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Mon ami qui possédait une caravane dans un petit camping des Ardennes belge m’y attendait depuis plusieurs jours. Mes vacances venaient de débuter et ce devait être mon premier week-end de délassement, j’étais toute frétillante à l’idée de le rejoindre.
J’avais prévu de prendre le train jusqu’à Libramont et de là un bus jusqu’au camping.
Arrivée à Libramont on m’apprit qu’il n’y avait plus de bus, déçue à l’idée d’arriver plus tard et surtout très embêtée par les 15 km que je devrai parcourir a pied je me mis en marche tout en me disant que je devrais faire du stop.

C’est un homme, dans la quarantaine et conduisant une vieille Peugeot 305 qui me prit… dans tous les sens du terme.
Nous fîmes les présentations et tout en discutant, après avoir parcouru 8 ou 9 km, il posa sa main sur mon genou.
Ahurie par ce qui m’arrivait je ne dis rien et ne bougea pas.
L’homme perçut certainement mon inertie comme une invitation, car ses doigts qui avaient vite parcouru l’intérieur de ma cuisse se présentaient déjà à l’entrée de mon vagin.
– « Tu n’as pas de culotte dis donc ! je suis tombé sur une petite cochonne on dirait. » me dit-il en y faisant rentrer plusieurs doigts le sourire aux lèvres.

Mon ami, qui aurait adoré m’offrir en pâture a d’autres hommes et me voir presque nue dehors, me poussait souvent à sortir en mini-jupe sans petite culotte imaginant que je m’offre au premier venu. Ça l’excitait beaucoup et moi aussi d’ailleurs. Donc, pour lui faire plaisir après cette semaine de séparation, j’avais décidé de ne pas en mettre et durant tout le trajet j’avais fantasmé en imaginant ce qui pourrait se passer si un homme s’en apercevait.

Ces mots crus me firent pleinement prendre conscience de la situation et mon excitation devint plus frénétique.
La sensation de ses doigts inconnus se forçant un passage dans mon vagin et l’excitation que j’avais éprouvée pendant le trajet aidant, mes jambes s’écartèrent et mon bassin s’avança sans que je m’en rende compte. Mes fesses se mirent a remué m’offrant avidement à ces doigts qui maintenant fouillaient mon intimité.

Après ce moment d’exploration, il retira les doigts qu’il avait introduits en moi pour me prendre la main gauche et la poser sur son sexe qui commençait à gonfler son training.
– « Vous aimeriez que la petite cochonne paye son trajet a ce que je sens ? » lui dis-je, me prêtant à la situation en souriant, imaginant déjà l’excitation de mon petit ami quand je lui raconterai tout cela.
Je me mis donc à caresser la bosse de son training qui continuait à gonfler.

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Il avait, tout en me caressant, remonté ma mini-jupe et mon bassin s’était assez avancé pour laisser apparaître mon sexe déjà très humide. Ses doigts passaient de l’intérieur de mon vagin à mes seins qu’il avait fait sortir de mon décolleté en passant aussi par ma bouche qui les engloutissait dans un râle d’excitation le laissant présager ce que je pourrais bien avaler d’autre.

J’avais dans le même temps passé une main sous son training et masturbais son sexe du mieux que je le pouvais dans la position ou je me trouvais… de la main gauche ce n’était pas très pratique.
C’est ainsi que se déroula notre trajet jusqu’à une aire de repos, sans rien dire, les seins nus, en train de branler cet inconnu. Nous croisâmes d’autres voitures et peut-être me vît-on assise a moitié nue les seins remuant par l’action de mon bras. J’étais comme folle le cœur battant très fort, une chaleur pulsante me dilatant jusqu’à l’anus.

Je fus surprise de voir que nous nous étions arrêtés. Il devait être 21 h et l’endroit était presque désert.
Une autre voiture était garée à une trentaine de mètres devant nous, mais cela ne gêna pas l’inconnu qui me retira le top sans bretelle que je portais encore a moitié me laissant presque nue dans sa voiture ; il ne me restait que la mini-jupe qui était tellement relevée qu’on aurait pu la prendre pour une ceinture.
J’étais un peu angoissée. Il ne fallait pas avoir beaucoup d’imagination pour comprendre pourquoi il m’avait amenée là, mais j’étais de toute façon allée trop loin pour revenir en arrière.

