Lire le premier volet des aventures coquines de Gégé
Si ce mercredi de mi avril, je me rends sans penser à mal à mon bureau comme chaque semaine, une surprise non prévue m’y aura attendue, où en effet, à peine installée depuis une heure, si quelqu’un frappe à ma porte, à ma grande surprise je vois dans l’entrée de cette dernière mon petit ami Jacky, avec lequel je conversais encore la soirée passée par mail et qui bien sur tout comme moi, ne savait pas que nous aurions la chance de nous voir aujourd’hui. Et si je lui fais bien sur signe de rentrer refermant la porte, je viens vers lui qui tout souriant du plaisir de se revoir, comme attirés l’un vers l’autre et dans une envie partagée, nous laissons nos bouches se dévorer quelques instants sans retenue.
S’il me fait ensuite part de ce qui l’amène, à savoir quelques vérifications sur divers comptes, je pense que cela nous prendra une bonne partie de la matinée. S’il profite ensuite me prévenir, qu’à midi, même si cela reste dommage, il n’aurait aujourd’hui pas le temps de grandement déjeuner, étant pris par un rendez-vous familial après 13hrs 00, le rassurant alors en lui disant que moi-même je devais rentrer pas trop tard, ma moitié ayant besoin de notre véhicule. Et bien sur nous ne manquerons pas de déjeuner un autre mercredi, qui nous conviendra alors à tous deux.
Si nous nous mettons ensuite, tranquillement au boulot, assis l’un en face de l’autre, à vérifier à cocher, à noter, etc.… une bonne heure se passe gentiment, où combien de fois se souriant réciproquement, arrive toutefois un moment, où si je me lève, pour venir du coté de mon Jacky, trouvant l’excuse d’une vérification plus poussée, me penchant au dessus de ce dernier, je ne peut me retenir à laisser partir ma main entre ses jambes, où si ce dernier me sourit, sentant très vite combien sa petite queue cachée était en légère érection, relâchant un instant mon jeu, je me laisse juste à tourner la clef de mon bureau pour revenir, faisant glisser la tirette de son pantalon, pour alors y glisser ma main et m’emparer de cette queue qui très vite durcit entre mes doigts. Et si mon Jacky de plus écarte un peu ses jambes, me baissant un léger, cela me permet de laisser partir cette queue au fond de ma bouche et lui la sucer quelques secondes, le caressant comme je pouvais, laissant le petit salaud à des petits gémissements combien agréables à entendre du plaisir ressenti.
Mais très vite je me serais à nouveau arrêté, non sans se rouler quelques instants nos langues l’une dans l’autre, pour alors bien sur rouvrir la porte, où si ma petite pute se laisse à des « et moi mon Gérard.., et moi…,. » je lui propose alors de rester un peu entre midi, sachant qu’il était libre jusque 13hrs, que les filles vont partir et que nous serons ensuite seuls tous les deux, ce à quoi il ne manque bien sur pas d’être d’accord. S’il était alors 11hrs un peu passé, nous nous remettons encore à nos petits travaux qu’après une bonne demi-heure encore passée, nous en arrivons alors au bout. Et si nous n‘étions pas loin de midi, je fais aussi part aux filles, que partant un peu plus tard, je mettrais les clefs dans la boite aux lettres, ce qui ne pose aucun problème.
Si à un moment encore juste à quelques minutes de midi le patron lui aussi nous fait sa petite visite demandant si tout allait au mieux, nous lui faisons part même si cela restait un petit mensonge, avoir encore pour une toute petite demie heure où après cela nous aurons terminés, que nous sortirons par derrière et comme je le disais déjà aux filles je mettrais la clef dans la boite. Si enfin le patron nous quitte en nous saluant, je vois que les filles aussi viennent de monter prendre leurs affaires, quelques minutes encore où enfin, j’entends la porte d’entrée du magasin se fermer, où ensuite mon petit coquin et moi-même nous retrouvons enfin seuls.
S’il est alors juste midi passé, je propose pour consolation un bon petit café à mon Jacky, cela lui convenant tout à fait, je sors alors un moment dans la grande pièce de réserve d’a coté, qui fait aussi office de bureau pour les filles, où dans un coin est installée la machine à café. Et là, si je n’y pensais plus, bien sur il y avait aussi le petit canapé de repos, utilisé parfois par l’une ou l’autre fille, restants entre midi pour se reposer un moment, pas très grand, mais qui conviendra très bien à l’envie que j’avais aujourd’hui, de baiser le cul de ma petite pute, gardant cette surprise pour moi, Je fais donc passer mes deux cafés, pour ensuite revenir dans mon bureau avec ces derniers, où si je remarque alors que ma petite pute aura tiré les stores comme je le fais lorsque je quitte les lieux, me laissant juste le temps de déposer mes cafés, ce dernier se jette sur moi, reprenant cette fois avec avidité nos bouches, nos langues tout en ne manquant de se retirer réciproquement les habits que nous portions, finissant après quelques secondes tous deux à poil, malgré le peu de confort du jour, n’ayant que mon bureau, mes deux fauteuils et une petite table où malgré cela, très vite nous nous laissons dans des positions les plus perverses à des ébats sans retenue, à tous les plaisirs même dans le peu de confort, mais desquelles nous avions tous deux une envie réciproque démente.
