Le lendemain matin.
Je pensais me lever comme un matin normal devant un bon café, mais je crois que c’est même mieux pour me mettre de bonne humeur. Car en descendant dans le salon, ma mère et ma sœur sont sur le balcon en train de faire des cochonneries. J’entends gémir Julie, alors je m’approche doucement.
Je ne me suis pas trompé ! Julie est debout, le ventre appuyé contre la barricade, en train de se faire lécher le minou et le cul par Brigitte. Elle aime lui écarter les fesses pour lécher son joli trou !
Avec son autre main, ma mère se gode la chatte. Julie lui à aussi prêter son plug anal, car elle se l’ai mise dans le cul. Brigitte a les deux trous occupés, c’est bandant de voir ça !
Julie s’assied sur la chaise en écartant les jambes et ses grandes lèvres, et ma mère continue de la léchée. Elle lui glisse deux doigts dans le cul, sans difficulté. Elle aime avoir le cul ouvert ma sœur !
Julie met la chaise longue en mode « allongée ». Ma mère se lève, pour se faire léchée à son tour par sa fille chérie. Elle met ses jambes de chaque côté de la chaise, et elle se baisse pour que ma sœur puisse suffisamment la léchée. Le gode, c’est maintenant Julie qui l’utilise dans sa chatte.
Brigitte se penche sur elle, pour une position du 69. Toutes les deux se lèchent mutuellement la chatte. J’ai tellement envie de les baiser. Mais je me contente de me masturber devant mon café.
Peu après, elles vont toutes les deux sur le sol, pour qu’elles se frottent mutuellement leur chatte en ciseau. C’est délicieux de voir sa mère et sa sœur s’échanger leur cyprine visqueuse. Délicieux de les entendre jouir, alertant probablement les voisins autour.
Encore plus délicieux, de les voir s’éjaculer de leur liquide l’une sur la chatte de l’autre, tout en continuant à se frotter leurs minous. Je n’en crois pas mes yeux ! C’est le genre de scène qu’on voit seulement dans les pornos en catégorie hard-core… Et là ça se passe sous mes yeux, avec des membres de la même famille !
Aujourd’hui, je suis un homme comblé. Nous avons continué notre relation pendant plusieurs semaines.
Et cela risque de durée encore longtemps, car le gouvernement annonce le prolongement du confinement pendant encore minimum quatre semaines, et cela annonce d’autres surprises…
Voilà, c’était mon histoire.
Une semaine plus tard.
Ma famille et moi sommes en plein d’ébats sexuels. Alors que nous allions atteindre l’extase, nous sommes interrompus par la sonnette de l’appartement. Quelqu’un est à la porte. Je me rhabille en vitesse et je descends ouvrir. Quelle fut ma surprise, ma sœur Manon qui vient vivre quelques jours avec nous.
— Oh salut Manon ! (On s’embrasse). Je suis content de te voir !
— Salut, Damien, comment tu vas ?
— Impeccablement bien. Viens entre.
J’espère qu’elle n’a pas vu la bosse qui pointe au travers de mon pantalon.
— Je te serre quelque chose à boire ?
— Une limonade, ça ira bien. Merci.
On se raconte un peu notre vie, et nous discutons.
Enfin, le reste de la famille arrive au salon. Leur rythme cardiaque est au maximum, et ça s’entend dans leur voix. Ils sautent tous dans ses bras. D’un geste discret, je fais signe à ma sœur qu’il lui reste un peu de sperme au coin de l’œil.
Manon à 29 ans, elle a eu droit à quelques jours de repos. Elle est infirmière. Nous nous sommes plus vus depuis 6 mois.
Ce soir, elle dormira dans la chambre de Julie. Se pose encore la question si elles dorment ou pas toutes les deux dans la même chambre, car il n’y a qu’un seul grand lit… Dans ma chambre aussi.
— Je pense qu’on va dormir toutes les deux dans le même lit. Suggère Manon.
— Tu n’inquiètes pas, je vais dormir avec Damien.
— Mais non, on pourra papoter comme ça !
— OK, comme tu veux.
Le soir venu, Manon monte se coucher. Avant de se mettre dans le lit, elle se dévêtit de ses habillés. Elle retire son t-shirt et son pantalon qui lui moule bien les fesses. Elle enlève son soutien-gorge blanc, libérant sa petite poitrine. Et elle garde son string, de la même couleur.
