Mon père en sort, complètement nu avec son membre pointant au plafond. Il entre dans la chambre à Julie, en laissant la porte grande ouverte. Je m’y approche doucement, et je vois qu’elle le suce énergiquement. Elle enfonce sa bite dans le fond de sa gorge, et le suce toujours plus profondément. Elle suce comme une salope en manque de bite, comme une actrice porno. Il finit par lui éjaculer au visage, et elle avale le reste qui sort de sa bite.
Quand elle se penche pour reprendre son gode, je remarque qu’elle a le cul dilaté.
Mon père y a enfourché sa bite plus tôt dans la soirée, dommages j’ai raté ça !
— Ça t’a plus cette petite sodomie, chérie ?
— Toujours aussi agréable de recevoir ton membre dans mon cul, papa !

C’est vrai qu’il est quand même bien membré ce papa… Bien que plus petit que la mienne.
Après un roulage de pelle terriblement bandant, mon père retourne dans sa chambre. La porte de ma sœur toujours grande ouverte, j’observe encore… Elle sort un plug anal de son tiroir, et elle se le rentre.
Soudain, ma mère arrive derrière moi.
— Tu regardes quoi là ?
— Oh, rien maman, je partais me coucher.
Elle s’avance près de la porte, et regarde ma sœur nue avec son plug au cul.
— Alors comme ça, tu mates ta sœur ?
— Pur hasard…
— Tu as raison, c’est une bonne femme maintenant… Elle t’excite ?

— Un peu, oui…
— Moi aussi ! Je me masturbe des fois, en pensant à elle.
— C’est vrai moi aussi, ça m’arrive. Encore plus quand je l’entends gémir le soir. Elle est terriblement bandante !
— Philippe s’occupe déjà d’elle, ça fera peut-être un peu beaucoup si on s’y met nous aussi… Notre famille est déjà assez bizarre comme ça…
Je mets fin à notre conversation, et je file à la douche. Ma mère rejoint mon père dans leur chambre…
— Ça va mon amour ?
— Ça va et toi chéri ?
— En forme. Tu faisais quoi en bas ?
— Je prenais l’air avec Damien… Et toi, tu t’es encore branlé sans moi… ! (Elle sait qu’il était avec Julie).
— Comment tu sais ça ?
— Ta bite est en fin d’érection et il te reste un peu de sperme.
— Ah… En effet.
— Et tu sens aussi le cul ! Dis-moi la vérité, en réalité tu te tapes Julie ?
— Quoi ? ! Pas du tout !
— Tu m’as déjà fait part de ton envie…
— Oui, mais c’était avant, Julie bien que très mignonne, reste notre fille.
— Elle t’excite ?
— Honnêtement, oui ! Quand elle traîne en petite tenue le matin, je t’avoue que j’ai des idées oui…
— Pas toi ?
— Oh si ! J’aime me toucher en pensant à elle de temps en temps.
— Comme moi ce soir je t’avoue, je me suis branlé en pensant à elle.
Dans l’excitation il frotte sa main sur sa chatte.
— Oh, mais, tu es toute humide… Et… Ton cul aussi d’ailleurs. J’entre mon doigt facilement…
Il lèche son doigt (a noté qu’elle n’a pas pris sa douche ni vidé entièrement le cul, après cette soirée hard).
— Oui, je me suis fait du bien vite fait en cachette à la cuisine pendant que Damien était dehors.
— OK… Laisse-moi alors en profiter…
Toutes les deux sont allongées sur le lit, mon père l’encule par-derrière.
Ce soir, ma mère en a pris pour son grade !
Quelle soirée vraiment bizarre… Et quelle famille de pervers ! Plus que jamais, dans cette famille, on aime le cul !
Deux jours plus tard.
Les choses ont ralenti depuis ce fameux soir torride. Comme d’habitude, ma mère et mon père baisent chaque soir, et mon père a une fois de plus tiré un coup à Julie. Et moi, branlette… Mais ce jour-là, c’est peut-être la fin de ma solitude.
Ce matin-là, il est très tôt. Comme à mon habitude, je soulage mon érection matinale avec une petite branlette, mais sans aller jusqu’au bout. Je m’équipe d’un caleçon, et je descends faire mon café. En passant devant la chambre de ma sœur, je m’aperçois que sa porte est ouverte. Je jette un petit coup d’œil vite fait. Son gode accroché a la glace, ses strings sur le lit, un port jarretelles… Plutôt très sexy.
