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Retrouvailles torrides en Alsace de mon ami séminariste Julien et son compagnon Sylvain

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Si cela faisait je vais dire trois bonnes années, que si je n’avais plus de nouvelles ni revu mon ami Julien, alors jeune  séminariste, voilà qu’en ce début d’année 2015, je reçois un mail de ce dernier qui dans son message semblant trop heureux de reprendre contact, me fait alors part qu’étant depuis quelques mois monté en grade, devenu en effet un petit moine,  il aura  été muté  de son ancienne adresse et désigné depuis quelques semaines à un poste pour une période indéfinie en Alsace dans un Foyer de charité situé dans la Région de OBERNAI, au sein duquel, il chargé avec le soutien d’un collègue et ami,  lui aussi jeune moine, se prénommant Sylvain, de s’occuper  de retraites spirituelles et autres. Et bien   ,arrivé en Alsace il aura très vit pensé à son ami Gérard, avec qui il avait passé il y a quelques années, dans son Abbaye du GARD de supers moments qui bien sur nous serons resté à tous deux et son envie de profiter à me revoir.

Et si nous étions début semaine, que j’étais pour ma part jeune retraité et que surtout se Foyer n’était qu’à une heure de chez moi,  je ne me retiens à  proposer à Julien de passer le week-end à venir, chez eux si toutefois si cela était possible. Et si combien ravi mon Julien me confirme que cela reste sans problème, et que bien sur nous nous arrangerions comme nous l’avions déjà fait lors de mon séjour  la fois passée, ce qui bien sur m’aura fait sourire. Si j’arrive donc ce vendredi vers 17hrs ayant trouvé avec assez de facilité l’adresse de ce foyer, sans rentrer dans le détail, je  sonne alors où si un moine,  un peu âgé, vient vers moi, lui faisant  part de la raison de ma visite, me souriant et m’informant qu’en effet ses jeunes collègues Julien et Sylvain, l’avaient informé de ma venue, ce dernier m’indique un emplacement pour mon véhicule pour ensuite m’emmener retrouver ses derniers logés au 2ème étage de ce Foyer..

Et si toujours mon accompagnant,  frappe à la porte, cette dernière s’ouvre où devant mes yeux déjà pétillants et combien heureux, je retrouve mon Julien, qui s’il remercie la personne m’ayant ramené chez lui, me fait alors entrer se laissant juste avec son joli sourire « combien j’aurais pensé à toi Gérard ses deux jours passés et surtout à savoir que tu serais avec nous aujourd’hui » ne manquant déjà de me serrer même bien fort sur lui, me déposant quelques tendres bisous. Si j’entends alors quelques bruits dans la pièce d’à coté, je vois  arriver me doutant, son collègue Sylvain, tout aussi mignon que Julien, qui se laisse souriant  à « je devine que c’est le Gérard dont tu m’as tant parlé Julien » où tournant quelques instants autour de moi presque à me mater toujours en souriant, si cela déjà m’aura laissé à des pensées folles, heureusement que très vite mon Julien intervient et me présente à ce dernier un peu plus intimement.

Si voyant à l’heure qu’il était à présent déjà presque 18hrs, où après m’être mis à l’aise, les deux compères me convient à un petit apéro et quelques gâteries, m’informant que nous irions dîner d’ici à trois quart d’heures, où en attendant nous prenons place dans un grand et joli canapé, Julien bien sur ne manquant de s’asseoir bien près de moi avec en face de nous le Sylvain. Et si un long moment passe ensuite à converser de mille choses, à trinquer à nos retrouvailles, Julien m’informant qu’il partageait son appart avec Sylvain, mais que pour la nuit à venir,  je n’avais pas à m’inquiéter, pouvant  dormir dans une chambre sur l’étage que ce dernier ne  manquera de me montrer à notre retour du dîner.

