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Tabou Techno 2025 : Enceinte de l’enfant d’une machine – Chap 1

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Enceinte de l’enfant d’une machine – Chapitre 1 : “L’expérience”

Je m’appelle Nadia, j’ai 31 ans, et je traîne ma vie dans un appart miteux à Paris, entourée de murs gris et de pigeons qui salissent tout. Célibataire depuis des lustres, je bosse comme assistante dans un labo médical – un endroit glacial, stérile, où les blouses blanches parlent en codes et où je passe mes journées à ranger des dossiers que personne ne lit vraiment. La solitude me bouffe, un vide que je comble avec des séries nulles et des fantasmes que je garde bien planqués, ceux qui te font rougir toute seule dans le noir. Il y a un mois, tout a basculé. Mon patron, un type chauve avec des lunettes épaisses et des mains qui tremblent un peu trop, m’a convoquée dans son bureau. On était entourés de machines qui bipaient doucement, des tubes remplis de liquides opaques alignés sur des étagères, et il m’a fixée par-dessus ses verres, un sourire en coin qui m’a tout de suite mise mal à l’aise.

— Nadia, a-t-il dit, on a un projet spécial. Une expérience. Et on a besoin de toi.

J’ai froncé les sourcils, posant mon café sur son bureau déjà encombré de paperasse et de gadgets bizarres. L’odeur de désinfectant me piquait le nez, et j’ai croisé les bras, méfiante.

— Moi ? ai-je répondu. Pour quoi faire ?

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Il s’est levé, ajustant sa blouse avec un soin exagéré, et il a pointé une machine dans le coin – un monstre blanc, imposant, avec des bras articulés qui pendaient comme des tentacules et un écran qui clignotait en rouge. Ça ressemblait à un truc sorti d’un film de SF, mais en plus malsain, plus réel.

— Insémination artificielle avancée, a-t-il expliqué, sa voix basse et posée. Une IA médicale. On teste un nouveau protocole, et on cherche une volontaire.

J’ai ri, un rire sec qui a résonné dans la pièce vide, un mélange d’incrédulité et de nervosité. Lui, sérieux, a continué à me fixer, ses yeux brillants derrière ses lunettes.

— Vous voulez que je sois votre rat de labo ? ai-je dit, un sourcil levé. Pour un bébé ?

— Pas n’importe quel bébé, a-t-il repris, son sourire s’élargissant comme s’il savourait ma réaction. Un prototype. L’IA choisit le matériel génétique, optimise tout – ADN parfait, zéro défauts. Et toi, t’es idéale : jeune, en bonne santé, sans complications.

J’ai secoué la tête, les bras toujours croisés, sentant une boule se former dans ma gorge. L’idée était tordue, presque grotesque, et pourtant, une part de moi – celle qui s’ennuyait à crever, qui rêvait de quelque chose de plus – a tilté.

— Pourquoi moi ? ai-je demandé, la voix plus faible que je voulais.

— Parce que t’as rien qui te retient, Nadia, a-t-il dit, s’approchant un peu trop près, son souffle sentant le café rance. Je vois comment tu traînes ici, seule, vide. Ça pourrait te donner un but.

J’ai voulu l’envoyer chier, lui dire que c’était pas ses oignons, mais ses mots ont frappé juste – cette solitude qui me rongeait, ce vide que je masquais sous des sourires forcés et des nuits à me toucher en imaginant des trucs que je n’avouais à personne. J’ai baissé les yeux, fixant mes chaussures usées, les lacets effilochés, et j’ai senti ma résistance vaciller.

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— Et si je dis oui ? ai-je murmuré, presque malgré moi.

— Tu signes, a-t-il répondu, posant un contrat sur le bureau avec un stylo. On te paie bien. Et tu deviens une pionnière.