Prenant le temps de me regarder maintenant qu’il ne devait plus suivre la route il grogna de convoitise et dit :
– » Oh ouais, t’es bandante ma cochonne, tu m’as l’air d’aimer beaucoup la bite toi, hein ? »
Sans attendre de réponse, il plaça sa main gauche derrière ma nuque et tira doucement ma tête vers son training pendant que de l’autre main il l’abaissait dévoilant son sexe. Je me laissais faire et quand ma tête fût arrivée assez près, il prit son sexe en main et le présenta à ma bouche. Sans même y penser, dans un état second, esclave de la chaleur dans mon bas ventre et de sa main qui continuait à me pousser, je le laissai s’y engouffrer.
Quand ma langue se mit au travail, comprenant qu’il aurait ce qu’il voulait, sa main cessa sa pression sur ma nuque et je me mis à le sucer. Il était maintenant très clair, étant déjà allé trop loin, que je me trouvais à sa merci et qu’il faudrait que je me plie à ses désirs.

– « Oh ouais putain c’est ça, suce-moi comme ça ! Continue salope !… Ça te plaît de sucer ma bite ? »
Excitée comme je l’étais je me prêtais au ton de ses paroles et répondis l’air soumis : « Mmmm oui, oui, et ça m’excite beaucoup » comme pour le lui prouver, j’embrassai plusieurs fois le bout de son sexe récupérant le liquide qui s’en échappait avant de reprendre plus fort en lui léchant le sexe sur toute la longueur et l’avaler de nouveau.
La position dans laquelle je me trouvais me bloquait dans mes mouvements si bien qu’après quelques allées et venues de la bouche, mécontent de ma prestation ou imaginant que je pouvais faire mieux, il me dit de m’agenouiller sur le siège passager pour qu’il puisse mieux en profiter.
J’ouvris donc la portière et sortie profitant d’être debout pour refaire ma queue de cheval oubliant totalement que j’étais presque nue et que l’on était sur une aire de repos tant j’étais excitée.

Je rentrais ensuite dans la voiture, m’agenouillais sur le siège passager comme il me l’avait demandé et me remis à le sucer, les fesses remuant à chaque mouvement de la tête, exposée a quiconque serait passé par là.
Mon sein droit butait sur le changement de vitesse pendant qu’a chaque mouvement de la tête, quand il n’était malaxé par sa main, le gauche, lui, ballottait librement.
– « ohhh ouais c’est bien mieux, t’es une vraie experte de la pipe toi, mais ne va pas trop vite j’suis pas loin de te cracher la purée ».
Mon ami qui m’avait souvent offerte a ses copains m’avait fait vivre beaucoup d’expériences sexuelles, mais jamais je n’avais sucé de parfaits inconnus et encore moins dans un lieu public, presque totalement nue, les fesses livrées aux yeux de tous. Cela me donnait une excitation d’une ampleur que je n’avais encore jamais connue.
Le lieu, ma position et l’idée d’être entre les mains de cet homme autoritaire, soumise a ses moindres souhaits me faisaient bouillir d’excitation. Je lui répondis la bouche baveuse ;.
– « Je vais essayer, mais j’apprécie tellement de vous sucer que ça va être dur »
Il m’attrapa par la queue de cheval tira m’obligeant à arrêter mon vas et viens tout en gardant son sexe en bouche.
– « Ouais ben pompe plus lentement quand même j’te dis ! » dit-il me regardant dans les yeux avant de me relâcher la tête pour me permettre de continuer.
– « Merde, tu me rends dingue tu vas me lécher un peu les couilles pour me calmer petite cochonne »
Il me poussa, me forçant, toujours agenouillée sur le siège passager, à relever le buste. J’attendais dans cette position me demandant, tout en enlevant quelques poils pubiens de ma langue, ce qu’il allait faire pendant qu’il reculait son siège et enlevait le training qui traînait a ses pieds.
Il se tourna alors, passa une jambe derrière le siège sur lequel je me trouvais puis passa une main derrière ma nuque.
S’adossant sur sa portière pendant qu’il me tirait a lui sans ménagement il utilisa sa main libre pour attraper son sexe et tirer dessus me présentant de la sorte ses testicules.
– « Vas-y montre moi comment tu sais lécher des boules »
N’ayant d’autres choix, sa main poussant toujours sur ma nuque, une main posée sur son siège pour me retenir, et l’autre caressant son sexe qu’il avait relâché je me mis a les lui lécher.
– « Oh ouais c’est bon lèche les bien partout pétasse. »
Folle d’excitation, je m’y appliquais aussi bien qu’avec son sexe.
– « Mmmmmm oh ouais ! ça te plaît aussi les couilles, c’est bon ce que tu fais »
Au bout d’un petit moment, il repoussa ma tête, écartant de la sorte ma langue de ses testicules maintenant baveuse de salive.
– « Arrête avec mes boules, c’est bon ! J’suis un peu calmé maintenant. J’ai envie de sentir ta langue sur ma bite. Suce-moi maintenant et pas trop vite salope ! ».
Je passais ma main libre entre son ventre et son sexe le lui caressant doucement puis je reposais ensuite la langue sur ses testicules et remontais de la sorte vers le haut avant de l’avaler au maximum que je le pouvais.
Je lui demandais après quelque vas et viens —  » c’est bon comme ça ? Ça vous plaît ? »
– « Oh oui, bordel c’est bon ! c’est pas ma femme qui me sucerait comme ça. J’espère d’ailleurs qu’elle ne suce comme toi des mecs sur des parkings » me répondit-il en riant.
Moi non plus normalement je ne suçais pas d’inconnu dans des parkings…!
Et pourtant, malgré tout, emportée par mon excitation c’était bien ce que j’étais en train de faire. Pire qu’une marie-couche-toi-là, j’étais en train d’offrir une fellation a un inconnu marié, de bien quinze ans de plus que moi. Un inconnu pas particulièrement séduisant. Un inconnu qui sans se retenir me traitait comme la dernière des salopes de surcroît.
Je le suçais dans un parking comme une putain un camionneur ? D’accord ! je le ferai mieux encore qu’elles ne le feraient alors !
Excitée par toute ses pensées, me disant que c’était bien ce que j’étais à ce moment pour cet homme, je lui offris ma bouche de plus belle et m’appliquais plus encore de la langue.

