L’esclavage de sa femme.
Voilà, les choses sont claires. Léa et son joueur de mari savent ce qui les attend.
Son mari a quand même le droit de venir lui rendre visite, quand il le souhaite. Cependant, elle reste pour toujours la propriété de ses maîtres arabes.
Il est même autorisé à regarder sa femme se faire enculer. Il constate à chaque fois, qu’elle prend de plus en plus facilement une bite dans son cul et à présent, elle en jouit d’être sodomisée.
Il assiste aux orgies dans le club privé des administrateurs arabes de la société. Il voit qu’elle accepte son statut d’esclave sexuelle. La bouche de sa femme suce et avale le sperme de nombreuses queues. Sa chatte et son cul sont rodés aux plus grosses queues. Elle finit à chaque fois pleine de sperme. Son estomac, son ventre et surtout ses entrailles sont remplis de sperme proche-orientale.
Le mari écœuré de voir sa femme jouir sans retenue, d’être ainsi offerte aux hommes d’Arabie. Il ne reviendra plus la voir se dégrader à cause de son addiction au jeu.
Pour qu’elle ne soit pas fécondable, son nouveau mari qui vient de l’acheter la fait stériliser dans une clinique privée. Dans cette clinique, ils utilisent une nouvelle technique, dite “technique Essure ” Elle permet d’effectuer le type d’intervention par les voies naturelles, en plaçant un petit ressort dans chaque trompe ? C’est l’équivalent au stent utilisé en chirurgie coronarienne.
Ainsi, non fécondable définitivement, Léa suit son nouveau mari chez lui en Arabie saoudite. Après que les fils de son mari l’ont bien baisé par tous ses trous, elle est revendue à un autre mari. Léa sait que le retour en arrière lui est pratiquement plus possible. Elle sait qu’elle ne rentre jamais dans son pays. Ensuite, elle est revendue à plusieurs reprises à d’autres arabes. Elle passe ainsi, de main en main, car avec son collier et sa laisse, elle est juste une esclave sexuelle, prête à subir tous les assauts des hommes arabes.
Elle vient d’être achetée par un très riche maître Arabe. Il ne sera pas son mari comme à l’accoutumée. Il a trois femmes, dont une européenne scandinave. C’est pour que ses quatre fils puissent se vider les couilles en toute sécurité, car il n’y a pas de bordel en Arabie Saoudite.
Au bout d’un mois, l’aîné de ses fils vient voir le cheikh, son père. Il tient Léa en laisse, elle est nue avec des bas et un porte-jarretelles, perchée sur des hauts talons aiguilles.
Il se plaint que la chatte et l’anus de l’esclave sont tellement dilatés, qu’ils ne retiennent plus le sperme dont on les remplit.
Le visage du cheikh se fige soudain, il redresse violemment sa tête, il fixe l’esclave droit dans les yeux, puis explose littéralement de rage, sans aucune retenue.
– La salope ! On m’a trompé sur toi ! Tu ne tiens plus le jus d’une queue, tellement que tu as été baisé. Tes trous sont trop larges pour les queues de mes fils. Il y a que les très grosses queues qui peuvent te fourrer à présent ? Alors, tu vas en avoir et des plus grosses que tu n’as jamais eu !
Le cheikh, frappe dans ses mains et deux esclaves noirs viennent encadrer Léa ? Le fils donne la laisse à l’un d’eux et ils l’empoignent de leurs bras puissants, ils la soulèvent du sol et l’entraînent à l’extérieur du Riyad. C’est devant un ancien bâtiment en pierre, avec plusieurs entrées, qu’ils l’entraînent. Ily a aussi une sorte d’écurie avec un manège de dressage pour cheval. D’ailleurs ça sent le cheval dans le coin.
Le fils aîné, l’air grave, pénètre dans le bâtiment en tenant en laisse les deux dogues allemands, des chiens énormes. Elle sait à présent de quoi les hommes sont capables de faire. Elle s’attend au pire.
Elle est là, encadrée par deux serviteurs noirs, nue, avec ses talons aiguilles, ses bas et son porte-jarretelles.
L’esclaves Léa, garde la tête baissée, attendant la suite des événements, le fils aîné l’agrippe par les cheveux, et la force à regarder devant elle.
