Rupture du train-train quotidien
À l’issue d’une présentation à la Banque de France à Clermont Ferrant, je regagne le Grand Est., Pour l’occasion, j‘étais donc vêtue d’une élégante jupe fendue, d’un chemisier et d’escarpins à haut talon. 18.30, la gare. J’attends l’affichage de la voie de mon train.
Enfin, la voie est annoncée. Voie A ; Je m’y rends. Je trouve une place en compartiment et je m’installe, tirant un peu sur ma jupe tandis qu’un quadragénaire prend également place. Aussitôt, il entame la conversation sur le temps, la SNCF, le but de mon voyage… Le train roule, mes cuisses sont visibles par la fente malgré mes efforts pour les recouvrir de temps à autre. On converse à bâtons rompus. Tout en conversant, je sens qu’il fixe mes cuisses régulièrement. Un peu mal à l’aise mais satisfaite d’être désirée, je tire sur ma jupe et la remets en place. Mais je commence à être troublée d’autant qu’après m’avoir interrogé sur ma situation matrimoniale, la conversation prend progressivement un ton plus dragueur. Il me flatte et me complimente pour ma féminité. La confusion et une petite excitation me gagnent… Finalement c’est un peu grisant et je ne risque rien : Lentement, mais sûre d’être observée, je croise mes jambes. La conversation prend peu à peu un tour plus audacieux. Il m’interroge sur mes dessous préférés, mes positions préférées, mes fantasmes, etc. L’alcool du cocktail aidant, je me prête au jeu et je l’interroge également. « Mon fantasme serait que vous alliez aux toilettes, que vous ôtiez votre soutien-gorge et que vous soyez nues sous votre chemisier et que vous ôtiez votre collant aussi ». Chiche ? Grisée, j’y vais. Je reviens. Il me fixe avec acquiescement. « Vous êtes très belles et très sexy comme ça. Donnez-moi votre soutien-gorge et votre collant s’il vous plaît et déboutonnez un peu votre chemisier. Deux ou trois boutons… » J’exécute. Il apprécie. « Vous aimez sentir que je vous désire ? ». « Oui, c’est très agréable. ». « Fermez les yeux et imaginez qu’un homme glisse délicatement sa main dans votre chemisier et vous caresse délicatement la pointe des seins. ». Le salaud, il m’excite.
La situation, sa voix, ses mots. » Imaginez à présent que vous êtes ainsi, très aguichantes dans le couloir du wagon. Un homme qui ne vous déplaît pas vous accoste. Il vous drague. Il vous charme. Il vous susurre des mots délicieux à l’oreille. Vous sentez son souffle. Vous n’en pouvez plus. Vous avez envie. Lui aussi d’ailleurs. Il approche ses lèvres. Vous tendez les vôtres. Vos langues fusionnent avidement. Il embrasse divinement. Pendant ce temps, ses mains caressent votre dos, vos fesses, vos hanches et bientôt, s’immiscent dans la fente de votre jupe. Il remonte vers votre slip humide. Il vous palpe. Il vous titille à travers le textile. ». Je reprends mes esprits : « arrêtez s’il vous plaît. C’est débile ce jeu… ». « Oui mais vous aimez. Vous ne pouvez pas dire non. Refermez les yeux doucement. ». Anesthésiée, j’obéis. Il se rapproche. « Cet homme, il est là ». Il aventure sa main entre mes cuisses en commentant comme avant. Abandonnée, je le laisse faire et presque indécente, je m’avance sur le siège et j’écarte un peu les jambes lui révélant un peu plus mes cuisses. Il remonte. Je suis électrisée. L’issue semble écrite. Je sens l’excitation me gagner. Il a atteint, à présent, mon slip humide et me caresse l’intérieur des cuisses. Il me palpe et titille déjà mon clitoris à travers le tissu humide. Je suis dans un état second. Il glisse alors un doigt puis deux sous le tissu et excite de plus belle mon clitoris. J’écarte mes jambes un peu plus. Mes jambes tremblent. Je lâche mes premiers spasmes, je me contorsionne et gémis de plaisir. Je ne m’appartiens plus. J’ai à présent envie d’être prise et pénétrée par cet homme qui a gagné. Il prend ma main et la pose dans sa braguette et je commence à branler son sexe. Ses lèvres se collent aux miennes et on s’embrasse aussitôt langoureusement. Les boutons de mon chemisier sautent furtivement et il caresse et embrasse mes seins puis fourre à nouveau ses mains sous ma jupe, ses caresses m’arrachant des spasmes de plaisir. Je lui défais sa chemise et lui descends sa braguette.
