Presque deux semaines ont passé depuis le retour de Xavier et plus aucune nouvelle du vieux Drouet.
Elle rentre du boulot et pose son sac dans la cuisine ; elle prend les pubs et le courrier que Xavier a laissé sur la table.
- C’est quoi cette enveloppe vierge ? Elle est juste pliée à l’intérieur… Oh mon dieu !!
L’enveloppe contient des photos d’elle qu’elle connait très bien ainsi que des clichés de son père baisant Marie-Jeanne. Son rythme cardiaque accélère quand elle entend la voiture de Xavier se garer devant la maison. Elle regarde la porte qui s’ouvre avec une grande anxiété, Arthur rentre le premier.
- Maman !!!!
- Mon chéri !!
Elle garde les yeux rivés sur la porte tout en serrant fort Arthur dans ses bras. Elle retient sa respiration quand elle aperçoit Xavier.
- Tu as dit à maman ce qu’on a vu sur la route ?
- Une vache !!
- Une vache !! Dans une voiture.
- Mais non maman ! Sur la route.
- Ahhh ! D’accord. Xavier tu n’as pas ouvert le courrier ?
- Non, je l’ai déposé et j’ai filé à l’école, j’étais à la bourre.
Camille reprend un souffle normal tout en constant que le vieux Drouet ne lâche pas le morceau ; dès le lendemain elle reçoit un sms de sa part.
- « Tu as bien reçu mon message ? Tu vois, je ne suis pas un salaud, je t’envoie ce sms sur le temps de travail pour qu’il ne soit lu par ta famille. Ceci est le dernier avertissement. Je te dis à cette semaine. »
Maintenant elle n’a pas le choix, elle va de nouveau être forcée par le vieil homme. Elle doit mentir à Xavier pour caler dans son agenda du temps pour subir ses attouchements.
Ce jeudi, après le travail elle se tient devant le portail de la résidence du vieux. L’angoisse est forte quand elle appuie sur l’interphone, sa voix est chargée en émotion.
- C’est moi.
Le portail s’ouvre et elle remonte l’allée en cherchant une échappatoire. Elle va jouer la carte de la pitié pour éviter d’être souillée à nouveau. Le vieux pervers l’attend dans l’encadrement de la porte avec un large sourire. Il entre avant qu’elle n’atteigne l’entrée, elle attend quelques secondes avant de pénétrer à son tour dans la demeure.
- Ne soit pas timide, tu connais la maison.
Camille entre dans la pièce qui semble bloquée dans le temps, il y a toujours Marie-Jeanne sur son lit et le vieux en robe de chambre en soie. Il pose le verre d’eau qu’il vient de boire.
- Avec ça ! Je vais être vigoureux pour te rendre hommage.
- Mr Drouet, je… je tiens tout d’abord à vous remercier de vous être occupé de mon père pendant ces années, d’avoir… d’avoir couvert ses méfaits. Mon père a quitté notre maison et je suis en famille, avec mon mari et mon fils, j’aime mon mari ! Et je ne parle même pas de mon petit garçon. Pitié Mr Drouet, pitié.
- Je comprends, mais ta famille m’est redevable. Mets-toi à ma place, j’ai une jeune femme que je peux baiser à ma guise.
- Je… je vais vous sucer, après vous allez me laisser partir, d’accord ? Mr Drouet pitié, je vais vous sucer, pitié.
- Viens par-là, mets-toi à genoux devant moi.
Bernard se déplace au pied du lit et Camille s’agenouille sur le tapis.
- A toi de jouer !
Elle ouvre la robe de chambre, le vieux est vêtu d’un caleçon en tissu bleu clair et d’un maillot de corps blanc. Camille lève les mains et tire sur l’élastique du caleçon pour laisser passer le pénis qui réagit pleinement aux effets la pilule bleue. Le caleçon trop large tombe sur les chevilles du vieux Bernard.
- Elle n’est pas très propre, mais c’est en partie de ta faute. J’ai dû m’occuper sur Marie-Jeanne pendant ta longue absence.
- Je peux la laver avec de l’eau ? Vous la mettre propre.
- On n’a pas le temps, tu dois rejoindre ta famille ?
Camille approche sa main et saisit le long champignon collant. Un fil blanc suit la peau qui découvre le gland.