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Se remettant ensuite à converser allant jusqu’à remémorer sans aucune gêne devant le Sylvain, tout souriant, quelques moments coquins passés dans le Gard, tout en buvant déjà un deuxième verre, voilà qu’à un moment Julien pose sa main sur mes genoux, où si je ne réagis en rien, même un léger mal à l’aise à voir le sourire du Sylvain en face, les mains de mon Julien continuent à descendre,  puis remonter en douceur, jusqu’à finir par empoigner mon entre jambe, ne laissant en rien ma petite queue insensible, tournant de plus sa tête vers moi, où ne se retenant en rien, il se jette sur ma bouche où alors même avec le petit voyeur en face,  rien ne pouvait arrêter cette envie et besoin réciproque de se dévorer quelques instant du  plaisir de s’être retrouvés.

Et si me demandant au fond de moi si cela n’était pas un peu prémédité, tout en continuant à se bouffer, le Sylvain se laisse toutefois à «  ne faites pas attention à moi…, laissez vous aller à votre petit plaisir » et s’éloignant un instant de nous,  mon Julien comme un petit drogué, avec toute son envie de moi, ne pouvant  se retenir, finit par réussir à extirper ma petite queue bien su déjà bien dure pour me la sucer quelques instants avec un plaisir dément, ne pouvant me retenir à des gémissements et râles de ce torride moment.

Si toutefois arrive alors l’heure où nous devions rejoindre le réfectoire pour dîner avec quelques autres de leurs collègues, avant cela, mes deux coquins s’absentent un instant, pour aller passer leur soutane, obligatoire semble-t-il pour rejoindre les autres membres de la communauté. Et arrivés ensuite au réfectoire, si les présents  n’auront pas manqué gentiment de me saluer, nous prenons tous trois place autour d’une table dans un coin. Si après cela, le repas était tout à mon goût, tout mangeant, en conversant tous les trois, je sens à un moment, combien surpris sous la table, une jambe qui vient discrètement se poser entre mes jambes. Et, bien sur cette dernière était celle de Sylvain, assis en face de nous et qui ne manquait de me sourire lui rendant ce dernier et de plus, écartant pour son plaisir,  un léger mes jambes, lui permettant de mieux accéder à son jeu. Si toutefois, je ne manque de faire part à Julien du petit jeu de son collègue, ce dernier pense que nous l’aurons un peu excité avec nos petits ébats et que bien sur lui aussi n’est pas de bois, rajoutant que s’il devait lui aussi me plaire cela ne le dérangeait en rien de me partager plus tard un peu avec ce dernier.

Alors même si j’étais un peu surpris des dires de mon Julien,  mais comme je le disais plus haut, que bien sur le Sylvain était lui aussi assez mignon, continuant toujours son jeu entre mes jambes, ayant de plus retiré une chaussure,  ce qui je l’avoue n’était à cet instant pas désagréable, fantasmant de plus à l’idée de pouvoir me faire baiser par mes deux petits hommes,  un peu d’église, laissant alors à mon tour, partir discrètement ma main entre les jambes de mon Julien sans risque, étant assis juste à coté de moi, lui murmurant par la même, que je n’étais pas contre de me laisser aller à eux et leurs envies où alors ce dernier me jette  simplement un petit sourire, mais  combien pervers.

Si après un quart d’heures encore, le repas se termine, Julien nous propose de faire un café à notre retour dans la chambre, le Sylvain ayant remis discrètement sa chaussure, nous nous levons pour retourner pour repartir, où en nous y rendant, je remarque sans plus y faire attention,  que les deux coquins étaient à comploter entre eux je ne sais quoi, me remettant très vite à bander, comme cela aura été le cas durant le repas avec le pied de Sylvain entre les jambes. Mais si avant cela,  tous deux s’arrêtent un instant,  à deux portes de la chambre de Julien ce dernier me montre alors en se laissant à me dire en souriant, c’est là que tu pourras éventuellement dormir la nuit prochaine si cela te convient mon Gérard. Et en y jetant un œil, en effet petite chambre confortable avec juste un lit et une armoire, ce qui reste cool juste pour la nuit même si je me doute ne pas encore y être.

