Si depuis Juin 2019, je n’avais pas revu mon ami d’enfance Bibi, cela ce passe ce lundi de début mai de cette année 2021, où comme chaque lundi et jeudi, je suis pour ma part à mon petit étang de pêche. Et si je n’attendais pas de visite ce jour, voilà que vers 14hrs30, j’entends toutefois à un moment une voiture s’arrêter devant mon portail, où bien sur curieux, je jette un œil, à ma grande surprise et ne pouvant y croire, sortant de sa voiture, je reconnais de suite celui à qui j’avoue alors n’avoir en rien pensé, à savoir mon petit ami de jeunesse Bibi, avec toujours sa canne depuis son accident, mais toujours aussi souriant, sympa et semblant combien heureux de me retrouver. Et si bien sur de suite je le fais entrer, ne manquant de se faire un bisou, ce dernier me fait part que s’il se rendait à une rencontre de handball à Brumath, cette dernière aura été remise pour un problème de pandémie actuelle en cours, où si alors il aura pensé à mon étang, de plus sur son chemin et en y passant, peut être la chance de m’y trouver, ce qui aura été le cas.
Et si comme je l’écrivais en début de récit, Bibi et moi en 2019, avions après une rencontre de pur hasard dans une Z.I. repris contact, pour après cela, passer un après midi à son domicile, dans quelques agréables moments bien intimes, il est aussi vrais qu’en septembre de cette même année, même s’il n’est pas grand pêcheur, il aura un jour par curiosité en se guidant de son GPS, trouvé et passé là déjà à mon étang, où si ce jour là, mes amis joueurs de cartes étaient présents, il m’aura fait juste une petite visite où découvrant ce jour là le site, il aura trouvé ce dernier super cool. Et si aujourd’hui encore, il trouve l’endroit toujours aussi superbe, calme, discret et serein et de plus cette fois sans autre visite, cela semblait trop le ravir. Si heureusement j’avais emporté une grande thermos de café, nous nous installons ensuite tous deux sous la terrasse, à converser de mille choses une bonne heure autour de ce café et de plus un petit alcool, j’aurais eu plaisir à apprendre que même s’il se servait encore de sa canne, sa jambe allait tout de même beaucoup mieux, lui permettant de se déplacer sans elle, sur de courtes distances.
De plus, si la chance aura voulu qu’aujourd’hui, nous avions un beau soleil avec une température bien douce, je propose ensuite à mon Bibi, de nous installer un peu dans mes chaises longues, où nous serions alors bien plus à l’aise à profiter du soleil tout en continuant à converser. Si à un moment ce dernier me fait part qu’il faisait bien chaud, je me relève bien sur pour mettre en place un parasol, voyant de plus, que le coquin ne manque malgré cela, de retirer son polo, faisant à mon tour de même et tout en se souriant nous voilà bien réinstallés, ne portant plus que nos shorts, à profiter de notre petit cafés tout en se remémorant bien des souvenirs passés. Si de plus à mon étonnement Bibi, dans ses souvenirs, ne manque de me rappeler bien des moments coquins passés tous les deux, précisant de plus tout en me souriant, que nous étions alors un peu plus jeunes, je lui rends son sourire ne restant toutefois aucunement insensible à ses paroles
Et en effet à continuer déjà une bonne demie heure à converser de notre jeunesse dans ce temps là, souvent bien débridée et aujourd’hui, mon petit coquin allongé si près de moi, je ne résiste à laisser à un moment partir ma main se poser sur lui et son torse nu, partant du cou, se promenant avec douceur de long en large, où si mon Bibi se déhanche un léger, se mordille les lèvres, sans autre réaction, ma main continue son jeu, finissant sur son petit nombril, où ensuite, arrêté par son short, derrière lequel, je remarque une petite bosse se former, ne me retenant en rien, ma main se glisse sous ce dernier jusqu’à réussir à s’emparer de sa queue encore cachée, qui bien sur ne manquait d’être en érection. Et tournant alors sa tête vers moi, mon Bibi se laisse à « que fais-tu Gérard…, je vois que malgré les années, tu n’as pas changé…, me souriant par la même.. ». Et là, si toujours en continuant à lui palper sa petite queue derrière son short, je me relève un léger pour couvrir de bisous son torse nu, où sans un mot, le petit salaud se saisit soudain de moi et laisse partir sa bouche sur la mienne, nous voilà déjà, après moins d’une heure ensemble à nous dévorer avec une envie réciproque démente, tout en roulant nos petites langues l’une dans l’autre et tout cela durant de sublimes instants.
Et si bien sur me doutant que tout allait dégénérer très vite, nos chaises longues n’étant pas trop appropriées à de tels ébats, me défaisant des bras de mon petit salaud, je vais vite prendre deux grandes serviettes de bain, que je dépose dans l’herbe, près de nos chaises. Et si combien de plus, satisfait que la voiture de mon Bibi, stationne bien devant le portail, nous permettant d’être bien à l’abri des éventuels regards curieux, si mon coquin ce sera lui aussi relevé, Il vient vers moi avec alors ses yeux pétillants de cette envie qu’il avait alors, me ré empoigne autour de la taille, pour reprendre avec frénésie ma bouche et ma langue, laissant ensuite partir nos mains l’un sur l’autre, où quelques secondes suffisent à faire tomber nos shorts et se retrouver tous deux à poil, s’allongeant sur ses couvertures à se vautrer et se rouler ensuite comme deux petites bêtes, dans des ébats pervers et déments.