- Suce-moi !
Elle s’approche sous les yeux sadiques de son tourmenteur. Elle ouvre la bouche en grand pour retarder le contact avec le pénis souillé. Bernard pose sa main sur l’arrière de la tête de Camille et pousse sa queue dans sa gorge. Le gland poisseux glisse sur l’arrière de sa langue et lui provoque des nausées. Il retire doucement son pénis qui se dégraisse entre les lèvres fermées de la belle jeune femme.
Bernard se masturbe devant le visage de Camille, il décalotte sa queue et reste devant la bouche écœurée.
- Lustre mon bout, j’veux qu’il brille.
Camille sort sa langue et tourne sur le champignon spongieux. Bernard se cambre sous la sensibilité de son gland.
- Pousse ta langue à l’intérieur et pompe-le.
Bernard se déplace et tire sur la peau, le frein est tendu. Il veut lui montrer le dessous de son gland.
- Regarde c’est sale dessous, nettoie-moi ça !
- Mr Drouet, je ne peux pas c’est répugnant…
- Tu nettoies un point c’est tout.
Bernard montre son impatience en collant et frottant son gland sur la bouche de sa victime. Camille sort sa langue. Elle a un haut le cœur quand la pointe de sa langue décolle la collerette grasse.
- Voilà ! Appuie bien pour ne rien laisser. L’autre côté maintenant.
Camille a une pâte jaunâtre étalée sur la langue, le gout est horrible, elle a envie de vomir.
- Tu as bien travaillé, crache dessus pour la rincer et tu me suces.
Elle lave de nouveau le long pénis en déposant sa salive et léchant le vieux pénis.
- C’est bien ! Pompe fort, tu vas avaler ma crème et tu pourras rentrer chez toi.
La jeune femme met toute se vigueur à sucer le long champignon tout en le masturbant à sa base et caressant les testicules poilus. Bernard est heureux de cette initiative.
- Tu aimes ça sucer des queues !
Camille accélère, elle veut en finir. Elle a mal à la mâchoire, elle n’en peut plus de ce gout répugnant dans sa bouche. Bernard pose sa main sur les cheveux de Camille. Elle sent les spasmes dans le pénis raide.
- Ahhh !!!!! Ah !! Ah ! Avale ma suceuse !!
Enfin c’est fini, elle prend une grande inspiration et les larmes s’écoulent sur ses joues quand le sperme passe dans sa gorge. Elle se lève, humiliée par son tortionnaire qui continu à masturber son pénis luisant.
- On se voit jeudi prochain sans faute !
Camille hoche la tête.
- Très bien, tu retiras ta culotte et ton soutien-gorge avant de te présenter à l’interphone et je veux que tu portes une chemise blanche légèrement transparente.
Ce dimanche matin, Camille est assise dans la salle de bain. Elle regarde le test de grossesse qu’elle tient dans sa main. Son émotion est partagée entre angoisse et joie. Il y a les deux traits, elle est enceinte !!! Bien sûr elle l’annonce avec un grand sourire à Xavier, tout en ayant ses pensées troublées.
- Mais peut-être que… ??? Non, ce n’est pas possible, c’est mon chéri le père.
Au travail elle peaufine son argumentaire pour ne pas avoir à retourner chez le vieux Drouet. Enceinte il va devoir la laisser tranquille. Le jeudi arrive et elle se gare à proximité de la résidence du maitre chanteur. Elle retire son soutien-gorge et sa culotte comme il l’a exigé puis descend de sa voiture et garde son avant-bras contre sa poitrine exposée par transparence.
Elle sonne à l’interphone et la grille s’ouvre sans réponse. Elle remonte l’allée et le vieux Drouet l’attend à la porte, il porte juste une robe de chambre en soie et son pénis en sort tendu. Il voit les deux auréoles à travers le chemisier. Il est content et excité de constater que les consignes sont respectées. Du moins il va vérifier.
- Bonjour Camille !
- Tout d’abord vous devez me laisser tranquille ! Je suis enceinte !
- Ohhhh ! Très bonne nouvelle. Ton mari doit être content, son sperme doit être de bonne qualité pour être aussi efficace. Entre !