Bref, je descends pour rejoindre la cuisine. J’entends du bruit, probablement ma sœur. J’arrive au salon, et là, c’est la stupéfaction. Je suis comme paralyser, gêner… Derrière le bar, mon père est en train de prendre ma sœur par-derrière, qui elle a les seins a l’air.
Je suis repéré, Julie ne bouge plus. Elle me fixe, très gênée.
Mon père, continue ses coups de reins en la tenant par la taille.
— Ah fiston ! Déjà levé ? Attends je termine et je t’explique tout.
Sans avoir l’air inquiet et encore gêné par la situation, il continue. Moi, je me dirige dans la cuisine pour mon café, tant pi s’ils baisent. En contournant le bar et en passant à coter d’eux, je jette rapidement un regard sur le cul de Julie, et il semblerait encore une fois qu’elle se fasse enculer. Elle ne me le montre pas, mais avant qu’ils me voient j’ai bien vu sur son visage le plaisir qu’elle ressentait.
Mon père lui lève une jambe qu’elle pose sur le bar pour faciliter la pénétration. Son sexe a besoin d’être lubrifié. Sous mes yeux, Julie le suce et le branle en salivant sur cette queue dure, elle aime ça, elle le suce en me regardant… qu’est-ce que j’aimerais être à la place de mon père là.
Il l’a soulevé entièrement par les cuisses, elle s’agrippe à son cou et il l’encule à nouveau.
— Tu aimes quand je t’enfile comme ça ?
— Oh oui !
Je bande de voir mon père prendre ma sœur comme ça par le cul, que je me tripote à travers mon caleçon.
Mon père se met à présent par terre sur le dos, et Julie dos à lui, se saisit de son sexe pour se le mettre.
Elle bascule en arrière, pose les mains au sol, elle le baise avec ses coups de reins, elle fait des va-et-vient toujours plus profond. Elle me jette des regards, comme si elle avait envie de moi. Là j’en peux plus ! Je sors mon sexe du caleçon, et je me branle devant ses yeux. Elle bascule vers l’avant, et attrape mon pénis à pleine main. Elle me branle pendant plusieurs minutes sous les yeux de mon père qui continue de la sodomiser.
— Suce-le ! Suce ton frère. Lui dit-il.
Elle lèche d’un coup de langue très franc et rapide, le bout de mon gland avant de reprendre la masturbation.
— Tu veux que je te suce, Frérot ?
— Oh oui suce-moi STP.
Elle me suce le gland, uniquement le gland et me branle tout le reste.
— Ça te fait quoi de me voir me faire sodomiser par papa ?
Elle me lèche les boules.
— Ça prouve que tu es une vraie salope de sœur.
— Une vraie chienne oui ! J’aime le cul ! Et la bite.
— Je vois ça !
Cette foi, elle entre ma bite dans la bouche. Elle me fait une putain de belle fellation ! À chaque fois qu’elle le remet en bouche, elle s’enfonce mon sexe toujours plus profond dans la gorge.
— Je vais éjaculer petite sœur !
— Décharge ton foutre sur mon visage.
À sa demande, j’éjacule tout sur son joli visage, suivi par mon père qui en fait de même. On se retrouve entre père et fils a éjaculé tous les deux sur le visage de Julie, qui elle attrape nos bites pour les sucer toutes les deux.
— Rapprochez-vous ! Nous dit-elle.
Elle colle nos deux bites l’une contre l’autre pour les mettre toutes les deux en même temps dans la bouche. Je ne savais pas ma sœur aussi salope !
Mon père monte à l’étage, et moi je reste un peu avec elle.
Nous entamons une discussion.
— Ça t’a plus cette pipe ?
— Tu suces bien petite sœur ! Une vraie salope.
— Je ne te pensais pas aussi bien membré, remontre-moi ça ?
Je lui montre mon sexe qui diminue doucement.
— Hum… J’ai tellement envie de me faire enculer avec ta bonne bite…
— Tu n’en as pas eu assez ?
— Pour aujourd’hui si… J’ai mal au cul.
— Il t’a bien défoncé papa…
— Ça fait une heure qu’il me sodomise ! Et j’aime ça. Ça ne te fait rien de nous avoir vus ?
— Pour être honnête avec toi, je le savais déjà !
— Quoi ! ?
— Il y a quelques jours, je vous ai entendus le faire dans la salle de bains, ça avait l’air chaud… Et avant-hier soir, je suis arrivé à la fin. Ta porte était ouverte, et je t’ai vu tailler une bonne pipe à papa.
— Tu m’espionnes, petit pervers ! Tu t’es branlé, je parie.
