Il est déstabilisé en voyant ma mère vêtue de la sorte, et en regardant par-dessus ses épaules, il nous voit nous aussi entièrement nu. Ce voisin nous connaît bien, il est très sympa… Mais je pense qu’il ne lui a pas fallu longtemps pour qu’il comprenne ce qu’il se passe ici… Oups !
La journée est plutôt calme, et le lendemain aussi. Je crois qu’on a tous besoin de nous remettre de nos émotions.
3 jours plus tard, 19 heures.
Ma mère nous cuisine un bon petit plat, totalement nue sous son tablier. Seules ses fesses sont visibles. Je m’approche par-dessus son épaule pour examiner ce plat qui sent bon.
– Hep, ce n’est pas pour tout de suite !
C’est pour quand ?
– Environ 45 minutes.
– Ouah… Ça nous laisse un peu de temps… !
– Du temps à quoi ?
Je détache son tablier, elle se laisse faire.
– Ah… Tu parles de ça.
Tu es toute nue, dite donc… !
– Je vois que ça te fait de l’effet.
– Oh, si tu savais !
Je suis également nu, il ne lui a pas fallu longtemps pour voir qu’elle me faisait bander.
Elle descend au niveau de mon sexe, elle décalotte mon gland, le lèche, le suce et elle entre mon pénis dans la bouche.
– Oh oui maman, je ne me suis pas branlé depuis trois jours.
– Et moi je n’ai pas baisé depuis trois jours. C’est toi le dernier. Mon cul s’est refermé depuis.
T’inquiète pas, j’ai les clefs pour ouvrir ta grotte.
Après plusieurs minutes, elle écarte les jambes sur la table. Je lui fais un cunnilingus, je lui suce le clitoris et j’enfonce mes doigts dans la chatte. Elle me demande de lui lécher le cul, alors je m’exécute. J’entre ma langue et mes doigts, je prépare la zone de largage.
Je me saisis de mon sexe, et je l’encule. Elle aime ça la cochonne. Son cul prend la forme de mon sexe quand je le retire. Il reste ouvert, il a l’habitude maintenant.
J’enfonce mon sexe, et je le ressors. Je fais ça plusieurs fois à la suite.
Soudain, le téléphone sonne. Ma mère regarde le numéro.
– Merde, c’est Manon !
Elle décroche. Et moi je continue de l’enculer. Elle répond avec la voix essoufflée, et son souffle se bloque à chaque fois que j’enfonce ma bite au fond de son trou.
– Ma… Manon… Co… Comment tu vas ma… Chérie ?
– Ça va super bien, ici à l’hôpital c’est tendu… Et toi comment se passe le confinement ?
– Très bien. On s’en… Hum… S’entendent tous à merveille !
– Ça va ? J’ai l’impression que tu es essoufflée.
– Ou… Y… Oui, je fais un peu de sport.
– Euh, OK… Et comment vont Julie et Damien ?
– Ils se portent… ou… Bien !
– Passe les mois.
– Euh non ! Ils sont en haut… ils font… quelq… chose… D’important, je crois ! Ils te rap… Pèlerons… !
– Bon OK, il faut que j’y aille, un nouveau patient est arrivé. Bisous maman !
Elle a raccroché.
Muummm oui ! Tu aurais pu ralentir quand j’étais au téléphone.
– Ça ne t’excite pas le risque ?
– Je dois admettre que oui c’était plutôt excitant ! J’espère qu’elle n’a pas eu de doutes… !
Tu crois qu’elle serait capable d’imaginer que je suis en train de sodomiser ma mère, là ? Vraiment ?
C’est excitant de croire que oui.
– Si elle savait toutes les saloperies qu’on fait entre nous… ! Retourne-toi, je t’encule par-derrière… Voilà.
C’est pour ça qu’elle ne doit rien savoir, pas certaine de sa réaction !
– Elle à un beau petit cul d’infirmière elle aussi je trouve.
– Oui, mais n’y pense pas ! On va limiter la casse.
Tu as raison !