Il me fallu un moment avant de prendre conscience, tant je m’appliquais à sucer, que ce que je sentais sur les fesses étaient des mains et qu’il y avait quelqu’un derrière moi.
– « B’jour », dit le nouveau venu
Je lâchais le sexe que j’avais en bouche et me retournais les joues baveuses de salive. Je vis un homme dans la soixantaine bien passée, avec quelques cheveux gris dépassant d’une casquette, assez maigre, le teint rouge et éméché d’un pilier de bar qui me caressait les fesses les dévorant du regard.
Il était déjà en train de me caresser la raie des fesses, frôlant ma vulve trempée de ses doigts.
Je n’eus pas le temps d’en voir plus ou de réagir, car le conducteur tira sur mon menton me poussant a reprendre son sexe en bouche.

– « y’m semblait ben, j’m’etais pas trompé » dit-il en riant « ch’suis garé devant vous, j’tais en train d’pisser quant y m’a semblé voir é joli cul nul sortir d’vot voiture » Il parlait très mal employant des mots de patois.
– » ch’peux ? » demanda-t-il en regardant mon inconnu, sans même vérifier si moi j’approuvais.
– » Faites ce que vous voulez, c’est pas ma femme hein ! C’est une auto-stoppeuse que j’ai prise il y a quelques kilomètres, tout ce que je sais d’elle c’est que c’est une experte de la pipe comme vous pouvez voir, ça ne vous dérange pas la cochonne, j’suppose ? » me demanda-t-il.
Tout repoussant que soit ce vieux monsieur sentir ses doigts sur mon sexe était une torture tant j’avais envie de les sentir me pénétrer.
Exacerbée par tant d’excitation, j’avais besoin de sentir quelqu’un ou même quelque chose en moi, j’en avais la tête qui tournait. Ce pouvait être n’importe qui ! Il fallait qu’on me pénètre, qu’on éteigne ce feu qui me consumait le bassin !
Alors ce vieux monsieur ou quelqu’un d’autre… Je tentais d’écarter plus les fesses pour en faire profiter le nouveau venu, l’inviter, l’engloutir…
Je répondis tout en continuant a sucer, avidement, en « experte », bafouillant la bouche pleine et la voix vibrante d’excitation :
– « allez-y »
Le vieil homme, pas gêné, n’en attendait pas plus et introduisit sans attendre deux doigts dans mon sexe qu’il fouilla avidement pendant qu’il me caressait l’anus du pouce.

