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Sex trip dans les Vosges histoire de sexe chaude Partie 3

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Chapitre 3

Mercredi

En me réveillant ce mercredi, dans une chaleur lourde, je me demandai un instant où je me trouvais. J’avais mal à la tête, la bouche pâteuse, je me sentais éreintée. Puis je me rendis compte de l’état dans lequel j’étais : des traces de sperme et de cyprine un peu partout, sur mon visage, dans mes cheveux et sur mon corps ; je n’avais sans doute pas pris la peine de me démaquiller, à en juger par les traces sur l’oreiller.

En me tournant, je découvris un homme couché à côté de moi, nu. Alain. La mémoire me revint, par bribes. La soirée, plus que copieusement arrosée, comme le confirmait ma gueule de bois. Cette partie de sexe débridée, avec Alain et son père, Brigitte, Marie-Claude, Muriel… Je n’arrivais pas à tout me remémorer. J’avais du me conduire comme la pire des salopes.

Le souvenir d’orgasmes que m’avait procurés Hervé était tout de même bien présent dans ma tête, et je le regardai là, couché près de moi. Il dormait encore, et il ronflait doucement. J’écartai le drap. Il était beau, et son sexe à demi dressé me procura un début d’excitation. Il devait faire un rêve érotique…

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Doucement, j’effleurai la hampe épaisse de sa queue et son gland, du bout des doigts. Il ne se réveillait pas encore, mais un léger sourire apparut sur ses lèvres, pendant que sa bite commençait à se dresser. J’insistai. Ma main se fit plus audacieuse, et il ouvrit les yeux.

Il me regarda avec un regard plein de désir, qui me fit craquer, et je l’embrassai sur la bouche. Il était vraiment trop beau et trop sexy.

— Tu as retrouvé tes esprits ?, me demanda-t-il.

– Oui. Je crois que j’en tenais une bonne, hier soir.

— Pire que ça ! Il a fallu qu’on te remonte dans ton lit. Tu ne tenais plus debout, tu étais ivre morte.

— Je ne me souviens plus de tout, avouai-je piteusement.

— Tu ne te souviens pas que tu voulais aller au village, à poil, pour te faire photographier en train de baiser par le fils du boulanger ?

— Non…

— Brigitte et mon père sont allés te rattraper, au milieu de la route.

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— Et tu te rappelles que tu t’es fait prendre en double vaginale ?

— C’était donc vrai ?

— Oh oui ! Et je ne sais pas si c’était l’alcool, mais tu avais l’air d’aimer.

Pour ne pas le laisser poursuivre, je l’embrassai de nouveau, à pleine bouche, en le branlant. Sa queue était dure et dressée, et je retrouvai dans ma main le sexe épais qui m’avait si bien remplie la veille, et donné tant de plaisir.

Mes lèvres quittèrent les siennes, descendirent doucement sur son torse et sur son ventre musclé, pour atteindre leur but : le gros gland que j’avais découvert du bout des doigts. En regardant Hervé dans les yeux, je commençai à le lécher et à le sucer. Déguster une bonne bite au réveil, rien de mieux pour me mettre en forme. Mes seins durcirent, ma chatte s’ouvrit et se mit à couler…

Je le pompais de plus en plus vite, enfonçant le vit jusqu’au fond de ma gorge, et Alain savourait lui aussi ce moment.

— Oh putain, qu’est ce que tu suces bien, me dit-il.

— Tu aimes ?

— Oui… Continue…

— J’ai envie que tu me baises, lui dis-je en me relevant.

Allongé sur le dos, sa verge se dressait à la verticale, et j’enjambai son corps musclé, en tenant son sexe dans ma main. Je vins le chevaucher, en massant les pointes de mes seins, et ma fente ouverte s’approcha lentement du dard qui allait la percer.

— T’en veux encore, me dit-il. Mon père a raison, tu es une sacrée salope.

— Et tu n’aimes pas les salopes ?

— Bien sur que si !

— Alors, tant mieux, parce que je me sens très salope avec toi.

— C’est pas vrai…. T’es jamais rassasiée ?

— Tais-toi, bande dur et longtemps, j’ai envie que tu me fasses grimper aux rideaux.

Je me laissai tomber littéralement, pour m’empaler à fond sur sa bite. Puis je me redressai, avant de m’enficher de nouveau, en ahanant. Qu’est-ce qu’il m’arrivait ? Après cette soirée et cette nuit de folie, je n’arrivais pas à me calmer ? Ce séjour chez Brigitte et Philippe me transformait en pute lubrique. C’est moi qui menait la danse comme une furie, renversant mon buste en arrière de temps en temps, pour varier les sensations que me procurait la pine d’Alain, plantée dans ma chatte.

Alain empoigna mes hanches, et reprit l’initiative, imprimant à tout mon corps le rythme qu’il voulait. Je m’abandonnai à lui, et je jouis une première fois. Sans me sentir encore satisfaite. Je me mis à genoux sur le lit, en me cambrant pour lui présenter mon cul et ma fente ouverte et inondée.

— Baise-moi. Encule-moi. J’en veux encore.

— Attends, tu ne vas pas être déçue, me dit-il en se plaçant derrière moi.

— Vite, dépêche-toi. Je veux ta bite.

Je poussai un long gémissement, lorsqu’il me pénétra. Tout en limant mon minou, il doigtait mon petit trou, pour le l’assouplir et le lubrifier. J’avais hâte qu’il me sodomise.

— Oui, maintenant, dis-je d’une voix rauque, encule moi comme une chienne.