– Aller encule, moi, plus fort, le dîner va être prêt.
Tu le veux ou ?
– Dans la bouche, ça sera mon entrée.
J’accélère en la tenant par les hanches, et au moment venu, elle en reçoit sur le visage et dans la bouche.
Elle finit de me sucer, et Julie arrive dans la cuisine.
– Laisse maman, je le finis.
– Trop tard, j’ai déchargé !
– Eh bien tu vas en décharger une autre pour moi !
– Salope !
– Et fière de l’être !
Elle me suce énergiquement pendant plusieurs minutes, et j’éjacule dans sa bouche sans la prévenir. Elle manque de s’étouffer.
– Salaud, préviens la prochaine fois.
Tu suces bien, ce n’est pas de ma faute
– Et toi tu encules bien, grand frère !
D’ailleurs, la prochaine que j’encule c’est toi.
Tu sais que j’aime t’avoir dans mon cul. C’est quand tu veux !
– Bah… Viens !
– Mais tu viens d’éjaculer !
– Ça ne m’empêche pas de bander pour toi…
C’est mignon… Mais je ne suis pas prête ! Plus tard, OK ?
– Très bien !
Il est temps de nous mettre à table. Philippe nous rejoint.
Au menu, steak et haricots verts. Comme d’habitude, ma mère cuisine toujours aussi bien. Comme dans une famille normale, on discute de tout et de rien. Bon, ça nous arrive de parler de cul de temps en temps. Mais ça passe assez vite. Plus tard dans le repas, ma sœur commence à se toucher. Je ne sais pour quelle raison. Je vois sa main baladeuse descendre vers son clitoris.
Et en un rien de temps, elle se caresse le minou. Elle se suce les doigts. Et mon père a l’air d’apprécier. Subjugué devant la scène, il se met alors à bander.
– Bah alors, Philippe. Lui dit ma mère. Nous sommes à table, le sexe peut attendre.
Après le repas, j’aide tout le monde à débarrasser la table et à faire la vaisselle. Ensuite, ma mère et moi sommes partis nous doucher ensemble. Mon père et ma sœur sont restés à la cuisine pour essuyer la vaisselle. Sous la douche, ma mère me frotte le dos et le torse, et inversement. J’en profite alors pour nettoyer sa chatte et suis derrière tout humide. Je ne peux me retenir et je bande fortement face à elle.
Pendant ce temps-là, dans la cuisine. Mon père et ma sœur s’excitent terriblement.
Julie est debout face à l’évier, et mon père arrive derrière elle. Il lui pelote les seins et elle aime ça. Il colle son sexe sur sa raie des fesses, et il se frotte.
– Oui, papa. S’exclame-t-elle.
— Tu la sens ? Lui, dit-il.
— Hum, oui.
Il descend ses mains vers sa chatte et là caresse. Julie se cambre en avant les mains sur l’évier. Mon père lui procure du plaisir avec ses coups de langue. Il en profite alors pour la pénétrer avec ses doigts. Sa chatte est humide et dégoulinante de cyprine. Il se redresse. Il enfonce l’intégralité de son sexe au fond d’elle. Il la tient par les hanches et fait des va-et-vient rythmés. Julie, gémis de plaisir.
Pendant ce temps-là, sous la douche, moi, j’encule ma mère. Elle est appuyée contre le mur et je la prends par-derrière. Je me penche vers elle et je lui caresse en même temps les seins. Ensuite, elle se retourne, je la soulève et je la baise à nouveau. Ma bite dure, s’enfonce au plus profond de son cul dilaté. Je la repose à terre, et je lui soulève une jambe pour faciliter davantage la pénétration.
Dans la cuisine, mon père encule, ma sœur, assise face à lui sur la table. Il lui suce les tétons et ils se roulent des pelles langoureusement. Julie se doigte et lui fait goûter sa cyprine.
Depuis en haut, nous l’entendons jouir.
— Ils sont encore en train de baiser en bas, c’est pervers ! Dis-je.
— Elle est encore en train de se faire enculer par Philippe je suis sûr !