Par-dessus elle, elle enfile une chemise de nuit rouge en dentelle, presque transparente. On peut apercevoir ses petits tétons.
Mais Manon est une grande sœur curieuse. Elle regarde dans les placards, dans les tiroirs, là où sont rangés les jolis strings de Julie, mais aussi son gode. Elle le prend pour le voir de plus près, et le repose.
Il est temps de dormir, elle a eu une dure journée.
Plus tard dans la soirée, Julie l’a rejoint. Elle retire ses collants et sa jupe sexy. Et elle libère ses seins sous son t-shirt.
Elle se penche en avant, écarte son string et retire le plug anal sous les yeux de Manon. La lumière est éteinte, mais la pleine lune passe à travers les interstices des volets, laissant entrer la lumière.
Ensuite elle se glisse dans les couvertures, et s’endort.
Tard dans la nuit, Julie se réveille. En tournant la tête, elle voit Manon dos à elle sans couverture. La chemise de nuit est remontée sur son dos, laissant apparaître son string. Julie se caresse, et se rendort.
Encore plus tard dans la nuit, c’est Manon qui se réveille. Réveillée par des bruits étranges, mais étouffés.
Elle se retire doucement du lit pour aller voir.
Après avoir ouvert la porte, elle essaye de voir d’où proviennent ces bruits de grincements et de gémissement étouffés.
Elle s’approche de ma porte, et tend son oreille.
Les gémissements viennent effectivement de ma chambre, je suis avec ma mère. Manon ne le sait pas, mais elle à des doutes. Qui d’autre à part ma mère, gémit avec un son féminin ? Ma sœur oui, mais elle encore dans son lit..
Tout un tas de scénarios lui traverse alors l’esprit, mais elle se rend à l’évidence, ça ne peut être que Brigitte.
— Ma mère et mon frère ? ! Non, impossible !
Derrière la porte, elle entend des mots, tels qu’« encule-moi, j’aime ton sexe, dilater… ».
Elle veut en être le cœur net ! Elle enclenche très doucement la poignée, et ouvre la porte de quelques centimètres.
Elle m’aperçoit allongé sur le lit, en train de tenir quelqu’un par les hanches tout en la baisant.
Mais elle n’ose pas ouvrir plus la porte, sous peine que je la remarque. Alors elle l’a refermé.
Elle retourne se coucher, mais elle n’a plus dormi le restant de la nuit.
Le lendemain matin, elle rejoint Julie et Brigitte dans la cuisine.
— Ça va, tu as bien dormi ? Lui dit ma mère.
— Pff non pas trop.
— Ah bon, pourquoi ?
— Je ne sais pas, j’ai entendu des bruits étranges cette nuit.
— Ah… Quel genre de bruits… ?
— Rien d’important ! Bon, vous m’offrez un café ?
Manon boit son café sur le balcon, repensant à cette nuit étrange. Dur d’imaginer ma mère et moi en train de nous envoyer en l’air !
Mon père rejoint Julie et Brigitte dans la cuisine. Manon est toujours dehors dans ses pensées.
Mais mon père, aime le risque. Comme moi !
Derrière le bar, il trifouille la chatte à ma mère, et il la prend dans la chatte par-derrière.
Manon revient à l’intérieur, mon père se retire en vitesse, mais n’a plus le temps de rentrer son sexe dans le pantalon sans que Manon s’en aperçoive.
— Je peux te parler, petite sœur ?
Elles vont toutes les deux dans leur chambre.
— En fait, j’ai besoin de savoir un truc. Ça risque de te paraître bizarre !
— Dis-moi tout !
— Les bruits que j’ai entendus cette nuit, c’était des gémissements féminins provenant de la chambre de Damien.
— Ah… ? Il était sûrement devant un porno !
— Non… En fait j’ai entre ouvert sa porte, et j’ai vu quelqu’un sur lui. Ils faisaient l’amour.
— Euh… Manon…
— Je ne pense pas, mais j’ai de gros doutes en vrai… Tu penses que ça pourrait être maman ?
— Ah, tu n’as pas vu qui c’était ?
— Non, justement !
— Ce n’était pas maman… Enfin je pense ! C’est de l’inceste sinon… !
— C’est clair ! Et puis je ne vois pas maman dire des mots genre « encule-moi » ou des trucs comme ça quoi !
— Ah ah non, c’est clair…
Julie est gênée, elle ne sait plus quoi lui répondre.