Aussitôt, je sentis son pieu se retirer de mon sexe, remonter entre mes fesses, et je me cambrai un peu plus pour lui offrir ma rosette. Et le gland gonflé s’enfonça, s’enfonça, jusqu’à ce que ses couilles viennent s’écraser contre mes fesses. Je devins comme folle.

— Vas-y, défonce moi, laboure mon cul, criai-je presque.

— Je vais te faire demander grâce, répondit Alain, en se déchaînant.

Sans la moindre douceur, il se mit à pilonner mon petit œillet, que je contractais pour serrer son dard et l’exciter. J’avais l’impression que j’allais m’ouvrir en deux, que ma rondelle allait éclater. Mes petits seins étaient secoués au rythme des coups de reins d’Alain. Je triturais mon clito comme une forcenée, je me doigtais. Tout mon être se concentrait dans mon sexe et dans mon cul.

J’eus un second orgasme. Puis un troisième, sans qu’Alain semble s’épuiser. Au quatrième, il renonça à se retenir, et un flot de foutre épais inonda mon petit trou, avant de couler le long de mes cuisses.

Nous étions étendus tous les deux sur le lit, haletants, lorsque la porte s’ouvrit. Brigitte, nue, souriante… Elle m’apportait mon petit déjeuner au lit. Un plateau, avec une grande tasse de café fumant, et des croissants.

— Bonjour les amoureux, dit-elle. Je vois que tu es en meilleur état que lorsqu’on t’a mise au lit, Véronique. Je voulais t’apporter ton déjeuner un peu plus tôt, mais tu sonorisais la maison, et je me suis doutée que tu étais occupée. Je ne sais pas si tu as vu l’heure…

— Oh merde !, m’exclamai-je. Mon rendez-vous avec mon écrivain. Il faut que je me dépêche.

J’avalai mes croissants et mon café, en me brûlant, et je fonçai dans la salle de bains.

Ma douche fut rapide, mais j’en avais bien besoin ! En sortant, je trouvai Brigitte allongée sur mon lit, avec Alain, qu’elle branlait doucement en lui parlant à l’oreille. Hélas, je n’avais pas le temps de me joindre à eux, et je cherchai dans ma valise ma tenue pour la journée.

Christian W. ne s’était pas révélé, la veille, l’austère écrivain que j’imaginais, et la découverte de sa bibliothèque érotique me donnait, me semblait-il, un peu plus de liberté vestimentaire pour aller chez lui. Il ne fallait cependant pas pousser le bouchon trop loin, malgré la chaleur qui incitait à porter des tenues plus que légères.

Je n’avais pas mis de sous-vêtements pour ma première visite chez lui, donc je n’en mis pas non plus. J’optai pour un ensemble en stretch blanc, que je n’avais pas encore porté. Il était très sexy, et j’avais un peu hésité avant de le mettre dans ma valise. Une minijupe, très courte, et un croc top, forme bandeau, sans bretelle.

Je l’enfilai, et un coup de sifflet admiratif d’Alain retentit dans mon dos, alors que je me regardai devant le miroir de l’armoire. Le tissu collait à mes formes, comme une seconde peau, et la jupe s’arrêtait juste en haut de mes cuisses. À quelques centimètres près, on aurait vu le pli à la base de mes fesses et mon minou. Mon nombril était découvert, et mes tétons marquaient franchement le top.

— Tu es hyper sexy, me complimenta Brigitte.

— Pas trop ?

— Mais non, ma chérie. Tu peux tout te permettre.

— Bon. J’y vais, je vais être en retard.

Après avoir pris mon attaché case et mon ordinateur, j’embrassai Brigitte et Alain sur la bouche et je sortis de la chambre, les laissant démarrer sans doute, eux aussi, la journée par une partie de jambes en l’air intense.

Le trajet vers Strasbourg me sembla plus court que la première fois. Comme la veille, ce fut Christian W. qui m’accueillit, chaleureusement, et je sentis que son regard sur moi et sur ma tenue était plus libre.

— Vous avez mauvaise mine, me dit-il sur un ton amusé en remarquant mes yeux cernés. Vous travaillez trop…

Nous reprîmes les mêmes places, dans son bureau, mais lorsque j’allumai mon ordinateur, il me dit en le montrant d’un geste de la main.

— C’est très utile, ces outils et internet. Ne m’en veuillez pas, mais j’ai fait une recherche sur vous, hier soir. J’ai bien trouvé Véronique L., professeure de lettres modernes, avec un CV flatteur. Mais en fouillant un peu plus, je suis tombé sur une autre Véronique, qui écrit des textes érotiques. Dont certains plus que croustillants ! J’ai vu que vous utilisiez assez souvent le pseudo de Véro 70, mais ce que vous dîtes de vous est révélateur. Est-ce que je me trompe.

— Non, répondis-je, car il était inutile de nier avec un interlocuteur de ce niveau. Mais comme pour votre bibliothèque, je compte sur votre discrétion.

— Cela va sans dire. Et pour sceller notre complicité, je vous ai dédicacé un de mes ouvrages publiés sous le pseudonyme de Julien de P. et je vous l’offre. J’espère que vous aurez la gentillesse de me dire franchement ce que vous en aurez pensé.

