Xavier ouvre les yeux, il est seul dans le lit. Il s’étire et prend son pénis en main, il se masturbe en imaginant Camille les cuisses écartés avec un vieil homme la prenant sous la contrainte. Il est sorti de son fantasme par les pleurs d’Emma.
Xavier entre dans la salle de bain et se place derrière sa femme qui change leur fille sur la table à langer. Il l’embrasse dans le coup en lui caressant les hanches.
- Tu as bien dormi ??
- Oui très bien, mais je me suis réveillé excité dans l’attente de ton histoire.
- Papaaaaa !!!!
- Ça va mon grand ???!!!
- L’histoire va devoir attendre mon chéri.
- Oui, mais je ne t’oublie pas.
La routine a repris dans la famille. Camille veut amener son mari devant la vérité pour partager ce poids et ses mensonges.
Ce jeudi Camille attache le cosy dans la voiture, elle se précipite dans l’auto car le vent est froid et elle est nue sous sa robe. Quand elle arrive devant la résidence de Bernard le portail est ouvert et elle gare sa voiture dans le double garage qui se referme derrière elle.
- Tu es venue avec notre fille, merci.
- Je ne vais pas la laisser seule à la maison et encore moins chez mon père.
- Elle dort tu vas pouvoir la mettre dans une des chambres au calme.
- Vous ne voulez pas qu’elle nous regarde baiser ?
- Non, j’ai prévu autre chose aujourd’hui. Je vais faire une surprise à un ami.
Camille va déposer sa fille pendant que Bernard disparait dans la maison. Elle revient dans le salon et après quelques minutes d’attente, il apparait avec un sac à la main.
- Tiens, mets cette culotte. Elle est propre. Cette perruque également.
- Qu’est-ce que je vais devoir faire encore ?
- Tu le sais très bien et tu respecteras toutes les instructions. La personne qui va venir ne doit pas te reconnaître.
Bernard s’approche de Camille et lui caresse les fesses après qu’elle ait enfilé la culotte. Il l’aide à ajuster la perruque.
- Tu es très belle en blonde ! Ça me fait de l’effet vient par là.
Bernard s’assoit sur une chaise, il prend la main de Camille pour lui indiquer de s’agenouiller. Elle ouvre le pantalon du vieil homme et doit forcer pour sortir le pénis déjà en érection.
- Si seulement Xavier en avait une aussi longue.
Camille descend sa main sur la longue queue durcie par les médicaments et regarde le gland apparaitre, elle s’approche et il disparait entre ses lèvres.
- Je n’ai pu rien à te dire, tu sais t’amuser avec ma queue… Gourmande tu as faim ?
Bernard, heureux d’avoir soumis cette belle jeune femme ressent son gland s’enfoncer dans sa gorge. Non seulement elle obéit mais elle prend des initiatives car elle aime le sexe, surtout le sexe contraint.
Bernard regarde les deux seins libres balloter dans la robe. Camille remonte sa langue sur le mandrin brillant de salive, elle aspire les deux testicules tour à tour quand la sonnette du portail retentit dans la maison.
- Merde !!! Va vite dans la chambre, je te rejoins.
Camille comprend qu’elle va être offerte de nouveau à un ami de Bernard. Seule dans la chambre elle perçoit la discussion de l’interphone. Bernard la rejoint après avoir raccroché.
- Voilà, il arrive…
- Vous allez m’offrir à un de vos amis ?
- Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer.
- Je suis votre pute, vous…
- Stop !! C’est pas le moment, écoute-moi bien !! Tu ne montres pas ton visage, je vais te guider, ok ?
La réponse de Camille est donnée sur un ton stressé, l’angoisse monte. Elle entend Bernard ouvrir la porte d’entrée. La discussion devient plus audible, ils se rapprochent de la chambre.
- Regarde !!
- C’est qui cette fille ?
Un frisson traverse le corps de Camille, elle croit reconnaitre la voix.
- C’est elle ! C’est Martine !
Camille est dos aux deux hommes qui regardent la silhouette sexy de la jeune femme aux longs cheveux blond.
