— Hé ! Mais c’est quoi ton problème !
— Le problème, c’est qu’entre sœurs on ne se sent pas les culottes, et l’on se dit tout !
— Oh c’est bon ! Tiens garde l’a ta culotte qui pue la moule ! Julie lui jette la culotte, et elle s’en va.
Le soir, l’ambiance au dîner était froide, même glaciale.
Plus tard, Manon rejoint Julie dans sa chambre pour s’excuser de s’être emportée.

— Julie, ça va ? Je peux te parler ?
— Oui, entre !
— Voilà… Je voulais m’excuser pour tout à l’heure. Je suis sur les nerfs en ce moment, et j’ai besoin d’évacuer la pression. Désolée.
— Moi aussi je m’excuse. Ce n’est pas bien ce que j’ai fait avec ta…
— Ce n’est pas grave, je comprends. Ce n’est pas simple d’être les uns sur les autres en ce moment.
— Ouais… Fin, ça va je suis habituée.
— Tu sais, si tu as besoin de discuter ou autre, je suis là.
— Merci Manon.
— Tu te rappelles quand nous étions gamine, on était inséparables toi et moi. On se disait tout.

— Ouais, c’est un monde qui a bien changé…
— J’aimerais retrouver cette complicité entre nous.
— Ça reviendra peut-être…
Et elles ont discuté jusqu’au soir.
Ensuite Manon s’est couchée, et Julie est partie à la douche. Une fois terminée, elle va voir mon père dans son bureau en nuisette. Ce papa chanceux se fait sucer par Brigitte, qui lui laisse la place pour aller dormir.
— Alors papa, tu nous mets quoi comme film, ce soir ?
Ce n’est pas la première fois qu’ils font ça dans le bureau, et ils ont pris l’habitude de mettre un petit film porno sur l’ordinateur pendant qu’ils font l’amour.
— Une jeune fille et son garçon, ça te va ?
— Oh… De l’inceste, j’adore !
Elle enlève sa nuisette, et lui dévoile la totalité de son corps nu.
— Approche-toi, que je caresse cette belle chatte délicieuse.
Il la caresse, et lui écarte les grandes lèvres.
Il se lèche les doigts, et il les enfonce dans la chatte.
Ensuite, elle s’assoit sur son bureau et elle lui écarte les cuisses.
— Lèche-moi, papa.
Le bureau et la chambre de Julie sont côte à côte, et les murs sont fins. Manon se réveille, elle entend des voix venant du bureau. Profitant du fait que Brigitte est couchée, et moi sur le balcon, Manon sort doucement de la chambre avec l’unique string de Julie sur elle, et elle se rapproche dangereusement de la porte du bureau. Comme à son habitude, elle enclenche délicatement la poignée, et elle observe l’inceste qui se dresse devant elle.
— Oh oui papa, bouffe mon clito !
— Quelle belle chatte ma fille ! Tu la veux ma bite, hein !
— Je la veux dans le cul, papa. Mais avant, je vais te sucer la queue comme ta petite pute de fille !
Mon père se lève et il s’appuie contre son bureau.
Ma sœur descend à son étage, et elle commence sa fellation tout en se masturbant la chatte lubrifiée de cyprine et de salive gluante.
Elle a les doigts tellement pleins de ce liquide, qu’elle se les rentre dans le cul sans problème.
Manon observe sans en perdre une miette. Son vagin se mouille de plus en plus, sa cyprine tache le joli string de Julie.
— Ce n’est pas bien ce qu’il se passe, concentre-toi. Se dit-elle
Mais la tentation de se masturber en voyant cette scène sous ses yeux, l’a terrifiée.
Mais le plaisir monte en elle. Elle a des bouffées de chaleur, elle se mord les lèvres d’excitation.
Julie remonte sur le bureau, et elle écarte encore les cuisses pour faire place à la queue de Philippe qui s’enfonce gentiment dans la chatte.
Manon n’imaginait pas voir son père avec un si beau membre. Elle se mord les bouts des doigts, et elle les suce en imaginant une queue comme Philippe ! Ou plutôt, la queue à Philippe !
Elle ne résiste pas plus longtemps. Même si c’est mal de se masturber en voyant sa sœur et son père baisés, elle se lance. De toute façon, ce n’est pas plus grave que de faire l’amour à sa propre fille ou sa propre mère…
Elle glisse sa main sous le string, et elle se caresse le vagin humide en observant. Avec l’autre, elle se caresse les seins. Sa respiration augmente, ses jambes se crispent. À tous moments elle peut se faire prendre.