– Regarde devant toi, tu fais honte à mon père. Il t’a acheté pour que ses fils baisent une blonde. Mais, tes trous sont plus larges qu’un point d’eau dans l’oasis
Léa voit qu’il y a une terrasse couverte au dessus de l’écurie.
L’esplanade est plongée dans le plus grand silence.
D’un geste de la main, le cheikh fait comprendre aux deux serviteurs noirs, qu’ils peuvent officier. Les deux serviteurs noirs n’attendaient que ça, comme en témoigne l’énorme bosse qui boursoufle leurs pantalons. Ils s’empressent de venir exhiber à l’esclave, leur monstrueuse bite noire, démesurée et épaisse.
Malgré l’incongruité de la situation, elle est excitée par ce qu’il attend. Elle a envie qu’ils la pénètrent dans son ventre, dans son sexe, avec leurs queues monstrueuses. L’esclave a envie, qu’ils jouissent dans ses puits d’amour, qu’ils la remplissent de leur sperme.
Ils la font se mettre à genoux devant eux. Pas besoin d’explication pour comprendre qu’ils veulent commencer par une bonne pipe. Avant qu’elle s’exécute, sur l’ordre de la blonde à côté du cheikh, l’un des serviteurs la force à redresser la tête pour qu’elle regarde la famille du cheikh au complet. Ils sont là pour assister au spectacle, dont elle va être la vedette.
Ensuite, les deux serviteurs lui présentent leurs queues bandées et palpitantes. Alors là, ça ne sera pas facile de les sucer, sans qu’ils lui inondent la gorge de leurs semences. C’est avec difficulté qu’elle embouche l’énorme queue de l’un ensuite, de l’autre. Dans l’état auquel ils sont, elle n’ose pas mettre sa main sur leurs queues. Elle commence avec le plus excité des deux. Sa langue parcourt son membre de bas en haut, puis de haut en bas. Quand elle arrive au gland, elle en fait le tour en lui taquinant délicatement le méat, pour l’enfouir ensuite aussi profondément que possible dans sa gorge.
L’esclave sent le lubrifiant pré-spermatique couler de son membre. Elle redresse sa tête, son regard croise celui de l’homme, il semble la comprendre, avec un sourire au coin des lèvres. Il laisse la place à son collègue.
Elle embouche prestement la bite du second. Elle ose lui prendre ses couilles dans une main. Elle le suce comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge. Son gland se gonfle, enfle, comme s’il allait éclater. Dans le creux de sa main, ses couilles semblent se mettre à durcir. Sa langue passe et repasse sur son gland, elle ne quitte pas des yeux son méat, d’où le sperme risque de jaillir.
Celui qui se fait sucer, retire son engin de la bouche de l’esclave et la redresse. Elle se retrouve debout face à ce grand noir. Il écrase sa bouche sur la sienne. Ils mélangent leur langue. Il la soulève un peu plaquée contre son torse, avec leurs bouches toujours unies. Il la laisse glisser vers le long de son torse et elle retombe les cuisses ouvertes sur son sexe tendu. il ne rentre pas dans son puits d’amour, il lui écarte ses lèvres intimes. Le gland appui sur son anus et son clito est écrasé contre le pubis poilu du serviteur. Elle sent sa moule se contracter. Elle passe ses bras autour du cou du serviteur pour se retenir, car elle jouit du frottement de la queue sur ses parties intimes.
Léa est encore dans les bras du grand serviteur noir qui lui fait face. L’autre serviteur vient dans son dos lui saisir la taille. Elle est à présent coincée entre les deux grands serviteurs noirs. Elle sent le gland frotter son anus. Elle se cambre et écarte bien ses fesses, pour que le serviteur derrière elle puisse l’enculer, ce qu’il fait. Avec l’engin enfoncé dans son rectum, celui de devant la soulève en penchant son buste en arrière. La matraque qui la sodomise ressort, mais s’arrête avant que le gland ne sorte. L’autre, redresse son buste avec l’esclave plaquée dessus. En se redressant, il empale sa matraque dans la moule de l’esclave qui sent aussi l’autre braquemart s’enfoncer dans son boyau.
