L’histoire qui suit s’est passée un été il y a quelques années alors que je cherchais un nouveau bateau pour remplacer mon vieux canot.
Au ponton à coté du mien je vois un bateau qui me convient dont le nom est « Mauresque », nom bizarre qui me fait immédiatement penser à un apéritif; ma femme l’examine de près lorsque le propriétaire arrive, nous discutons avec lui sur les performances du bateau et son habitabilité. Le soir arrivant nous nous quittons.
Le lendemain matin je pars à la pèche et je revoie le gars d’hier soir, Jean, qui me propose de monter sur son bateau, ce que je fais car il me plait bien (le bateau bien sur). Je descends dans la cabine pour en voir la taille et sur la table je vois une revue porno homo, je commence à triquer.
Jean est devant la descente de la cabine et je ne vois que son short et il me demande ce que j’en pense en parlant de la cabine et moi je lui réponds sans même m’en rendre compte que je préfère le réel au virtuel ; en voyant la revue il comprend ma réflexion, me dit que la cabine est suffisante pour bien baiser. Il baisse son short, il ne porte rien dessous et me présente sa queue.
C’est plus fort que moi je ne peux pas m’empêcher de la caresser, ma main gauche palpe ses couilles alors que la droite caresse ses fesses. Il semble apprécier car il commence à bander. Sa queue se dresse, un peu en biais d’une taille normale dans les 16/18 cm par 4 cm de diamètre ; pour moi c’est la bonne taille, j’ai déjà sucé une bite de 23 par 6 cela fait beaucoup à mon goût.
Je m’assois sur la banquette, il comprend vite mon intention et présente sa queue devant ma bouche grande ouverte. Je commence par la lécher sur toute la longueur tout en lui caressant les couilles et les fesses. Un de mes doigts traîne vers sa raie se retire et y revient en douceur. Avec mes lèvres je le décalotte et ma langue s’attarde sur son gland que je suce comme un sucre d’orge. Tout cela semble le satisfaire, il gémit de plus en plus ; je sens se queue se raidir encore plus et soudain il se retire de ma bouche prend un verre et jouit dedans.
Sans rien me demander il me fait lever prend ma place baisse mon short et mon boxer puis me suce goulûment ; il me caresse avec autant de soin que moi en faisant monter la pression puis quand il sent que je viens il me fait jouir dans le verre.
Il sort alors une bouteille de Pastis en verse une bonne dose dans le verre avec de l’eau et des glaçons. Je comprends alors pourquoi le nom de son bateau « Mauresque » m’avait interpellé en me souvenant qu’une Mauresque est un mélange sirop d’orgeat Pastis. Ici c’est sirop d’orgie Pastis. Nous buvons l’apéritif la bite à l’air en dégustant ce délicieux breuvage qui se révèle être aphrodisiaque car rapidement nous bandons de nouveau. Nous nous finissons donc en 69 sur la banquette à nous sucer et nous caresser le trou.
Nous jouissons ensemble dans la bouche de l’autre, le goût du Pastis anisant parfaitement notre jus. Je me suis ainsi rendu compte que cette cabine était de taille suffisante, par la suite j’ai acheté un bateau de ce type.
Calinou78
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