— Bien entendu, répondis-je, tout en lisant le titre : Jade…

Je me souvins que Jade était le prénom de sa jolie employée de maison, aperçue la veille… Mais l’entretien reprit là où nous l’avions laissé lors de mon départ, très professionnel. Jusqu’à notre pause, en fin d’après-midi…

Comme la veille, Jade nous apporta un plateau avec des rafraîchissements, et des biscuits à grignoter. Sauf que, cette fois, la belle eurasienne était nue, juste vêtue d’un paréo en voile transparent, noué autour de sa taille. Ses seins étaient presque plus petits que les miens. Des jolies pommes, attachées très haut, avec de toutes petites aréoles et des tétons dressés.

Elle me décocha un sourire plein de promesses, en remplissant mon verre de jus de fruit, tandis que Christian W. glissait sa main sous le paréo.

— Je suppose que vous avez fait le rapprochement entre Jade, et le titre du livre que je vous ai offert, me dit-il.

— Bien sur… Jade vous a inspiré ce roman ?

— Oh oui. Et lorsque vous le lirez, vous mesurerez l’étendue de ses… talents. Quoique, si j’en crois vos textes, vous n’avez rien à lui envier, pour le sexe.

— Vous me flattez…

— Je ne crois pas. Et, si j’en juge par la manière sexy dont vous vous habillez, vous avez le même goût pour l’exhibitionnisme.

En disant ces mots, il avait dénoué le paréo de Jade, et je ne pus m’empêcher d’admirer son mont de Vénus, renflé, surmonté d’une minuscule toison noire, taillée très court en triangle.

— Vous pouvez vous mettre à l’aise aussi, me proposa l’écrivain. Ce sera la première fois que je serai interviewé par une professeure de lettres en tenue d’Eve.

— Vous me le proposez si gentiment, dis-je en me levant, et en posant mes mains sur mes seins.

Mais Jade m’avait rejointe prestement. Elle se plaça derrière moi, et je sentis les pointes de ses seins contre mon dos. Une main sur mon épaule, elle me murmura à l’oreille.

— Laisse-moi te déshabiller. Jérôme est très voyeur, et il aime me voir avec une autre femme. Ça ne te dérange pas ?

— Avec toi, rien ne me dérangera.

Je tournai la tête, et nos lèvres se rejoignirent, tandis que ses mains faisaient glisser mon top, avec des gestes d’une sensualité infinie. Puis ce fut au tour de ma minijupe de descendre très lentement, le long de mes fesses et de mes jambes. J’étais nue, et je m’aperçus que mon écrivain avait ôté sa tunique et son pantalon, sous lequel il ne portait rien non plus.

Jade répondait à mes baisers avec fougue, en me caressant. Ses doigts jouaient avec mes tétons, tandis que son autre main se glissait entre mes cuisses. Je renversai ma tête en arrière, pour lui murmurer des mots à la fois tendres et crus. Je frottais mon dos contre sa poitrine tendue, mes fesses cambrées contre le bas de son ventre. C’était délicieux, et la vue de Jérôme se branlant avait un effet aphrodisiaque sur Jade et sur moi.

Notre admirateur se leva, son sexe circoncis fièrement dressé, et il débarrassa son bureau des papiers qui l’encombraient. Jade me conduisit jusqu’au grand plateau de bois sombre, et me fit asseoir dessus. Elle écarta largement mes cuisses, et ouvrit mes petites lèvres du bout des doigts, pour que Jérôme puisse contempler ma fente pleine de mouille.

Il était debout, à un peu plus d’un mètre de nous, sa queue à la main. Il était comme hypnotisé. Jade le regardait dans les yeux, avec une expression perverse, et elle commença à me doigter. Elle était d’une adresse inouïe, devinant mieux que moi mes points les plus sensibles. Elle se mit à mordiller mes tétons, à rouler mon clito entre ses doigts, et je me mis à gémir.

Ma main parcourait les fesses fermes de la belle eurasienne. Je fis glisser un doigt dans le sillon qui les séparait, m’approchant lentement de son petit trou serré. Elle se cambra, lorsque mon ongle griffa son petit œillet.

— C’est bon, me dit-elle à mi-voix, continue. Jérôme adore me mater quand on pénètre mon petit trou.

— Viens sur moi…, demandé-je.

Je m’allongeai complètement sur le bureau, qu’elle escalada pour venir sur moi, en 69. Entre ses cuisses ouvertes, son petit coquillage rose, ourlé de perles de cyprine, me semblait être un trésor, niché entre ses petites lèvres sombres.

Je sentis les cheveux de Jade balayer mon ventre, chatouiller mes cuisses, et aussitôt, ses lèvres se posèrent sur mon mont de Vénus. Elle commença à sucer mon petit bouton, en passant le bout de ses ongles à l’intérieur de mes cuisses. Je lui rendais ses caresses, massant son petit bouton, doigtant sa fente. Je soulevai ma tête, pour embrasser et lécher ses fesses.

Ma langue s’insinua dans le sillon sombre et doux, tourna autour de son petit œillet plissé, pointa à l’entrée de son orifice fermé. Jade se mit à feuler, et je soulevai mes reins, pour qu’elle accède à mon intimité. Elle comprit ce que j’attendais, et lorsqu’un de mes doigts remplaça ma langue, je sentis mon petit trou exploré à son tour, pénétré par un majeur inquisiteur.

Je me mis à gémir aussi. Je tournai mon doigt dans le joli cul que ma belle métisse cambrait au maximum, je le faisais aller et venir, de plus en plus profond, et bientôt, mon index s’invita dans cette pénétration. Jade poussa un petit cri, et commença à contracter spasmodiquement son anus autour de mes doigts. Sans doute pour manifester son plaisir de se faire enculer, et le décupler.