Bernard s’approche et descend la fermeture éclair de la robe, il la glisse sur les épaules de la jeune femme et elle descend le long de ses bras. Il l’accompagne jusqu’au sol et la dépose sur le lit.
- Tu reconnais cette culotte ?
L’homme serre les dents en voyant la culotte saumon, la mémoire lui revient.
- Vous l’avez retrouvé pour moi ?
- Oui ! Pour toi… Tu vois elle a toujours la peau aussi douce.
La main de Bernard descend dans le dos de Camille. Elle se crispe quand une autre main la touche.
- Doucement ! Je te rappelle que tu lui as fait peur la dernière fois. Avec délicatesse.
- Oui, pardon.
Les mains caressent le corps sensible de Camille. Elle sait qui la touche mais elle ne peut pas bouger et réagir, elle a envie que cela continue. La dépravation est le stimulus principal de son excitation.
Le bassin de Camille se contorsionne quand ses deux seins sont pressés, les phalanges glissent sur ses tétons érigés. Elle sent l’excitation dans les mains tremblantes de l’homme.
- Elle ne dit rien ?
- Non, après ta première rencontre avec elle, elle a découvert qu’elle était une salope.
- Je vais pouvoir la…
- La baiser ! Oui !
Suite à l’affirmation de Bernard, les caresses deviennent plus appuyées. Ses seins sont malmenés, il se colle à ses fesses et simule la pénétration. Le prédateur la colle, elle sent le pénis sur ses fesses, il tire sur ses tétons, la douleur remplace la douceur.
Il se recule quelques secondes et retire ses vêtements.
- Je peux l’embrasser ?
- Non, elle ne veut pas montrer son visage.
- Retire cette culotte que tu as convoitée depuis des années !
- Vous avez raison Bernard !
Il agrippe la culotte et la descend le long des belles jambes. Il s’accroupit et écarte les fesses qu’il embrasse. Bernard s’avance et saisit le bras de Camille, il la dirige sur lit et elle se positionne à genoux les cuisses écartées.
- Vas-y, elle est ouverte pour toi.
Il avale sa salive et sa main caresse les fesses de la prénommé Martine. Son pouce glisse sur les lèvres poilues et s’immisce de plus en plus profond.
- Elle mouille !
- Je t’ai dit, c’est une salope !
Elle se cambre quand deux doigts la pénètrent et pousse dans son vagin. Ses seins qui pendouillent sont tirés et pressés sans ménagement. Après quelques minutes l’homme se positionne derrière elle et regarde Bernard en continuant à se masturber à quelques centimètres de la vulve de Martine.
- Je peux la… ?
- Oui Jacques, baise-la !
Elle le sait depuis le début mais l’énonciation de ce prénom la tétanise. Son père est derrière elle la queue à la main, prêt à la pénétrer. Il se positionne et place son gland entre les lèvres de la jeune femme et commence à pousser.
- Papa, non !!
- Quoi !!
- Ce n’est rien Jacques ! Je ne te l’ai pas dit mais elle a été abusée par son père quand elle était jeune.
Jacques se recule, se masturbant en serrant fort son pénis. Son excitation s’est emballée quand il a entendu « abusée par son père ».
Le cœur de Camille s’est également emballé. Elle a failli être pénétrée par son père, mais une sensation intense lui a inondé le ventre à l’instant où il a poussé, comme un orgasme qui attend d’exploser.
- Bernard ? Je peux rester seul avec elle ?
- Oui Jacques bien sûr.
Jacques regarde Bernard sortir de la pièce en caressant les fesses de la supposé Martine.
- Je voudrais te demander une faveur… Euuuh… Ce n’est pas facile… Tu veux bien que je t’appelle Camille ?
La pièce reste silencieuse, Jacques est embarrassé. Les bras de Camille tremblent, ses yeux cherchent une réponse, elle doit quitter la pièce mais son entre cuisse est chaude et réceptive. Être prise par son père serait une dégradation tellement jouissive.
- Tu… Tu… Tu veux bien ?
Le cœur de Jacques s’emballe quand il voit le petit signe de tête de sa fille, sa main tremble quand il touche la peau de son dos.
- Tu es si douce ma chérie, Papa va toucher tes seins.
