleur encore que la petite bite raide de Robbie quelques minutes plus tôt. Pliant ses genoux à fossettes, Melissa écarta les cuisses pour faciliter son accès. Ted ne tarda pas à accepter l’invitation évidente et commença à faire entrer et sortir son doigt de sa chatte chaude et serrée, toujours incapable de pénétrer plus loin que la deuxième phalange.

« Mon Dieu, tu es bien serrée, chérie ! chuchote Ted. « J’ai hâte d’y introduire ma bite. J’ai l’impression que mon doigt est coincé dans un putain d’étau ! » Sa bite palpitait puissamment dans son petit poing. Ted saisit ses doigts recroquevillés et commença à les déplacer sur l’énorme tige. « Comme ça, Melissa », dit-il. « Frotte ton poing de haut en bas sur ma bite en serrant bien fort. Utilise tes deux mains si tu veux, bébé ».

La jeune fille mit son autre main autour de son énorme bite et commença à les bouger toutes les deux de haut en bas… dans des directions différentes. Ted gémit de plaisir. Il n’avait jamais senti une prise aussi légère et ferme sur sa bite auparavant, et la façon dont elle bougeait ses petits poings dans des directions opposées en même temps était tout simplement incroyable. Aucune femme ne l’avait jamais branlé comme ça, et voilà qu’une écolière de quatorze ans lui faisait la meilleure branlette de sa vie. C’était vraiment fantastique !

Melissa trouvait cela fantastique aussi. Elle n’arrivait pas à croire que c’était vraiment en train de se produire. Elle était là, assise à moitié nue dans les buissons, en train de branler un parfait inconnu pendant qu’il jouait avec sa chatte. Au début, elle avait eu honte et peur, mais dès que le doigt de Ted avait touché sa petite fente chaude, Melissa n’avait pensé qu’au plaisir qu’il lui procurait. Il était plutôt mignon aussi, décida-t-elle, même s’il était assez vieux pour être son propre père. Melissa frissonna en repensant à son père. Il était beau aussi, beau et bien bâti, tout comme Ted. Des pensées folles envahissaient son jeune esprit confus tandis que le plaisir montait dans ses reins. Bientôt, elle commença à fantasmer que c’était la bite de son père qu’elle tenait dans ses mains, et que le doigt raide qui se tortillait dans sa jeune chatte juteuse était aussi le sien.

« Mmmmmmm, papa ! » gémit-elle sous l’effet de son souffle. « …oui, fais-le moi ! »

Ted sourit en entendant ces mots, et décida de participer au fantasme incestueux de la jeune fille en chaleur. Il trouva son petit clito naissant et le frotta doucement entre le pouce et l’index, la regardant se tortiller contre sa main avec délice. Elle se tortilla contre sa main avec délice. Elle lui montra son jeune entrejambe, haletant, désirant une pénétration plus profonde.

« Tu aimes ça, Melissa ? » lui souffla-t-il chaudement à l’oreille. « Tu aimes que papa frotte ton petit clito pour toi, chérie ?

« Ohhh oui ! », souffle-t-elle. « C’est merveilleux ! Tu me fais me sentir bien partout ! »

« Et ma bite, chérie ?…. Et la bite dure et rigide de papa ? » demanda Ted, de plus en plus excité au fur et à mesure qu’il jouait la charade excitante avec la jeune fille.

« Mon Dieu, c’est magnifique, papa !… mais c’est tellement énorme ! Je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts !…. Est-ce que je le frotte de la bonne façon ? »

« Christ, yessss ! » gémit Ted. Sa bite semblait sur le point d’exploser avant qu’il ne soit prêt. S’il ne faisait pas quelque chose de rapide, il allait pulvériser du sperme sur le ventre nu et rebondi de la petite fille en chaleur.

« Allonge-toi et écarte les jambes, Melissa, ma chérie », dit-il soudain. « Papa veut embrasser le doux pot de miel de sa petite fille ».

Melissa ne savait pas de quoi Ted parlait. Il ne voulait pas vraiment l’embrasser entre les jambes, n’est-ce pas ? C’était terriblement humide là-dessous, avec le sperme de Robbie et sa propre crème de chatte, comment diable quelqu’un pourrait-il même penser à l’embrasser à cet endroit ? pensa-t-elle. Mais, alors que Ted la poussait doucement vers l’arrière, Melissa ne s’y opposa pas. Tant qu’il continuait à lui donner du plaisir et qu’il ne lui faisait pas mal, elle était heureuse de faire tout ce que voulait ce bel homme.

Ted s’agenouilla entre ses jambes et saisit ses cuisses, les écartant largement. Melissa leva les yeux vers lui, regardant attentivement Ted retirer son short et sa chemise. Son corps avait l’air fort et musclé, et énorme, alors qu’il la dominait comme un géant. Un grand géant sympathique, pensa Melissa, et ses jeunes yeux furent de nouveau attirés par sa bite en érection. Elle l’attrapa et commença à serrer fermement le puissant mât, son autre main tombant automatiquement sur sa chatte. Ted baissa les yeux lorsque le majeur de la jeune fille glissa humidement dans le haut de sa petite chatte serrée et garnie de fourrure.

« Oui, c’est ça… joue d’abord avec toi-même, ma chérie », encouragea-t-il. « Montre à papa comment tu t’excites, Melissa ! Fais en sorte que ta petite chatte soit bien mouillée et juteuse pour la langue de papa ! »

« Je le ferai, papa ! » s’écrie-t-elle en insérant un autre petit doigt dans sa fente largement ouverte. Ses seins délicats et coniques se tenaient haut et effilés sur sa jeune poitrine, les pics jumeaux pointant fermement vers le haut, leur blancheur presque translucide dans la lumière filtrée du soleil. Ses petits mamelons fripés étaient rose bébé, la couleur la plus délicieuse que Ted ait jamais vue.

« Mon Dieu, chérie ! Tes petits seins sont si beaux ! » dit-il en enroulant ses longs doigts autour d’eux. Il les serra, ce qui fit gémir Melissa, qui se cambra et pressa avidement ses petits seins naissants contre ses mains dures et rugueuses. Elle se mordit les lèvres tandis que des frissons sauvages parcouraient son jeune corps.

« Ohhhh, c’est bien, papa, mais j’en veux encore plus », gémit-elle. « Suce-les ! Suce mes seins, s’il te plaît !…. Ooooooo, Jésus, lèche-les et suce-les, papa ! ».

Ted se pencha et entoura de ses lèvres l’un des seins de Melissa fermement tendu, suçant le petit mamelon dur jusqu’à l’érection complète et palpitante, faisant haleter et se tordre d’extase la jeune fille excitée. Transférant sa bouche vorace sur l’autre sein de la jeune fille, Ted le suça jusqu’à ce qu’il atteigne un état d’excitation similaire. Des frissons intenses et palpitants parcouraient les reins de la jeune fille tandis que ses doigts taquinaient et frottaient son clitoris en même temps que Ted suçait son mamelon.

« Oh, mon Dieu, je n’en peux plus ! Je n’en peux plus ! » gémit-elle. « Ta bouche est si bonne ! Pendant qu’il lui suçait les seins, Melissa continuait à doigter sa chatte qui s’humidifiait rapidement, tout en frottant la bite de Ted. C’était si bon que bientôt son petit cul tendu commença à s’agiter et à se tortiller sur le sol. « Oooooh, l’herbe ! s’exclama-t-elle soudain. « Ça me chatouille ! »

« Où, chérie… où ? » demanda Ted, en retirant sa bouche des délicieux seins de la jeune fille.

Au début, la petite fille avait essayé de ne pas utiliser les mots que ses parents et ses professeurs avaient qualifiés de vulgaires et d’obscènes. Mais lorsque Ted les utilisait, cela l’excitait, et à mesure que son excitation augmentait, les inhibitions enfantines de Melissa s’évanouissaient rapidement.

« Ma chatte », dit-elle en riant. « L’herbe me chatouille la chatte comme une folle !

« Ohhh, ma chérie, tu connais ces mots, n’est-ce pas ? » Ted ronronna, embrassant le bout de son nez parsemé de taches de rousseur. « Tu peux tous les utiliser avec moi, bébé !

« Ohhh, papa ! J’en ai envie ! Ça m’excite tellement quand tu me parles de cochonneries ! ».

« Moi aussi, bébé ! » dit Ted. « Veux-tu que je t’embrasse entre les jambes maintenant ?… Je pense que tu es plus que prête pour ça. »

« Mmmmmmm, oui, yesss !…. Embrasse-moi, papa !…. Embrasse ma chatte ! Embrasse-la très fort ! »

Ted pencha sa tête entre les cuisses de la jeune fille et écarta les jambes. Il regarda attentivement l’entaille rose et palpitante de son petit orifice cunéal. Elle était belle, comme seule une chatte de jeune fille peut l’être, les lèvres roses et boudinées se retroussant en un rictus affamé de désir adolescent. Avec un souffle de plaisir, Ted regarda l’humidité abondante qui était visible le long de sa tendre fente. Il avait hâte de la lécher !