L’esclavage est pris en sandwich entre ses deux grands serviteurs noirs. On peut entendre distinctement le bruit de succion qui se fait dans sa grotte inondée.
Leurs bites sont dures comme de l’acier. Excité comme ils sont, ils n’arrivent pas à se contrôler, ni l’un, ni l’autre. Ils éjaculent pratiquement en même temps, noyant les entrailles et la grotte de l’esclave sexuelle, avec leurs jets brûlants et saccadés. Une fois de plus, elle a un orgasme bestial et fulgurant.
Celui qui vient de l’enculer plonge sa main dans les cheveux de Léa et la force à redresser la tête. Sur la terrasse au dessus de l’écurie. Elle peut voir le cheikh saisir violemment la tête de son épouse blonde entre ses mains. Il fait bouger avec violence la tête blonde. A voir son visage se crisper, Léa comprend qu’il vient de balancer sa purée dans la gorge de l’épouse nordique.
Sans qu’ils ne se disent rien, celui qui l’a baisé par devant, vient derrière Léa pour la sodomiser. Soumise, elle se penche en avant, prenant appui sur une barre d’attache en bois pour les chevaux. Elle pousse son cul en arrière, pour faciliter la sodomisation. La poutre noire disparaît dans les reins de l’esclave.
L’autre noir force les lèvres de l’esclave avec sa bite avec laquelle, il vient de l’enculer. Il l’agrippe par les cheveux pour qu’elle avale sa très grosse queue.
De l’autre côté, le noir l’encule avec un rythme bien régulier. Elle accompagne chacun de ses mouvements en reculant ses fesses, pour bien accentuer la pénétration. Il fait part de son étonnement à l’autre serviteur qu’elle est entrain de sucer avec une vraie envie.
Depuis le remboursement de son vol, elle aime le sexe. Elle aime être le point de mire des hommes. J’aime savoir qu’ils la baiseront dans ses trois trous, même par fois à plusieurs. Alors, pourquoi retenir son plaisir ? Elle se laisse aller et ses cris de jouissances doivent s’entendre dans tout le Riyad.
En entendant ses râles de jouissance. Les deux serviteurs noirs ne peuvent plus se retenir. Celui qui l’encule se vide une seconde fois les couilles, puis s’écroule sur elle, vidé, exténué, sans souffle. Tandis que l’autre se répand dans sa bouche en lui maintenant la tête. Elle avale sa semence jusqu’à la dernière goutte.
Léa pense que bientôt, elle sera vendue rapidement à un autre Arabe. Mais, elle se trompe. Du haut de la terrasse, l’épouse blonde du cheikh s’adresse au serviteur sur un ton à la fois autoritaire, avec une voix haineuse.
– Aller ! ça suffit. Les chiens, à présent !
Le fils aîné réapparaît, tenant avec peine les deux molosses en laisse. Les chiens sont excités et grondent. Léa est terrifiée en pensant qu’ils font la faire bouffer par leurs chiens ?
Les deux serviteurs noirs la forcent à me mettre à quatre pattes ? Comme une chienne attendant sa saillie. Le fils du cheikh lui clame bien fort à l’attention de sa famille au dessus :
– Avec les deux trous sans fond que tu as entre les cuisses. Tu serviras dorénavant de femelle à tous les animaux de mon père.
Sur la terrasse, les trois épouses du cheikh applaudissent à tout rompre aux paroles terrifiantes du fils.
Elle est un peu terrorisée par la situation. Elle va perdre son statut de femme, ils vont faire d’elle une femelle pour animaux. Il libère les deux molosses. Attirés par l’odeur de la précédente copulation, les deux chiens se ruent sur l’esclave. Elle est positionnée à quatre pattes, comme une chienne en chaleur. Ils commencent avec leurs langues rappeuses par lui lécher de sa moule béante qui dégouline de mouille et de sperme mêlés, ainsi que son anus entrouvert. Elle est surprise sur le coup.
Elle baisse sa tête pour voir entre ses seins pendants et entre mes jambes leurs grosses verges rouges sortis de leurs fourreaux.