– « ouh lala y a longtemps que j’n’avais pu vu un aussi joli popotin »

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Ces deux doigts qui me fouillaient me rendaient dingue.
Je haletais tant que je dû plusieurs fois relâcher le sexe du conducteur pour reprendre mon souffle.
– « continue a me sucer salope ! »
Le conducteur fini par me forcer de la main a garder son sexe en bouche profitant par la même occasion pour m’obliger a l’avaler plus loin.
Continuant malgré tout a haleté de plaisir, je m’étranglais chaque fois que son sexe atteignait ma gorge me forçant a émettre de grands mmmmffffgrlg.
Après quelques instants il me relâcha.
Ce traitement n’ayant pas pour autant diminué mon excitation, j’avais compris dès qu’il s’était arrêté sur ce parking que j’étais a sa merci, je me remis docilement a le sucer sans plus lâcher son sexe de ma bouche continuant d’exprimer mon plaisir, la bouche pleine, mais contente de ne plus devoir l’avaler a fond.

Cela dura un certain temps, puis, le vieil homme retira les doigts qu’il avait glissés dans mon sexe et me tira par le bassin. J’arrêtais de sucer le conducteur, espérant qu’il ne s’impatiente pas de nouveau et ne me force encore a l’avaler trop loin et tournais vite la tête pour voir que le vieux monsieur avait abaissé son pantalon dévoilant des jambes frêles et malgré son âge, un sexe d’une douzaine de centimètres bien en érection.
Il voulait me baiser le vieux cochon. Après le plaisir que m’avaient procuré ses doigts, mon envie d’avoir ce sexe en moi était intense. Je reculais donc les fesses pour lui permettre de s’introduire en moi et m’aperçus qu’il m’était impossible de continuer a sucer le conducteur si je voulais que l’autre me baise.

L’envie était trop forte, le bourdonnement dans mon sexe insoutenable. Il me fallait ce sexe en moi, j’en avais besoin. Il fallait que ce vieux monsieur me prenne. Je me serais agenouillée pour le supplier s’il l’avait fallu. Je décidais donc d’arrêter de sucer le conducteur pour vite me reculer et me mettre debout sur les jambes, je m’appuyais ensuite des bras sur le siège que je venais de quitter et pliais les genoux pour que mon sexe fût a la hauteur de celui du vieux monsieur qui s’introduisit en moi dès que ce fut possible.

Je remuais tellement des fesses que je ne lui laissais pas le temps de gérer, je l’engloutissais et le relâchais si bien qu’il dû m’empêcher d’aller trop vite.
– » oula n’bouge pas t’cul comme ça tu va d’ja m’fai v’nir la »
Je ne pouvais m’empêcher de râler, ce fut une véritable explosion de plaisir et de frustration, car chaque fois qu’il allait et venait en moi j’avais envie qu’il aille plus vite, plus fort, plus loin, je m’abandonnais donc de plus en plus.

Le conducteur pendant ce temps était sorti et nous avait rejoins, nu jusqu’à la taille, son training dans une main, le sexe, encore baveux de ma salive, toujours bien en érection.
Il posa son training sur le toit de la voiture, me tira sans ménagement par le bras gauche m’obligeant a sortir le buste de la voiture et me relever ce qui fit sortir le sexe trop petit du vieux monsieur du vagin qui en était pourtant avide.

– » Alors elle est bonne la salope ? » lui demanda-t-il en m’enlevant la jupe que je portais toujours en ceinture et qui cachait encore un peu mes fesses.
Le vieux monsieur grogna, toujours derrière moi, il m’avait attrapé par les seins qu’il malaxait avidement me faisant mal sans le vouloir pendant qu’il essayait en vain de se réintroduire de nouveau en moi.
Ma chatte n’en pouvait plus, la pulsation était encore plus forte, le besoin plus intense, je pliais les genoux et cambrai un peu plus le bassin pour l’aider, il lâcha mes seins pour m’attraper par le bassin et me tirer vers son sexe dont il put introduire quelques centimètres laissant mes seins a la bouche du conducteur qui me forçat a garder le buste droit pour pouvoir me mordiller les tétons avidement.
Je me retrouvais debout, les genoux pliés et les fesses tendues au maximum en arrière, cette position me faisait mal, j’étais trop cambrée, mais je ne pouvais pas bouger, de toute façon mon bassin bougeait tout seul comme mu par ses propres priorités, il poussait tout seul me cambrant encore plus, frustré, avide de quelques millimètres de plus.