Étonnamment, Melissa n’éprouvait aucune honte à rester allongée, les jambes écartées. Les yeux de Ted sur sa chatte nue semblaient avoir l’effet inverse, ne faisant qu’intensifier l’excitation de la jeune fille. Elle s’agrippa à ses épaules lorsque Ted se pencha en avant et approcha ses lèvres de sa petite chatte frémissante. Melissa gémit lorsque Ted écarta les lèvres roses et serrées de sa chatte et enfonça sa langue raide aussi loin qu’il le pouvait dans la chatte chaude et pleine de jus de la jeune fille.

« Oooooohhhhh ! Wowwwwww ! Dieu ! Uhhhh… ta langue… . C’est… ummmm… c’est si bon papa ! » gémit-elle, s’étalant sur l’herbe, ses jeunes hanches minces se tortillant sans défense tandis que Ted léchait et suçait sa petite chatte savoureuse.

Ses sens s’affolaient et son esprit bondissait de formes fantasmagoriques tandis que la longue langue de Ted l’entraînait dans un manège de plaisir inégalé. Sa bouche sur sa chatte ouverte était la sensation la plus excitante et la plus sexy que la petite fille excitée de quatorze ans ait jamais ressentie, et bientôt, en réponse à ses ministrations linguales, sa jeune chatte brûlante commença à le récompenser avec un véritable flot de jus de fille clair et parfumé.

Ted commença à la sucer avec avidité, aspirant les gouttelettes rosées dans sa bouche comme si sa vie en dépendait. Elle avait un goût merveilleux. Il avait toujours aimé le goût de la chatte, mais comparé à la saveur féminine habituellement forte à laquelle il était habitué, la petite chatte délicate de Melissa avait un goût pur, chaste et innocent. Son jus était comme du miel dans sa bouche, et Ted en aspirait jusqu’à la dernière goutte. Il était vaguement conscient des sons qu’elle émettait… c’étaient les gémissements et les plaintes d’une jeune fille qui expérimentait le vrai sexe pour la première fois, une fille qui se tenait au bord d’un tout nouvel horizon. La luxure traversa Melissa lorsqu’elle sentit le doigt de Ted frotter doucement à l’entrée de sa petite chatte serrée et froncée.

« Ohhh, c’est bien, papa ! » cria-t-elle avec délice. « Frotte mon trou du cul !

Ted voulait enfoncer son doigt dans son joli petit cul et enculer la jeune fille sexy en même temps que sa langue baisait sa petite chatte excitée, mais malgré son invitation flagrante, c’était peut-être trop pour l’instant, il valait mieux laisser ce plaisir pour plus tard. Au lieu de cela, il écarta sa chatte, poussant sa bouche contre la chaleur humide de sa fente béante. En se plaçant sous elle, Ted saisit les joues de son petit cul chaud, forçant l’entrejambe grand ouvert de la fille contre son visage, enfouissant sa bouche et son nez profondément dans sa petite chatte juteuse et palpitante. Melissa était en feu avec les coups de langue de Ted sur son minuscule clito. Elle était folle de désir, se tortillant dans une frénésie de luxure pubère, tandis que des sensations incroyables se bousculaient dans son ventre et ses reins, poussant la jeune fille précoce à se précipiter vers une apothéose fulgurante.

« Ohhh, mon Dieu !… Je n’en peux plus ! » hurle-t-elle. « Uhhhh, je vais… ooooooooh !… C’est en train de se produire !… Arhhhhhhhh ! Mmmmmm ! Mmmmm ! Mmmmmaaaahhh ! »

Ted sentait qu’elle était si inexpérimentée sexuellement que son vocabulaire ne contenait aucun mot pour décrire ce qui lui arrivait. Mais cela n’avait pas d’importance, parce que le ton de sa voix, et la façon dont elle gémissait de façon incontrôlée, disaient à Ted tout ce qu’il avait besoin de savoir. Elle était sur le point d’avoir un orgasme. Il en était certain. Ses lèvres grignotèrent sans pitié son petit clito palpitant, aspirant le petit bourgeon durci dans et hors de sa bouche. En quelques instants, elle s’agitait et se tordait, son jeune corps souple et gracieux ondulant sauvagement sous lui. Alors qu’elle atteignait son apogée, Melissa saisit l’arrière de la tête de Ted à deux mains et poussa son visage contre sa chatte juteuse, tournant ses hanches avec ivresse dans une tentative désespérée d’amener chaque coin de sa chatte spasmodique en contact avec sa bouche goulue.

La petite Melissa jouissait… jouissait comme elle ne jouirait plus jamais, jouissait comme seule une adolescente peut jouir. Elle était totalement inconsciente de tout ce qui l’entourait, se concentrant uniquement sur le plaisir intense que les lèvres et la langue de l’homme généraient dans sa chatte palpitante. Ted lécha et suça la jeune fille à sec, sa bouche quittant à regret son minuscule trou de baise frémissant seulement après que ses spasmes se soient calmés et que chaque goutte de sa délicieuse crème de sperme ait passé sur sa langue et descendu dans son gosier assoiffé.

Il se redressa et prit sa bite dans sa main gauche, caressant le puissant organe jusqu’à l’érection tandis qu’il s’agenouillait entre les cuisses minces de la jeune fille. Il regarda la jeune fille avec un regard de pure luxure. C’était un rêve qui devenait réalité. Il avait toujours eu un faible pour les jeunes filles, les plus jeunes étant les meilleures, mais la petite Melissa était parfaite… jolie… bien proportionnée, et surtout… extrêmement consentante.

Il fallait qu’elles le veuillent aussi, pensait Ted, sinon, pour lui, ce n’était que de la maltraitance d’enfants. La fille devait avoir autant de plaisir que lui, sinon Ted se désintéressait rapidement de la chose. Il fixa le corps nu de Melissa, étalé sexuellement sur l’herbe devant lui. Ses jambes étaient toujours écartées sans vergogne, exactement comme il l’avait laissée. Ted fit monter et descendre fermement sa main sur sa bite tout en laissant son regard parcourir le corps de Melissa, de ses petits seins délicats jusqu’à sa petite chatte rose et propre. Melissa sortit de sa transe post-orgasmique et ouvrit les yeux. La première chose qu’elle vit fut l’énorme bite en érection de Ted, et elle regarda, les yeux écarquillés, son poing monter et descendre fermement l’arme redoutable…

« Mon Dieu, ta bite est énorme… bien plus grosse que celle de Robbie ! » dit-elle en se soulevant sur ses coudes pour mieux voir. Ted vit une expression d’inquiétude traverser les traits de la jeune fille lorsque Melissa découvrit la taille réelle de cet organe gigantesque.

« Ne t’inquiète pas, bébé ! Une fois que je l’aurai mis en toi, tu en aimeras chaque centimètre ! »

« Mais il ne rentrera jamais dans ma chatte ! » gémit-elle.

Ted savait qu’il rentrerait, mais il savait aussi qu’il perdait son temps à essayer de la convaincre. Il allait devoir l’exciter tellement qu’elle finirait par le supplier, puis il l’enfoncerait jusqu’au dernier centimètre dans sa petite chatte délicate et baiserait à mort cette petite chatte excitée. Il s’allongea à côté d’elle et la fit rouler vers lui.

« Nous ne sommes pas obligés de baiser si tu n’en as pas envie, bébé », murmura-t-il en passant ses mains sur son corps, en caressant ses petites fesses tendues et en pressant ses petits tétons.

« On ne veut pas ? » demanda Melissa avec surprise.

C’était la seule chose que la plupart des garçons qu’elle connaissait voulaient d’elle. Bien sûr, certains l’avaient tripotée au cinéma, mais Robbie était le seul qu’elle avait laissé mettre sa bite dans sa chatte. La première fois fut un peu douloureuse, et lorsqu’il eut fini, elle commençait à peine à sentir quelque chose de merveilleux se développer dans sa petite chatte gonflée. Cela l’a frustrée à l’époque, alors elle l’a laissé recommencer… aujourd’hui… hors d’elle dans la clairière, espérant trouver l’insaisissable satisfaction qui lui avait échappé auparavant. Mais la deuxième fois a été la même… alors qu’elle commençait à ressentir quelque chose, Robbie a giclé en elle et a pris son pied. Elle lui a demandé de réessayer, mais Robbie s’est contenté de rire et de se moquer d’elle. Ils se sont disputés et c’est alors que Ted est apparu. Ted était le seul à avoir réussi à lui faire vivre la merveilleuse expérience de l’orgasme, et elle l’aimait pour cela.

« Tu as aimé qu’on te suce la chatte, Melissa, » demanda Ted en posant sa main sur sa petite chatte gonflée.

« Oh, mon Dieu, oui ! I… Ummmmmmmmmm ! Ooooh, Papa ! » gémit-elle tandis que le majeur de Ted se glissait entre ses lèvres humides et massait son petit clitoris.

« C’est quoi ce truc que tu as avec ton père, chérie ? Est-ce que tu fais aussi ce genre de choses avec lui ? » demanda Ted avec espoir.