— Comme toi et moi, petite maman. Vous avez toutes les deux un cul qui mérite qu’on l’encule !
— Et ça te plaît, hein !
— Ce n’est pas tous les jours qu’on à l’occasion de défoncer sa mère ! Évidemment que j’aime te sodomiser.
— Mon cul est à toi, mon fils ! Tu peux le prendre quand tu veux, tu sais.
— C’est vrai ?
— Évidemment ! Tu ne peux pas savoir comment j’étais triste pendant ces trois jours sans sexe ! J’attendais désespérément que tu fasses irruption dans la chambre !
— Oh oui maman, tu n’inquiètes pas, je suis là pour toi maintenant !
Soudain, la porte de la salle de bains s’ouvre. Mon père et Julie entrent.
— Ah on vous y prend tous les deux ! Dis Julie.
— On t’a entendu jouir jusqu’ici, nous ! Réponds, ma mère. Tu t’es encore fait prendre par Philippe, hein salope !
— D’ailleurs en parlant de ça… J’ai un fantasme que j’aimerais bien voir.
— Raconte. Je réponds.
— Ça te concerne…
— Ah… ? Tu as encore des choses que tu veux que je fasse ?
— Non, pas vraiment. En fait… Tu m’as enculé moi et maman, mais toi à part une courgette, personne ne t’a réellement sodomisé le frangin !
— Euh… J’ai peur de savoir où tu souhaites en venir.
— C’est ça ! Nous en avons discuté, et papa est d’accord !
— Euh. Je ne suis pas très chaud.
— Oh oui bonne idée ! Dis ma mère.
— Fais-le pour nous, STP.
— Bah, euh…
— On te prépare, si tu veux. Propose ma cochonne de mère.
— Bon… Si ça peut vous faire plaisir. J’accepte.
— Cool, merci frangin ! Venez, on va dans ma chambre.
Bien malgré moi, je suis ma sœur.
Une fois dans sa chambre, je m’assois sur le lit, les jambes écartées.
Julie et Brigitte s’avancent vers mon trou encore très humide. Brigitte me suce, et Julie lèche mon trou. Que c’est bon de sentir sa langue entrée et sortir… Sans attendre, elle rentre un premier doigt.
— Tu le sens, ce doigt en toi ?
— Non, pas vraiment. Tu peux mieux faire petite sœur.
Après plusieurs autres coups de léchouillés bien humide, cette fois je sens son deuxième doigt entrer dans mon anus qui se dilate petit à petit.
— Et là… ? Tu sens ?
— Hum oui… C’est déjà beaucoup mieux.
Sous son drap, je la vois sortir son gode qui était bien caché.
Elle le suce devant moi, en me fixant droit dans les yeux.
Délicatement, elle retire ses doigts en moi. Je commence à sentir les premiers centimètres de son gode s’enfoncer en moi, et à sentir mon rectum s’ouvrir de plus en plus. La salive de Julie déborde de mon cul à chaque nouvelle pression. Elle ressort quelques centimètres, pour relubrifier le gode avec sa salive, et elle me l’enfonce à nouveau. À chaque nouveau centimètre, ma bite durcit dans la bouche de ma mère.
Et voilà, le gode est totalement entré dans mon cul. Julie me sodomise avec son propre gode à coups de va-et-vient.
Mon père, s’avance vers elle pour lui fourrer sa bite dans le cul.
Après plusieurs minutes, il est temps que je passe à la casserole.
Mon père, s’allonge sur le dos à coter de moi, sa bite pointant au plafond.
Julie l’équipe d’un préservatif. Quant à moi, je me positionne accroupi sur son sexe pointant vers mon anus, je suis dos à lui. Par inadvertance, je touche son sexe avec ma cuisse… Ça fait bizarre de toucher une autre bite que la sienne, encore plus quand c’est celle d’un membre de la même famille… J’ai du mal à comprendre que mon père va me sodomiser, et en plus devant sa femme et sa fille.