Elle aussi me sodomisait à fond, de ses longs doigts fins. J’étais ouverte, offerte, et je sentis qu’elle voulait me fister. Je soulevai un peu plus mes fesses, en les tortillant, pour lui signifier mon abandon, qu’elle comprit aussitôt. Son pouce tenta de se frayer un passage, mais j’étais serrée de ce côté là. Je devinai son hésitation, sa peur de me faire mal, et je pris sa main, je la guidai pour qu’elle me force.

Et le miracle se produisit. Les cinq doigts de Jade passèrent l’obstacle de ma rosette, et sa main investit totalement mon petit trou distendu. Je sentais son poignet, tourner entre les parois de ma rondelle, au risque de me déchirer. Je criais, à la fois de douleur et de plaisir.

Je voulais rendre à Jade ce plaisir qu’elle me donnait. Mais comment y parvenir ? Certes, ma main était fine, mais son adorable cul me semblait encore plus serré que le mien. Et pourtant… J’y parvins. Avec d’infinies précautions. Chaque doigt rejoignait ceux qui s’activaient déjà entre les fesses de Jade, l’un après l’autre, mais avec une souplesse surprenante, son petit trou se dilatait chaque fois un peu plus. Jusqu’à ce que ma main y disparut entièrement.

Debout à côté du bureau, Christian W. ne perdait pas une miette de ce spectacle que nous offrions toutes les deux. Il prit ma main libre, et la guida sur son sexe. Il bandait comme un taureau. Je le branlai quelques instants, puis j’attirai sa queue vers ma bouche.

Jade doigtait maintenant ma chatte et mon cul. Le gland de Jérôme allait et venait entre mes lèvres, plongeant régulièrement jusqu’au fond de ma gorge. Pour nous trois, l’excitation montait d’un cran à chaque minute qui passait, et je sentais l’orgasme venir.

Ce fut Jade qui jouit la première, giclant et arrosant de mouille mon buste. Je la suivis de près, et elle but ma cyprine avec délectation. Et mon écrivain ferma la marche, quelques secondes plus tard. Sa semence remplit ma bouche, me menant au bord de l’étouffement, et alors qu’il se retirait, un dernier jet de foutre macula mes joues et brûla mes yeux.

Jade se releva la première, radieuse, et je me remis debout aussi.

— Vous êtes encore plus belle, dans la jouissance, me complimenta Christian. Merci de nous avoir offert ce moment de bonheur, à Jade et à moi. Vous êtes une amante généreuse et particulièrement chaude. Je retrouve celle que vos textes décrivent, et j’envie celles et ceux qui partagent un moment de votre vie.

J’étais flattée par ce compliment, mais j’aurais aimé poursuivre cette partie de baise, qui était plus pour moi un préliminaire qu’un « plat de résistance ». Mon séjour chez Brigitte n’avait sans doute pas amélioré mon coté chaudasse…

Pour Christian, cela semblait le satisfaire et lui suffire. Je terminais donc mon entretien avec lui, en présence de Jade, nus tous les trois.

Puis je me rhabillai, et je pris congé, non sans le remercier du roman dédicacé qu’il m’avait offert. Je repris ma voiture pour retrouver Brigitte. Brigitte et qui, ce soir ?… Je n’en avais aucune idée.

La réponse me fut fournie, une heure plus tard, en arrivant chez mon hôtesse. Elle m’attendait, en tenue d’Eve, et seul Philippe était là.

— Véronique, ma chérie, s’exclama-t-elle toujours aussi démonstrative, en m’embrassant sur la bouche. Tu as passé une bonne journée ?

— Oui, très bonne. Je te raconterai. Sommes nous seulement tous les trois, ce soir ?

— Oui. Enfin, pour l’instant. Philippe a eu une bonne idée : il nous invite dans la ferme auberge où travaille Manon, la femme de Julie.

— Formidable, je vais faire la connaissance de Manon !

— Et on te présentera aussi à Fabienne, la patronne, et à Camille, sa fille qui est aussi serveuse avec Manon. Tu verras, je les ai converties à l’abandon de la culotte…

— Décidément, Brigitte, tu pervertis toutes les femmes que tu approches, dis-je en riant.

— Pour toi, je n’ai pas eu grand-chose à faire, non ?

— Ce n’est pas faux… Je vais me changer, je ne sais pas encore ce que je vais mettre.

— Pourquoi te changer, intervint Philippe, tu es très bien comme ça.

— Tu crois ? Ce n’est pas un peu trop sexy ?

— Tu n’es jamais trop sexy, dit Brigitte, péremptoire. Et lorsque tu verras Manon, Fabienne et Camille, tu n’auras plus de scrupule.

— Bon. Je vais donc juste me rafraîchir. Avec cette chaleur…

Je montai dans ma chambre, me déshabillai, et je pris une douche rapide. Une retouche de mon maquillage, une remise en place de ma coiffure ébouriffée, et il ne me restait plus qu’à remettre ma mini jupe et mon top. Je remplaçai quand même mes escarpins par des tennis à semelles compensées, sans doute plus adaptés dans une ferme auberge, à la campagne.

Je retrouvai Brigitte et Philippe, au rez de chaussée, qui m’attendaient déjà. Brigitte avait revêtu une jupe en toile, aussi courte que la mienne, et une chemise juste nouée qui laissait apercevoir ses seins nus lorsqu’elle se penchait.

C’est Philippe qui nous emmena dans sa voiture. La trentaine de kilomètres qui nous séparaient de la ferme auberge furent vite avalés, me permettant tout juste de faire à Brigitte un résumé rapide de mon deuxième après-midi « de travail » chez Christian W.