Si ensuite nous revoilà dans le petit appart de mon Julien,  qui une fois entré, ce dernier ne manque de tourner la clef sur la porte ne manquant de me laisser de suite à quelques frissons. S’il nous lance ensuite à Sylvain et moi, mettez  vous à l’aise je fais passer un café, où si Sylvain pour sa part va chercher les tasses, et un petit alcool, quelques minutes passent où nous voilà à nouveau installés dans ce joli canapé, où si mes deux comparses avaient gardé leur soutane, pour ma part m’étant mis à l’aise, ayant passé un jeans léger  et un petit polo à la satisfaction de mes deux petits pervers, qui ne manquent de se sourire, ne comprenant pourquoi, où tout en conversant à nouveau, de plus ayant déjà pris un petit café et un petit cognac, très vite la situation ne tarde à devenir bien plus cocasse.

En effet, si à un moment, mon Julien se lève souriant,  me prend la main pour me faire me relever moi aussi, il me bloque ensuite contre lui, laissant alors partir sa bouche et sa langue dans mon cou, ses mains bien sur à se promener sur le devant de mon torse et entre mes jambes, heureusement encore protégés par mes vêtements,  me faisant tourner un léger la tête et alors, avec démence reprend ma bouche, où ensuite sans plus intervient  le Sylvain  qui à son tour laisse partir ses mains sur moi, où si déjà je me laisse à des gémissements et petits râles, toujours bloqué dans les bras de mon Julien, qui relâche un peu ses mains, permet au Sylvain de me retirer mon polo, puis continue en faisant tomber mon jeans, sous lequel si je ne portais pas de caleçon, je me retrouve à présent tout à poil entre mes deux petits moines pervers.

Mais s’il est vrais que depuis la petite proposition de mon Julien en conversant au  réfectoire, au fond de moi je m’avoue combien j’avais envie de cela, me laissant aller tout consentant à mes deux petits salauds, où si mon Julien toujours à promener sa langue dans mon cou, dans le haut de mon dos, je sens à un moment, cette main lentement descendre le long de mon dos, finir par se promener autour de mes fesses, puis laisse partir le majeur de sa main lentement dans mon trou de cul, qu’il me branle ce qui me fait un bien dément.

Et si le Sylvain profite à son tour à très vite venir s’emparer de ma  bouche, roulant sa langue avec démence dans la mienne, puis se jetant entre mes jambes, empoigne ma queue et la fait glisser au fond de  me sa bouche, me la suçant alors   avec une envie démesurée, écartant de plus un peu mes jambes pour encore mieux sentir le sublime majeur de la main de mon Julien qui toujours me branle les parois de mon petit trou, me laissant à cet instant à un plaisir démentiel, ne pouvant me retenir à des   « Oh..Ouiiiiii…., Ouiiiiii mes petites putes…, encore…, encore.., donnez moi du plaisir » me sentant à cet instant comme le petit esclave sexuel de ses deux moines pervers, à presque m’évanouir des plaisirs les plus déments qu’ensemble ils me donnaient, de plus ne manquant à tour de rôle à  venir dévorer ma bouche et jouer avec ma langue.

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Et si toujours prisonnier et comme je le disais déjà consentant de mes deux petites salopes, ne se retenant ni l’un ni l’autre à me faire subir leurs envies les plus folles, rêvant un instant que l’un de mes deux petits pédés, finisse enfin par m’enculer, j’étais loin d’imaginer les perversités que ces derniers me réservaient encore, où déjà se relevant ensuite tous deux, profitant de ce moment pour me ressaisir un peu de ces moments déments, se jetant alors un nouveau regard complice, ils viennent devant moi, où cette fois le Sylvain, prenant entre ses mains sa queue et celle de Sylvain, se laisse alors à me dire «  tu vas à présent nous sucer tous les deux mon petit Gérard… , »  où sans plus me faisant tomber sur les genoux, entre mes deux putes,  Sylvain laisse très vite sa queue entrer dans ma bouche  pour sans plus y rajouter celle de mon Julien, où si jamais jusqu’alors,  je ne m’étais laissé à un tel jeu,  que si j’avoue peu agréable sur le moment,  surtout avec ses deux queues en érection et gonflées  comme jamais.