Il est temps…
Ma mère écarte mes fesses pour faciliter la pénétration, et ma sœur dirige la bite de mon père vers mon anus.
On y est… Je commence à sentir le bout de son gland à l’entrée de ma grotte profonde. Inconsciemment, je descends mes fesses de plus en plus vers sa base.
Oui… Le gland est à entrer ! Contre toute attente, c’est plutôt agréable. Je sais pourquoi les filles aiment tant la sodomie à présent.
— Ça va frérot ? Tu sens à présent le gland de papa dans ton cul ?
— Je le sens plutôt bien, oui !
— Ça te plaît ?
— Pour le moment, oui.
Il enfonce encore un peu plus son sexe, il est à la moitié. Il commence déjà par faire des va-et-vient, et il parvient à entrer sa bite entière dans mon cul. Oh oui… J’ai honte de moi ! J’ai honte d’aimer ça, honte d’aimer me faire enculer par mon père ! Mais c’est tellement bon. Je monte et je descends mes fesses, pour branler sa bite avec mon cul. Je la sens s’agrandir encore en moi, apparemment il aime lui aussi.
Ma mère me suce, mon père fait un cunnilingus à Julie qui lui a déposé sa chatte sur son visage.
Ma mère s’interroge.
— Alors, tu aimes te faire enculer par ton père ?
— Oh oui maman, j’aime me faire sodomiser !
Mon père accélère la pénétration.
— Oh vas-y, papa ! C’est bon comme ça ! Éjacule dans mon cul.
— Tu es sûr, fiston ?
— Oui.
Il me prend par les hanches, et il enfonce ça bite au maximum pour ensuite me déposer son foutre à l’intérieur de mon cul dilaté.
Tellement pris dans l’excitation, que j’ai moi aussi éjaculé dans la chatte à ma mère que je baisai depuis quelques minutes. Je continue malgré tout à la baise, et mon père continue de m’enculer.
Je finis enfin par me retirer de ma mère, et de mon père. Son sperme dégouline de mon cul, et Julie se charge de me nettoyer à coups de langue.
Je m’écroule de satisfaction.
Je ne pense pas revivre cette expérience, même si c’était plutôt bon. Je ne suis pas contre faire ça avec un gode, mais pas avec un homme. En tout cas, les filles sont contentes. Elles se terminent toutes les deux, et moi je file une fois de plus à la douche.
C’est difficile d’oublier ce qu’il vient de se passer, et je sens que j’ai besoin de me faire du bien en solitaire sous la douche. Ça ne me ressemble pas, mais j’ai besoin de sentir mes doigts en moi.
Alors je me mets accroupi, et je m’enfonce directement deux doigts dans ce trou déjà bien ouvert. J’entre facilement le troisième et le quatrième, et j’accélère mon mouvement. Je m’excite terriblement, c’est délicieusement bon ! Je fais ça pendant de longues minutes.
Mais soudain, ma sœur ouvre brusquement la porte et elle me surprend. Oui, car depuis notre soirée de l’autre fois, nous ne fermons plus la porte. Nous n’avons plus rien à nous cacher.
Julie me rejoint dans cette fameuse douche à l’italienne, et elle se savonne. Moi, je continue ce j’ai commencé, sous son regard. Elle n’en perd pas une miette la vicieuse. Elle se caresse devant moi, et me le fait voir. Elle écarte ses grandes lèvres et se frotte le clitoris. Honnêtement, je suis moi aussi admiratif du spectacle qu’elle m’offre. Elle s’avance vers moi, et m’offre son joli minou pour que je le suce. Elle écarte ses lèvres, pour que ma langue s’enfonce le plus loin possible dans son beau vagin. Avec mon autre main disponible, je la doigte avec mes quatre doigts. Dans l’excitation, j’éjacule encore une fois, sous la douche.
Pour finir, on se savonne tous les deux.
Je n’ai jamais joui autant en une soirée. Mais ça valait le coup !
Cette nuit je vais dormir comme un bébé. Mais que tu as de rêves érotiques me traverse l’esprit…
À suivre…
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