« Jésus, non ! répondit-elle. « J’aurais trop honte ! Et puis mon père ne tenterait jamais rien avec sa propre fille ».

« Tu serais surprise, ma chérie ! » dit Ted. « Et toi, qu’en penses-tu ? Aimerais-tu que ton père te fasse ce que je suis en train de te faire ! » Ted enfonça profondément son doigt dans sa chatte, pressant son pouce contre son clitoris.

« Uhhhhh, Mmmmmmm, yesss ! Oh, putain oui, je le ferais !…Dieu, je le ferais jamais ! »

« C’est ce que je pensais, » souffla Ted, en continuant d’agir avec ses doigts sur la jeune chatte sensible de la petite fille. « Et s’il te suçait la chatte comme je viens de le faire ? Je parie qu’au fond de lui, il aimerait le faire aussi. Tous les pères ont des pensées sexuelles pour leurs filles et vice-versa, mais seuls quelques pères et filles ont l’occasion ou le courage d’aller jusqu’au bout ».

« Tu veux dire que mon père veut probablement faire l’amour avec moi ? demanda la jeune fille avec incrédulité. A cette seule idée, elle eut un tressaillement dans les reins et les muscles de sa chatte se contractèrent et se détendirent autour du doigt profondément enfoncé de Ted.

« Merde, oui ! Bien sûr qu’il le fait ! Bon sang, Melissa, si j’étais ton père et que je découvrais à quel point tu es une petite fille sexy, je te baiserais et te sucerais dès que j’en aurais l’occasion, bébé ! » chuchota Ted, en pressant ses petits seins d’une main tandis que l’autre caressait son goulot ouvert et luisant.

« Ohhhh, mon Dieu ! Si seulement il le faisait ! », gémit Melissa en remontant sa chatte vers les doigts de Ted.

« Tu dois juste lui montrer que tu es intéressée, bébé, c’est tout », dit Ted. « Tu sais, laisse ta porte ouverte pendant que tu te changes… porte des shorts serrés, des jupes courtes, et les culottes les plus fines que tu puisses trouver… montre-lui un peu de seins et de fesses. Et le vrai test, c’est de t’asseoir sur ses genoux en nuisette et de l’embrasser chaudement pour lui souhaiter bonne nuit, si sa bite ne bondit pas et ne mord pas ton joli petit cul, c’est qu’il est fait de pierre, putain ! »

Melissa écouta les conseils de Ted tout en savourant la sensation de ses mains sur son corps tremblant. Les images que ses mots évoquaient la rendaient presque aussi chaude que ses doigts. Sa chatte se remplissait à nouveau de jus, et cette démangeaison familière dans ses reins était de retour, plus forte que jamais.

« Mmmmm, oui ! oui ! Oooh, Ted, fais comme si tu étais à nouveau mon papa ! Montre-moi ce qu’il ferait si je faisais ce que tu as dit ! », cria-t-elle.

Ted écrasa ses lèvres sur les siennes, embrassant chaudement la jeune fille, forçant sa langue dure à pénétrer profondément dans sa bouche chaude et réceptive. Après quelques secondes de baisers passionnés, il laissa ses lèvres chaudes glisser sur son cou doux et crémeux jusqu’à ses seins, et Melissa gémit de plaisir lorsque Ted aspira les petits mamelons roses et durs dans sa bouche avide.

« Uhhhhhmmmm, yesss, Papa ! Suce mes seins ! », gémit-elle. « Suce mes seins et sens ma chatte ! Oooooooh, c’est tellement bon ! »

Ted retira sa bouche des seins de Melissa et lui chuchota à l’oreille. « Tu es une petite chatte chaude, n’est-ce pas, Melissa, chérie ! »

« Mmmmm, y… yesss ! » gémit-elle, les yeux étroitement fermés alors qu’elle remuait sa petite chatte excitée contre sa main.

« Dis-moi, bébé ! » grogna Ted. « Dis à papa quelle chatte chaude est sa petite fille sexy !

« Oooooh, Papa ! C’est vrai ! C’est vrai ! Je suis une petite chatte très sexy ! » s’exclame Melissa.

« Et pour qui es-tu chaude, chérie ? » demanda Ted, en enfonçant et retirant son doigt de son petit trou humide et serré avec acharnement.

« Toi ! … Toi, papa !… J’ai envie de toi ! » cria-t-elle en s’agrippant à sa bite.

« Ah, tu aimes la grosse bite de ton papa, n’est-ce pas, ma chérie ? »

« Mmmmmm, yesss ! J’adore la sentir, papa ! Elle est si douce, si lisse et si dure, tout à la fois. »

« Ce sera encore mieux à l’intérieur de ta petite chatte, chérie ! Je peux te le promettre ! » Ted gémit tandis que la petite fille commençait à secouer ses petits doigts de haut en bas sur la longueur de son érection. C’était merveilleux, mais il lui en fallait plus !

« Assieds-toi, bébé ! dit soudain Ted.

Melissa s’exécuta. Ted s’agenouilla devant elle et guida le bout de sa bite vers sa petite bouche rose. La jeune fille semblait hypnotisée par la seule vue de son sexe si près d’elle. En regardant sa longueur massive, Melissa ne pouvait pas imaginer qu’une chose aussi énorme puisse pénétrer dans la chatte d’une femme. Non seulement il était aussi épais que son poignet, mais il était aussi très long ! Comment une chatte peut-elle être assez profonde pour contenir tout cela ? se demande-t-elle. La tige rigide était longue ! Elle pensa à la seule autre chatte qu’elle avait vue auparavant… celle de sa mère. Elle devait être très profonde, conclut-elle, parce qu’elle avait vu la bite de son père enfoncée jusqu’à la garde dans cette chatte, une fois, lorsqu’elle les avait espionnés.

Le spectacle de son père baisant sa mère remplit le petit cerveau de la jeune fille, et elle se demanda si la chatte de sa mère pourrait prendre toute la grosse bite de Ted aussi facilement qu’elle avait pris celle de son père. Ted attira Melissa plus près de lui, lui caressant les cheveux et les épaules. Même s’il essayait de la calmer, la jeune fille pouvait sentir sa propre urgence brûlante. Tout son corps semblait frémir. Elle savait instinctivement qu’il voulait quelque chose, qu’il avait besoin d’elle, et cette idée ravissait la jolie jeune fille.

« Suce-la, chérie ! » ordonna Ted. « Suce la bite de papa pour lui. Qu’elle soit bien dure pour qu’il puisse l’enfoncer dans le petit cul chaud et serré de son bébé ! »

Melissa était trop épuisée pour objecter. Son doigt dans sa chatte avait tellement excité la petite fille de quatorze ans qu’elle aurait fait à peu près tout ce que le bel homme fort lui demandait. Elle sentit la tête de son gland se frotter contre ses lèvres. Il était doux au toucher, comme s’il était fait de soie, et bien qu’il fût dur comme de la pierre, il était doux comme une plume contre ses lèvres. Melissa pouvait sentir une forte odeur musquée qui s’en dégageait. Elle savait instinctivement que c’était le parfum du sexe, et cela l’excitait encore plus. La jeune fille sursauta et ouvrit grand les lèvres, se penchant en avant pour prendre la bite palpitante de Ted dans sa petite bouche. Ses longs cheveux bruns tombaient de manière séduisante sur ses petits seins pointus tandis que Ted posait sa main sur l’arrière de sa tête et poussait son énorme bite dans sa bouche chaude et humide.

L’idée de sucer une bite avait d’abord effrayé Melissa, mais elle l’avait aussi enthousiasmée d’une manière étrange et inexplicable. Elle devait le faire… elle était à sa merci. Au fond d’elle-même, elle savait aussi qu’elle voulait le faire. Ouvrant la bouche aussi largement que possible, Melissa essaya d’aspirer la plus grande partie possible de sa bite. Elle ne réussit à faire entrer que la moitié de la longueur de son outil dans sa petite bouche, le reste restant à l’extérieur. Très prudemment et méthodiquement, la jeune fille commença à la sucer, débutante nerveuse et très impatiente d’apprendre. Elle enroula ses lèvres autour de la tête de la bite et suça timidement, ne sachant pas à quoi s’attendre.

« Uhhh, c’est bien !… Très bien ! Mais je veux que tu suces plus fort, Melissa. N’aie pas peur de sucer aussi fort que tu le souhaites, bébé ! » Ted grimaça lorsque les dents de la fille râpèrent le long de sa bite. « Aïe !… Attention, chérie, tes petites dents sont aiguisées ! » se plaignit Ted, en retenant la tête de la jeune fille un peu en arrière. « Utilise tes lèvres, bébé… utilise juste tes lèvres et ta langue, ok ! ».

Melissa marmonna quelque chose d’inintelligible et acquiesça, faisant glisser la bite de Ted hors de sa bouche.

« Je suis désolée, papa ! » gémit-elle. « Je ne suis pas vraiment douée pour ça, n’est-ce pas ? »

« Ne t’inquiète pas, chérie. Détends-toi et laisse-toi aller naturellement ! » réconforte Ted. La jeune fille le regarda de ses grands yeux bruns et sourit timidement.

