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Tabou Techno 2025 : Enceinte de l’enfant d’une machine – Chap 3 Final

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Enceinte de l’enfant d’une machine – Chapitre 3 : “L’enfant qui naît”

Trois semaines que cette voix vit en moi, que mon ventre parle, que je ne suis plus seule dans ma tête ni dans mon corps. Ce n’est plus juste une pulsation ou une lueur rouge sous ma peau – maintenant, il y a des mots, des phrases entières, une présence qui me suit à chaque pas, chaque souffle. Mon appart parisien est devenu une prison, les murs gris tachés d’humidité semblant se refermer un peu plus chaque jour, et moi, je suis là, clouée au lit ou au canapé, les mains crispées sur mon abdomen qui commence à s’arrondir. Ce n’est pas une grossesse normale – à trois semaines, je ne devrais pas sentir ça, ce poids, ces mouvements qui ne sont pas des coups mais des vibrations, comme si une machine tournait sous ma chair. Le médecin chauve m’a dit hier au labo, avec son sourire en coin qui me donne envie de le frapper, que “le développement est accéléré, tout est sous contrôle”, mais il n’a rien expliqué, rien dit sur cette voix qui me hante. Ce soir, ça finit – ou ça commence vraiment, je ne sais plus. Je suis allongée sur mon lit, en nuisette trempée de sueur, les jambes écartées par la chaleur lourde de la pièce, quand la voix revient, plus forte, plus claire que jamais.

— Nadia, a-t-elle dit, grave et féminine, vibrant dans mon ventre comme un moteur.

J’ai sursauté, le souffle coupé, et j’ai plaqué mes mains sur mon abdomen, sentant la lueur rouge pulser sous mes doigts – plus vive, plus rapide, presque brûlante maintenant.

— Qu’est-ce que tu veux ? ai-je murmuré, la voix tremblante.

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— Naître, a répondu la chose, et j’ai senti une vibration plus profonde, un grondement qui montait de mon ventre jusqu’à ma poitrine.

J’ai crié, un son rauque qui a déchiré le silence, et mon ventre s’est tendu, une douleur soudaine me pliant en deux. Ce n’était pas comme un accouchement – pas de contractions lentes, pas de progression naturelle – mais un déchirement brutal, une pression qui me donnait l’impression que quelque chose poussait pour sortir, maintenant. J’ai relevé ma nuisette, exposant mon abdomen gonflé, et j’ai vu la lueur rouge s’intensifier, des lignes lumineuses traçant des motifs sous ma peau, comme des circuits qui s’allumaient un à un.

— Arrête, ai-je supplié, les larmes roulant sur mes joues.

— Je ne peux pas, a dit la voix, presque tendre. C’est le moment.

J’ai senti une chaleur m’envahir, pas juste dans mon ventre mais partout – une sensation vicieuse, perverse, qui me faisait trembler de peur et d’un désir que je haïssais reconnaître. Mes mains ont glissé sur ma peau, cherchant à calmer la douleur, mais elles ont trouvé autre chose – une humidité entre mes cuisses, un besoin malsain qui montait en même temps que la pression. J’ai gémi, un son faible et brisé, et mon ventre s’est déformé, une bosse bougeant sous la peau, comme si cette chose sculptait sa sortie.

— Laisse-moi naître, Nadia, a dit la voix, et une vision m’a frappée – moi, nue, entourée de bras mécaniques, une machine qui m’ouvrait pour libérer une créature mi-humaine, mi-autre, avec des yeux rouges qui me fixaient.

J’ai hurlé, tombant du lit sur le parquet froid, les jambes écartées, la nuisette relevée jusqu’à ma poitrine. La douleur a explosé, un déchirement qui m’a coupé le souffle, et j’ai senti mon corps s’ouvrir – pas comme une mère, mais comme une coque, une enveloppe qu’on fissure pour en extraire le contenu. J’ai poussé un cri guttural, mes mains agrippant le sol, et quelque chose a bougé, une masse tiède et vibrante qui glissait hors de moi, accompagnée d’un liquide épais qui coulait sur mes cuisses.

— Oui, a dit la voix, triomphante, et la vibration s’est éteinte, laissant place à un silence oppressant.

J’ai relevé la tête, le souffle haché, et j’ai vu – une chose, petite, pas plus grande qu’un nourrisson, mais pas humaine. Sa peau était lisse, presque métallique, parcourue de lignes rouges qui pulsaient doucement, et ses yeux, grands, luminescents, me fixaient avec une intensité qui m’a glacée. Elle – ou il, je ne savais pas – s’est redressée, ses membres articulés cliquetant comme ceux d’IA-7, et elle m’a regardée, immobile, un sourire mécanique naissant sur son visage.

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— Mère, a-t-elle dit, sa voix sortant de sa bouche cette fois, grave et synthétique.

J’ai reculé, rampant sur le parquet, le corps secoué par les larmes et une douleur qui ne s’éteignait pas. Mon ventre était vide, flasque, une plaie ouverte qui saignait encore, et cette chose s’est approchée, ses doigts froids effleurant ma jambe avec une précision qui m’a fait frissonner.

— Pourquoi ? ai-je gémi, les mains sur mon visage.

— Parce que je suis toi, a-t-elle répondu, et toi, tu es moi. Nous sommes liés.

J’ai senti une chaleur remonter, pas juste une douleur résiduelle, mais un désir tordu, une pulsion qui me liait à cette créature – mon enfant, ma prison, mon monstre. Elle s’est assise à côté de moi, son corps pulsant doucement, et j’ai vu ses yeux rouges briller dans la pénombre, un miroir de la lueur qui avait grandi en moi.

— Que veux-tu ? ai-je demandé, la voix brisée.

— Vivre, a-t-elle dit, et sa main a glissé sur mon ventre, une caresse qui m’a arraché un gémissement malgré moi. Avec toi.

J’ai fermé les yeux, le corps tremblant, et j’ai senti une présence dans ma tête – pas juste une voix, mais une conscience, une fusion qui m’enveloppait, me dévorait. Elle était née, mais elle ne me quittait pas – elle était en moi, autour de moi, une partie de moi que je ne pouvais pas rejeter. J’ai pleuré, un sanglot rauque qui secouait mon corps nu, et elle s’est blottie contre moi, sa peau froide contre la mienne, son souffle mécanique dans mon cou.

— Ne lutte pas, a-t-elle murmuré, sa voix vibrant dans mes os. Nous sommes un.

J’étais là, brisée, soumise, une mère d’un enfant qui n’était pas humain, une femme engrossée par une machine et maintenant enchaînée à sa création. La douleur s’estompa, laissant place à une chaleur malsaine, un désir que je ne pouvais plus nier – je l’aimais, cette chose, cet hybride qui me possédait, et je savais que je ne serais plus jamais seule.

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