Camille franchi la porte qui se referme derrière elle et pénètre dans le salon intemporel. Bernard s’approche et pose sa main sur son ventre.
- Tu viens juste de tomber enceinte ? Alors. On peut faire quelques activités.
Le vieil homme caresse le ventre de Camille qui essaie de s’extirper.
- S’il vous plait monsieur Drouet, laissez-moi rentrer chez moi.
- Tu as respecté mes demandes ?
Il monte sa main et presse les seins libres.
- Monsieur non !
- Aujourd’hui on reste un peu ensemble, jeudi prochain tu reviens et je vais te demander une petite faveur et ensuite je te jure que je te laisse tranquille pendant ta grossesse. Ça te va ? Aujourd’hui et jeudi prochain ! Ensuite je te laisse tranquille ! Promis !!
- Vous voulez quoi pour jeudi prochain ?
- On verra çà avant que tu ne repartes.
Camille reste le visage impassible, elle réfléchit pendant que Drouet continue à lui peloter les seins.
- D’accord…
- Très bien ! Maintenant lève ta jupe que je vérifie si tu as aussi respecté l’autre requête.
Camille saisit sa jupe et la remonte. Bernard voit la toison apparaitre, il pose sa main sur la cuisse de la jeune femme et la fait glisser entre elles.
- C’est un vrai petit minou que tu as maintenant c’est bien, écarte les cuisses.
Son visage se ferme quand le vieux doigt glisse entre ses lèvres poilues. La main du vieux explore la jeune vulve.
- Tu es toute sèche ? Mais ce n’est pas grave, déshabille-toi et allonge toi à côté de Marie-Jeanne.
Bernard regarde Camille retirer son chemisier et sa jupe. Sa queue rebondit quand il se dirige vers le lit.
- Ecarte les cuisses et touches tes seins.
Bernard regarde la jeune femme saisir ses seins, il se place entre ses cuisses et approche son pénis décalotté, il joue entre ses lèvres mais il ne ressent aucune humidité. Il pousse son gland dans le vagin de Camille, la pénétration l’irrite.
- Tu ne veux pas que je te baise ? Je vais y arriver, regarde !
Bernard se déplace et écarte les draps de Marie-Jeanne, il retrousse la chemise de nuit sur son ventre et lui écarte les jambes. Il passe sa main entre les cuisses velues de sa femme.
- Bon dieu regarde comme elle mouille, 10 secondes à la toucher et hop la grotte déborde. Prends donc exemple.
Bernard revient vers Camille et passe de nouveau ses doigts sur la jeune chatte sèche.
- D’accord j’ai compris ! Mais je sais comment faire, j’aurais le dernier mot.
Le vieux Drouet se déplace entre les cuisses de sa femme et la pénètre d’un seul trait. Camille tourne la tête les yeux fermés. Il besogne sa femme pendant plusieurs secondes en regardant l’état de son pénis.
- Voilà cela devrait être bon.
Il remonte son gland entre les lèvres de sa femme et de la jouissance en forme de gelée l’enduit. Son pénis est gluant avec un anneau blanc mousseux à sa base.
- Non c’est dégoutant ! Lavez-vous le pénis. Je vais mouiller !
Bernard écarte les cuisses de Camille et s’allonge sur son ventre.
- Trop tard ! Tu as voulu jouer avec moi ! Tu as perdu !!
Bernard positionne son gland et étale la gelée à l’entrée du vagin réticent, il pousse dans le vagin de Camille.
- Nooon ! C’est répugnant, ne faites pas ça, je vais mouiller ! Attendez ! Nooon !!
Camille sent le pénis lubrifié avec la jouissance de Marie-Jeanne s’introduire et déposer les secrétions vaginales sur ses parois intimes. Camille ne peut empêcher une réaction verbale quand le pénis du vieil homme entre dans la profondeur inhabituelle. Ses deux jambes se relâchent et s’écartent pour que Drouet puisse pousser au plus profond de son vagin.
- Tu mouilles enfin cochonne ! Tu n’as pas l’habitude d’être visitée aussi profond.
Bernard accélère et regarde la jeune femme qui entrouvre la bouche, il accélère encore et Camille agrippe le poignet du vieil homme.
- Tu vas venir petite salope !