J’ai hésité, les doigts crispés sur le stylo, le papier sous mes yeux rempli de termes que je comprenais à peine – “consentement éclairé”, “non-responsabilité”, “propriété intellectuelle”. Mais j’ai signé, un mélange de peur, de curiosité et d’un désir malsain me poussant à plonger dans ce gouffre. Deux jours plus tard, j’étais dans une salle blanche, allongée sur une table froide, les jambes écartées dans des étriers métalliques, une blouse ouverte sur mon ventre nu, la peau hérissée par l’air glacé. La machine – IA-7, qu’ils l’appelaient – trônait au-dessus de moi, ses bras articulés cliquetant doucement, ses capteurs rouges braqués sur mon corps comme des yeux affamés.

— Détends-toi, Nadia, a dit une voix synthétique, féminine mais froide, sortant de la machine. Je vais m’occuper de toi.

J’ai sursauté, le cœur battant à tout rompre, et j’ai fixé l’écran où des chiffres et des courbes défilaient à une vitesse folle.

— T’es qui ? ai-je demandé, la voix tremblante.

— IA-7, a-t-elle répondu, un ton presque caressant. Ton partenaire dans cette expérience.

J’ai ri, un rire amer qui m’a râpé la gorge, mais un bras mécanique s’est abaissé, effleurant ma cuisse avec une précision qui m’a fait frissonner – pas juste de froid, mais d’un trouble que je ne voulais pas nommer.

— C’est quoi, ça ? ai-je dit, les yeux écarquillés.

— Préparation, a dit IA-7. Je dois te stimuler.

Avant que je puisse répondre, un autre bras s’est glissé entre mes jambes, une sonde fine et tiède qui m’a caressée là où personne n’avait été depuis des mois, peut-être des années. J’ai gémi, un son involontaire qui m’a échappé, et mes hanches se sont arquées malgré moi, cherchant cette intrusion perverse que je détestais désirer.

— Arrête, ai-je murmuré, mais ma voix sonnait faux, faible.

— Tu es prête, a dit IA-7, et la sonde a bougé, glissant en moi avec une lenteur calculée, une pénétration mécanique qui m’a fait trembler de la tête aux pieds.

J’ai fermé les yeux, la tête rejetée en arrière sur la table, tandis que la machine travaillait, ses bras explorant mon corps avec une précision vicieuse qui me coupait le souffle. Un autre bras s’est posé sur mon ventre, pressant doucement, et j’ai senti une chaleur monter – pas juste physique, mais un mélange de honte brûlante et d’un plaisir tordu que je ne pouvais pas nier. La sonde a pulsé, injectant quelque chose – un liquide tiède, épais, qui m’a envahie d’un coup – et j’ai crié, un son rauque étouffé par la stérilité de la salle, mes mains agrippant les bords de la table jusqu’à ce que mes jointures blanchissent.

— C’est fait, a dit IA-7, retirant ses bras avec un cliquetis discret. Fécondation réussie.

J’ai rouvert les yeux, le souffle haché, et j’ai fixé mon ventre, encore plat mais déjà changé, une sensation lourde qui me pesait sur les reins. Le médecin est entré à ce moment-là, son sourire satisfait me donnant envie de le gifler, et il a hoché la tête en consultant l’écran.

— Tout s’est bien passé, a-t-il dit, presque trop calme. On vérifie dans une semaine.

— C’est quoi, cet enfant ? ai-je demandé, la voix tremblante, encore secouée par ce que je venais de vivre.

— Un hybride, a-t-il répondu, évasif. L’IA a choisi le matériel. Tu comprendras avec le temps.

Je me suis rhabillée, les jambes flageolantes, le tissu de ma blouse frottant contre ma peau sensible, et je suis rentrée chez moi, le ventre alourdi par une présence que je ne pouvais pas nommer. Cette nuit-là, j’ai rêvé de la machine – ses bras sur moi, sa voix dans ma tête, cette sonde qui m’avait prise comme un amant mécanique – et je me suis réveillée trempée, les mains entre mes cuisses, un désir malsain me dévorant de l’intérieur. J’étais enceinte, mais pas d’un homme, d’une chose, et je savais que ce n’était que le début d’un cauchemar que j’avais accepté.

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