— J’avais envie, mais maman est arrivée !
— Hein ! ? Maman, elle n’est pas au courant j’espère ?
— Pour être honnête, elle est au courant depuis plusieurs semaines…
— Quoi sérieusement ? Tu plaisantes… !
— Non, elle avait déjà des doutes, des soirs où papa quitter la chambre pour venir te voir. Ça lui arrivé de vous écouter faire l’amour derrière ta porte. Il lui avait déjà fait part qu’il voulait des rapports avec toi. Mais ne n’inquiètes pas, elle n’est pas contre…
— Oh putain…
— Ça l’excite votre relation.
— Ça l’excite ? Non, mais tu me racontes une blague !
— Non, non. C’est vrai. Écoute… Maman a elle aussi envie de toi. Et je crois même qu’elle se masturbe en t’imaginant avec papa.
— Mais comment tu sais ça, toi ? Vous parlez de cul avec elle ou quoi ?
— Bien plus que ça…
— C’est-à-dire ?
— Bah, bien plus que ça…
— Mais quoi… ? Ah… Oh… Hein ? ! Ce n’est pas ce que je crois ?
— Tu crois quoi ?
— À du sexe… ?
— C’est ça !
— Non tu blagues ?
— Non, c’est vrai. On le fait souvent le soir.
— Attends, attends, tu vas tout me raconter !
Elle remet son string, et on s’installe sur le canapé.
— Alors, raconte !
— Il y a quelques jours, je l’ai surprise en train de se masturber et à se mettre la main entière dans la chatte, seule sur le balcon, vers minuit. Quand elle m’a vue, elle n’a pas été surprise, et elle continuait. Elle a vu que j’étais en train de bander devant elle, je portais simplement un caleçon.
— Oh la, ça m’excite !
— Attends la suite, tu vas aimais ! Du coup, elle m’invita à me branler devant elle, chose que j’ai faite !
— Elle est comment sa chatte ?
— Euh, ticket de métro. Et elle mouille bien…
— Hum… Elle à plus de poils que moi alors.
— Je ne sais pas, je n’ai pas bien vu la tienne…
— Regarde !
Elle se lève, et elle écarte la ficelle de son joli string blanc en me dévoilant l’intégralité de sa chatte mouillée.
— Effectivement, plus que toi.
Elle est intégralement épilée. Elle se rassied, et se caresse la fente en écoutant le reste de mon histoire.
— Elle te plaît ma chatte ?
— J’ai envie de la bouffée !
— Hum… Continue ton histoire.
— Alors… J’en étais où…
— Tu te branler devant ta mère, sale pervers qui aime bouffer des chattes !
— Ah, c’est vrai… Donc… Me voir comme ça, ça l’a terriblement excitée. Elle s’est levée face à moi, et m’a montré directement son anus dilaté.
— Quelle cochonne… !
— J’ai léché l’intégralité de son cul, et enfonçant profondément mes doigts dans sa chatte. Ensuite, je l’ai enculée.
— Hum, tu l’as enculée ? Ta propre mère ?
— Oui, j’ai voulu éjaculer à l’intérieur, mais elle a préféré tout recevoir dans la bouche pour tout avaler.
— Oohh… Oui. J’imagine la scène…
— Et un soir, nous sommes allés beaucoup plus loin.
— Oh oui, raconte-moi.
— Elle m’a enculé avec une courgette ! Une courgette qu’on s’est partagée… Et je l’ai reprise par le cul.
— Ouah ! Et tu as aimé ?
— Oh oui ! C’était ma première fois.
— Maman ta bien dépucelée le cul alors… C’est pour ça que j’ai retrouvé la courgette à la poubelle…
— Voilà l’explication…
— Montre-moi ton cul… !
— Pourquoi ?
— Comme ça…
— Euh… Un autre jour non ?
— Pff aller !
Je me lève et retire entièrement mon caleçon, puis je me penche vers l’avant, en écartant mon anus avec mes mains. Je l’entends s’exciter, j’entends ses mains claquées contre la cyprine qui s’écoule de son vagin. J’entends ses doigts entrer et sortir en elle.
— On se demande comment une si grosse courgette peut entrer dans un cul aussi fermer.
— Attends de voir le jour où ma bite entrera dans ton cul.
Soudain, je sens ses doigts caresser très délicatement les parois de ma grotte sombre. Ses doigts déjà très humides par sa cyprine, qui ne tardent pas à entrer en moi… Son doigt fait des allés retour, c’est suffisant pour que je pousse un soupir de satisfaction. Au même moment, je sens des coups de langue qui me lubrifient, tout en insérant un second doigt. Je ne peux m’empêcher de me branler.