Toutefois après quelques minutes de ce jeu, je finis alors par prendre un peu plaisir à sucer ces deux queues  serrées l’une sur l’autre au fond de ma bouche, voyant par la même  grimacer mes deux petits pervers, qui si je les vois de plus se rouler leurs langues l’une dans l’autre, Je décide de leur donner encore un peu plus de plaisir,  laissant alors partir l’index de chacune de mes mains dans le trou de cul de l’un et l’autre, que lentement je leur branle,  où si me doutant un peu,  que mes deux putes n’allaient pas tarder à se laisser exploser en moi, où ne se retenant en rien, ils se laissent  à des va et viens de plus en plus effrénés, leurs queues  au fond de ma bouche, jusqu’au moment où sans prévenir, mes deux petites pervers se lâchent  dans râles combien déments et forts à partir dans une  jouissance démesurée et partagée, laissant gicler leur sperme au fond de ma gorge, dans un plaisir insoutenable, m’emplissant ma bouche qui déborde très vite de tout ce sperme.

Et relâchant mes doigts du fond de leurs trous de culs, mes deux petits moines, à présent un peu apaisés, me relèvent alors pour ensuite, autant Julien que Sylvain, me remercier de ce sublime moment dévorant à tour de rôle ma bouche et de ma langue, profitant à se délecter de tout ce sperme qu’ils m’auront tous deux donnés. Si après ces moments divins combien partagés, me couvrant un léger, les coquins s’étant glissés dans leur soutane,  nous reprenons place dans le canapé tous trois souriants où si cette fois Sylvain propose de se rafraichir avec un bon petit champagne, ce dernier sera bien sur le bienvenu,  Julien se levant allant pour sa part pendre des verres.  Si je profite à jeter un coup d’œil à l’heure déjà bien tardive alors, voyant qu’il était  23hrs 45 passé, si mes deux petits coquins reviennent prendre place, Sylvain nous servant ensuite  à boire, mon Julien à un moment me fait «  si tu souhaites sous peu rejoindre ta chambre pour dormir libre à toi Gérard », où pour toute réponse je lui fais part, que je n’avais aucunement envie de dormir et de plus pas tout seul, ce qui le fait sourire, rajoutant de plus, que je comptais bien encore profiter à me faire plaisir avec eux deux.

Et si à leur sourire à tous deux, j’aurais compris que mes dires n’étaient pas tombés dans des oreilles sourdes, se remettant à converser cette fois de leur mission dans ce Foyer, comment ils se seront connus tous les deux et bien d’autres questions, le temps passait où si nous en arrivions au troisième verre, pas trop habitué à l’alcool comme le savait trop bien mon petit coquin de Julien,  je finis en effet à me sentir un léger éméché, allant jusqu’à me laisser moi-même me caresser mon torse, mon entre jambe, lâchant des petits râles, cela ne laisse bien sur mes petits moines pas indifférents, où si mon Julien assis près de moi, jette une fois encore un œil coquin vers son comparse, ce dernier vient à son tour s’asseoir près de moi et me souriant, il reprend cette fois avec douceur ma bouche et ma langue dans la sienne, où si de plus les mains de mon Julien lentement repartent sur mes cuisses, me remettant de suite à gémir leur disant « Oh Ouiiiiii…, Ouiiiiii… , mes petits salauds…, prenez moi encore…, tout ce que vous se voudrez…,  j’ai encore trop envie de vous… »