Quand il en eut marre de jouer avec mes seins, le conducteur recula d’un pas laissant mon corps se plier de lui-même vers l’avant me libérant de la souffrance d’être trop cambrée et permettant au vieux monsieur de s’introduire pleinement en moi.
Je haletais, la tête reposant sur le torse du conducteur, les seins encore souffrants du traitement qu’ils venaient de subir ballottants a chaque coup du sexe du vieux monsieur.
Le conducteur recula encore d’un pas pour s’adosser à la portière arrière forçant mon corps à suivre le mouvement.
J’avais maintenant les bras autour de sa taille ainsi que la tête qui reposait sur son ventre.
Il poussa ensuite ma tête vers le bas, la dirigeant vers son sexe, désirant une fois encore m’obliger à l’avaler.
– » Vas-y suce la moi encore traînée »
Appréhendant encore qu’il ne me force a l’avaler trop loin, je le prenais sans attendre en bouche trop contente de toute façon de ne plus être bloquée par le bassin et de sentir le vieux monsieur plus profondément en moi.
– » ça te plaît de te taper des bittes dans les parkings hein salope ? »
Tout en râlant a chaque coup donné dans mon vagin je lui répondis : « Oh oui ça m’excite quand on profite de moi comme ça. Je peux encore vous sucer s’il vous plaît ? » c’était amusant et excitant, car en lui répondant de cette manière soumise je voyais son gland rougir et gonfler.
Pour toute réponse il poussa ma tête vers son sexe tendu.
J’eus juste le temps de le sucer un peu que le vieux monsieur se retira de moi pour se placer, tout en se masturbant, près du conducteur laissant mes fesses remuer toute seule.
– « J’peux prendre l’place ? »
Le conducteur poussa sans ménagement ma tête pour en faire sortir son sexe qui fit un « bloup » en sortant de ma bouche.
– « Ouais, j’étais impatient de la baiser aussi de toute façon »
Et il laissa la place au vieux monsieur qui présenta à son tour son sexe a ma bouche. Poussant sur ma tête, comme si c’était normal, je ne pus m’empêcher de l’avaler jusqu’aux poils blancs de son pubis qui sentaient un peu l’urine pendant que le conducteur s’introduisait dans mon sexe et commençait a en profiter. C’était un peu mieux qu’avec le vieux monsieur, son sexe était bien plus gros, mais pas beaucoup plus long. Je ressentais toujours de la frustration ce qui paradoxalement me faisait en donner plus. Je remuais du bassin comme jamais je ne l’avais fait m’offrant entièrement a mes deux inconnus.
– » Rhooooo bordel de salope quelle chatte elle a, ça me change bien du cul de ma femme dis donc… c’est ça remue bien du cul comme pour avec l’autre là ! »

Il fallu attendre encore quelques secondes pour comprendre les raisons qui avait poussé le vieux monsieur a prendre place dans ma bouche, car après l’avoir pompé quelques secondes, je l’entendis grogner m’étranglant sur un premier giclement qui me surprit, mais m’efforçant quand même de le garder en bouche pour le remercier du bien qu’il m’avait procuré j’avalais encore deux jets de son sperme liquide et aigre avant de le relâcher et embrasser a grosses lèvres son sexe qui se vidait des dernières gouttes en se ramollissant a une vitesse surprenante. Oui ! c’était absolument dégoûtant, mais terriblement excitant sur le moment.

Assaillie des coups de butoir que le conducteur m’assénait de son sexe, il y allait bien plus fort que le vieux monsieur, mais ne me procurait que peu de plaisir en plus, je montais petit a petit.
J’étais toujours agrippée au bassin du vieux monsieur, la bouche embrassant son pubis, prés de son sexe qui était maintenant devenu tout petit et dont coulait encore un filet de sperme qui y pendait, quand après avoir repris son souffle, il me repoussa sèchement, remonta caleçon et pantalon et sans un merci se recula m’obligeant a me retenir à la portière arrière.
– « J’va y aller s’coup-ci ch’suis bié content d’mettre arrêté pou pisser in tout cas » dit-il en regardant le conducteur qui grogna en continuant de me marteler les fesses de son ventre rebondi.
– « sto bié bon in tout cas » continua-t-il en regardant mes fesses et il retourna vers sa voiture que j’entendis plus tard démarrer.
Il ne restait plus de son passage, comme en souvenir, qu’une tache de sperme au sol et le goût aigre qui me resterait encore un bon moment en bouche.

