Ce fut un triste jour lorsque la mère de Camille, Jeanne, est finalement décédée. Elle a combattu vaillamment, mais elle a fini par succomber à un cancer.
La mort de Jeanne n’a pas été inattendue, mais cela n’a pas atténué le coup porté à sa famille et à ses amis. Une vie a été enlevée trop tôt de ce monde, et le seul réconfort était qu’elle soit morte paisiblement dans son sommeil, sans douleur ni souffrance, et entourée de ceux qui l’aime.
Camille n’est pas seulement la personne la plus belle, la plus intelligente et la plus généreuse, elle possède également une force intérieure qui est comme un rocher contre les vagues qui se brisent sans cesse. Elle a pleuré la perte de sa mère, mais a renforcé sa détermination de passer à autre chose. Ce n’est pas dû à l’insensibilité ou au manque d’attention, mais le monde ne s’est arrêté pour personne, et Camille a très rapidement accepté ce fait avéré et cynique.
Son père, Jacques, lui n’a pas aussi bien pris la mort de Jeanne.
Il a glissé dans un gouffre de désespoir dont personne, pas même Camille, son unique enfant, qu’il chérit autant que sa défunte épouse ne peut l’en sortir. Après tout, Jacques vient de perdre son épouse après plus de 40 ans de vie commune. Dans les semaines qui ont suivi la mort de Jeanne, il est tombé de plus en plus profondément dans une mélancolie qui a terrifié ceux qui se soucient de lui ; surtout Camille.
Un matin, Camille et Xavier son époux, sont assis au petit-déjeuner avec leur fils de 5 ans, Arthur ; lorsque soudainement elle s’est tournée vers Xavier. Quelque chose en particulier la ronge depuis une semaine, et elle semble enfin prête à en parler.
- Qu’as-tu en tête, Mimi ?
- Nous devons convaincre mon père d’emménager avec nous.
Immédiatement après les funérailles de Jeanne, ils ont invité le père de Camille à rester avec eux. Il était presque inconsolable alors qu’il continuait à traiter son chagrin, et sa fille voulait garder un œil sur lui, pas plus qu’elle ne voulait qu’il soit seul. Mais Jacques a refusé à plusieurs reprises, déclarant d’un ton bourru des choses comme « Je vais bien » et « Vous, les enfants, avez besoin de votre vie privée ».
Mais lorsque la dépression de Jacques a semblé s’aggraver près de 3 mois après la mort de Jeanne, Camille n’accepte plus le « non » comme réponse. Le cercle de la vie a renversé leurs rôles. Maintenant elle se sent obligée de prendre soin de son père.
- Ça ira !
A-t-elle désespérément tenté de convaincre son père un soir après un dîner chez eux.
- Tu pourras aller et venir à ta guise, et nous pouvons facilement convertir le sous-sol en appartement et en faire ton espace personnel.
- Chérie, ce n’est pas mon espace personnel qui m’inquiète, mais je me souviens encore de ce que c’était que d’être jeune et amoureux. Vous ne parliez pas tous les deux d’avoir d’autres d’enfants l’autre jour ?
L’expression de Jacques s’adoucit.
- J’apprécie ce que vous essayez de faire pour moi, mais croyez-moi, quand le petit Arthur va dormir et que vous voulez commencer à travailler sur le second bébé, la dernière chose dont vous aurez besoin est qu’un vieil homme soit ici dans la maison avec vous.
Oh mon Dieu, papa ! Es-tu sérieux ? Penses-tu vraiment que nous sommes préoccupés par cela en ce moment ?
L’expression de Jacques a commencé à se briser et sa voix a commencé à se fissurer alors qu’il retenait ses larmes.
- Je sais que vous voulez bien faire, et vous le dites maintenant, mais dans 2 mois… ou même dans 2 semaines… quand le temps affaiblira l’arrangement entre nous ?