— Par contre toi, je sais ton secret ! Ah ah !
— À bon ? ! Lequel ?
— J’ai vu ton gode hier dans le tiroir.
— Ah… Bah oui il faut bien se faire plaisir pendant cette période !
— Mais grave ! Puis je t’ai vu retirer ton plug, aussi !
— Bah oui… J’aime bien.
— Tu as raison profite !
Et la discussion prit fin.
En début d’après-midi, après le repas, Brigitte s’est isolée dans sa chambre prétextant une sieste.
Une demi-heure plus tard, Manon monte lui demander un truc, si elle ne dort pas encore.
En ouvrant délicatement la porte, elle l’aperçoit en train de s’enculer avec le même gode que celui de Julie.
Elle est en levrette sur le lit, le cul face à la porte.
Elle va donc voir dans le tiroir de Julie, et le gode n’y a plus ! Elle comprend alors que les deux lesbiennes se partagent le même gode, et qu’en plus, elle aime la sodomie.
Mais elle va découvrir un secret encore plus grand.
Dans ma chambre, le téléphone de ma mère sonne. Elle l’a oubliée cette nuit. Moi, je suis à la douche.
Le téléphone sonne avec insistance, alors Manon décide d’aller voir pour me le donner.
En ouvrant la porte, effectivement c’est un peu le bazar. En s’approchant de mon lit, elle voit traîner un string, celui de ma mère. Elle voit aussi sa bague de fiançailles, qu’elle a retirée pour mieux faciliter les caresses et la pénétration.
Mais il y a aussi son pantalon et ses collants, ainsi qu’un préservatif, usager qui a récemment servi, et des taches de sperme sur le matelas.
Les doutes s’agrandissent…
— Oh putain, il baise maman !
Elle récupère le téléphone, qu’elle parvient à déverrouiller en suivant les traces de doigts sur l’écran. Elle va dans la galerie d’images, et elle tombe sur plus de photos pornos.
Un cul dilaté, une bite entrant dans ce même cul, puis deux bites… Elle se dit que ma mère regarde des photos pornos, rien de choquant d’autant qu’elle aussi elle en regarde.
Sur l’une d’elles, elle croit me reconnaître.
C’était le jour où mon père m’a enculé. En zoomant, elle reconnaît mon collier, ainsi que certains détails de la chambre. Elle n’aperçoit pas l’homme en dessous, mais elle se doute que c’est Philippe !
— Mon Dieu… ! Mais c’est quoi ces photos ! C’est papa qui encule Damien, c’est sûr ! Quelle bande de petits PD !
Elle regarde la date à laquelle les photos ont été prises, et tout le même jour.
— Alors ce cul dilaté se faisant enculer par deux bites, c’est sûrement Brigitte ou Julie… ! Quelles grosses putes ! Toute la famille baise ensemble !
Soudain, le téléphone reçoit un MMS. Elle l’ouvre, bien entendu.
C’est moi, qui envoie des photos de moi à ma mère seule dans sa chambre… Mais j’avais oublié que le téléphone était dans ma chambre…
Manon agrandit la photo. Je suis totalement nu avec mon sexe entre les doigts dans la salle de bains. Sous la photo j’ai écrit « pense bien fort à moi, maman ! Imagine ce membre dans ton cul.
Manon est choquée face à tout ça ! Soudain, une autre photo.
Cette foi, c’est une vidéo qui me montre en train de m’enculer avec mes doigts. Et je dis « j’imagine que ce sont les tiens, maman. »
— C’est lui cette nuit, qui a enculé maman… ! Et apparemment ça dure depuis quelques semaines !
Manon n’en parlera à personne. Elle nous regarde maintenant avec un tout autre œil…
En sortant, elle me croise dans le couloir. Je n’ai pas vu d’où elle venait. Je suis torse nu avec une simple serviette autour de la taille, avec une grosse bosse entre les jambes, difficile de le rater ! Je lui demande si elle va bien, car elle était toute pâle. Elle me répond que oui. Je rentre donc dans ma chambre me changer.
— Ah, au fait Damien, il y a un téléphone qui vibre dans ta chambre, ça à l’air urgent.
Cette vilaine sœur, mais avec un très joli petit fessier, décide d’allée piéger Julie.
Elle va donc là rejoindre sur le balcon. Elles discutent gentiment, et Manon aborde un autre sujet intéressant.