Jacques se colle sur les fesses de Camille et prend ses seins pour les presser avec douceur.
- J’ai déjà touché ta poitrine tu sais… Regardez-moi ce petit minou, il est gorgé d’excitation.
Jacques enfonce deux doigts dans la grotte humide, la perruque blonde se lève au fur et à mesure qu’il s’engage dans le vagin.
- Tu aimes que papa te masturbe ?… Camille !?
- Tu veux que Papa te pénètre ?
Jacques retire ses doigts accompagnés du bassin de sa fille qui recule.
- N’ai pas peur ma chérie, papa est là, je suis là pour prendre soins de toi.
Jacques se positionne derrière sa fille en se masturbant à une vitesse excessive, il passe son gland tremblant entre ses lèvres.
- Papa, non !
- Chuuuttt… Ma chérie, Papa est là.
C’est tellement réel, il croit reconnaitre la voix de sa fille et cela le transcende. Il regarde sa queue envahir le vagin de sa fille.
- Papa, non, non… Nooon !!!
- Camille !! La queue de Papa s’enfonce dans ton vagin… HOOooo c’est bon… !
Le bas ventre de Jacques est aspergé, Camille vient d’avoir un orgasme.
- Camille !!! Petite salope !! Tu as joui ?! Je vais te baiser comme tu le mérites !
Jacques claque la fesse de sa fille et s’enfonce d’un trait dans son vagin. Il prend sa fille de façon énergique. Ses seins ballotent au rythme de ses halètements.
- Tu es bonne ma fille, tu aimes que Papa te baise ! Je vais t’offrir à mon ami une fois mes couilles vidées dans ton ventre.
Bernard est adossé de l’autre côté de la cloison à imaginer la scène d’inceste, il tient son membre tendu entre sa main mais sans trop l’exciter, il veut bien sur utiliser le cadeau que Jacques va lui proposer.
Jacques n’a pas besoin d’accélérer plus son excitation est au zénith, il vient de trouver le graal il baise sa fille. Il se penche pour attraper un sein et le caresse, il sent le téton dur glisser sur la paume de sa main.
Camille a la bouche ouverte, ce moment de dépravation l’excite au plus haut point. La bite non protégée de son père enfoncer dans son sexe, elle est droguée par sa jouissance.
Jacques regarde sa queue trempé entrer et sortir du vagin de sa fille.
— Bordel ! Je n’ai pas de capote !! Papa va mettre son sperme dans ton ventre.
La queue de Jacques est de plus en plus engorgée et il le ressent très bien. Camille ne peut résister à ce moment incestueux.
- Ta chatte aime ma queue, qu’est-ce que tu mouilles ma chérie. Oh bordel !! Tes bonnes ma fille, je sens que ça vient… HAAAAaaaaa !!! Prend mon sperme Camille Haaa haaa… !
Il se retire doucement du vagin gorgé en regardant son pénis suivit d’un filet brillant.
- Ne bouge pas Camille, mon ami va venir. Bernard !!!
Bernard attend quelques secondes avant de répondre.
- Bernard !!
- Oui Jacques ?
- Pouvez-vous venir ?
- J’arrive… Alors !! As-tu pris du plaisir avec Martine ?
- Martine ??? Oui Martine !! Merci encore de l’avoir retrouvé pour moi… Vous… Vous voulez ??
- Oui bien sûr.
Bernard passe derrière Camille en retirant son pantalon et son slip. Jacques regarde la longue queue tendue s’approcher des fesses de sa fille. La queue de Jacques reprend de la vigueur, sa fille va être prise par son ex-patron et il se recule pour regarder la pénétration imminente.
Le lit s’enfonce quand Bernard pose son genou, Camille passe sa main entre ses cuisses et écarte ses lèvres brillantes et gonflées.
- C’est ta fille Jacques ?
- Euuuh… Oui, Enfin… ?
- C’est ta fille ou pas !!!
- Oui !!! Oui Bernard !!! C’est ma fille !
- Et bien c’est une sacrée salope ! Regarde comme elle attend ma queue ! Elle s’ouvre à moi.
- Oh oui c’est une salope ! Baisez là ! Comme vous avez baisé sa mère.