Mais moi, je suis bien trop occupé à me branler sur le balcon !
Manon se met accroupie, elle écarte les ficelles du string d’entre ses jambes, et elle recommence à se masturber les lèvres.
Toujours assis sur le bureau, Philippe pénètre sa queue dans sa chatte. Julie gémit. Elle le prend dans ses bras, et elle remue son bassin.
Quelques minutes après, il retire son sexe et il le dirige vers son anus. Il appuie son gland à l’entrer de ce délicieux trou, et avec la pression il finit par s’ouvrir.
Manon a besoin de se lâcher. Elle retourne dans la chambre et elle s’assoit sur le bord du lit. Elle enlève le string, et elle écarte les jambes.
Ses mains se baladent sur son corps, ses mains caressent ses seins fermes et ses tétons qui pointent. Ses mains coquines descendent vers sa petite fente qui n’a que très peu servi. Elle se caresse et écarte ses petites lèvres. Elle se frotte énergiquement l’intérieur du vagin avec son autre main libre.
— Hum, c’est trop bon.
Elle s’excite de plus en plus, et décide de vérifier dans le tiroir si le gode à Julie est revenu… Oui, il est bien là.
Mais est-ce bien raisonnable de prendre le gode de sa propre sœur ?
Bien nettoyer après, elle n’en saura rien.
Alors elle le prend, et elle se rassoit… Timidement, elle le suce, imaginant le membre de mon père.
Après l’avoir bien humidifié, elle écarte ses grandes lèvres pour se fourrer le gode dans la chatte. Elle se gode énergétiquement, à en tomber sur le lit.
Allonger les jambes bien écartées, elle savoure ce plaisir. Elle commence à sortir des sons de gémissements. Mais elle a honte de se faire du bien avec ce gode, sur le lit de sa sœur. Elle mouille les draps de sa cyprine, elle se cambre de plaisir. 6 mois qu’elle ne sait plus masturber, elle a du retard à rattraper.
Soudain, Julie arrive dans la chambre.
Elle reste devant la porte, regardant Manon jouir avec son gode.
Julie est toute nue. Voir sa sœur jouir comme ça l’a fait mouiller, encore !
Elle entre dans la chambre, sans rien dire.
Elle part s’asseoir sur une chaise au fond de la pièce, et elle se doigte les jambes écartées en l’a regardant toujours.
Soudain, Manon ouvre les yeux.
— Oh merde, Julie ! Ce n’est pas ce que tu crois…
— Ce n’est pas grave, détend toi grande sœur…
— Depuis quand tu es là ?
— Quelques minutes, suffisamment pour te voir prendre ton pied avec mon gode… Voleur ! Dit-elle en rigolant.
— Oui, pardon. J’étais en excitation total !
— Je comprends, t’inquiète.
— Et… Tu te masturbes en me regardant jouir… ?
— Ouais… Désolé, tu m’as excitée !
— Bah… J’ai fini maintenant. Tu peux arrêter.
— Encore un peu… Faut que je me termine maintenant.
Manon est très gênée, mais elle continue à regarder Julie se masturber devant elle.
— Mais je suis ta sœur…
— Et alors ? Ce n’est pas interdit de nous regarder… Si… ?
— Si on ne se touche pas, je pense que non…
— Il t’a plu, mon gode ?
— Oh oui !
— Tu peux le prendre quand tu veux alors.
— Merci, c’est gentil.
Le cul de Julie dégouline encore de sperme.
— C’est quoi ce truc blanc qui dégouline de ton… On dirait du sperme…
— Oups… (elle se rentre trois doigts).
— Ton cul est dilaté, en plus… Dis-moi, petite sœur… Tu me caches des choses, dis-moi tout STP.
— C’est seulement du lubrifiant… Passe-moi le gode s’il te plaît.
Manon lui donne le gode. Il est encore plein de cyprine. Et Julie a bien envie de l’a goûtée.
Elle approche le bout près de ses lèvres…
— Julie, tu fais quoi là ?
Et elle le lèche avec sa langue râpeuse. Ensuite, elle le rentre dans la bouche et le suce.