En vérité, leurs langues lui font un bien fou, plus agréable que la langue d’aucun homme. Ils s’occupent de son clitoris comme s’ils savaient, qu’elle en raffolait. En pensant, qu’elle se fait lécher la vulve par deux chiens déclenche chez elle un orgasme. Elle écarte ses cuisses pour permettre aux chiens d’avoir accès à son vagin. Ils lapent tous son jus d’excitation. Plus elle gémit de plaisir, plus les chiens redoublent de vigueur. Sa moule est pleine du mélange de leur bave et de sa mouille.
Léa se demande si un chien peut baiser une femme ? Elle ne pense même pas qu’un accouplement entre un humain et une bête peut se faire.
Ils ont été attirés par l’odeur de sa dernière copulation avec les serviteurs. Cependant, ils l’ont tellement excité qu’elle relève un peu son fessier devant le museau d’un chien. Qu’à t-il comprit ? Car aussitôt, il grimpe sur le dos de la soumise. Ses bras fléchissent un peu sous le poids du chien sur son dos.
Après quelques tentatives ratées, le chien réussit enfin à trouver l’entrée de son puits d’amour et y enfonce sa verge. Il lui arracha un grand râle de plaisir. Il accélère son mouvement de va-et vient en elle. Léa sent la verge canine palpiter dans son vagin. C’est pour Léa, une sensation intense et étrange, une sensation qu’elle n’a jamais connue avec un homme. Il la défonce comme si elle était sa chienne. En fait, elle ne sait pas encore, qu’elle va devenir leur chienne. Son premier mâle continue à la saillir avec force et vigueur. Sa verge est bien plus grosse que celle de son ex mari . Elle jouit comme une folle, elle va même à la rencontre de sa verge.
Elle sent son ventre frotter sur son dos. Tout d’un coup, il ralentit la cadence et elle commence à sentir une protubérance gonfler dans son vagin ? Elle grossit de la grosseur d’une pomme à tel point, qu’elle repousse les parois de son vagin ainsi que les organes voisins.
Pour l’esclave soumise, c’est terrible et merveilleusement bon. La pointe de la verge touche des zones qu’aucune bite n’avait encore excitées. La protubérance e grossit encore. Elle jouit une première fois. Elle n’a jamais rien eu d’aussi gros et elle le sent jouir en elle. Il la remplit de sperme et elle jouit encore et encore. Au même moment, un orgasme fulgurant la traverse, un orgasme comme jamais elle n’en avait, jamais connu
Le sexe du chien est coincé dans son vagin. Elle ne sait jamais aussi bien sentie de toute sa vie.
Sur la terrasse , les trois épouses s’esclaffent :
– Elle jouit cette salope ! C’est une vraie chienne que vous avez là ! Maître !
C’est là, qu’elle descend au rang de femelle en chaleur en se faisant saillir par un chien.
Le chien cherche à se dégager, les deux amants se retrouvent cul-à-cul. La femelle continue à jouir pendant un bon quart d’heure jusqu’à ce que le volume de la protubérance se réduise et qu’ils puissent s séparer. Enfin, le chien se retire, laissant la place au deuxième. L’esclave est toujours à quatre pattes, elle essaye de reprendre ses esprits. Un flot de sperme coule d’entre ses cuisses.
Les fesses de l’esclave aussitôt libre, que le second chien se dresse sur son dos et s’agrippe à ses hanches. Il enfonce sa verge dans sa moule. Elle gémit de plaisir, lors d’un coup de rein trop ample, sa verge sort de la chatte de sa femelle. Il tente à plusieurs reprises de la pénétrer sans succès. D’un seul coup, elle sent la pointe de sa verge prendre un autre chemin. Hors, avant qu’elle puisse bouger, il la sodomise d’un coup. Elle pousse un cri de surprise et douleur mêlées. C’est rentré ! Son anus n’a jamais été aussi dilaté ? MMMMM ? Depuis qu’elle est devenue l’esclave sexuelle des Arabes, elle s’est habituée à la sodomie et elle est à présent particulièrement réceptive par là.
Quand, elle se fait sodomiser, les sensations les plus fortes se produisent, quand le gland force le sphincter de l’anus. Inutile de dire qu’une verge de ce diamètre, ça lui fait un effet incroyable. Elle en a immédiatement un orgasme. Il continue à l’enculer jusqu’à ce que sa verge se mette aussi à gonfler ?