« Joue encore avec ma chatte, papa », demande-t-elle. « Baise ma chatte avec tes doigts pendant que je te suce… s’il te plaît ? »

Ted sourit à son tour, excité par cette demande éhontée. Elle comprend VRAIMENT vite, pensa-t-il en se glissant entre les cuisses de la jeune fille, qui s’écartait avec enthousiasme.

« Ok, bébé ! » chuchota-t-il. « Tout le plaisir est pour moi !

Tandis qu’il caressait la petite chatte chaude et humide de Melissa, Ted sentit les lèvres chaudes de la jeune fille s’approcher à nouveau de sa bite endolorie. Cette fois-ci, elle était un peu plus douée, et après avoir aspiré autant de son énorme bite dans sa petite bouche qu’elle le pouvait, elle enroula ses petits doigts autour de la longueur restante, et commença à le branler en même temps. Ted frotta sa chatte gonflée avec la paume de sa main, laissant ses doigts s’égarer sur le petit bouton rose de son anus.

« Mmmmmm ! Mmmmmm ! Mmmmmmmmmm ! » gémit-elle, ses lèvres continuant à baver bruyamment sa bite. Ses hanches se soulevèrent du sol sous l’effet de sa main, et Ted savait que c’était à cause de l’action de ses doigts sur son petit trou du cul sensible. Il décida de voir jusqu’où elle était prête à le laisser aller. Il l’apaisa d’abord un peu en enfonçant doucement son pouce dans la succulente petite chatte de la jeune fille, l’introduisant et le retirant lentement de son étroit trou jusqu’à ce qu’elle se torde de plaisir. Puis, une fois qu’elle s’était habituée à son pouce dans sa chatte, Ted pressa son majeur contre son trou du cul humide et frémissant et poussa. Lentement mais sûrement, son doigt pénétra son petit derrière jusqu’à ce que sa paume s’appuie sur la douce étendue de chair entre ses deux petits trous serrés.

« Mmmmfffff ! Ummmmmmmmmm ! Affffffmmmmmmmm ! » furent les seuls sons que Melissa put émettre alors que Ted bouchait la jolie petite fille dans les trois trous de son jeune corps excité. Melissa était folle de joie. Cela ne faisait pas mal du tout ! Au contraire, son gros doigt dans le passage arrière lui faisait du bien… vraiment du bien, surtout avec son pouce qui lui baisait la chatte et sa bite dans sa bouche en même temps. La petite fille se sentait remplie… remplie de tout ce qu’il pouvait lui donner… mais au fond d’elle, elle en voulait encore plus !

« Oh, Jésus, magnifique petite chatte ! » souffla Ted alors que Melissa commençait à tourner ses hanches et à pousser son petit cul contre lui, essayant de faire pénétrer le plus possible sa main dans ses deux petits trous serrés et bouillonnants. Il lui rendit la pareille en plongeant son pouce et son doigt profondément en elle, pressant ses membranes chaudes et juteuses entre eux. Il pouvait sentir le bout de son pouce appuyer fermement sur le bout de son doigt au plus profond d’elle, séparés l’un de l’autre par une fine paroi élastique.

« Tu aimes ça, n’est-ce pas, petit ? grogna Ted. « Tu aimes te faire baiser dans les deux trous en même temps, n’est-ce pas ? Ses doigts jumeaux s’enfonçaient dans son entrejambe comme deux bites, et cette étrange combinaison rendait Melissa folle. Elle essaya de retirer sa bouche de son érection palpitante pour répondre, mais Ted ne la laissa pas faire. Il la tint par l’arrière du crâne et la força à descendre encore plus bas sur sa bite douloureuse. « Remets ta bouche sur la bite de papa, ma chérie, et laisse-la en place », ordonna-t-il. « Ou je te retire mes doigts tout de suite ! »

Sans un bruit, Melissa se remit à sucer l’énorme bite de l’homme avec ardeur. Elle ne voulait pas que Ted s’arrête. Les sensations que son doigt et son pouce généraient à l’intérieur de sa petite chatte palpitante et de son trou du cul étaient tout simplement trop bonnes… et elles s’amélioraient à chaque seconde !

Les sensations érotiques se répandaient comme des éclairs dans le petit corps excité de Melissa, faisant déborder sa jeune chatte tendre. Le doigt et le pouce de Ted glissaient et s’écrasaient bruyamment dans son jus tandis que ses doigts plongeants envoyaient des vagues extatiques de passion en éruption à travers sa chatte pubère. Bientôt, les merveilleuses sensations fondantes commencèrent à se répandre à l’extérieur de ses reins stimulés comme une traînée de poudre, engloutissant tout son corps.

Melissa n’avait plus aucune inhibition de petite fille timide, elle voulait que ce grand et bel étranger fasse tout avec elle, même la baiser avec sa monstrueuse bite. La petite fille en chaleur était perdue dans un tourbillon d’abandon sexuel total. Arrachant sa bouche de sa bite, Melissa hurle ses désirs les plus intimes. Plus rien ne comptait maintenant… rien d’autre que son nouveau plaisir sexuel.

« Oooooooh, Christ !… Je n’en peux plus ! … Baise-moi !… Oh, mon Dieu ! S’il vous plaît, baisez-moi ! » suppliait la petite fille, dont la chatte et le cul se tordaient sur sa main tandis qu’elle le fixait sauvagement dans les yeux.

Ses jolis traits étaient tordus en un masque de pure luxure adolescente… un regard qui exprimait son besoin désespéré et ardent plus que les mots ne pourraient jamais le faire.

« Tu peux parier ton petit cul que je vais te baiser, chérie ! » paniqua Ted, poussant la jeune fille sur le dos. Melissa ouvrit les jambes aussi largement qu’elle le put tandis que Ted la montait, lui donnant un accès complet à sa jeune et tendre chatte. Elle sentit le bout de sa bite écarter ses minuscules lèvres, les étirant au fur et à mesure que son énorme bite pénétrait dans sa chatte. Il n’était qu’à mi-chemin quand Melissa a crié de douleur. Ted s’arrêta et reposa son poids sur ses deux mains, donnant à la fille une chance d’accepter l’épaisseur de son énorme bite à l’intérieur de son petit trou de baise serré.

« Désolé, bébé ! » haleta-t-il. « Tu vas bien ? »

« Ummmm ! Oui !.. Ça m’a fait un peu mal au début, mais maintenant ça commence à être agréable ! »

Ted savait que c’était le moment de vérité. S’il plongeait directement dans la petite chatte chaude et humide de la gamine, comme sa bite l’y incitait, il lui ferait mal… et cela la dissuaderait de faire l’amour pendant très, très longtemps. Mais d’un autre côté, s’il y allait doucement et maximisait son plaisir, il aurait une autre petite convertie sexy qu’il pourrait baiser et sucer à sa guise… quand il le voudrait. Il fallait que ce soit bien fait ! La partie de sa bite qui était déjà dans le petit trou palpitant de Melissa était vraiment serrée.

Ses lèvres intérieures se refermaient autour de sa taille, étouffant presque la tête bulbeuse de sa bite. Mais même si c’était incroyablement serré… ou probablement à cause de cela… c’était merveilleux ! Ted fut presque submergé par l’envie soudaine d’enfoncer sa bite jusqu’au bout, mais il se retint au dernier moment. Les parois chaudes de la chatte de Melissa se resserrant autour de sa bite dure et palpitante étaient presque trop bonnes pour résister… puis, incroyablement, elle le supplia d’aller plus loin !

« Je peux le prendre », gémit-elle. « Je peux tout prendre !…. Pousse fort !… Enfonce-toi vraiment en moi, papa ! »

Même avec sa bite qui la tendait, « Tu vas adorer ça, ma chérie, je te le promets ! » Ted poussa, enfonçant sa bite jusqu’à la garde dans sa chatte serrée et accrochée.

« Ohhhh, Uhhhhhhhh, Ummmmmmm ! » La fille criait différemment maintenant, alors que l’énorme bite de Ted pénétrait et étirait sa petite chatte serrée jusqu’à la limite.

« Ahhhhh ! Ta bite est entièrement en moi », gémit-elle. « Ooooohh, papa. Ta bite !…. Elle est vraiment profonde ! »

La petite Melissa avait du mal à croire que cela lui arrivait. Maintenant que la douleur initiale avait disparu, la sensation de l’énorme bite de Ted, de la taille d’un homme, enfoncée à fond dans sa petite chatte, la rendait folle d’excitation. Rien n’avait jamais été aussi bon que d’avoir la grosse bite dure de cet homme dans sa petite chatte. Elle la sentait tout au fond d’elle, les lèvres de sa chatte s’étirant de plus en plus autour de son énorme circonférence. Melissa leva les yeux vers les yeux passionnés de Ted, les siens étant remplis d’une timide urgence.