Manon n’en croit pas ses yeux. Julie n’est plus la petite fille sage d’il y a quelques années. Aujourd’hui elle est devenue une vraie petite salope de sœur.
— Ta chatte à bon goût, Manon…
— Julie, arrête ça va trop loin.
Julie s’écarte la grotte sombre avec ses doigts, et elle s’introduit le gode dans le cul faisant des va-et-vient.
— J’ai toujours rêvé que tu me regardes me faire du bien, depuis adolescente.
— Mais Julie, nous sommes sœurs…
Manon ne l’admet pas, mais elle mouille, voyant Julie ainsi.
— Branle-toi Manon, tu en as envie, je le sais.
Mais elle refuse. Elle préfère quitter la chambre avant que ça n’aille trop loin. Elle se rhabille d’une simple nuisette presque transparente, et elle descend au salon.
Moi, je suis toujours au balcon me faisant du bien.
Manon aperçoit la baie vitrée ouverte, elle s’y dirige.
Moi, j’ai sorti le sexe de mon caleçon, je me branle contemplant la vue.
Manon arrive, et pousse un petit cri surpris. Je range mon sexe et je pars l’a voir dans la cuisine.
Elle me dit qu’elle est désolée. Elle semble perdue… Subitement, elle fond en larme.
La pauvre… Je n’ai jamais vu Manon pleurée comme ça. Je la prends par les épaules et je la dirige sur le balcon pour qu’elle prenne l’air. Je lui serre un verre d’eau bien frais.
Elle m’explique qu’elle a vraiment besoin de décompresser. Chaque jour, elle était en stress à l’hôpital tellement ils étaient submergés.
Elle est vraiment heureuse de nous retrouver.
Au fil de la conversation, elle me dit tout !
Elle me dit qu’elle nous a vus avec ma mère, qu’elle a vu Julie avec papa, et ce que Julie a fait devant elle.
Moi aussi, je lui ai dit toute la vérité. Elle a tout accepté, et elle nous comprend. Mais elle ne souhaite pas encore participer à nos ébats.
Mais elle n’a pas dit non, en tant qu’observatrice.
Pendant presque toute la nuit, nous avons discuté. Le lendemain matin, elle s’était endormie sur ma poitrine. Je suis content qu’elle a pu m’ouvrir son cœur.
Sa nuisette découvre sa jolie poitrine, elle est magnifique et bien ferme. Mais je respecte son choix. Je la recouvre…
Plus tard, Julie arrive vers nous et elle voit Manon dormir sur ma poitrine.
Cette cochonne aime le risque ! Je ne peux pas bouger sans prendre le risque de réveiller Manon.
Julie profite bien de la situation. Elle caresse ma queue à travers mon caleçon, me provoquant une érection totale !
— Arrête ! Je lui dis.
Mais elle découvre mon pénis, et elle me suce sans attendre.
Trop tard pour qu’elle arrête, c’est tellement bon !
Cette vilaine se gode dans la chatte. C’est incroyable d’aimer à ce point le cul. Elle n’arrête jamais, mais elle sait que j’aime ça ! Elle salive sur mon gland en me branlant, oh oui c’est bon !
Réveillée par les petits rebondissements que fait le canapé, Manon ouvre les yeux.
Elle ne réagit pas, elle observe. Avec les révélations que je lui ai faites, elle n’est pas surprise de voir ma sœur me sucer.
Soudain, elle redresse la tête et elle me regarde.
Je pensais qu’elle allait partir ou me dire quelque chose… Mais elle m’a embrassée du bout de ses lèvres humides… J’en redemande. Cette fois elle rentre sa langue dans ma bouche, et elle me suce la mienne.
Julie sent durcir un peu plus mon sexe.
À mon tour, je rentre ma langue dans sa bouche, nos langues s’entrecroisent, elles s’entourent, elles se caressent. Nous échangeons nos salives pendant de longues minutes.
J’ai senti que Manon n’avait embrassé personne depuis 6 mois, je sentais qu’elle en voulait encore plus. Jamais personne ne m’a aussi bien embrassé de toute ma vie, même pas Julie.
Je sentais la passion dans ce roulage de pelle, je sentais l’amour et l’excitation.
Je me suis mis à lui caresser les épaules, la joue, les cheveux…
Et délicatement, j’introduis ma main dans sa nuisette pour caresser ses seins. Je m’attendais à ce qu’elle repousse ma main, car son corps se crispe de plus en plus.