Et Son anus supporte ? Pire même, il adore.
Elle croit, qu’elle est aux limites de son élasticité, et bien non ? Ou fils aîné du cheikh, donne une bonne poussée au cul du chien et la protubérance s’enfonce dans son rectum. Ça y est, la protubérance de la taille d’une orange a forcé son anus qui se referme sur la base de la verge. Elle continue à râler. Puis, là elle ne râle plus, elle est passée sur off. Ensuite, c’est une sensation incroyable, un truc énorme, genre orgasme d’une force inouïe, qui la secoue.
Son anus tient bon, mais moi pas elle. Le premier chien, laissé en liberté, vient à nouveau lui lécher les seins, le visage. Comme, Léa a la bouche grande ouverte en râlant sa jouissance, la langue du chien lui racle les amygdales. Il s’attarde dans sa bouche et instinctivement, elle la suce et l’aspire.
Sur la terrasse, c’est du délire. Ils vomissent des qualificatifs de toutes sortes à l’encontre de la femme devenue chienne.
Léa, l’esclave, n’est plus à ça prêt à présent. Elle jouit et c’est tout ce qui compte pour elle.
Le chien qui est sur elle se retourne en lui labourant le dos avec ses griffes et ils sont cul à cul.
Son anus est plus ouvert qu’un puits. Elle le sent se vider à son tour dans son ventre qui gargouille à cause de la quantité de sperme que le chien déverse dans son boyau. Ils restent ainsi cul à cul un petit moment. Exaspéré, le fils du cheikh tire le chien par son collier.
Le chien se retire du cul de l’esclave femelle avec le bruit d’un bouchon que l’on extraie d’une bouteille.
Léa est à peine remise de sa dernière saillie, qu’un serviteur noir sort du fond de l’écurie, tenant un superbe étalon brun par sa longe. Léa n’ose imaginer ce qu’ils veulent lui faire subir. Les paroles du fils aîné lui reviennent : Tu serviras dorénavant de femelle à tous les animaux de mon père.
La terreur dans les yeux, elle tourne sa tête en direction de la terrasse vers le cheikh. Leurs regards se croisent, elle y voit encore de la haine méprisante. Sur la terrasse, ses trois épouses applaudissent à tout rompre.
Le fils aîné vient détacher du piquet la laisse de l’esclave qui la retient en place pour les saillies. Un serviteur noir pose l’un sur l’autre deux ballots de paille rectangulaires. Le fils fait coucher à plat ventre l’esclave sur le ballot de paille du dessus et attache le bout de sa laisse à un lien d’un ballot.
L’autre serviteur qui tient le cheval l’amène devant Léa toujours
Les pattes avant du cheval passent de chaque côté de Léa allongé sur les ballots de paille. Ainsi placée, sa tête vient à plusieurs reprises se frotter contre le ventre du cheval. Le sexe énorme de l’animal commence à se déployer devant son visage. Il est gigantesque ? Il fait au moins quarante cinq centimètres de long et dix centimètres de diamètres. Il est humide et collant et il se balance devant sa bouche ? – Suce le celui la !
Elle a alors commencé à lécher de haut en bas l’énorme tige de chair. Elle suce la plus grosse bite de sa vie, elle ne peut même pas encore le prendre complètement en bouche. Sa langue caresse chaque centimètre de la verge de l’étalon, son nez sent l’odeur chevaline. Très vite, le sexe du cheval se retrouve luisant de salive. Elle suce et aspire le gland de cette queue monstrueuse qui lui est offerte. Elle avale presque ce sexe qui la nargue.
L’étalon se met à taper du sabot, ses nasaux frémissent. Elle sent que sa semence se précipite au sommet de son gland énorme. Le cheval décharge une quantité incroyable de sperme. Il ensemence sa bouche et éclabousse entièrement son visage, sa poitrine. Lorsque finalement le flot commence à faiblir, elle aspire les dernières gouttes qui continuent à s’écouler.
Sur la terrasse, les femmes applaudissent à tout rompre la performance de l’esclave blanche. Le fils aîné enduit la chatte de l’esclave d’une pommade qui reproduit fidèlement l’odeur de la jument en chaleur.