Bernard s’approche et pointe le champignon, il pénètre Camille sans s’arrêter jusqu’au contact de ses cuisses sur les fesses de la jeune femme qui redresse la tête avec un souffle étouffé.
- Nom de dieu !! On est bien dans ta fille, elle est profonde et juteuse.
- Elle aime les bites !!!
Jacques approche son visage de la perruque blonde qui recouvre le visage de sa fille.
- Tu aimes ma chérie ? Elle est longue, ton mari ne te prend pas en profondeur comme Bernard ? Tu pourras revenir prendre du plaisir quand tu veux.
Bernard regarde Jacques qui est à quelques centimètres du visage de sa fille, il intensifie ses coups de queue pour que papa entende les halètements de Camille.
- Oh bordel ! Il te la met profond ?
- Oui Papa ! Je vais jouir !
Camille prend la main de son père et la sert fort, elle vient de nouveau d’avoir un orgasme.
- Jacques !! Ta salope vient de m’asperger le matos.
Jacques met une fessée appuyé à sa fille en se penchant de nouveau près de son visage.
- C’est pas vrai Camille, tu n’es qu’une prostituée. La honte de notre famille.
Bernard met de gros coup de rein. Jacques se masturbe en regardant son visage fin et agressif, il prend sa fille avec violence. Il entend les clapotis venant du vagin de sa fille.
- Camille ! Il va déverser son sperme en toi et tu te laisses faire ? Tu es bien comme ta mère, elle aussi elle aimait sa longue queue. Le nombre de fois que j’ai éjaculé en le regardant vider ses couilles dans ta maman.
Jacques dirige la main de sa fille sur son pénis qu’elle masturbe pendant qu’il lui caresse les seins.
— La petite joue avec la bite à Papa ! Jacques !! Que c’est bon de baiser ta fille !
— Elle aime votre queue, je l’entends gémir.
— Ho putain sa vient, je vais mettre ta fille enceinte Jacques !
Camille referme fortement sa main sur la queue de son père.
- HAAAAAAAAAA !!!!!
- Il éjacule Papa ! Haaaaaaa… C’est bon…
- HAAAAAA !!!! Haaaaa… Haaaa ! Oh putain, je l’ai remplie cette pute !
Camille remonte sa main sur le pénis de son père et racle la goutte de sperme perché sur son gland douloureux. Jacques regarde son ex-patron rouge de sueur se retirer de sa fille. Il a les cuisses trempées, le pénis courbé, perdant l’effet du médicament.
- Non de dieu Jacques ! Ta fille c’est un sacré plan cul.
Jacques caresse la main de sa fille par compassion et effleure une bague qu’il regarde, c’est une bague en or, ornée d’une petite pierre bleu.
— Vient voir Jacques !
Bernard ouvre le vagin de Camille avec ses deux mains et les deux hommes regardent à l’intérieur.
— On l’a bien rempli ta fille.
— Vous avez raison, elle déborde.
- Je te raccompagne Jacques ! On va laisser la dame se faire belle.
Camille les regarde quitter la pièce et elle s’assoit sur le lit, elle jette la perruque et tombe nue allongée sur le lit. Elle entend la porte se fermer.
- Tu as aimé ma surprise ?
Bernard s’assoit à côté de Camille et lui passe la main sur la vulve et joue avec son clitoris.
- Ton père va peut-être te mettre enceinte. Regarde ! Rien que de l’évoquer tu mouilles.
- Vous… Vous voulez me prendre avant que je parte ?
- C’n’est pas l’envie qui me manque ma petite salope, mais mon médecin ma bien prévenu que je n’ai pas le droit à deux pilules à suivre, sinon je crame le moteur.
- Je peux vous sucer pour nettoyer votre pénis.
Bernard se déplace devant le visage de Camille. Elle avale la queue molle et joue avec en utilisant sa langue.
— Tu es une sacrée gourmande, pire que ta mère. Tu as toujours faim.
— Je vais encore tomber enceinte de vous…
— Je l’espère. Pour t’exciter je peux venir te baiser dans le lit conjugal, chez toi.
Blois
Vraiment magnifique suite j adore la suite. Vraiment très chaud