— Tu sais ce que je verrais bien, la bite de papa t’enculer !
Je ne dis rien, et j’apprécie ce moment.
Soudain à l’étage, on entend les parents gémir de plaisir.
Ce qui nous excite terriblement… Ma sœur me rentre un troisième doigt.
— Oh oui sœurette, tu m’excites.
Elle accélère de plus en plus la pénétration, me dilatant toujours plus le rectum. La jouissance me monte à la tête, et j’éjacule sur le sol.
— Ça t’a plu ?
— Tu doigtes bien !
— J’ai l’habitude, je me fais ça tous les soirs.
— J’ai tellement envie d’essayer ton gode…
— Tu l’as vu, lui aussi ?
— Je t’ai vu te l’enfiler avant-hier, oui.
— Espèce de sal voyeur !
L’après-midi même, je joue à la console dans le salon. Comme à son habitude, mon père est dans son bureau, ma mère et ma sœur jouent à un jeu de société dans la cuisine.
Autant dire que Julie ne regarde plus ma mère du même œil.
Elle n’a qu’une idée en tête, c’est de la séduire.
De temps en temps, elle la regarde en se mordant les lèvres. Elle lui envoie des signes, mais ma mère ne réagit pas.
Julie, prétexte qu’elle à un petit coup de chaud pour retirer son haut chemisier, dévoilant son soutien-gorge rouge presque transparent, montrant ses tétons durs qui pointent.
Ma mère est assise en face, et enfin elle commence à réagir en jetant de petits regards sur ces tétons.
Julie passe sa main sur son décolleté plongeant. Elle entre ses doigts dans sa bouche, sensuellement.
— La première qui perd, à un gage. Lui dit-elle.
Quelques minutes après, la première à perdre c’est Brigitte.
— Alors… Ton premier gage, c’est d’enlever ton chemisier.
— Vraiment ?
— Oui, maman.
— Mais je ne porte rien, dessous.
— C’est le jeu.
Timidement, elle le retire. Elle dévoile ses seins fermes.
Pour la deuxième manche, Julie perd.
— Alors… Retire ton soutien-gorge qui cache la vue.
Elle obéit, et elle roule ses tétons entre les doigts.
Troisièmes manches, Julie perd encore.
— Caresse-toi les seins.
C’est avec plaisir que Julie se caresse, sensuellement en fixant Julie du regard.
— Ça va, comme ça… ?
— C’est bon. Je vois que tu as l’habitude.
— Si tu savais…
Quatrièmes manches, Brigitte perd. Julie lui donne le gage de retirer tous ses vêtements, de se mettre à nu.
— Tu veux que je me déshabille devant toi, entièrement nu ?
— Alors… ? Cap ?
Elle hésite, mais elle le fait. Elle enlève son pantalon, laissant au grand jour son string noir, avec une tâche humide au niveau de sa fente. Elle saisit les ficelles, et tire son string vers le bas, dévoilant à sa fille la zone interdite. Julie se glisse une main dans la culotte.
— Bah alors… ? Tu fais quoi là ?
— Je me caresse, pourquoi ?
— Devant moi, tu trouves ça normal ?
— Être totalement nu devant moi, déjà ça, ce n’est pas normal…
— Je ne pensais pas que ça irait si loin.
— Pourquoi pas ? Nous avons toi et moi, envie d’une relation entre nous. Pas vrais ?
— Je ne sais pas vraiment…
— Je sais que tu te branles en pensant à moi, et c’est la même chose pour moi.
— Mais tu es ma fille… !
— Et papa c’est mon père ! Je sais aussi que ça t’excite de nous entendre faire l’amour le soir.
— Mais… Comment tu sais ça ?
— Alors c’est vrai ? Ouhhh… Oui… !
— Damien est à côté…
— Damien, tu n’en fais pas il est au courant. Il m’a raconté vos petites aventures du soir…
— Alors il n’y a plus aucun secret dans cette famille… Tout le monde baise avec tous le monde !
— Mais papa n’est pas au courant de votre relation, mais je pense qu’il va aimer. Mais pour l’instant, j’ai envie de toi maman. S’il te plaît, branle-toi.
Timidement, Brigitte, toujours debout, se caresse les grandes lèvres, et les écarte avec ses doigts.
Julie, assise, écarte les cuisses pour faciliter sa masturbation.
Brigitte s’excite de plus en plus, elle se libère. Elle se caresse les seins, et se rentre les doigts dans la chatte.