Arthur, qui joue avec ses jouets dans la pièce voisine, est soudainement arrivé comme un missile. Il a fait une ligne droite vers son grand-père et s’est attaché à la jambe de l’homme.
- Papy ! Viens vivre avec nous ! Viens vivre avec nous !
Est-ce que leur fils de 5 ans écoutait vraiment ?
Jacques, soudainement submergé par l’émotion, regarde son seul petit fils, alors que les larmes commencent à couler. Puis il contemple le couple, incapable de parler mais surtout, incapable de demander de l’aide même s’il en avait clairement besoin.
- Viens vivre avec nous !
Camille a répété les paroles de son fils, incapable de s’empêcher de pleurer.
Xavier a aussi les larmes qui lui montent aux yeux, mais il reste silencieux. Camille et Jacques savent tous les deux qu’ils ont son amour et son soutien inconditionnel, mais c’est quelque chose qu’ils doivent résoudre par eux-mêmes.
Jacques tente de maintenir une attitude solide, mais échoue.
- Êtes-vous bien sûr ?
Le ton de sa voix est inaudible, à peine au-dessus d’un murmure.
- Oui papa !
Camille pleure. Jacques scrute sa famille les yeux chargés d’émotion, puis vers Arthur, qui le regarde avec une expression innocente et tout aussi pleine d’espoir, puis soupire et finalement hoche la tête.
- Alors ok. Si vous êtes sûr. Depuis Jeanne… vous êtes la seule raison pour laquelle je dois encore vivre.
Xavier recule et sourit chaleureusement, alors que le père et la fille s’étreignent fermement, pleurant des larmes de joie et de tristesse.
Arthur, encore trop jeune et innocent pour vraiment comprendre les réalités les plus cruelles de la vie, a levé ses poings en l’air et crie :
- Youpi !!
Deux jours suivant l’emménagement de Jacques dans la maison familiale, des pleurs d’Arthur se font entendre dans sa chambre vers 3 heures du matin. Xavier gémit, mais Camille est déjà en train de se lever.
- Ça va, Mimi, j’y vais.
- Ne t’inquiète pas pour ça, bébé.
- Tu dois être debout pour travailler avant moi. En plus, je suis déjà bien éveillé.
Camille inclina soudain la tête. Ce n’est qu’à ce moment-là que Xavier a remarqué que leur fils a cessé de pleurer, mais elle s’est quand même levée du lit.
- Laisse-moi aller le voir.
Camille se précipite hors de leur chambre et se dirige vers celle d’Arthur, espérant l’atteindre avant qu’il ne recommence à pleurer et ne réveille son père. Mais quand elle est entrée dans sa chambre, Jacques était déjà là, allongé à côté de son petit-fils et réconfortant le garçon.
- Maman, j’ai fait un mauvais rêve avec des monstres.
Lui a dit Arthur entre deux sanglots.
- C’est bon bébé. Maman est là maintenant. Tiens, laisse-moi te tenir.
Camille s’est approchée avec les bras tendus, mais Arthur a enfoui son visage dans la poitrine de Jacques, à la grande surprise de l’homme, et a secoué la tête avec insistance.
- Je veux papy !
La maman est à la fois ravie et vexée.
- Mais, bébé, maman toujours….
- Non ! Je veux papy !
Le petit garçon leva les yeux vers Jacques.
- Papy Jacques, veux-tu rester avec moi ? Au moins jusqu’à ce que je me rendorme à nouveau ?
Jacques ne peut s’empêcher de rayonner fièrement.
- Bien sûr, mon petit Arthur.
Il regarde sa fille et lui sourit chaleureusement.
- Retourne te coucher Camille. Ça va aller.
Alors qu’elle est encore en colère du fait que Arthur ait essentiellement choisi son grand-père plutôt que sa mère, cela lui réchauffe le cœur de les voir ensemble comme ça.
- Merci papa. Je t’aime. Je t’aime, Arthur.