La ferme était implantée dans un décor vallonné et bucolique. Un ensemble de bâtiments en colombage, pleins de charme. L’auberge avait été aménagée dans une ancienne grange restaurée, magnifique.

Ce fut Manon qui nous accueillit. Une jolie brune, aux cheveux longs, aux yeux sombres, et à la jolie silhouette. Une poitrine ronde et ferme tendait sa mini robe en lin, qui laissait deviner à un œil exercé qu’elle ne portait rien dessous. Un tout petit tablier rouge, et des sabots à talons complétaient sa tenue.

Après nous avoir embrassés tous les trois sur la bouche, elle nous conduisit à notre table. L’intérieur de la grange était aussi chaleureux que l’extérieur, et Manon nous plaça dans un coin de la grande salle. Plusieurs tables étaient occupées par des couples et, à la table voisine de la nôtre, quatre hommes admirèrent sans s’en cacher la plastique de Brigitte et la mienne.

C’est Camille, la fille de la patronne, qui nous apporta les menus. Une belle jeune femme, à la longue chevelure châtain relevée en chignon, qui portait la même tenue que Manon. Elle nous précisa que Fabienne nous offrait l’apéritif, des kirs au crémant d’Alsace, et lorsqu’elle nous apporta nos flûtes, je vis Brigitte et Philippe passer discrètement leurs mains sous sa robe. Brigitte me donna un coup de pied sous la table, pour me montrer que Camille servait cul nu, en retroussant sa robe, sans que l’intéressée s’en offusque.

Le repas était délicieux. Foie gras d’Alsace, arrosé de gewurztraminer. Flammekueche accompagnée d’un riesling, plateau de fromages, tarte aux fruits de la ferme. L’ambiance dans l’auberge était joyeuse.

Depuis notre arrivée, les quatre hommes de la table voisine ne nous quittaient pas des yeux, Brigitte et moi. Ils nous déshabillaient littéralement du regard, mais il faut dire que Brigitte, en ouvrant un peu plus largement l’encolure de sa chemise, avait découvert un de ses tétons dardés. Je l’avais imitée, en faisant glisser le haut de mon top en stretch, jusqu’à ce que le haut s’arrête sur les aréoles de mes seins, et Philippe les avait encouragés d’un clin d’œil complice.

— Je crois que vous avez du succès toutes les deux, auprès de vos voisins de table, nous fit remarquer Camille, en nous apportant nos assiettes.

— Tu les connais ?, lui demanda Brigitte.

— Oui, ce sont des habitués. Quatre amis inséparables, qui se surnomment eux mêmes les trois mousquetaires. Le plus grand et le plus âgé, c’est Porthos. Le jeune blond avec une barbe de trois jours, c’est son fils, surnommé D’Artagnan. L’autre grand brun, c’est Athos, et c’est le frère de Porthos. Le dernier, le rouquin, c’est Aramis.

— Ce sont des fines lames ?, demandai-je à Camille en souriant.

— Des fines lames, je n’en sais rien, mais de sacrés queutards, ça oui !

— Ce sont eux, dont Manon a parlé à Julie ?, intervint Brigitte. Ceux avec qui vous avez partouzé plusieurs fois, après la fermeture ?

— Oui, confirma Camille. Et Manon n’est pas la dernière, quand il s’agit de se faire baiser.

— Ça, je sais. Elle tient de sa mère…

— Et toi, Camille, demanda Philippe, tu aimes partouzer avec ces gars là. Et Fabienne ?

— Évidemment ! Tu nous connais…

— Alors, ce serait sympa si on pouvait s’amuser tous ensemble avec eux, après la fermeture, proposa Philippe.

— Véronique serait partante ?

— Ça, compte sur elle, répondit Brigitte. Elle a le feu au cul, au moins autant que moi.

— Ah, je dois avouer que, depuis que je suis arrivée dans les Vosges je n’arrête pas de me faire prendre par tous les trous, dis-je. J’ai l’impression que la région est peuplée d’obsédés des deux sexes.

— Je crois que tu t’es parfaitement intégrée, me dit Philippe, avant d’ajouter, pour Camille : depuis trois jours, Véronique n’arrête pas de baiser, avec des femmes et avec des hommes. Et je peux te dire que c’est un sacré tempérament, pour ne pas dire une belle salope !

— Tu peux le dire, confirmai-je. Et je serai partante si la soirée se prolonge après la fermeture, avec nos voisins.

— Je vais les prévenir, annonça Camille, sans la moindre gêne.

Elle se dirigea vers les quatre hommes, auxquels elle parla quelques instants à voix basse. Nous vîmes leurs visages s’éclairer, et ils nous adressèrent un signe de la main.

— Au fait, me dit Brigitte, tu n’as pas vu Fabienne. Viens avec moi en cuisine pour que je te présente. Surtout si on baise avec elle tout à l’heure, ce sera plus convenable qu’elle te connaisse.

Nous nous levâmes, et nous nous dirigeâmes toutes les deux vers les cuisines, suivies des yeux par nos voisins et futurs partenaires, dont les yeux étaient rivés sur nos seins et nos fesses.

Dans la grande pièce carrelée, Fabienne s’affairait devant le plan de travail et les fourneaux. Elle était nue, et portait seulement un grand tablier de toile rouge.

— Brigitte chérie, s’exclama-t-elle, Camille et Manon m’avaient dit que tu étais là, et j’avais hâte de vous voir, toi et Philippe. Et je suppose que cette jolie brune avec toi, c’est Véronique, dont Manon n’a pas cessé de me parler depuis hier.