Et prenant avec difficulté encore une petite gorgée de ce très bon champagne, cela empira ensuite où si les deux petites salopes, s’emparent toutes deux de moi, me trainant cette fois, jusque dans la chambre à coucher de mon Julien, où là, même après avoir un peu trop bu, mon envie de les sentir encore en moi, sur moi, les toucher, les sucer et me laisser encore à toutes leurs fantaisies, leur offrir encore et encore  mon corps, ma queue, mon petit cul et ma bouche, me faisant basculer sur ce lit, où alors, je me tortille et me bouge dans tous les sens et positions les plus perverses, pour bien exciter mes deux petites putes. Et même si je n’étais pour ma part plus dans mon état normal, mais juste avec une envie folle de profiter encore un peu à me faire baiser, allongé sur ce lit, je vois arriver mes deux pervers petits complices, qui laissant tomber cette fois encore chacun sa soutane, bien sur à poil en dessous, laissant à ma vue leurs deux jolies queues, combien en érection, où si les deux petites salopes, revenant ensuite se jeter sur leur petit esclave combien consentant que j’étais toujours, les ébats redeviennent très vite  d’une perversité sans nom, où si combien leur envie à tous deux de moi était toujours aussi démente même si ne devions être à presque 1hrs du matin.

Et si là encore, après des moments déments à me bouffer de partout,  mon petit Julien adoré, prend alors les initiatives,  il se positionne au dessus de moi, faisant sans plus entrer sa jolie queue au fond de ma bouche de laquelle, je me délecte de suite, allant alors s’emparer de la mienne, qu’à son tour il dévore roulant sa langue autour de cette dernière, ne pouvant encore même sa queue dans ma bouche à me retenir à des râles torrides. Arrive de plus un moment où si notre petite pute de Sylvain, à quatre pattes sur le lit,  je le vois s’emparer d’un coussin, qu’en relevant un léger mes fesses, permettant à cet instant à Julien à  encore mieux se délecter de ma queue, il positionne ce coussin dans le bas de mon dos, m’empoignant ensuite par les cuisses pour me tirer un léger vers lui, lui pour alors laisser partir sa bouche et sa langue autour de mes couilles à me les mordiller, puis continuer le long de ma raie jusqu’à finir, par faire entrer sa langue, me limant avec démence quelques minutes, les entrailles de mon trou de cul, ne pouvant malgré la bouche pleine, me retenir à presque des cris de ces plaisirs démentiels que me donnaient mes deux petites salopes.

Et si cela devenait de plus en plus fous, où si la petite pute de Sylvain retire sa langue de mon trou de cul, s’empare de sa queue dans une érection folle, qu’il laisse sans plus très vite partir avec douceur au fond de mon trou, ne manquant de se laisser à des va et viens torrides et incessants. Et si cela dura encore de sublimes et longues minutes, ne pouvant plus tous trois se retenir à  des gémissements et des râles sans fin, de cette torride osmose sexuelle partagée, sans retenue, nous nous laissons partir dans une jouissance indescriptible et des râles réciproques à gicler nos spermes, pour Julien et moi-même bien au fond de nos gorges, quant à Sylvain il ce sera  déchargé dans des va et viens effrénés dans les entrailles de mon trou de cul.

Se relevant enfin tous trois de ces orgies démentielles, se rendant sous la douche, pour nous rincer, là encore mes petites salopes n‘auront pas manqué à quelques jeux, avant qu’enfin nous n‘allions nous coucher, où si bien sur,  je n’aurais pas rejoint la  petite chambre prévue sur l’étage, tous trois nous nous serons retrouvés dans le lit de Julien blottis comme des amants, où très vite nous nous serons endormis. Et si nous étions alors déjà samedi et que je restais jusque dimanche dans l’après midi, nous n’aurons d’ici là manqué à bien des plaisirs desquels, je n’aurais jamais pensé un jour m’y laisser, de plus avec des petits hommes d’église.

FIN

Gégé

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