Et en effet, se dévorant comme deux petite bêtes nos queues, nos trous de culs, se laissant aux caresses les plus perverses et ce durant de sublimes et torrides minutes, faisant à un moment un petit arrêt pour pendre nos cafés. Et si jetant un œil vers mon portable, je vois qu’’il nous restait là encore trois bon petits quarts d’heures pour profiter au mieux l’un de l’autre. Et si comme drogués tous deux, voyant de plus combien brillaient les yeux de mon petit pédé de Jacky, reposant très vite nos tasses, nous voilà reparti à se bouffer comme deux petites fauves, où si de plus, le petit salaud, recule à un moment, posant ses fesses sur le bureau, les jambes ballantes et un peu écartée, je me jette entre ses dernières reprenant avec une envie folle sa queue que lentement je laisse entre dans ma bouche, la roulant autour de ma langue, laissant ma petite pute à des râles et gémissements de ce moment fous.
Et cela dura quelques bonnes minutes encore, où bien sur les caresses réciproques perduraient chauffant nos queues réciproques jusqu’à la limite de l’explosion, je décide alors de faire profiter ma petite salope de la surprise, le saisissant contre moi, l’entraînant dans la pièce à coté, tout en laissant partir ma langue dans son cou, dans son dos, lui faisant alors part de mon envie de lui baiser son petit cul, où se débattant un peu, se laissant à des « Oh Ouiiiiii…, vas-y mon salaud… , encules moi. , fais moi la sentir bien au fond.. » arrivé devant le petit canapé, auquel il ne s’attendait aucunement, continuant à se laisser à des petits râles de « Oh Ouiiiiii mon Gérard.., tu es une vraie petit salope de ne m’en avoir rien dit…, alors prends moi…, défonces moi.., j’ai trop envie de la sentir en moi… »
Et si pour ma part combien excité à ses paroles, pour le faire taire, sans plus, bloquant ma pute contre le mur, je reprends avec fougue sa bouche dans la mienne, s’enroulant de plus nos petite langues l’une dans l’autre et enfin je le fais basculer sur ce petit canapé, où à présent mon petit pervers, allongé sur le dos, se laisse toujours au jeu à se débattre, ,je me positionne entre ses jambes, laissant partir quelques instants ma langue entre ses fesses, finissant par pénétrer son trou de cul avec cette dernière, humidifiant ce petit trou, faisant presque hurler ma petite salope de ce plaisir, où si n’y tenant plus, je retire ma langue pour enfin, me laisser au bonheur d’y faire lentement entrer ma queue combien alors en érection.
Si je me laisse ensuite dans une démence sans nom, à des va et viens incessants, limant avec folie, les entrailles de ce trou de cul, voyant le visage de ma petite salope rayonner et grimacer, où si de plus j’empoigne alors sa queue elle aussi toute en érection, que je lui branle ne manquant de plus à lui malaxer ses petites couilles. Et si le plaisir réciproque à cet instant était à son summum, que mon bas de ventre cognait bien contre le bas de ses couilles, heureusement que nous étions seuls, ma pute gémissant et se laissant à des râles de plus en plus fort, ne pouvant moi-même me retenir. Et si quelques secondes encore suffiront alors où sans retenue, tous deux au même instant nous nous laissons dans une jouissance indescriptible, à laisser gicler nos spermes pour ma part, bien au fond de ce trou de cul, quant à mon petit salaud ne se retenant en rien à m’en emplir les mains et les doigts. Si ce moment là encore aura été d’une démence rare, donnant un coup de main à mon Jacky pour se relever, nous remerciant l’un et l’autre nous reprenons une dernière fois nos bouches se les dévorant de longues minutes.
Et s’il était alors tout de même 13 hrs15, mon coquin ayant un rendez-vous, allant tous deux se nettoyer aux toilettes, nous rhabillant par la même très vite, où après avoir encore bien remis tout en ordre, nous quittons alors le bureau où comme convenu j’aurais mis les clefs dans la boite aux lettres. Nous séparant ensuite avec juste encore un petit bisou, nous promettant bien sur de remettre cela à très vite mais de préférence à nouveau au domicile de mon coquin de Jacky.
FIN
Gégé
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