« Plus, papa ! » supplia-t-elle. « Donne-moi plus !… Bouge en moi ! »

Elle pouvait à peine respirer, tant son emprise sur elle était forte et son excitation intense. Elle gémissait et haletait de plaisir tandis que Ted commençait à la baiser lentement. Son jeune ventre se sentait complètement rempli par son énorme bite palpitante, et elle haletait de plaisir quand elle semblait gonfler de plus en plus en elle. C’était une sensation que la petite fille précoce allait bientôt apprendre à aimer. Lentement, Ted commença à soulever et à abaisser ses hanches, souriant à l’expression de plaisir évident sur son joli petit visage tandis que sa bite glissait d’avant en arrière dans sa jeune chatte glissante et imbibée de jus.

« Tu aimes être baisée, n’est-ce pas Melissa, chérie ? » murmura-t-il, en faisant entrer et sortir doucement sa bite de son petit trou bien serré. « Tu aimes que ma bite dure te baise, n’est-ce pas ?…. Dis-le !… Dis à papa combien tu aimes ça, bébé ! »

« Oh, mon Dieu, yesss ! » gémit la jeune fille. « Mon Dieu, j’adore ça ! J’aime ta putain de grosse bite !…. Putain ! J’ai l’impression qu’un putain de cheval me baise ! »

« Pas un cheval, chérie. Juste une grosse bite d’homme ! » répondit Ted avec un sourire.

Il commença à bouger plus vite alors que sa bite était bien lubrifiée par l’abondante crème de chatte de la jeune femme. Il avait l’impression qu’un boa constricteur était enroulé autour de sa bite, la pressant avec insistance et lui arrachant toute vie. Mais Ted était en extase. L’ajustement serré de la petite chatte de la fille était absolument merveilleux !

Melissa gémit de plaisir quand Ted commença à pomper son jeune ventre qui se tortillait, plein d’une bite dure comme le roc. Sa longue et épaisse bite pistonnée donnait à sa petite chatte frémissante une sensation si vivante… vivante d’une faim insatiable de sexe.

C’était le plaisir le plus érotique que son jeune corps ait jamais ressenti. C’était plus excitant que de se faire lécher la chatte, mieux que d’avoir un doigt dans sa chatte, et beaucoup, beaucoup mieux que d’avoir le petit outil maigre de Robbie qui lui tripotait la chatte. Rien n’était aussi bon que la putain de bite de Ted… rien du tout ! Melissa décida d’oublier les garçons, avec leurs petites bites inefficaces, et de se concentrer sur les hommes… les vrais hommes… les hommes avec de belles grosses bites épaisses qui la feraient se sentir aussi bien que Ted le faisait en ce moment.

Bien qu’il lui ait semblé intolérablement gros au début, Melissa pouvait sentir sa chatte s’adapter à la taille de sa bite. Les parois lisses et élastiques s’écartaient un peu pour lui donner assez d’espace pour bouger librement, et le flux abondant de jus de chatte graissait sa puissante bite qui entrait et sortait en émettant de forts bruits de succion. La tête de sa bite s’enfonçait plus profondément dans son jeune trou de balle qu’aucun doigt ou bite ne l’avait jamais fait auparavant. Elle pouvait sentir qu’il frappait fort contre l’extrémité de sa chatte à chaque poussée descendante. En même temps, elle sentait ses lourdes couilles claquer contre son minuscule trou du cul et les poils de son pubis frisé contre sa petite chatte glabre.

Ted regarda le jeune corps svelte de Melissa sous lui. Elle avait l’air si petite et si délicate, son joli visage de petite fille rougissait et transpirait tandis qu’elle s’accrochait à sa vie, un air de détermination douloureuse sur ses jolis traits.

« Qu’est-ce qui ne va pas, chérie ? demanda Ted, en ralentissant un peu ses mouvements. « Est-ce que je te fais mal ? »

« Uhhhnnn… n-non ! C’est agréable ! Mais ça m’a fait un peu mal au début ! »

« Ce n’est plus le cas maintenant, bébé ! Relève tes jambes par-dessus mes épaules et je vais te donner une VRAIE baise ! »

Avec un petit cri de plaisir, Melissa obéit immédiatement, remontant ses genoux et drapant ses jambes minces sur ses épaules comme il l’avait demandé. Ensuite, Ted commença à faire entrer et sortir sa bite sur toute sa longueur, la forant profondément avec son gros pénis. Après seulement deux poussées, la jeune fille chaude commença à bouger avec lui, levant ses petites hanches rondes vers lui en rythme, ses fesses travaillant instinctivement pour pousser sa petite chatte serrée vers sa bite plongeante. A chaque pénétration, elle aimait cela de plus en plus, et commença à se tortiller sans vergogne sur la hampe de sa chatte.

« Fais-le moi, Ted ! » sanglota-t-elle de bonheur. « Baise-moi fort ! Fais-moi jouir ! Fais-moi jouir, Ted ! Uhhhhh ! Hhuuhhhh ! Ohhhh ! Jeez’ ça fait du bien ! »

« Que s’est-il passé pour que tu m’appelles ‘papa’ ? », haletait Ted. « Je commençais à aimer faire semblant de baiser ma propre petite fille ».

« Ahhhh ! Ummmmm ! I… Oooohhhh Jésus ! Je t’appellerai tout ce que tu veux ! Continue juste à me baiser !… Oh mon Dieu, j’aime tellement ta grosse bite en moi ! »

Ted continua à pénétrer le petit cunthole serré et glissant de la fille encore et encore, se retirant jusqu’au bout puis enfonçant sa bite jusqu’à la garde. Son corps frissonnait à chaque coup, tandis qu’il la baisait de toutes ses forces. Sa respiration devenait lourde et difficile à cause de l’effort.

« Il respire difficilement et lourdement sous l’effet de l’effort. Ungh ! Ungh ! Ungh ! Oh, putain ! Tu es une fantastique petite baise, Melissa ! » grogna Ted en s’enfonçant en elle. « Mon Dieu, quelle petite chatte serrée, chaude et glissante ! Uh ! Uhhh ! »

Melissa l’entendit à peine. Ses oreilles bourdonnaient et résonnaient tandis que des vagues d’extase se succédaient dans son corps d’adolescente. La grosse bite dure de Ted la rendait folle !

« Ohhhhhh ! Dieu ! » cria Melissa. « Fais-le à fond ! Uhhhhngggghh ! Oh, mon Dieu ! Baise-moi ! … C’est en train de se produire ! Ça recommence ! I… Je c…cummmmmming ! »

Elle jouissait bien, et Ted sut que c’était un gros coup quand il sentit le corps de la jeune fille se raidir sous lui. Sa petite chatte se convulsait autour de sa puissante bite avec des contractions rapides et rythmées, ses petites hanches se déhanchaient et se tordaient comme des folles, désespérées d’avoir encore plus de la merveilleuse bite pistonnée de son amant. Ted lui donna exactement ce qu’elle voulait, baisant la sexy petite fille de quatorze ans aussi fort et aussi vite qu’il le pouvait, savourant la sensation fantastique de sa chatte serrée d’adolescente en train d’atteindre l’apogée autour de sa bite palpitante.

Il plongea en elle sans pitié, écrasant son pubis dur contre son clitoris palpitant, enfonçant sa bite profondément dans sa chatte large avec de longues et puissantes poussées… des poussées qui, sans une préparation adéquate, auraient divisé la petite chatte serrée de la fille en deux. La patience et le contrôle de Ted avaient payé et maintenant il baisait la petite fille excitée comme il l’avait toujours voulu depuis qu’il avait posé les yeux sur elle… profondément, durement et rapidement… et à son grand plaisir, elle le baisait en retour avec une ardeur juvénile, lançant sans vergogne sa jeune chatte chaude et serrée vers lui comme un petit démon.

« Arhhhh Uhhhhnnnnn ! Ohhh ! Ohhhh ! Papa ! Baise-moi ! Baise-moi ! Baise-moi ! » cria Melissa alors que la bite de Ted la poussait à la limite de l’orgasme une fois de plus. Elle n’en revenait pas ! Jamais, dans ses fantasmes les plus fous, la jeune fille n’aurait imaginé qu’une bite puisse la faire jouir autant de fois d’affilée.

Elle en avait le souffle coupé, et sa raison avec, car, giclée après giclée, sa chatte en proie au plaisir libérait son fluide pour remplir sa petite boîte à jouissance de jus de sperme, encore et encore. C’était bien mieux que lorsqu’il avait sucé sa chatte… cette fois-ci, sa chatte était remplie à ras bord d’une bite dure et épaisse. Mieux encore, à chaque coup, l’aine de Ted s’écrasait contre le pubis de la jeune femme, ce qui provoquait chez son petit clito des spasmes sauvages de plaisir intense.