Et en ne se retenant en rien à nos plaisirs depuis une bonne heure demie, dans des petits plaisirs effrénée, à se bouffer, se sucer nos queues, se doigter nos trous de culs, se caresser et se laisser à toutes nos envies et positions les plus folles, dans un bonheur combien partagé de ses retrouvailles et de ses échanges même à nos âges, où surtout mon petit pédé de Bibi, qui en conversant, m’aura confié n’avoir autour de lui aucune connaissance qui aurait pu lui proposer où l’attirer à de tels échanges et que depuis notre petite aventure à tous deux chez lui en 2019, n’avait plus connu un tel moment.
Et si combien cela m’aura touché et bien sur excité, bien allongés sur nos serviettes de bains, je reprends encore avec démence la bouche et la langue de mon coquin, qui se déplaçant un léger vers moi, profite alors à me faire très vite sentir sa queue aller se frotter dans des petits va et viens mais juste entre mes cuisses me laissant à un plaisir et des petits gémissements. Et si relâchant sa bouche, je lui lance « tu en as vraiment envie mon petit salaud.., alors profites et laisses toi aller…,. » où très vite me positionnant un peu sur mes genoux, ma petite pute se jette dans mon dos, m’empoignant autour de la taille, laissant partir sa langue circuler dans mon cou, me faisant sans plus, sentir sa queue se promener autour de mon trou de cul et finir par lentement y pénétrer, ne pouvant me retenir à des « Oh ouiiiiii… continues mon bibi…, ouiiiiii, ouiiiiii, encules moi…, je me doutais bien que tu en avais trop envie…, vas-y…, plus fort.., j’adore mon bibi.. ». Et si de plus ce dernier se saisit de ma queue elle aussi en feu, qu’il me branle entre ses mains expertes tout en continuant à pousser et à limer de sa queue, les entrailles de mon trou de cul, cela dura encore quelques sublimes instants, où alors dans des râles et gémissements indescriptibles cette jouissance démente mais combien partagée au même instant nous arrive, laissant gicler sans retenue nos spermes pour ma petite pute bien au fond de mon cul quant à moi entre les mains et les doigts de ce dernier.
Et si se retirant ensuite de mon petit trou, se souriant et se remerciant de ce moment fous, tout en reprenant nos bouches, nous nous rendons alors au bord de l’eau pour nous rincer tous deux. Et combien encore mon Bibi, n’ayant jamais pensé à cela en partant de chez lui aujourd’hui, retournant à présent vers la terrasse, avec un sourie d’apaisement, n’arrêtant de me remercier encore même si le plaisir aura été tout aussi torride pour moi.
Et si je vois alors mon Bibi, jeter un œil sur son portable pour voir l’heure, étonné qu’il n’était alors que 16hrs un peu passé, il m’informe toutefois devoir me quitter pour vers 17hrs 30, précisant tout de même que cela nous laissait encore une bonne heure et demie à profiter de cette superbe journée. Pour alors un peu se reprendre et aussi montrer l’évolution et la beauté de mon site à Bibi, nous remettons juste nos shorts, où prenant mon coquin par la main, je l’invite à faire le petit tour du site que mon coquin aura bien apprécié.
Et de retour, reprenant encore place dans nos chaises longues, je propose alors à mon bibi une bonne petite bière fraiche que s’il accepte avec plaisir, ce la nous permet par la même de converser encore un peu tout en profitant de temps à autre à voir quelques belles carpes se mouvoir dans l’étang. Et si là encore, cela dura un petit quart d’heure, où tous deux à nouveau remis de nos premiers ébats, le coquin de Bibi se remet à me remercier encore de ces belles heures passées et de plus en toute intimité, ne se retenant encore à me bloquer sur ma chaise me déposant un petit bisou sur ma bouche, où si de plus le petit pervers laisse sa petite langue se promener sur mes lèvres, je ne me retiens là encore à laisser la mienne venir se rouler dans cette dernière.
Et malgré la petite demie heure qui nous restait, se lançant un petit sourire complice et partagé, nos mains repartent cette fois encore sans retenue l’un sur l’autre, nous laissant à reprendre nos petits ébats une dernière fois, se roulant et se débattant sur nos serviettes, avec toutes nos envies toujours aussi démentes et dans des gémissements et des râles de ces plaisirs, où après quelques minutes encore de torrides échanges, nous finissons cette fois dans une position l’un sur l’autre, où juste à passer une jambe au dessus du torse de mon petit salaud, cela nous permet à présent de laisser nos queues se glisser dans nos bouches respectives, se dévorant et se délectant ainsi l’un de l’autre, laissant de plus nos mains et nos doigts se promener autour de nos fesses, jusqu’à laisser chacun partir l’un de nos doigts bien au fond de nos trous de culs pour nous branler là encore.
Et si ne relâchant en rien nos queues au fond de nos bouches à les rouler autour de nos langues, quelques minutes suffiront pour alors une fois encore dans des petits râles et cris réciproques, nous laisser tous deux, dans une osmose partagée, gicler nos spermes sans retenue au fond de nos gorges dans un plaisir et une jouissance insoutenable mais combien divine et apaisant durant quelques sublimes secondes. Si après cela nous nous relevons, se dévorant encore quelques instants nos bouches, profitant des dernières gouttes de sperme restantes, allant un peu nous rincer au bord de l’eau, nous nous rhabillons enfin. Et s’il n’était pas loin de 17hrs 30 et que nous aurons passé quelques torrides et indescriptibles heures, nous ne manquons de nous promettre tous deux de remettre cela à très vite, sans cette fois laisser passer trop de temps à se priver l’un de l’autre.
FIN
Gégé
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