Après quelques secondes encore le conducteur se retira de moi et présenta son sexe à ma bouche.
– « Rhaaa, salope, je vais jouir. Ouvre la bouche et avale mon foutre comme avec le vieux »
Je m’accroupis, ouvris la bouche et jambes toujours écartées, le sexe bourdonnant prêt a se faire remplir me mis en devoir de le faire monter au septième ciel me demandant, excitée, quel goût aurait son sperme comparé a celui du vieux monsieur.
– « Vas-y sac a foutre ! avale tout ! tu aimes ça hein ? »
Il m’attrapa encore une fois par la tête voulant certainement m’obliger a le garder en bouche pendant qu’il jouissait. Je le laissais faire sans protester et de la même manière que pour le vieux monsieur le laissais se vider dans ma gorge.
Il se lâcha dans un grand râle de plaisir.
Et sans penser ni au goût ni a la texture, dans un grand « mmmmm » d’appréciation plus du a l’excitation qu’au plaisir de goutter son sperme, j’avalais ce que je pouvais laissant le trop-plein dégouliner de mon menton pour s’écouler en filet au sol laissant une flaque gluante entre mes jambes.
Quand il se retira de ma bouche, j’avalais docilement ce qui restait sur ma langue tout en le regardant dans les yeux.
Il sortit les dernières gouttes en se pinçant le sexe qu’il s’essuya sur mes joues.

– » Oh putain de cochonne tu aimes le foutre autant que la bitte, si je m’étais attendu a ça ce matin dis donc… » dit-il en remettant son training me laissant accroupie les jambes écartées le reste de son sperme répandu au sol devant ma chatte encore pleine de désir inassouvi, toujours bourdonnante.