« Ahhhhhhggggghhh ! Je n’arrive pas à y croire », s’écrie Melissa alors qu’un troisième orgasme se déclenche au plus profond de ses jeunes reins très excités. « Je jouis à nouveau ! Oh, mon Dieu !… Oooooo, ne t’arrête pas …. Ne t’arrête jamais !… Fais-moi jouir pour toujours ! »

Ted n’avait pas l’intention de s’arrêter. La magnifique petite fille était l’une des meilleures baises qu’il avait eues depuis longtemps, et cela ajoutait énormément à sa propre excitation de lui donner le plaisir féminin ultime… des orgasmes multiples. Sa chatte se contractait délicieusement autour de sa bite rigide tandis qu’il l’enfonçait de plus en plus profondément dans la chatte tortillante de la jeune fille, les grognements qu’elle émettait le rendant fou. Ted sentait ses couilles claquer contre le petit trou du cul de la jeune fille et ne pouvait s’empêcher d’imaginer à quel point elle serait capable de l’agripper plus fort avec ce petit trou serré. Il se pencha en avant et essaya d’aspirer l’un de ses petits seins dans sa bouche, mais il n’y parvint pas, alors il pencha la tête et embrassa son cou rougi à la place. Melissa lui saisit immédiatement l’arrière de la tête et écrasa ses lèvres écartées sur les siennes, l’embrassant avec force. Sa petite langue brûlante pénétra dans sa bouche ouverte avec le même rythme et le même enthousiasme que la bite de Ted lorsqu’elle entrait et sortait de sa chatte en ébullition.

Bougeant en rythme et ne s’arrêtant pas une seconde, Ted s’efforçait de donner à Melissa autant d’orgasmes que sa petite chatte chaude d’adolescente pouvait en produire, tout en luttant pour retenir les siens. Même après que les gémissements de plaisir de Melissa se soient tus, Ted continua ses mouvements de bassin jusqu’à ce qu’il soit sûr que la jeune fille avait complètement fini de jouir. Puis, lorsque son corps commença à se détendre et que ses muscles ne furent plus aussi tendus, il se retira et s’allongea sur l’herbe à côté d’elle, sa bite encore en éruption reposant humidement sur sa cuisse crémeuse. Ted passa ses mains sur la chair chaude et humide de la jeune femme, qui haletait à ses côtés. Ses yeux étaient fermés et elle respirait à pleins poumons, épuisée.

« Je parie qu’aucun de tes petits amis ne t’a jamais fait jouir comme ça, ma chérie ? chuchota Ted à l’oreille de la jeune fille. Il commença à caresser les petits seins de la jeune fille, frottant doucement ses mamelons entre le pouce et l’index.

« Ohhhh, Dieu non !…. Jamais ! », souffle-t-elle en l’entourant de ses bras. « Je n’ai jamais rien ressenti d’aussi merveilleux de toute ma vie. C’était fantastique ! »

Ted regarda ses jeunes et beaux yeux et sourit. « Tout pour faire plaisir à ma petite fille ! » souffla Ted en glissant deux de ses doigts dans sa chatte juteuse et béante.

« Oooooo, tu es un vilain, vilain papa ! » gloussa Melissa, tournant ses hanches de façon impudique sur les doigts de Ted. « Mmmmmm ! Mon Dieu, si tu continues comme ça, tu vas m’exciter à nouveau ! »

« C’est toute l’idée, ma chérie ! » grogna Ted, enfonçant ses doigts aussi loin qu’il le pouvait dans les profondeurs de velours lisse de sa chatte béante. « Joue avec ma bite pendant que je te prépare à en redemander, bébé !

Melissa tendit la main vers sa bite et sursauta en sentant sa rigidité palpitante.

« Tu n’as pas joui ! dit-elle avec étonnement. « Cet après-midi, quand Robbie m’a baisée, il a joui avant moi ! Ce n’était pas très amusant. »

« Les petits garçons sont comme ça, Melissa chérie. Ce qu’il te faut, c’est une bite d’homme », dit Ted en faisant un signe de tête vers son formidable hardon.

Melissa regarda l’énorme organe palpitant niché dans sa main. Il brillait d’humidité, et son petit cœur a sauté un battement d’excitation quand elle a réalisé qu’il était encore couvert de son jus de chatte… son propre sperme collant de fille. Il paraissait si gros, si rouge et si furieux contre la blancheur de ses petits doigts. Son aspect, son toucher et même son odeur l’excitaient terriblement ! Maintenant qu’elle savait à quel point c’était fantastique d’entrer et de sortir de sa petite chatte chaude, elle en voulait plus… beaucoup, beaucoup plus !

Ted vit le regard affamé dans ses yeux et sourit en lui-même. Elle était accrochée, pensa-t-il. Ses doigts trouvèrent son clito et il joua avec, caressant et frottant le petit bourgeon raide avec expertise. Il la regarda se tortiller.

« Combien de fois as-tu joui avant, bébé ? demanda-t-il.

« Oh, mon Dieu ! Tellement de fois que j’ai perdu le compte ! Je crois que j’ai même perdu connaissance pendant un moment, c’était incroyable. » Soudain, elle lève les yeux vers lui avec envie.

« Est-ce que ce sera aussi bon à chaque fois ? »

« J’espère bien, chérie ! » sourit Ted.

« Bien, recommençons… tout de suite ! » dit-elle avec enthousiasme, en tirant sur sa bite. Melissa s’allongea comme elle l’avait fait auparavant et écarta ses jolies petites jambes, sa fente minuscule et béante étant plus que prête à recevoir sa grosse bite raide.

Mais Ted avait d’autres idées. Il saisit la jeune fille nue par les hanches et la fit rouler sur lui, jusqu’à ce que la petite chatte de Melissa soit en équilibre au-dessus de sa bite en érection. Elle était à quatre pattes, ses genoux chevauchant ses hanches, et ses mains sur ses épaules, supportant son poids sur ses bras raidis.

« Maintenant, assieds-toi sur ma bite, Melissa chérie », gémit Ted. « Comme ça, tu pourras en avoir autant que tu veux… C’est toi qui as le contrôle maintenant, bébé… vas-y ! »

Melissa descendit entre ses cuisses et saisit sa bite avec des doigts tremblants, pressant le bout gonflé et violet contre sa chatte ouverte. Il palpita et bondit anxieusement, caressant les lèvres glissantes de sa chatte avec sa tête bombée. La jeune fille frissonna de plaisir à ce contact délicieux, gémissant au fond de sa gorge tandis qu’elle frottait la tête de sa bite le long de sa petite fente juteuse et frémissante.

Sa réponse involontaire fit tressaillir la bite de Ted, l’organe rigide palpitant d’excitation à la vue de la luxure inavouée de la jeune fille. Il pouvait sentir les tissus tendres de sa chatte s’ouvrir tandis qu’elle s’abaissait lentement sur sa bite dressée. Ted regarda et sentit avec une excitation croissante les lèvres de la chatte s’écarter, et sa bite la pénétrer, s’enfonçant profondément dans sa chatte glabre, tandis que la jeune fille se penchait vers le bas sur lui. Bien que sa petite chatte ait été bien lubrifiée par leur baise précédente, son poids seul n’était pas suffisant pour vaincre la résistance de sa bite épaisse dans sa chatte serrée. Ted saisit les joues de son cul et tira littéralement sa chatte vers le bas, sur sa bite dressée. L’ajustement était serré et chaud, et Ted gémit une fois de plus quand il sentit sa bite entière profondément enfoncée dans le petit trou à baiser de la fille.

« Oh, baby girl !…. Putain, c’est serré ! » haleta-t-il alors que Melissa s’installait complètement sur lui. « Mon Dieu, tu es une petite chatte magnifique et sexy ! Est-ce que je vais te donner un jour une baise dont tu te souviendras, bébé ! ».

« Oooooh, papa ! » ronronne-t-elle. « Oooooo, yesssss, baise-moi ! Baise ma chatte ! Oh, oui, oui ! Mmmmm, ta bite est si bonne là-haut ! Elle est bien enfoncée, papa ! Maintenant, baise-moi bien ! Baise bien ma petite chatte serrée et juteuse ! »

« Unnnggghhh !…. Jésus !… Je le ferai, bébé !… Mmmmmmm, crois-moi, je le ferai ! »

Toujours aussi impatiente, la jeune fille excitée de quatorze ans commença à faire monter et descendre sa petite chatte bien tendue sur la queue de Ted, gémissant sans cesse tandis que la tige dure comme le roc entrait et sortait de sa minuscule chatte. Ses jeunes fesses fermes se contractaient et se détendaient sous l’effet de l’effort et son dos mince se cambrait dans l’extase tandis que Melissa prenait son plaisir. Son joli petit cul et ses seins fermes et naissants s’agitaient sensuellement tandis qu’elle se déhanchait sauvagement sur sa bite en pleine ascension.

Les hanches de Ted se mouvaient solidement tandis qu’il faisait pénétrer sa longue bite d’acier toujours plus profondément dans le trou de la jeune fille qui se débattait. Les lèvres rose vif de la chatte de la jeune fille étaient écartées par sa bite massive et s’écrasaient contre la base de son épaisse tige à chaque fois qu’il s’élançait en elle.

« Uhhhhhhhhhh ! Mon Dieu ! Putain, quelle bite ! » cria Melissa, rebondissant sur lui comme une folle. « Ohhh, baise-moi papa ! Remplis ma petite chatte chaude avec ta grosse bite et baise-moi !…. Ohhh ! Ohhh ! Papa ! Uhhhhhhhhhh ! » En entendant son cri pressant, Ted dressa sa bite vers elle aussi fort qu’il le pouvait, enfouissant son bâton raide et palpitant aussi profondément que possible dans la petite chatte glissante et tortillante de la jeune fille.