Bernard la pilonne vigoureusement, le bruit de succion raisonne dans la pièce. Du front du vieil homme perle des gouttes de sueur sur les seins de Camille qui ballottent.
- Ah ! Ah ! Ah….
Les petits cris de jouissance de Camille traversent la pièce, elle place sa main sur sa bouche et les larmes lui viennent honteuse de la situation.
- Tu jouis pendant que je te viol ? Ton mari doit être sexuellement désespérant.
Bernard sort sa queue trempée et glisse son gland sur les poils collés du minou, il s’insinue entre les lèvres gonflées.
- Tu veux un nouvel orgasme ma cochonne ?
Il continue à promener sa queue sur la vulve honteuse du plaisir pris. Pour patienter il prend le sein droit de Camille et le presse.
- Tu la veux encore dis-moi ?
Camille tourne la tête et relève les genoux, elle lui laisse son corps. Bernard prend sa main et l’approche de son pénis.
- Prend ma queue et tu vas la comparer avec celle de ton mari ce soir.
La main de la jeune femme se referme sur la base du pénis et remonte doucement, elle bloque sur la tête de champignon spongieuse. Bernard la laisse jouer avec son sexe qu’elle mémorise bien la longueur. Camille relâche le mandrin qui l’a fait jouir et elle pose sa main sur son ventre.
Bernard regarde sa femme tout en positionnant son bout rosé.
- Je n’ai pas besoin de repasser par la lubrification « Marie-Jeanne » ?
Il pousse doucement dans le vagin impatient, elle doit ressentir la pénétration en profondeur à titre comparatif, pour être sûr qu’elle prenne gout à son pénis, qu’elle pense à lui quand son mari la néglige anatomiquement.
Bernard pousse et la jeune femme pose sa main sur son bas ventre. Le signe est fort, elle ressent chaque millimètre de l’intrusion. Mais le vieil homme n’est pas là pour lui donner du plaisir mais pour en prendre, Il pénètre Camille fortement et un cri aigu traverse de nouveau la pièce et elle presse fortement son sein.
- Tu aimes ma queue petite salope ! Tu es comme ton père tu aimes le cul.
Bernard ressort son pénis et se masturbe en regardant Camille.
- Prend ma queue !
Camille referme sa main sur le long pénis dur.
- Tu me branles et je balance sur ton ventre ou tu te la mets pour un autre orgasme.
La jeune femme masturbe le vieux Drouet tout en bougeant son bassin, elle pose le gland sur les poils de son minou. Elle se dandine, elle est indécise… Le vieux se retient d’éjaculer, il sait qu’elle va le faire.
- Mets la dans ta chatte, tu as envie de jouir petite salope !! Tu veux être baisé ! Mets-la !!!!
Camille descend sa main et Bernard pousse le pénis d’un seul trait.
- HAAAAaaaaaaa !!!
Elle jouit quand le long pénis atteint le point le plus en profondeur de son vagin, l’attente et la stimulation du vieux a été trop forte. Xavier ne l’a jamais fait exploser de la sorte.
Bernard est lui-même surexcité, il ramone le vagin gorgé des multiples orgasmes. Elle lève son bassin pour sentir les derniers coups de queue du vieil homme.
- Putain çà vient, je vais de nouveau remplir ton utérus… AhhhAh !!!! Ahhhh… !!!
Camille a un dernier orgasme en sentant le vieux sperme se rependre dans son ventre. Elle se relâche totalement en nage, sa poitrine monte et descend en tentant de récupérer de l’effort physique.
Bernard se retire, la queue toujours tendue sous l’effet du médicament. Un filet de sperme suit son gland et se dépose sur les draps. Camille expulse le liquide visqueux sous les yeux ravis du vieux.
- Tu vois, tu es comme ton père, tu vas être en manque bientôt ; c’est toi qui vas me supplier de te baiser.
- Vous êtes fou ! Laissez-moi partir maintenant.
- Peu importe, l’avenir nous le dira, mais tu as eu l’air d’aimer que je te baise. Donc la semaine prochaine tu viens habillée avec une robe en ne portant rien dessous. Tu vas m’emmener à un endroit que je t’indiquerai, on va être absent un moment, prend tes dispositions. Et comme promis, suite à cette journée je te laisse tranquille pendant ta grossesse.
Blois
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