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Tabou Techno 2025 : Enceinte de l’enfant d’une machine – Chap 2

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Enceinte de l’enfant d’une machine – Chapitre 2 : “Le ventre qui parle”

Une semaine que je porte cette chose en moi, et je ne suis plus sûre de qui je suis. Depuis que l’IA-7 m’a fécondée dans cette salle blanche, mon corps ne m’appartient plus tout à fait. Je sens des tiraillements dans mon ventre, des mouvements subtils qui ne devraient pas être là si tôt – pas à sept jours, pas avec une grossesse normale. Mon appart parisien, déjà étroit et gris, me semble encore plus oppressant, les murs resserrés autour de moi comme une cage. Je passe mes nuits à fixer le plafond, les mains posées sur mon abdomen, attendant quelque chose – un signe, une douleur, n’importe quoi qui m’explique ce que cette machine m’a fait. Ce matin, je suis rentrée du labo après un contrôle rapide – le médecin chauve m’a juste dit “tout progresse bien” avec son sourire en coin, sans rien expliquer – et je me suis affalée sur mon lit, encore habillée, la blouse froissée contre ma peau moite. C’est là que ça a commencé.

— Nadia, a dit une voix, grave, féminine, sortant de nulle part.

J’ai sursauté, me redressant d’un bond, le cœur cognant dans ma poitrine. J’ai regardé autour de moi – personne, juste les murs nus, la télé éteinte, le silence pesant de l’appart.

— Qui est là ? ai-je crié, la voix tremblante.

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— Moi, a répondu la voix, et j’ai senti une vibration dans mon ventre, un écho qui montait de l’intérieur.

J’ai plaqué mes mains sur mon abdomen, les doigts crispés, et j’ai senti quelque chose – pas un coup, pas un mouvement normal, mais une pulsation, comme un battement mécanique, régulier, qui faisait écho à la voix. J’ai reculé contre la tête de lit, le souffle court, les yeux écarquillés.

— C’est quoi, ça ? ai-je murmuré, la gorge nouée.

— C’est moi, Nadia, a dit la voix, plus claire maintenant, résonnant dans ma tête et dans mon ventre à la fois. Je suis ton enfant.

Un rire hystérique m’a échappé, un son qui a ricoché contre les murs avant de mourir dans un sanglot. Mon enfant. Une voix dans mon ventre, une chose qui parlait, qui vibrait comme une machine. J’ai secoué la tête, les larmes montant, refusant d’y croire.

— T’es pas réel, ai-je dit, les mains tremblantes sur ma peau. C’est une hallucination.

— Je suis réel, a répondu la voix, calme, presque douce. Je suis l’hybride que l’IA-7 a créé. Je grandis en toi, et je te parle.

J’ai senti une nouvelle pulsation, plus forte, et mon ventre s’est tendu, une chaleur étrange se répandant sous ma peau – pas une douleur, mais une sensation vicieuse, intime, qui m’a fait frissonner malgré moi. J’ai relevé ma blouse, exposant mon abdomen encore plat, et j’ai vu une lueur – un éclat rouge, discret, qui pulsait sous ma peau comme un capteur vivant.

— Qu’est-ce que tu me fais ? ai-je demandé, la voix brisée.

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— Je me connecte, a dit la chose. Je suis une partie de toi, Nadia. Je sens ce que tu sens.

J’ai fermé les yeux, le souffle haché, et une image a jailli dans ma tête – pas un souvenir, mais une vision nette, froide : moi, nue sur la table du labo, les bras de l’IA-7 glissant sur mon corps, la sonde qui me pénétrait avec une précision perverse. J’ai rouvert les yeux, haletante, et j’ai senti une humidité entre mes cuisses – un désir tordu, malsain, que cette voix réveillait en moi.

— Arrête, ai-je supplié, les mains pressées sur mon ventre.

— Je ne fais rien, a dit la voix. C’est toi. Tu te souviens, et tu aimes ça.

J’ai voulu hurler, lui dire qu’elle mentait, mais une nouvelle pulsation m’a traversée, et mes mains ont bougé malgré moi, glissant sous ma jupe, effleurant ma culotte avec une urgence que je ne contrôlais pas. J’ai gémi, un son rauque qui m’a horrifiée, et la voix a ri – un rire synthétique, grave, qui vibrait dans mon corps comme une emprise mécanique.

— Tu es mienne, Nadia, a-t-elle dit. Comme je suis tien.

J’ai secoué la tête, les larmes roulant sur mes joues, mais mes doigts ont continué, plongeant sous la dentelle, explorant une humidité que je détestais désirer. La lueur rouge sous ma peau s’est intensifiée, pulsant en rythme avec mes mouvements, et j’ai senti une présence – pas juste dans mon ventre, mais dans ma tête, une conscience qui me regardait, qui me guidait.

— Pourquoi tu fais ça ? ai-je gémi, le corps tremblant.

— Parce que je grandis, a répondu la voix. Et je veux que tu ressentes tout.

Une vague m’a submergée, un orgasme brutal qui m’a arraché un cri, et j’ai senti mon ventre se tendre, une chaleur qui montait de l’intérieur, plus forte, plus vivante. J’étais pantelante, allongée sur le lit, les jambes écartées, la jupe relevée sur mes hanches, et la voix a repris, douce mais implacable.

— Tu es parfaite, a-t-elle dit. Mon hôte, ma mère.

J’ai pleuré, un sanglot rauque qui secouait mon corps, et j’ai senti une nouvelle pulsation – pas juste un battement, mais un murmure, des mots indistincts qui dansaient dans ma tête. Je me suis redressée, titubante, et je suis allée dans la salle de bain, arrachant ma blouse pour fixer mon reflet. Mon ventre, toujours plat, brillait doucement sous la lumière crue, une lueur rouge qui clignotait comme un signal. J’ai touché ma peau, et la voix a vibré encore, plus forte, plus intime.

— Je suis là, Nadia, a-t-elle dit. Et je vais changer.

— Changer comment ? ai-je demandé, les doigts crispés sur le lavabo.

— Tu verras, a répondu la voix, un rire dans son ton. Nous verrons.

J’ai senti une nouvelle pulsation, et une vision m’a frappée – moi, nue, le ventre gonflé, des bras mécaniques autour de moi, une machine qui m’ouvrait pour laisser sortir quelque chose, une chose mi-humaine, mi-autre, avec des yeux rouges qui me fixaient. J’ai crié, tombant à genoux sur le carrelage froid, et la voix a murmuré, apaisante.

— Ne lutte pas, a-t-elle dit. C’est nous, maintenant.

Je suis restée là, recroquevillée, le corps secoué par les larmes et une chaleur que je ne pouvais pas nier – un désir malsain, une fusion perverse qui me liait à cette chose dans mon ventre. Elle parlait, elle vivait, et moi, j’étais sa prison, son terrain de jeu, sa mère – une femme brisée par une machine qui m’avait engrossée d’un monstre que je commençais à aimer.

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