— Ah au fait, tu l’utilises souvent ton… Gode ?
— Euh… Non, pourquoi ?
— Car j’aimerais m’en servir… Tu sais, ça fait 6 mois que je n’ai plus rien fait.
— Je ne sais pas… Euh… Tu le veux quand ?
— Bah, maintenant si ça ne te dérange pas…
— Euh… Bah non, il est sale !
— Ce n’est pas grave ça, je le nettoie !
— Ouais, mais… Je n’aime pas trop prêter ce genre d’objet, c’est privé tu vois.
Elle a réussi à s’en sortir, elle est douée.
Moi, je récupère le téléphone à ma mère. En regardant l’écran, je remarque qu’il n’y a aucun « nouveau message ». Manon a fouillé dans le téléphone, c’est certain ! Mon cœur s’accélère en pensant qu’elle a sûrement vu mes photos. Que va-t-on trouver comme excuses ?
Pour le moment, je vais lui rendre son téléphone.
J’ouvre doucement la porte, elle encore en train de s’enculer avec le gode. Qu’est-ce qu’elle est sexy et superbement mignonne…
— Ah, Damien, je n’attendais que toi !
— Tiens ton téléphone, tu l’avais oubliée dans ma chambre. Regarde tes messages, tu auras une surprise !
— Hum… Merci mon garçon… Dis-moi, il y a quoi sous ta serviette… ?
Évidemment, elle me connaît. Elle sait que je bande en la voyant ainsi ! D’ailleurs elle le voit bien, il y a une terrible bosse sous ma serviette.
Je n’ai pas trop envie de m’attarder dans la chambre, car Manon pourrait s’interroger de savoir où je suis, ou si elle me voyait sortir de la chambre. Mais le désir monte de plus en plus. Ma mère entre sa main sous ma serviette, et elle décalotte mon gland, en me branlant.
Moi, j’enlève complètement ma serviette pour qu’elle puisse mettre ce sexe qui lui appartient dans la bouche… Et c’est parti, elle me suce royalement bien, comme à chaque fois !
Elle est assise sur le bord du lit, et je suis face à elle. Elle aspire ma queue bruyamment pleine de salive, je sens qu’elle à faim.
— Je veux te la mettre dans le cul !
Elle a aussi hâte que moi, que lui mette profondément. Elle se met en levrette, prête à me recevoir.
Je la prends par les seins, et je rentre facilement ma queue dans ce trou tout ouvert. Je lui dis de contrôler ses gémissements, pour ne pas alerter Manon. Elle met ses mains devant la bouche pour étouffer les cris.
Mes couilles claquent sur son vagin, comme si quelqu’un frapper des mains.
Qu’est-ce que j’aime enculer ma mère ! Elle à un cul un peu plus serré que Julie, du coup ça me branle mieux.
J’aime sentir que ma bite l’a fait jouir, alors j’accélère le mouvement. Mes couilles claquent de plus en plus fort et beaucoup plus rythmé.
C’est difficile pour ma mère de maintenir ses gémissements.
À ce moment-là, Manon monte pour aller aux toilettes. Arrivée en haut, elle entend les claquements qui viennent de la chambre… En approchant son oreille à la porte, elle entend les gémissements étouffés de ma mère.
Elle entre de ma chambre, personne… Mais le téléphone n’est plus la !
La chambre à Julie, personne également.
La salle de bains est vide, les toilettes aussi.
Il reste le bureau à mon père, elle ouvre la porte et elle le surprend à se branler devant son ordinateur. Il ne l’a pas vu. Une chose est sûre, c’est que Brigitte ne baise pas avec son mari !
Elle intervient dans le bureau.
— Bah alors papa !
— Oh là ! Il rentre vite son sexe dans le pantalon.
— Oui Manon, besoin de quelque chose ?
— Non rien de spécial. Je visite.
— Mais tu connais déjà l’appartement.
— Je pensais que vous auriez fait quelques travaux.
— Non, pas pour tout de suite.
— Tu regardes quoi sur ton ordi ?
Elle s’approche rapidement de l’écran avant que mon père ne ferme la page. Il regardait un film lesbien. Le film continue à tourner, et l’une des filles enfonce un gode dans le cul de l’autre.
Manon ne peut s’empêcher de regarder discrètement la bosse que forme son pantalon.
— Ah, tu es attiré par les lesbiennes, toi papa ?
— Un peu, oui.