Mais elle ne disait rien… Quand elle a senti ma main sur sa poitrine, j’ai senti un souffle chaud sur mon visage. Ses tétons étaient durs…
Je glisse ensuite ma main vers son nombril… En continuant mes caresses qu’elle aimait.
Je descends encore plus bas, sur le haut de son vagin, je sentais l’humidité… Mais elle repoussa ma main.
Elle aussi me caresse le corps… Julie lui attrapa sa main, et la dirigea doucement vers mon sexe… Manon se saisit de mon membre, et elle commence des va-et-vient. Ça dure plusieurs longues, mais bonnes minutes. Julie l’invite à venir me sucer, mais elle refuse pour l’instant.
Manon augmente la pression en accélérant, et j’éjacule sur sa main et mon torse.
Julie suce les doigts de Manon, pour lui enlever mon sperme…
La douceur de Manon me rend timidement attiré par elle.
Julie s’excuse auprès d’elle. Elle est contente que Manon sache toute la vérité.
Peu avant midi, c’est Manon qui cuisine pour toute la famille. Décidément, cette fille est parfaite.
Je la sens beaucoup plus décontractée et plus ouverte. Depuis, elle n’hésite même plus à se montrer en petites tenues devant moi ou Julie. De temps en temps, elle lui prête aussi son gode. Souvent le soir, elle se fait un petit plaisir solitaire avec, sous les couvertures.
Julie aime se caresser en la voyant… Mais elle ne se cache pas. Elle offre à la vue de Manon sa superbe chatte mouillée.
Les parents, eux, ne savent pas que Manon est au courant. C’est un petit secret entre frère et sœurs… Et c’est plutôt excitant.
Un soir, ma mère fait irruption dans la chambre des filles, alors que Manon se faisait plaisir avec le gode, toujours sous la couverture. En la voyant entrée, elle a tout stoppé.
Julie était à côté, en string sous sa nuisette.
Ma mère, un jogging moulant lui serrant suffisamment les fesses pour voir la trace de son string. À son entrejambe, une tâche de forme. Manon remarque même la trace des grandes lèvres qui forment une bosse…
Julie invite sa mère à venir s’asseoir au bord du lit pour discuter entre filles.
Elles y restent quelques heures, elles discutent de beaucoup de choses, elles rigolent, elles s’amusent… Une bonne ambiance familiale quoi.
Mais l’atmosphère change vite… Elles jouent à actions ou vérités.
Julie tourne la bouteille, et ça tombe sur Manon…
— Manon… Action ou vérité ?
— Euh… Vérité !
— Vérité… Alors… Es-tu déjà tombée amoureuse !
— Oui.
Manon tourne la bouteille… Autour de Brigitte.
— Maman, action ou vérité ?
— Action !
— Alors… Lève-toi, et touche tes orteils sans plier les jambes.
En se penchant, les filles distinguent parfaitement la forme de son vagin. Manon est gênée, mais elle rigole.
Brigitte tourne la bouteille… Autour de Manon.
— Vérité !
— As-tu eu au moins une relation avec quelqu’un à l’hôpital ?
— Non, personne…
Manon tourne la bouteille… Ça tombe sur Julie.
— Action !
— Action ? Alors… Écarte un peu ta nuisette.
— Tu es sérieuse ?
– Oui !
Elle écarte sa nuisette, dévoilant ses jolis petits seins… Elle compte bien se venger.
À son tour elle tourne la bouteille, et par chance, ça tombe sur Manon.
— Alors sœurette… Ma vengeance sera terrible ! Ah ah. Action ou vérité ?
— Vérité ! Mais soit gentil, hein.
— As-tu utilisé mon gode, juste avant que maman arrive ?
— Oh la vilaine sœur !
— Alors… ?
— Oui !
Manon tourne la bouteille, et tombe sur Brigitte.
— Action !
— Alors maman… (elle hésite à poser la question) as-tu déjà eu, envie d’avoir des rapports sexuels avec tes propres enfants… ?
Brigitte reste bouche bée ! Quoi dire ?
— Oui ! Et plusieurs de mes enfants…
Brigitte tourne la bouteille… Autour de Manon.
— Action.
— Montre-moi… Comment tu te godes… ?
Manon est mal à l’aise… Mais elle compte bien réussir son défi. Elle enlève complètement la couverture, dévoilant à sa mère sa petite chatte serrée, mais rasée.