— On ne peut rien te cacher, répondit Brigitte, et je vois que, de ton côté, tu ne caches rien non plus. Je te vois de plus en plus souvent à poil !

— Avec cette chaleur… Et c’est toi qui m’a convertie au nudisme. Véronique pratique aussi ?

— Assidûment, dis-je en riant.

— D’après ce que m’a dit Camille, nous aurons une belle partie de jambes en l’air avec les trois mousquetaires, et vous êtes d’accord pour participer tous les trois, reprit Fabienne.

— Ça te surprend qu’on soit d’accord ?, demanda Brigitte en riant.

— Non. Le contraire m’aurait même étonnée, j’aurais cru que tu étais malade ! Bon, il faut que je termine mes desserts. Je vous rejoins dans la salle, dès que tous les autres clients seront partis.

Je ressortis de la cuisine avec Brigitte, pour retrouver Philippe, qui nous attendait, au moment où Manon nous apportait nos pâtisseries alsaciennes. Nous les dévorâmes avec appétit, en pensant que nous allions avoir besoin de forces pour finir la soirée…

Tout autour de nous, les clients terminaient leur repas, et l’auberge commençait à se vider. Nous prenions notre temps pour finir nos assiettes et boire notre café, même si nous étions impatients de passer aux choses « sérieuses » (je sais, le mot est mal choisi).

Et le moment tant attendu arriva. Camille reconduisit le dernier couple jusqu’à la porte de l’auberge, qu’elle ferma, et un sourire coquin illumina son visage lorsqu’elle nous regarda.

— On vous amène les digestifs offerts par la maison, et on vous rejoint, dit-elle.

Les trois mousquetaires nous proposèrent de rapprocher nos tables, et Philippe les aida à déplacer les lourds plateaux de bois massif. C’est alors que Fabienne, Camille et Marion sortirent de derrière le bar, portant des verres et des bouteilles de marc, de mirabelle, de liqueur de poire. Elles avaient ôté leurs robes et, pour Fabienne, son seul tablier. Elles étaient entièrement nues, et leur apparition fut saluée par nos applaudissements, des cris, et des sifflets admiratifs.

Nos trois serveuses, en tenue d’Eve, remplirent nos verres — pour moi, ce fut une mirabelle, si forte que mes yeux me piquèrent — et nous trinquâmes à notre rencontre. Camille sirotait doucement sa liqueur de poire, assise sur les genoux de sa mère, qui caressait le petit bouton de sa fille. Manon s’était lovée contre Philippe, son beau-père. Brigitte vint se placer entre D’Artagnan (qui la faisait penser à Damien) et Aramis. Quant à moi, Porthos et Athos me demandèrent de monter sur la table, pour me livrer à un strip tease.

Ils m’aidèrent à escalader la grande table. La sono de l’auberge diffusait une musique douce, et je me mis à bouger en suivant le rythme, lascivement. Je pris tout mon temps, m’amusant à extraire de mon top un téton, puis un autre, avant de remettre le tissu en place. À retrousser ma jupe jusqu’à mi-fesses, en laissant apparaître les grandes lèvres de mon minou, et à la rabaisser. Je fis monter la fièvre de mes spectateurs à son paroxysme, et seulement lorsque je pus constater leurs érections, je me dévêtis lentement, entièrement.

Nue, Porthos m’attira vers lui, et me fit redescendre et m’asseoir tout contre lui. Son frère, qui s’était déshabillé aussi, vint se coller contre moi, et les deux hommes commencèrent à me peloter. Tout en les branlant tous les deux, je jetai un coup d’œil autour de moi.

Fabienne et Camille, assises côte à côte sur une table, se faisaient dévorer la chatte par Aramis, nu, bandant comme un taureau. Brigitte avait réussi à monopoliser D’Artagnan, et était en train de le déshabiller, découvrant un gros chibre bien épais. Quant à Philippe, Manon se frottait contre lui, en lui demandant de lui défoncer le cul, comme il savait si bien le faire.

Mais je n’étais pas là pour jouer seulement les spectatrices. Ma chatte était en feu, et mes deux partenaires ne mirent pas longtemps à s’en rendre compte. Pendant qu’Athos mordillait mes tétons et malaxait mes fesses, Porthos fouillait ma grotte de ses gros doigts, et son pouce montait et descendait sur mon clito, sorti de son étui et dardé.

— Putain, qu’est ce qu’elle mouille, cette salope, commenta Porthos. Fabienne nous a trouvé une sacrée cliente ! Et ce doit être une vraie fontaine, quand elle jouit.

— Oui, j’inonde tout, avouai-je, essoufflée. Oh continuez, c’est trop bon.

— Et tu verrais ses nichons, dit Athos. Tout durs, avec des pointes dressées. Suce nous, Véronique !

Je ne me fis pas prier. Aussitôt, à genoux devant les deux hommes, je me mis à les branler frénétiquement, et j’ai pris leurs glands gonflés dans ma bouche. Deux morceaux de roi — ou plutôt de reine. Je les voulais, dans mon con et dans mon cul. Le plus vite possible. Bien au fond. Mais avant, je voulais leur montrer tout le registre de mes talents pour la fellation. Coups de langue, succion, gorge profonde. Tout y passait. En retour, ils me doigtaient, préparant mes deux orifices, et astiquant mon petit bouton jusqu’à me rendre folle.