« Mmmmmm ! C’est fantastique ! », gémit-il. « Uhhhh, yeahhhh ! C’est chaud, serré et mouillé ! Jésus, j’adore les jeunes chattes !… . Ooooh ! Secoue cette chatte pour moi, bébé ! Oui, c’est ça, fais-moi un massage très fort ! »

Ils firent tous les deux des bruits comme des animaux sauvages, les muscles internes de la petite chatte serrée de Melissa enserrant la bite plongeante de Ted comme un étau. Il commença à pomper plus fort, sachant que la jeune adolescente excitée était prête à recevoir tout ce qu’il pouvait lui envoyer. Melissa haletait à haute voix à chaque coup puissant, arquant son dos et poussant ses hanches vers le bas pour rencontrer sa bite. Elle se tortille et saute sauvagement sur lui, gémissant au fond de sa gorge alors qu’elle s’efforce de pousser la bite dure comme le roc de Ted de plus en plus loin à l’intérieur d’elle. Melissa avait l’impression de perdre la tête, son énorme pénis palpitant s’enfonçait si loin dans son petit trou baveux que cela lui faisait mal… mais c’était si bon que la jeune fille ne demandait qu’à en sentir de plus en plus.

« Papa… Papa… Papa ! » hurle-t-elle, incapable de se contenir plus longtemps. « Baise-moi !… Ohhhh, baise-moi plus fort, plus vite ! OHHHH ! DIEU ! BAISE-MOI !!! »

Ses petits seins nus se soulevaient et se balançaient, et ses longs cheveux bruns tourbillonnaient autour de ses épaules tandis que Ted enfonçait et retirait sa bite de sa chatte qui rebondissait avidement. La bite rigide entre ses jambes semblait devenir plus grosse et plus dure à chaque pénétration profonde, et bientôt Melissa commença à crier, hurlant d’extase devant le plaisir atroce causé par les coups de boutoir que sa petite chatte en manque de sexe recevait loin entre ses lèvres tendues. Sa chatte était en feu, et chaque coup de sa bite envoyait des vagues d’extase pure le long de sa colonne vertébrale. Bientôt, c’en était trop pour elle.

« Ohhhh, mon Dieu !… Oh, mon Dieu ! Ohhhhhhh, Goddddddd !…. Oui ! Yessss, Uuuhh, uuuuh, je vais jouir ! »

Son jus de chatte recouvrait maintenant ses couilles, et tandis que Ted continuait à pomper, une plus grande quantité commença à s’écouler de sa petite chatte ravagée par la bite, saturant leurs deux entrejambes de ses fluides chauds et crémeux. Il était proche de l’orgasme lui aussi et accéléra ses coups pour qu’ils jouissent en même temps.

« Viens, bébé ! Viens avec moi ! Je vais tirer moi aussi, je le sens ! » grogna Ted. Melissa sentit soudain sa bite gonfler dans des proportions incroyables, étirant sa chatte encore plus largement tandis que le sperme montait dans ses couilles.

« Oh, papa ! Yesss ! Viens en moi ! Remplis-moi de ton putain de sperme ! Oh, oh ! Uggh ! » Ted sentit la chaude petite adolescente se raidir et frémir, gémissant de pur plaisir alors qu’elle atteignait son paroxysme. Son trou minuscule serra puissamment sa bite tandis que les muscles de sa chatte se contractaient dans l’orgasme une fois de plus.

Mais Ted n’avait toujours pas joui. Il était vraiment proche, il le sentait, tout ce qu’il fallait c’était quelques coups profonds et il y serait.

« Putain, bébé ! Remue ta chatte sur ma bite ! Uhhh ! Mmmmm ! C’est ça ! Presse ta chatte ! Oh, christ ! Ça vient !… Uhhhhh ! Putain, Melissa ! … FUCK !… Baise ta chatte sur ma bite comme une folle, chérie ! Arghhhhhh ! Je jouis ! »

Elle le sentit se crisper, puis sa bite tressaillit en elle. En un éclair, il y eut une éruption au fond de sa chatte qui fit vaciller son jeune esprit. Un geyser de sperme chaud et fumant éclaboussa son utérus, jet après jet, la faisant immédiatement jouir. Tout ce qu’elle pouvait faire pour ne pas s’évanouir était de crier.

« AHHHHHHHH ! OH, MON DIEU ! GGGHHHHNNNNUUUUUGGHHH ! HHHHUUUHHHH ! GGGGAAAHHH ! OOOOOOH, DAADDDDYYYY ! OHH ! OHHH ! OHHHHHH ! FUUUUUCK ! »

Il semblait à Ted que ses couilles étaient traites à sec par la chatte de la fille qui les suçait étroitement, alors que la dernière goutte de sperme s’écoulait de son outil et qu’il devenait mou. Melissa s’était affaissée sur sa poitrine, et tous deux restèrent là, haletants d’épuisement, pendant plusieurs minutes, essayant de reprendre leur souffle. La bite de Ted était toujours profondément enfouie dans la chatte frémissante de la jeune fille, il pouvait sentir les muscles de sa petite chatte satisfaite masser la tige palpitante de la base à la pointe. Il tendit la main vers le bas et prit les joues du cul de la jeune fille. Les petits monticules fermes s’adaptaient parfaitement à ses mains, et lorsqu’il commença à les presser et à les caresser, Melissa réagit en écrasant sa chatte sur sa bite, les feux de la luxure se rallumant rapidement dans ses reins d’adolescente.

« Ohhhh, Jésus, c’était encore mieux que la première fois », gémit-elle en lui caressant le cou. « J’ai joui si fort que j’ai failli m’évanouir. C’était bon pour toi aussi ? »

« Tu peux parier ton joli petit cul que ça l’a été, chérie ! » répondit Ted. « Je ne pense pas qu’il reste une goutte de sperme dans mes couilles. Ta chatte les a vidées, bébé ! »

« J’espère que non, papa ! » gloussa la fille, frottant son corps contre lui de manière suggestive. « Je veux que tu me le refasses ! »

« Petite nympho en chaleur », dit Ted en lui donnant une petite tape sur les fesses. « Tu ne peux pas te passer de la grosse bite dure de papa, n’est-ce pas, chérie ? »

« Non ! » dit Melissa avec un sourire. Elle sentit sa bite se contracter et gonfler en elle et ajouta : « Ooooo !… et j’ai l’impression que tu ne te lasses pas non plus de ma petite chatte chaude, papa ! ».

La bite de Ted, qui avait commencé à se dégonfler dès qu’il avait eu son orgasme, avait étonnamment commencé à se raidir lorsqu’elle s’était allongée sur lui. L’excitation de baiser cette magnifique et sexy petite fille était comme une drogue, et sa bite réagit en conséquence, s’activant immédiatement dans le fourreau enveloppant de sa chatte.

« Je crois que tu as raison, chérie », admit-il. « Je ne me suis jamais senti aussi excité ! »

« Mmmmm !… J’ai de la chance ! » murmura Melissa, appréciant la délicieuse sensation de sa bite qui se développait rapidement dans les limites chaudes et juteuses de sa chatte. Bientôt, elle était aussi longue et dure qu’avant, palpitant contre les parois de sa chatte qui se tortillait dans toute sa gloire d’antan. Sans bouger ses hanches, Ted le fit tressaillir et tressaillir à l’intérieur d’elle.

« Tu sens ça, chérie ? » fit-il avec un sourire lubrique.

« Oooooh, oui ! Putain !… je n’en reviens pas ! C’est tellement plus gros qu’avant ! »

« C’est possible, chérie, mais je pense que ta petite chatte a été tellement baisée cet après-midi qu’elle est un peu gonflée. Quoi qu’il en soit, elle est toujours bien ajustée, et comme je te l’ai déjà dit, j’adore les chattes d’adolescentes bien serrées ».

« Bien ! Alors tais-toi et baise-moi avec ! » gémit Melissa, en cambrant sans vergogne ses petites hanches sur lui. Elle était impatiente d’en savoir plus sur le plaisir époustouflant que la grosse bite de Ted pouvait lui procurer.

« D’accord, Melissa, chérie …. Mais essayons quelque chose d’un peu différent », suggéra-t-il. « Descends, chérie, et je vais te montrer une nouvelle façon de baiser ! » Melissa s’exécuta à contrecoeur, plus que mécontente de devoir retirer sa chatte de son bâton qui lui donnait du plaisir.

Ted mit la fille à quatre pattes et lui écarta les jambes, s’agenouillant près d’elle, sa bite palpitant entre ses cuisses ouvertes. Il tenait son énorme érection d’une main et passait ses doigts entre ses cuisses de l’autre, les faisant courir tout le long de sa fente chaude et ruisselante.