- Nous t’aimons aussi, maman. Lui a dit Jacques.
Il regarda Arthur alors que Camille se tourne pour quitter la pièce.
- Et toi, jeune homme, tu dois fermer les yeux et te rendormir. Papy éloignera tous les méchants.
Un instant plus tard, Camille remonte dans son lit et se blottit contre son mari.
- Tout va bien ?
Même à moitié endormi, il peut entendre le bonheur dans sa voix.
- Oui, Tout va très bien.
Les jours qui ont suivi se sont rapidement transformés dans une routine fluide. Jacques, sans que la famille ne le lui demande, est devenu quelque chose qui s’apparente à un chef, une femme de ménage, une nounou et une sécurité pour la famille. Il se lève souvent avant eux les jours de semaine pour préparer le petit-déjeuner et fait le dépôt et le ramassage d’Arthur à l’école. Jacques veille sur lui jusqu’à ce que Camille et Xavier rentrent à la maison, et le dîner est généralement prêt à leur arrivée également.
Camille et Xavier ne veulent pas que Jacques pense que tout cela corresponde à leurs attentes, loin de là !
En fait, ils ont d’abord essayé de le décourager pour son aide concernant la maison. Mais le père de Camille est à la retraite et plus récemment veuf. Ils ont réalisé que parfois, avoir une famille qui vous aime beaucoup ne suffit pas et qu’il a besoin d’un but. Alors Camille et Xavier l’ont laissé faire. Jacques se sent utile, ce qu’il est en effet.
Et voir Arthur développer un lien étroit avec son grand-père était peut-être le plus grand avantage de tous.
Ce jour-là, Jacques a récupéré Arthur à la maternelle et a décidé de l’emmener au parc de jeux, qui se trouve à quelques pas de la maison. Arthur a couru partout comme tout gamin débordant d’énergie. Jacques a réussi à le suivre. Les minutes ont passé et Jacques s’est retrouvé les mains sur les genoux.
- Petit bougre, tu me fais réaliser que je suis ton Papy et non ton Papa. Arthur !!! Je vais m’asseoir sur le banc là-bas.
Jacques s’assoie, reprenant son souffle en regardant autour de lui et une sensation qu’il avait perdue depuis le décès de Jeanne est réapparue, Il a admiré une maman, qui comme lui surveille son fils, et l’a trouvé jolie avec la longue robe. Les bretelles de soutien-gorge mauve l’on stimulé, imaginant les petits seins emprisonnés.
Il ne s’est même pas rendu compte d’avoir perdu son œil pétillant pour les belles femmes et leurs silhouettes. Son regard se pose ensuite sur les gros seins d’une femme enceinte, sur les fesses d’une nounou, avec tous les mioches autour d’elle. Le coin de ses lèvres remonte sur son visage.
D’ailleurs il n’y pas que ça qui remonte. Il croise les jambes gênées, regardant autour de lui les pommettes rougies. De retour à la maison il se sent revivre, il n’a pas vu le temps passé et Camille est déjà là.
- C’est nous !!!
- Oh !! Je vois que vous êtes plein de bonne humeur tous les deux !
- En effet ! Hein Arthur !! Cette balade nous a vivifiés !
Quand Jacques s’est retrouvé seul dans son petit appartement après le film du soir, il a repensé au corps de ces femmes dans le parc, son pénis a réagi immédiatement. Sa main a saisi le mandrin rigide, il a vite pensé à Jeanne honteux. Mais Il s’est tout de même endormi, heureux d’avoir retrouvé ce type de sensations.
Dans la nuit Jacques est réveillé par de petits gémissements, il se lève, enfile sa robe de chambre et rejoint la chambre d’Arthur en se frottant les yeux.
- Et bien alors mon grand, tu as fait un cauchemar ? Papy est là, tout va bien.
Réconfortant son petit-fils, Jacques entend du bruit. Camille ouvre la porte et trouve son père passant sa main dans les cheveux d’Arthur pour qu’il se rendorme.