C’est Porthos qui prit l’initiative d’installer des coussins au sol. Il s’étendit sur le dos, et Athos me guida pour que je vienne m’empaler sur le pieu dressé de son frère, que je fixais dans les yeux avec une expression gourmande, en passant ma langue sur mes lèvres. Le buste bien droit, mes seins pointant fièrement, je me suis accroupie au dessus de lui, et je me suis laissée descendre tout doucement. Je n’ai même pas eu besoin de guider sa pine pour qu’elle s’encastre entre mes petites lèvres.

Je me sentis m’ouvrir, la colonne de chair gorgée de sang a distendu ma fente, et mon fourreau. Malgré toute mon expérience sexuelle, je ne me lassais pas de ce que j’éprouvais à cet instant.

Mais Athos était déjà agenouillé derrière moi. Il écarta mes fesses, et vérifia que mon petit trou était prêt pour son assaut. Son gland, encore enduit de ma salive, se plaça contre ma rondelle, et je me cambrai un peu plus, pour lui permettre de me pénétrer plus facilement. Il poussa. Mon petit œillet sombre et plissé résista un court instant, puis céda. J’étais aux anges. Il m’enculait divinement bien, et je ne demandais que ça.

Il attendit que mon petit trou soit bien détendu, et il se mit à aller et venir en moi. D’abord doucement. Puis plus fort, plus vite. Chacun de ses coups de reins faisait coulisser ma chatte sur la verge de Porthos, et je me mis à contracter mon minou, pour masser littéralement la longue hampe qui me remplissait complètement.

Je geignais, je feulais comme une lionne en chaleur, avec pour effet d’exciter un peu plus mes deux partenaires. Athos défonçait mon petit cul, comme un marteau piqueur cherchant à le pulvériser. Porthos remuait son bassin, pour changer l’angle de sa bite dans mon fourreau et pour varier mes sensations.

J’eus un premier orgasme, incontrôlable. Mais je n’étais pas rassasiée, et les deux hommes non plus. Ils me soulevèrent, comme une poupée de chiffon, et intervertirent leurs positions. Je n’étais plus qu’un objet sexuel, une esclave de leur plaisir. Et du mien.

Un court instant, je regardai autour de moi. Brigitte, appuyée contre une table, se faisait prendre par D’Artagnan. Manon chevauchait Aramis. Philippe baisait alternativement Fabienne et Camille assises sur une autre table… Les murs de l’auberge résonnaient des cris et des gémissements de tout ce petit monde. J’étais dans mon élément !

Cette ambiance de folie redoubla mon excitation. Je me mis à bouger mes hanches, et je finis par imposer mon rythme à mes deux partenaires. Je lançais en cadence mon petit cul à la rencontre du dard de Porthos, qui grognait à chaque fois de plaisir. Et chacun de mes mouvements me faisait m’empaler sur la bite d’Athos. Je sentis que je venais à nouveau. Je tentai bien de me retenir, mais je n’en étais plus capable, et je jouis en hurlant.

Notre trio était hors de contrôle. Nous étions insatiables. Mes deux amants ne pouvaient que constater, incrédules, que j’étais devenu un volcan en éruption, et ils assuraient du mieux qu’ils pouvaient. Jusqu’à ce qu’une série d’orgasmes me fasse gicler, et qu’ils déchargent eux aussi, dans ma chatte et dans mon petit trou.

Je m’effondrai sur la poitrine d’Athos, qui se soulevait comme celle d’un marathonien après l’arrivée. Porthos se retira doucement de mon anus, et me caressa avec des gestes pleins de tendresse. Je me relevai, et je constatai que nous avions été les plus endurants, tous les autres s’étant désunis et me regardant avec une expression incrédule.

— Véronique, je pense que je vais te décerner le titre de la cliente la plus chaude de mon auberge, me dit Fabienne en riant. Et pourtant, depuis qu’on connaît Brigitte et Philippe, il en est passé, des salopes !

— Je crois que tu as mérité un remontant maison, poursuivit Camille, en me tendant un verre bien rempli de mirabelle.

Tout le monde profita du bar de l’auberge, pendant une pause réparatrice. De courte durée. Mon petit numéro avait donné des idées à Manon, qui avait décidé de se faire prendre en double, elle aussi. Elle choisit Philippe et Porthos, en minaudant.

— Porthos… Est ce que tu seras capable de me faire jouir autant que Véronique ? Et puis, je veux m’offrir aussi à Philippe, le père de Julie, ma femme, et qui m’a déjà donné plusieurs fois des orgasmes fabuleux.

Les deux hommes entourèrent leur nouvelle partenaire, en la caressant. Brigitte ne voulait pas être en reste, et ma double vaginale de la veille avait piqué son orgueil. Elle jeta son dévolu sur Athos et Aramis…

D’Artagnan était maintenant le seul mâle disponible, alors que nous étions encore trois femmes à satisfaire… Je lus dans son regard un mélange d’excitation, et de peur de ne pas être à la hauteur pour combler trois chiennes en chaleur.

Fabienne ne semblait pas s’inquiéter, mais s’amuser au contraire de la situation. Elle partit derrière le bar, et en réapparut en tenant deux énormes godes ceintures. Elle fixa le harnais de l’un d’eux autour de sa taille, et laissa le second à notre disposition, Camille et moi.

— Allonge toi, ma chérie, dit Fabienne à Camille, et ouvre grand tes cuisses, pour que ta maman puisse lécher ton minou.

La jeune femme s’exécuta, et nous offrit le spectacle de son joli coquillage nacré, suintant de mouille et de foutre. Fabienne se mit à genoux, cambrée, cul exhibé, et plongea sa tête entre les jambes écartées, pour se lancer dans un cunni long et passionné.