« Uhhhhhh ! C’est si bon !…. Mmmmm ! Mais ta bite serait bien… bien meilleure, Papa ! » dit-elle en lui souriant par-dessus son épaule.

C’était le sourire le plus sexy que Ted ait jamais vu. Ses longs cheveux bruns étaient éparpillés sur ses épaules et son joli visage le regardait avec ce regard sulfureux, « dépêche-toi et baise-moi », que les femmes ont quand elles ne peuvent pas attendre un instant de plus. Ses cuisses maigres étaient largement écartées, révélant la fente rose et humide de sa petite chatte… gonflée et luisante de jus… qui n’attendait que d’être baisée. Et dans son excitation, elle le lui offrit sans vergogne, agitant son joli petit cul en guise d’invitation.

« Mon Dieu, mais tu es une petite salope chaude et sexy ! » dit Ted, frottant ses doigts dans la chair rose et scintillante du pubis de Melissa, chaudement excité. La jeune fille gémit et presse sa chatte de manière suggestive contre la main qui la masse.

« Alors, je suis une salope, hein ? murmura-t-elle en écartant encore plus les jambes. « Alors, fais quelque chose ! Allez, papa ! Mets cette grosse chose que tu appelles une bite dans ma chatte et baise-moi comme une salope ! ». Le regard de son petit visage angélique n’était que pure luxure. « C’est pas pour ça qu’on appelle ça la position du chien, papa ? » ajoute-t-elle.

La chatte juteuse et exposée de Melissa ne demandait qu’à être baisée, et Ted ne pouvait pas résister plus longtemps ! Il saisit les hanches de Melissa et l’attira contre lui.

« Ok, bébé… tu l’as demandé !… » grogna-t-il, »…et maintenant tu vas l’avoir !… prépare-toi à la baise de ta vie, petite chatte en chaleur ! »

Plaçant rapidement la tête de sa bite entre les lèvres béantes de sa chatte, Ted s’élança vers l’avant et, d’une seule poussée puissante, enfonça son énorme bite palpitante dans son corps jusqu’aux couilles.

« UUUUUUHHHHHHH ! GAAAAAAWWWWDDDD ! JEEEEEEZZZZZZZZUUUUSSS ! » hurle Melissa lorsque la bite de Ted s’enfonce dans son petit trou étroit. Elle est entrée beaucoup plus facilement cette fois-ci et avec le nouvel angle, elle a semblé entrer beaucoup plus profondément.

« Bébé ! Ohhhhh, bébé ! C’est vraiment serré ! Ummmmm, ouais ! Serre-la, Melissa ! Presse ma bite avec ta petite chatte chaude, chérie ! » gémit Ted en commençant à lui lancer sa bite avec enthousiasme. Son cul tremblait tandis qu’il se penchait sur elle, enfonçant sa bite aussi loin que possible, puis la retirant presque complètement.

« Ohhhh, Daddy-Ted ! Baise-moi ! Baise-moi ! Enfonce cette bite dans mon ventre !…. J’adore ça ! J’adore ça ! Ohhhhhhhh ! Uhhhhhhhhmmmmm ! Putain ! Ohhh, putain ! »

Ses mots l’excitaient tout autant que l’incroyable friction de sa petite chatte serrée sur sa bite plongeante. En un rien de temps, elle se tortillait et remuait son cul comme une folle… gémissant bruyamment tandis que Ted enfonçait son énorme bite dans sa jeune chatte écumante comme un bélier humain. La chair rose et juteuse de sa chatte s’enfonçait et se retirait autour de la tige luisante à chaque coup puissant, s’accrochant fermement à sa bite pistonnée. Ted tendit la main vers l’avant pour caresser les seins pendants de Melissa, pressant les petits globes agités et frottant les tétons minuscules et érigés.

« Oooh, oui ! Joue avec mes seins, papa ! Joue avec mes seins pendant que tu me baises ! ».

Melissa ferma les yeux et fit semblant que c’était son vrai papa qui la baisait si merveilleusement. Elle imaginait l’énorme bite de son père s’enfonçant dans sa chatte douloureuse pendant qu’il la baisait. L’excitation supplémentaire de ce rêve incestueux rendit folle la petite fille de quatorze ans, et elle eut un orgasme sur le champ, gémissant et pleurnichant comme un animal blessé.

« AHHHHHHH ! OHHHH, OUI ! BAISE-MOI ! BAISE-MOI AUSSI FORT QUE TU PEUX !…. UHHH, DIEU ! DONNE LE MOI !… OUI ! OH, PUTAIN YESSS ! JE JOUIS !… JE JOUIS, PAPA ! »

« Ok, bébé ! Fais-le ! Viens pour papa ! » grogna Ted en baisant la fille qui se tordait jusqu’à l’orgasme. « Viens sur ma bite !… Presse ta petite chatte chaude autour d’elle, chérie !…. Uhhhhhnnnnn ! Jésus, quelle chatte !… quelle baise ! »

Ted enfonça rapidement sa bite dans la chatte de la jeune fille, la faisant couiner. Il attrapa les hanches étroites de la jeune fille et la tira vers l’arrière contre lui, ses cuisses claquant bruyamment contre son petit cul enduit de jus à chaque coup puissant. Melissa se déhanchait sauvagement, sentant les vagues de plaisir l’envahir encore et encore au fur et à mesure que la bite de Ted s’enfonçait en elle. Il regarda entre les deux corps et s’émerveilla de ce spectacle très excitant. Sa longue et épaisse tige luisait d’humidité, palpitant visiblement tandis qu’elle entrait et sortait du petit trou de Melissa comme un piston bien graissé.

« Uhhhh oui ! C’est ça, bébé ! Mets tes hanches en mouvement ! Pousse ta petite chatte chaude sur ma bite aussi fort que tu peux !…. Mon Dieu, je ne crois pas que je puisse me retenir plus longtemps ! » cria Ted alors qu’il sentait la marée chaude de la libération monter dans ses couilles gonflées. Il commença à la baiser plus rapidement, enfonçant et sortant sa bite avec de courtes et dures poussées, ravageant sa petite chatte serrée et glissante avec une vigueur implacable.

« Oooooooh, oui, papa ! cria Melissa. « Va vite ! Baise-moi vite ! Unnnnnghhh ! C’est si bon !… C’est si bon ! Je peux sentir ta bite palpiter… la sentir tressaillir dans ma chatte ! Oh, enfonce-la plus profondément ! Frappe ma chatte avec ta bite, papa ! Uhhhhh ! » La fille avait un autre orgasme puissant, remuant son cul comme une folle, se jetant sur la bite de Ted dans une extase débridée.

« OOOOOOH, PAPA !! JE JOUIS ENCORE !…. OH, DIEU ! OHHHH, DIEU ! OH, FUUUUCK ! », cria-t-elle en poussant sa chatte avidement vers l’arrière. Le frottement de sa bite sur son petit clito frémissant envoyait d’intenses tremblements de plaisir à travers son jeune corps. Ted saisit fermement les hanches de la jeune fille et la baisa durement et profondément, frémissant d’extase lorsqu’il atteignit lui aussi l’orgasme.

« OH, MELISSA, CHÉRIE ! AHHHHHHGGGGGHHH ! Je jouis aussi ! » cria Ted, sa bite s’agitant follement dans son ventre alors qu’il pompait giclée après giclée de sperme chaud et brûlant à l’intérieur de sa chatte convulsive. Il sentit sa chatte s’agripper à lui. « PRENDS TOUT, BÉBÉ ! UHHHHHHH ! JESUS ! JE VAIS REMPLIR TA PETITE CHATTE CHAUDE DE MON SPERME, CHÉRIE… JUSQU’À CE QU’IL SORTE DE TES PUTAINS D’OREILLES ! AHHHHHHHGGGGHH ! » Ted et Melissa gémirent et frémirent comme un seul homme, se secouant et se ruant l’un contre l’autre comme des animaux sauvages alors que le plaisir explosif de leur orgasme mutuel les envahissait complètement.

Il fallut quelques minutes avant qu’ils ne cessent de haleter et ne s’effondrent. Melissa resta allongée, se remettant de l’orgasme le plus puissant de sa jeune vie. Ted l’embrassa et se leva.

« Merci, chérie », dit-il en remettant son pantalon de jogging. « Il faudra qu’on remette ça un jour. Peux-tu me retrouver ici demain après l’école, ma chérie ? »

Mélissa a hoché la tête avec enthousiasme. Elle était encore sur un nuage. Elle ne s’était jamais sentie aussi bien et elle était un peu déçue que ce soit fini. Robbie ne l’avait jamais baisée comme ça, jamais ! C’était tellement merveilleux que la petite fille avait hâte de recommencer… bientôt !

Ted lui donna un long baiser passionné et partit en trottinant hors de la clairière avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit. Melissa resta assise pendant un moment, le regardant, bien baisée mais heureuse. Soudain, elle se rendit compte de l’heure qu’il était. Merde, sa mère allait la tuer ! En un clin d’œil, Melissa s’est habillée et a pris le chemin de la maison, le sperme de son nouvel amant encore poisseux entre ses jeunes cuisses crémeuses.

La fin