- Papa, tu veux bien m’attendre dans le couloir ?
Jacques s’exécute et croise Camille dans la pénombre de la pièce. Les cheveux longs en bataille elle vient s’asseoir aux côtés de son fils.
- Je veux que Papy reste !
Jacques se retourne dans l’ouverture de la chambre et regarde la mère et le fils.
- Papy est fatigué, il doit faire dodo. D’accord mon chéri ?
Camille se lève et active l’ours lumineux éclairant la chambre d’ours et de nuages. Pour Jacques la vision est toute autre. Il regarde sa fille penchée pour embrasser Arthur, la lumière tournante traverse la chemise de nuit en tissu fin.
La queue de Jacques réagit immédiatement sous le spectacle des deux grosses poires qui pendent sous le torse de sa fille. La chemise de nuit remonte jusqu’au haut de ses cuisses. Jacques met la main dans la poche de sa robe de chambre pour plier la branche dans son pyjama. La culotte de Camille est parfaitement visible sous la lumière projetée.
Camille se relève et Jacques est hypnotisé par les grosses aréoles de sa fille, les tétons pointent à travers le tissu transparent.
- Je veux que papy reste !
- Non Arthur !
Les deux gros seins en forme de poires tombantes gesticulent sous les remontrances, les yeux de Jacques ne peuvent décrocher des deux cloches.
- Juste un petit peu maman.
Jacques ne se plaint pas des caprices de son petit-fils, çà lui laisse le temps de détailler les charmes de sa fille, elle est de nouveau penchée pour border Arthur, les deux mamelles pendent et ballottent à nouveau.
- Allez, tu dois dormir maintenant. Il y a école demain.
- D’accord M’man.
- C’est bien mon chéri, bonne nuit ! Bonne nuit Papy !
- Bonne nuit Papy.
Camille sort de la chambre fermant la porte avec délicatesse.
- Papa, tu ne dois plus te lever pour lui la nuit, il doit apprendre à se rendormir de lui-même.
Jacques est concentré sur les seins de sa fille, dans la pénombre du couloir il distingue les auréoles foncées.
- D’accord je ne me lèverais plus.
- Très bien alors, bonne nuit Papa.
Camille se retourne et il peut relâcher sa queue douloureuse, le pyjama est tendu devant sa fille qui allume la lumière des toilettes et offre une dernière fois la transparence de sa chemise de nuit.
Il se dirige vers son logement troublé, il referme la porte derrière lui et descend les marches vers son appartement surexcité. Arrivé, il jette sa robe de chambre et laisse tomber son bas de pyjama à ses chevilles. Il plie les genoux comme pour prendre une partenaire en levrette. Sa masturbation est intense, il cherche dans sa mémoire les détails de ses seins, la forme de ses fesses.
- Oh putain, les seins de ma fille… quelle cochonne… A poil dans la maison !
Ce vocabulaire déplacé le stimule, il sent que ses testicules vont se vider. Cette nuit il n’y a pas de honte, pas de Jeanne. La photo des mamelles de sa fille est gravée dans son cerveau qui est à l’instant salace et grossier.
- Je suis en deuil et toi petite salope tu me montre ton corps. J’en suis sûr que tu te montres à poil devant plein d’hommes, sale pute ! HAAAAAAaaaa !! Haaaaaaa… Ma chérie tes gros seins, c’est trop bon…
Il serre fort son pénis pour ressentir chaque goutte de sperme. Il reprend son souffle regardant les jets de sperme qui ont salopé le parquet.
- Putain ! J’ai bien retrouvé mes sensations !
Blois
Salut, merci d’avoir lu mon histoire. Si vous souhaitez en lire d’autre : plombare6@gmx.fr
Je commence la lecture. Quelqu’un qui sait écrire et amener une tension érotique. Bravo. Je me jette sur les suivants.
Avec plaisir ;)