— Je ne te croyais pas aussi coquine !
— Bah tu vois, comme quoi…
— Je te laisse finir, alors…
Manon quitte le bureau. C’est la première fois qu’elle voit son père se branler, et la première fois qu’elle voit un homme le faire depuis 6 mois.
C’est dommage, elle aurait au moins aimé voir son sexe en érection… Et bizarrement, ça lui plaît. Mais elle refuse de l’admettre ! C’est de l’inceste, c’est interdit ! Même si dans cette famille on ne respecte pas l’interdit…
Elle se dirige à nouveau vers la chambre familiale.
Elle pousse légèrement la porte, qui n’était pas enclenchée. Elle passe sa tête entre l’ouverture, et elle regarde.
Je suis couché sur le lit, ma mère est dessus et dos à moi, les mains en appuie vers l’arrière, et les jambes écartées pilent devant l’ouverture de la porte, à la vue entière de Manon.
Je suis toujours en train de l’enculer. C’est ma mère qui contrôle son rythme. Elle a les yeux fermés pour savourer chaque moment. À chaque coup de reins, elle s’enfonce plus profonde dans mon sexe. Manon est totalement choquée ! En colère même ! Mais elle est satisfaite que, malgré l’inceste qui se déroule sous ses yeux, sa mère prenne du plaisir. Elle remarque qu’elle prend aussi bien soin d’elle, car sa chatte est bien rasée.
Vu comment elle manille cette belle bite avec son cul, elle a l’habitude.
— Je n’en reviens pas, que ma mère aime autant la bite ! J’aurais préféré qu’elle se fasse enculer par papa… Mais bon ! Mon frère à l’air de bien s’occuper d’elle. Qui aurait cru que ma mère aimait à ce point-là, la sodomie… ? Pas moi !
Ma mère et moi, nous nous mettons sur le côté. Je suis toujours derrière elle, et je lui lève une jambe pour faciliter la pénétration.
— Tu aimes que ton petit-fils chéri te sodomise, hein, maman !
— Oh oui mon garçon ! J’aime que tu m’écartes le cul avec ton membre !
— Un petit cul bien serré, qui me branle bien la bite.
— Oh oui, je suis ta pute ! Vas-y encule moi plus fort ! … Hum… Oui ! Vas-y, vas-y, encore !
Son cul dégouline de cette matière gluante, mais délicieuse face à mes mouvements incessant et rapide ! À cet instant, je lui défonce le cul, comme jamais auparavant.
Je la retourne à plat ventre, elle referme ses jambes pour serrer un peu plus son cul, et me branler avec ses fesses à chaque fois que je recule mon sexe pour lui remettre à l’intérieur. Je bande tellement, que j’éjacule à l’intérieur ! Mais j’en veux encore… Je n’arrête pas mon mouvement et je garde le rythme. Mon sperme dégouline de son cul, facilitant encore la lubrification. Cette foi, je sens la seconde tournée qui arrive.
Ma mère se retourne, et j’éjacule encore abondamment dans sa bouche et sur son visage.
Elle se saisit de mon sexe et elle le suce.
Bien malgré elle, Manon a mouillé sa culotte. Honte d’avoir humidifié sa chatte en me voyant sodomiser ma mère, elle part se changer dans la chambre. Mais elle n’est pas chez elle. Elle n’a aucune culotte de rechange, elle a tout oublié à l’hôpital. Elle prend alors un string à Julie, plutôt confortable.
Ensuite, elle va enfin aux toilettes… Après sa petite commission, elle ne cesse de penser à ce qu’elle a vu. Mais elle a aimée, car elle mouille même le string de sa sœur.
Soudain, Julie toque à la porte.
— Oui, j’arrive ! Dit-elle.
Julie patiente dans la chambre, et elle tombe sur la culotte humide de Manon. Elle la prend, et elle la sent. Ça ne fait aucun doute, ça sent la cyprine.
Manon entre au même moment.
— Tu fais quoi avec ma culotte ?
— Oh rien ! J’allais l’a mettre à laver.
— En l’a sentant ?
— Oui, excuse-moi. Apparemment, tu t’es fait un petit plaisir solitaire, normal.
— En quoi ça te regarde, petite sœur ! ?
— En rien ! Ce n’est pas grave…
— Bah si, explique-moi ! Elle t’excite c’est ça ! ? L’odeur de mon vagin te fait mouiller la chatte ? !
À suivre
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