Je m’étais mise a me caresser, sans changer de position attendant qu’on me relève pour me pénétrer encore.
Il retourna, sans que je m’en rende compte, s’asseoir au volant et me dit « Eh la salope, si tu veux que je t’emmène tu ferais bien de t’habiller en vitesse »
Sans rien dire, je me relevais hébétée, et cherchais ma jupe qui traînait a terre. Je l’enfilais et m’installais dans la voiture. Je remis enfin mon tee-shirt décolleté que je retrouvais sous le siège passager.
Je n’en pouvais plus, mon envie s’était transformée en besoin, mon sexe bourdonnait toujours aussi intensément et mon bassin remuait prenant plaisir a se frotter sur le siège de la voiture.
Incroyablement, la manière dont ils m’avaient traité m’excitait beaucoup rendant encore plus insoutenable mon envie.
– « Alors, le payement vous a plus ? »
Il démarra la voiture puis après un « Ouais » très sec, continua « Fait gaffe de pas salir mon siège avec ton trou a bitte, si ma femme voit une tache sur le siège elle m’en fera tout un cinéma et t’as du foutre sur les joues salope, y a des kleenex dans la boite a gants. »
Tout en m’essuyant le visage d’un kleenex je me rendis compte de combien Je me sentais vexée et refoulée ; j’avais tout donné pour leur faire du bien. J’avais d’ailleurs encore le désagréable goût de leurs spermes dans la bouche et il me traitait comme ça. Je me rendis aussi compte que cela m’excitait et que je n’avais pas encore eu mon compte, même si il me prenait pour une salope… surtout si il me prenait pour une salope… j’avais envie de le récupérer en moi de sentir son sexe aller et venir.
– « Quelle truie tu es… il t’a plus le vieux bouc ? »
– « Oui, mais vous étiez bien meilleur, j’ai adoré vous sentir en moi »
Voyant qu’il ne répondait rien je repris soumise, docile, espiègle :
– « J’ai aussi beaucoup aimé vous donner du plaisir dans ma bouche, ça vous a plu quand même de pouvoir vous y vider ? J’ai encore le goût de votre sperme »
En réalité je n’aimais déjà pas que l’on jouisse dans ma bouche et je ne l’avais accepté qu’en de rares occasions pour faire plaisir a mon ami, je détestais le sperme autant par son goût que par sa texture et c’est l’excitation qui m’avait poussée cette fois a avaler tout ce sperme qui tapissait encore ma gorge. Mais si je pouvais l’exciter en lui parlant comme ça, ça en valait le coup.
– « Ouais ben ça ne m’étonne pas d’une truie comme toi, quand je pense que ma femme n’a jamais accepté que je jouisse dans sa bouche, toi tu t’avales tout le foutre d’un vieux clodo et le mien après. Je suis content de pas avoir de fille quand je te vois »
Il devenait vraiment très odieux, mais je répondis malgré tout espérant l’exciter un peu.
– « J’ai peut-être l’âge d’être votre fille et pourtant vous ne vous êtes pas plaint en profitant de mon cul ni même quand vous vous êtes vidé dans ma bouche. Je dois certainement être ce que vous pensez parce que moi j’ai apprécié d’être votre sac a foutre et je me laisserai encore faire si ça vous disait. Alors ça vous dit ? S’il vous plaît, j’ai encore très envie de vous moi ! »
Je m’étais remise machinalement a me caresser le clitoris tout en lui disant cela.
– » Non, tu m’as vidé t’as bien du le remarquer vu ce que t’as avalé salope »
— » je vous en prie… vos doigts alors ? »
Je me caressais maintenant frénétiquement, excitée par l’idée de devoir mendier ses doigts.
– « Non-espèce de traînée j’en ai plus envie là et arrête de faire ça sur mon siège tu vas le salir merde ! »
– « Je vous en supplie… vous n’avez pas d’amis qui voudrait eux ? »
Il arrêta la voiture, sortit et se dirigea vers ma portière qu’il ouvrit pour me faire sortir sans ménagement me tirant par le bras.
Naïve, j’étais trop contente, car je supposais qu’il allait encore me baiser. Oubliant que l’on était sur une route, je me mettais déjà en position relevant ma jupe et m’agrippant au toit de la voiture. J’écartais les fesses pour lui présenter mon sexe trempé d’envie, prête a me faire prendre, appréhendant d’avance le plaisir de son sexe en moi.
Mais au lieu de cela, il jeta mon sac hors de la voiture et referma la portière passagère.
Il retourna vers son siège et avant de s’y installer dit :
– « Deux fois je t’ai dis de faire attention à mon siège avec ton trou à foutre. Tu m’écoutes pas alors bonne route ! Puis ça t’aérera la chatte de marcher un peu »
Et il partit me laissant coite de stupeur, la jupe toujours remontée, les fesses a l’air, le vagin dilaté, excitée comme une folle.
Il me fallut quelques secondes avant de reprendre mes esprits et de remettre ma jupe en place.
Je me mis en route et fini les quelque 4 ou 5 km qui restaient, rêvant, autant pour mes pieds que pour mes fesses, qu’un autre conducteur me prenne.
Mais personne ne survint.

J’arrivais à la caravane tard au soir et racontais, en le suçant, toutes mes péripéties, à mon ami, lui permettant même de jouir à son tour dans ma bouche quand mon histoire fût finie.
Moi, je dus me finir avec les doigts, fantasmant sur ce que j’avais fait et imaginant ce que j’aurais bien pu faire de plus.
Les vacances furent étranges, m’attendant à chaque coin de rue de tomber nez à nez sur un de mes inconnus.
J’imaginais le vieux monsieur au sortir d’un bistrot m’y inviter a entrer pour me présenter ses amis et moi les satisfaire a leurs bons plaisirs. Ou mon conducteur s’arrêter en voiture pour me prendre de nouveau.
Avec les jours passants, il me restait de la honte pour ce que j’avais fait, mais aussi de l’excitation qui pimenta nos jeux sexuels.

Par LEMDAY

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4 Commentaires

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  • a l’auteur LEMDAY très bien écrit il serait interressant de nous faire la suite par a port à l’imagination sur le vieux mr et ses amis du bistrot

  • par ce que j’adore ces histoires sales sur des aires de repos ou il yy a des pervers est des routiers qui se vident leurs couilles à la première trainée disponibles (une petite tounante bien remplie sur le billard du bistrot ) avec une trentaine de bonhomme assoifés de sexe

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