Julie, sans rien dire l’invite à venir lui lécher la moule liquide et juteuse.
Elle s’agenouille, tout en continuant à se masturber, et elle lui lèche la sauce dégoulinante et grasse qui sort de sa fente. Julie projette la tête en arrière en savourant les coups de langue et les doigts la pénétrant. Julie lui donne le gode qu’elle avait caché.
— Hum ! Tu as un gode ma chérie… Ma petite cochonne.
— Oh oui ! J’aime trop le cul pour pouvoir m’en passer !
— Tu veux dans ta fente baveuse hein !
— Oh oui maman, s’il te plaît.
Centimètre par centimètre, le gode entre comme dans du beurre. Pendant de très longues minutes, elle lui fait des va-et-vient plus ou moins rapides. Julie ne cache plus sa jouissance, ça résonne jusqu’à mes oreilles. En me retournant, j’admire toute la scène et je me branle en mode voyeur sur le canapé.
Toujours dans la même position, ma mère se rentre le gode dans la chatte, déjà lubrifié par la cyprine de Julie.
— Assieds-toi sur la table, à mon tour de te bouffer la chatte !
Julie, toujours assise, ma mère est à présent assise face à elle les cuisses écartées sur la table. Ma sœur lui gode énergétiquement la chatte en la léchant. Entendre ma mère et ma sœur gémir de plaisir me donne envie de les prendre toutes les deux. Mais je préfère ne pas m’incruster.
Elles sont à présent toutes les deux sur le carrelage, en position ciseau. Minou contre minou, elles se frottent à en jouir sans retenues ! Elles s’échangent leur cyprine, en suçant chacune leur tour le gode. De temps en temps elles le mettent entre leurs deux chattes, en s’y frottant.
Maintenant, elles se mettent en position du 69, ma sœur au-dessus. Elles se doigtent et se lèchent mutuellement. Soudain, Julie projette un petit jet liquide sur le visage de ma mère, qui continue de la lécher.
Les deux lesbiennes baisent depuis presque une heure. Leurs chattes sont grandes ouvertes, suffisamment pour un fist. Elles entrent tous les deux de leur poing dans la chatte de l’autre.
À son tour, ma mère éjacule son liquide sous les coups de langue de Julie.
À mon tour, je balance mon sperme.
Elles se relèvent toutes les deux, transpirant de la tête aux pieds. Elles ont du mal a s’en remettre, et ont du mal à réaliser ce qu’il vient de se passer.
Plus loin, elles me voient.
— Tu… Pfut quelle chaleur… À tout vu ? Me demande ma mère.
— D’A, à Z !
— Et… Tu t’es branlé en nous matant.
— Oh oui ! Vous étiez ultra-bandante ! Je n’aurai jamais cru voir ça un jour dans ma vie.
— Encore moins voir ta sœur et ta mère baisée comme des chiennes… Dit Julie.
— Ça fait plaisir de voir qu’on aime le cul, dans cette famille. J’ai tellement envie de vous baiser toutes les deux, de vous sodomiser.
— J’ai hâte de te voir prendre le cul de ta sœur !
— Déjà, elle suce bien ! Alors j’imagine son cul… !
— Ah ouais ? Tu l’as sucé Julie ?
— Ce matin… J’ai tout avalé ! J’ai hâte moi aussi qu’il me sodomise avec sa bonne bite de grand frère. Pareil pour toi, maman. La prochaine fois j’ai envie de te trifouiller le cul et te le dilater pour accueillir sa bite !
— Je suis excitée… J’ai envie de prendre deux bites dans le cul !
— Celle de papa et Damien ?
— Oh oui !
— Moi aussi j’ai envie qu’ils me défoncent !
— Ne vous inquiétez pas, je vais vous enculer toutes les deux avec papa !
— Oh merci grand frère… Tu mérites que je te suce.
Elle attrape ma bite que je n’avais pas à ranger, et elle me suce, rejointe par ma mère. Après plusieurs minutes, j’éjacule à nouveau sur leur visage. Pour finir, elles s’embrassent s’échangent l’une et l’autre mon sperme.
Quelle journée ! J’avais tellement envie de voir ça, aujourd’hui mon fantasme s’est réalisé. Elles sont tellement belles… Il y a quelques jours, je n’aurais même pas deviné qu’elles aimaient autant le sexe. Alors oui, on se fait plaisir en famille… C’est immoral c’est vrai. C’est de l’inceste pur et simple ! Nous en sommes conscients, et nous sommes tous volontaires.
À suivre
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