L’homme doit alors avoir terriblement envie de me pénétrer. Il me fait lever. Il quête un refus de ma part mais résignée et hypnotisée, je lui souris. Costaud, il me soulève et me repose sur lui… Je m’empale sur son sexe qui se faufile au côté de l’élastique de mon string. Je suis terriblement excitée. La jouissance est intense… Les deux mains sur mes fesses, il accélère le mouvement. Nos langues s’emmêlent. Je crie ma jouissance Je gémis « oui vas y, encore, prends-moi… ». « Tu en veux plus ? ». Je souffle oui… Il me soulève, m’ôte de son sexe et me repose sur terre. Il me retourne, me baisse la tête puis me faisant cambrer le bassin, il retrousse ma jupe, baisse mon slip qui glisse à mes pieds et appuie son sexe sur mon anus… Je lâche un « non pas par là » mais le voilà qui enduit son doigt de salive et masse mon anus avant de le pénétrer de son doigt lubrifié tandis que de son autre main, il excite à nouveau mon clitoris en feu. Je suis paralysée par la décharge de plaisir… Je ferme les yeux. L’instant d’après il me force puissamment. Ça y est il est dans moi. La cuisson intense de l’anus se mêle au plaisir. Je pense que je me fais sodomiser pour la première fois. Il remue avec moi et je sens mon vagin dégouliner tellement je jouis… À son tour il éjacule en saccades et en ressortant son sexe, l’essuie entre mes fesses. Il me retourne et m’embrasse. Pour m’inviter à rester docile, il pose un doigt sur ma bouche, il lèche mes seins qui sont durs comme du béton puis descend par le nombril et me lèche maintenant les lèvres puis plus goulûment, glisse sa langue dans mon vagin, je me cambre de plaisir. Contre tous mes principes je me penche et glisse ce sexe qui vient d’arpenter mon anus dans ma bouche : il rebande de nouveau, ses testicules sont crispés quand je les chatouille de ma langue.
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Il me dit stop et me redresse et me remet dos à lui, puis me pénètre lentement en levrette… Je gémis de plaisir, de plus en plus fort à mesure qu’il accélère son rythme. À ce moment, la porte du compartiment s’ouvre. Horreur. Deux jeunes hommes attirés par mes cris de jouissance et par leur désir font irruption. Mais mon inconnu continue en moi. Il décharge une deuxième fois mais cette fois dans mon intimité… Il se retire dans un « ploc » et dit aussitôt : « Elle est à vous ». Je suis épuisée. Je n’ai pas le temps de réagir qu’un des deux a pris sa place. En me tenant par les hanches, d’un coup, il me pénètre sans prévenir, m’arrachant un hurlement d’effroi. Il me pistonne fortement en me secouant comme une poupée et en rugissant, il se déchaîne. Je sens toute sa virilité en moi, dans mon petit ventre. Je suis toute remplie par cette tige de sensualité. Un flux électrique s’intensifie. L’autre jeune s’est reculé et se masturbe en nous regardant. Soudain, une bouffée de chaleur part de mon bas-ventre, ma gorge se noue… Je jouis intensément, je pousse un soupir et je me mords les lèvres pour ne pas crier. Mes jambes flageolent, j’ai du mal à rester debout. Heureusement, mon amant me retient. Je suis pleine de fourmillements et de frissons, j’ai la chair de poule.
Mon vagin se rétracte autour de sa verge qui continue son mouvement divin et qui me transperce. « Ploc », il sort de mon intimité et tout en gémissant, explose aussitôt en plusieurs jets sur mes fesses et mes cuisses. De nous voir, l’autre explose sur la banquette. Les jeunes se refagotent et après quelques remerciements et compliments, disparaissent tandis que mon amant du train essuie sommairement mes cuisses et mes fesses avec un kleenex puis remonte mon slip sur mon intimité poisseuse et laisse retomber ma jupe. Il me fait asseoir. Je suis exténuée et perturbée. Je ferme les yeux. Je reboutonne mon chemisier. Je sens le sperme de ces inconnus qui coule dans mon string. Mon anus me cuit de façon permanente mais jamais je n’avais eu une telle jouissance et une telle excitation. Mon amant me tient la main et caresse ma cuisse. « Tu es une magnifique amante et une belle salope ». « Je n’en peux plus. Je ne comprends pas ce qui m’est arrivé. En plus, vous m’avez achevée ». Très doux, il m’invite à m’allonger et à dormir contre lui. J’allonge mes jambes sur la banquette et je m’assoupis contre lui, ses mains dans mon chemisier caressant et enserrant mes seins. Il me réveille une heure et demie plus tard à l’approche de Paris. « Tu as bien dormi. Je suis sûr que tu as encore envie… Promets – moi qu’on va se revoir. Juste une fois. Tu t’habilleras sexy en souvenir d’aujourd’hui. ». Contre tous mes principes, je lui donne mon numéro de téléphone. « Je t’appellerai prochainement et on se fera une sortie que tu n’oublieras pas. »
J’essaie de me justifier en balbutiant… « C’était un accident… Tu sais. D’habitude, je ne suis pas comme ça. ». « Je sais. C’est pour ça que je ne te propose rien qu’une fois. En attendant profites, ne culpabilises pas. Tu as aimé ce qui s’est passé, tu ne peux pas dire le contraire. C’est tout ce qui compte. » Il me tend mon collant et mon soutien-gorge. « Tiens range les. Quand je t’appellerai, n’oublie pas. Tu n’en n’auras pas besoin. »
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