— Oh, ce que tu me lèches bien, maman chérie, soupira Camille, entre deux gémissements.

— Ta chatte est trop bonne, ma Camille adorée. Le goût de ta mouille, avec le sperme de Philippe… Quel régal. Véronique, agenouille toi au dessus de son visage, pour qu’elle dévore ton petit abricot, pendant que je baise ma fille.

D’Artagnan était en train de pincer mes seins et de me doigter, mais je ne demandais qu’à obéir. Mon partenaire me guida, pour que je vienne chevaucher Camille, et je sentis sa bouche prendre possession de ma vulve, goulûment. Fabienne ne perdait rien de ce que faisait sa fille, tout en continuant de bouffer sa moule, et D’Artagnan vint derrière moi. Son gland commença à explorer le sillon de mes fesses, sans chercher à me pénétrer, pour faire grimper mon excitation.

Fabienne se redressa, et je pus lire dans son regard et dans les expressions de son visage tout ce qu’elle éprouvait. Elle se pencha vers moi, pour m’embrasser à pleine bouche. Dès que nos lèvres se désunirent, elle enfonça son gode dans la fente de sa fille, qui poussa un cri aigu. Je sentis ses dents se refermer sur mon minou, m’arrachant une longue plainte. La douleur se mêlait au plaisir. D’autant plus que D’Artagnan était en train de forcer mon petit trou.

Le long mandrin s’engouffra dans mon cul offert, sans ménagement. Mon partenaire avait envie de m’enculer, au sens le plus cru du mot, et je m’en rendis vite compte, pendant que la langue de Camille s’insinuait dans ma chatte gluante. Et cette énorme bite qui allait et venait, dilatant mon petit oeillet plissé à le faire éclater… C’était merveilleux, j’étais aux anges.

Je n’étais pas la seule. Manon se faisait prendre en double, par Philippe et Porthos. Quant à Brigitte, elle ne se contentait plus d’une double vaginale…

— Oui, les mecs, supplia-t-elle. Maintenant que vous m’avez fait jouir par devant, je veux vos pines dans mon cul !

Elle vint s’enculer sur le braquemart d’Athos, couché. Elle se pencha en arrière, ses nichons durs et bandés pointés vers le plafond, et Aramis se positionna entre ses cuisses, pour joindre son sexe à celui de son compère. La tâche était difficile. Et l’anus de Brigitte, même bien ouvert, était étroit en rapport de ces deux engins. Mais c’était sans compter sur la motivation du trio. Il y eut des cris de douleur. Et même quelques larmes. Mais lorsque Brigitte voulait quelque chose…

Une fois les deux bites calées en elle, c’est elle qui commença à onduler des hanches. Dans ses yeux bleus, on voyait le plaisir prendre le pas sur la douleur. Et Aramis commença à faire coulisser son sexe dans le petit trou de Brigitte, en le frottant contre celui d’Athos.

Le spectacle qu’ils nous offraient décupla notre ardeur. Manon, déchaînée, hurlait des mots crus pour aiguillonner Philippe et Porthos, qui n’en avaient pas vraiment besoin, tant ils la tringlaient brutalement.

Quant à nous quatre, nous décidâmes de varier les plaisirs. Je pris le deuxième gode ceinture, et avec Fabienne, nous prîmes Camille en double, tandis que D’Artagnan nous sodomisait toutes les deux, alternativement.

Comme un peu plus tôt, l’auberge retentit de nos cris et de mots crus que nous ne pouvions retenir, tant nous étions ivres de sexe et de jouissance. Crescendo, jusqu’à l’apothéose, lorsque nous avons laissé libre cours à des orgasmes qui nous laissèrent toutes et tous épuisés, ruisselant de sueur, de cyprine et de foutre.

Un silence s’installa pendant quelques instants, juste troublé par le bruit de nos respirations, et par quelques plaintes qui nous échappaient encore. Surtout Brigitte, dont l’adorable cul avait été soumis à rude épreuve, mais qui savourait sa victoire.

Fabienne nous offrit un dernier verre, et nous nous rhabillâmes. Enfin, pas tout le monde… Philippe plaisanta sur le trajet que nous avions fait nues, Brigitte et moi, en voiture, pour rentrer du village la veille. Et il insista pour que nous fassions de même, pour notre retour à la maison.

Avec Brigitte, nous avons échangé un clin d’œil, et nous avons laissé Philippe porter nos vêtements jusqu’à la voiture, avant d’y monter, dans le plus simple appareil, provoquant l’admiration de nos partenaires.

Le retour se déroula sans encombre, dans le silence, car nous étions épuisés, et Philippe se réjouissait de la vue de nos corps impudiques, chaque fois que nous étions éclairées par les phares des voitures que nous croisions.

Et une fois couchée, je m’endormis immédiatement.

La nuit fut très courte surtout pour Philippe qui devait aller travailler. Vers 8 heures je me réveillais me levait pour aller aux toilettes j’entendis des gémissements en passant devant la chambre de Julie et de Manon, curieuse de nature, et sans faire de bruit j’entrouvrais la porte et là je trouvais le couple en position 69 se donner du plaisir matinal. Ne voulant pas les déranger je me suis recouchée.

Vers midi j’ai reçu un appel de mon compagnon Loïc qui m’annonça une mauvaise nouvelle, me demandant de rentrer au plus vite car ma maman a fait un malaise cardiaque et a été hospitalisée en urgence.

J’ai promis à Brigitte de revenir dès que cela ira mieux.

Fin provisoire.

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