Un serviteur amène un autre étalon blanc celui là. Il hume l’air très intéressé. Ses oreilles dressées avec son énorme verge qui se balance entre ses pattes. Cette femelle est en chaleur, il le sent. L’étalon arabe vient se placer exactement là où il faut, c’est à dire, que le bout de sa verge mouillée, est à l’entrée de la vulve de l’esclave.
Il y a quand même une énorme différence de taille. Là haut sur la terrasse, ils retiennent leur souffle. Comment un engin pareil peut-il pénétrer dans une si petite fente ?
L’étalon donne un énergique coup de reins et sa bite disparaît en partie, dans le ventre de l’esclave femelle. Elle pousse un hennissement de terreur devant cette pénétration monstrueuse.
Le cheval sent que sa verge a commencé à pénétrer une vulve toute chaude. Il donne alors un grand coup de butoir. Elle crie de douleur. Le cheval la défonce littéralement. Sa verge bute contre le fond du vagin de la sacrifiée. Le plaisir et la douleur se mélangent. Pourtant, le plaisir prend le dessus. Elle ressent encore plus de plaisir avec le cheval qu’avec les chiens. Il fait de puissant va-et-vient en elle et elle crie sa jouissance. Léa est là les seins et le ventre écrasés sur un ballot de paille, à servir de femelle a un cheval qui la baise sans ménagement. Son vagin s’habitue à cette distension monstrueuse, et elle y prend du plaisir.
Léa est surexcitée par cette situation d’être la femelle d’un cheval devant le cheikh et ses épouses. Elle sent monter un orgasme d’une puissance inconnue. Elle est prise d’une frénésie hystérique de grosse verge, elle en crie sa jouissance à gorge déployée. Le cheval se cabre et s’enfonce le plus profondément au fond de son gouffre d’amour.
Les coups de croupe du cheval se font plus forts et plus rapides. Elle ne peut plus retenir ses cris de jouissance. L’esclave femelle perd tout contrôle d’elle même. Elle soulève ses fesses à la rencontre de ce gourdin de chair qui la rend folle. Elle perd conscience, lorsque le cheval inonde la vulve de la femme devenue sa jument.
Après un long moment, elle reprend ses esprits. Elle est toujours sur le ballot de paille les cuisses ouvertes. Au dessus d’elle, il y a un cheval noir ? Ils vont la faire saillir par combien de chevaux ses salauds ? Elle tourne la tête et voit que la bite du cheval est déjà prête à fonctionner. Il donne un bon coup de reins et la femme jument crie.
Le cheval la pénétra avec une plus grande force encore que le premier. Elle ressent encore plus de plaisir qu’à la première fois. A chaque coup de croupe du cheval, il heurte avec puissance le fond de son vagin. Ça la fait bouger un peu sur la paille qui frotte son clitoris et elle crie sa jouissance sans retenue, sans se soucier. Que la famille du cheikh ainsi que son personnels assiste au spectacle de l’esclave soumise au rang de femelle animale.
Ils regardent la bite de l’étalon arabe sortir puis entrer en cadence de la vulve de la femme. Ils ont un léger mouvement de tête comme au tennis, cependant au lieu de suivre la balle. Ils suivent cette énorme verge, qui s’enfonce et ressort. L’épouse blonde proclame :
– Pour accueillir cet énorme engin, il faut avoir une chatte comme une entrée de garage. Votre pauvre étalon ne doit pas sentir grand-chose ? Faudrait qu’il lui mette sa bite dans le cul à cette salope de femelle européenne ?
Pour la femelle européenne, s’est trop bon de se faire fourrer ainsi. Elle a un orgasme d’une telle puissance, lorsque le cheval éjacule, qu’il lui faut une dizaine de minutes pour s’en remettre.
Quand la verge ressort de sa moule, un flot de sperme s’échappe de la vulve qui reste béante. Et, il se passe quelque chose de magique ? La vulve de la femme esclave se rétracte lentement et redevient presque normale.
Après ça, l’avenir de Léa chez le cheikh, son propriétaire est tout tracer. Elle finira sa vie ici comme femelle pour son cheptel d’animaux.
Fin
Sam Botte
Ajouter un commentaire