À coter d’elle se cache le gode. Elle le lubrifie avec sa bouche.
Avec des doigts, elle écarte l’entrée de son vagin, et elle s’enfonce le gode le plus loin possible.
Elle écarte les cuisses et elle se masturbe, faisant des va-et-vient avec le gode. Elle gémit de plaisir.
Sous son jogging, Brigitte se caresse.
Julie entre sa main dans son string, et elle se masturbe aussi.
Les trois filles s’observent mutuellement dans une masturbation intense.
— Maman, action ou vérité ? Dis Manon.
— Action !
— Enlève ton pantalon.
Brigitte retire son jogging, mais aussi son string. Elle s’assoit sur le lit et elle écarte les jambes, en se masturbant.
— Tu as une chatte magnifique, Manon. Dis Brigitte.
— Merci maman… Toi aussi.
Julie invite Brigitte à venir lécher son joli minou. Elle y va sans hésitation.
Elle bave sur sa fente, et elle la doigte tout en la léchant. Manon et Julie sont assises côte à côte. Les deux filles en profitent pour se rouler une pelle passionnelle.
Depuis le temps que Julie attendait ça…
Brigitte se dirige vers la chatte de Manon, mais elle referme ses jambes. Elle n’est pas tout à fait prête à accueillir la langue râpeuse et humide de sa mère.
Julie lui caresse les seins, et elle dirige doucement sa main vers la zone humide de Manon.
— Fais-moi confiance. Lui, dit-elle.
Tout en s’embrassant, sa main arrive sur le haut de son clitoris… Elle le touche d’un petit doigt.
Manon a le souffle qui s’accélère.
Julie sent sa respiration chaude dans la bouche, elle sait que Manon aime ça.
Elle étale maintenant sa main entière sur son vagin, aussi tôt, Manon écarte à nouveau les jambes prêtes à s’offrir à elle. Elle la caresse plusieurs minutes, Manon remue son bassin de plaisir.
Soudain, elle sort un petit cri de plaisir incontrôlable.
— Tu as vu, tu aimes ça grande sœur… En plus tu mouilles.
Brigitte récupère le gode, et elle le suce.
Dans l’oreille, Julie dit à Manon :
— Action ou vérité ?
Elle prend quelques secondes de réflexion avant de répondre, et elle dit :
— Action…
— Cap de te faire lécher par maman… ?
Elle ne répond pas, mais Brigitte se dirige à nouveau vers son entre jambes. Cette foi, les cuisses sont grandes ouvertes.
Elle rapproche doucement sa tête vers elle, Manon commence à sentir son souffle sur son vagin.
La langue de Brigitte s’étale sur son clitoris, redescendant vers l’entrée de sa belle fente.
Elle fait des coups de langue, et voilà maintenant qu’elle la lèche complètement. Elle aime saliver sur la belle chatte de sa fille déjà très mouillée.
Manon s’allonge complètement sur le lit, Brigitte continue de la lèche en introduisant sa langue dans la chatte.
Julie se positionne sur la tête de Manon, pour qu’elle lui lèche la chatte.
Depuis ma chambre, je peux entendre les filles jouir. Je connais celui de ma mère et Julie, mais je n’avais jamais entendu celui de Manon.
Après de bonnes minutes, le calme est revenu. Heureusement, car j’allais venir participer.
En ouvrant ma porte, je les vois toutes les trois sortir avec le sourire. Elles se doutent bien que je l’ai ait entendues… Il suffit d’ailleurs de voir mon entrejambe pour savoir comment je bande…
Le lendemain matin.
Je suis seul au balcon, comme souvent.
Plus tard, je suis rejoint par Manon. Elle me demande comment je vais, et je lui retourne la question. « Satisfaite » elle me dit. Elle me raconte tout en détail… Au fil de l’histoire, elle voit grandir mon caleçon. À la fin de l’histoire, j’ai vraiment envie qu’elle me suce. J’ai tellement envie de sentir ses lèvres humides sur mon sexe… Et de la façon dont je l’observe, elle le devine.
— Tu veux que je branle petit frère ?
Sans hésitation je lui réponds que oui. Elle s’approche de mon sexe, et je descends mon caleçon aux genoux.
Timidement, elle se saisit de mon pénis et elle me branle. Elle a les mains très douces…
A suivre…
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