Suite de la journée spéciale promotion !
Sur le chemin du retour, je ne pus m’empêcher de porter ma main à ma chatte et de me masturber ; j’imaginais que c’était la main du PDG à la place de la mienne et j’imaginais la queue du PDG me baisant s’il n’avait pas eu ce rendez-vous. J’imaginais aussi mon mari baisant sa secrétaire sur son bureau.
J’arrivais chez moi et je n’avais pas encore eu d’orgasmes ; alors après m’être garer, j’ai sorti une capote de la boite à gants, je l’ai enfilée sur le levier de vitesse et j’ai pris position en levrette et mes suis empalé sur le levier. L’orgasme est alors arrivé très vite sous le regard des autres.
Après la démonstration du levier de vitesse, je me suis empressée de me déshabiller, et comme toujours mes quatre chéries curieuses s’attendaient à avoir le récit d’un sexe parti dans un bureau de l’entreprise. Je sais qu’elles allaient être déçues quand je leur es raconté que le PDG l’a seulement caressé.
Julie, la curieuse, voulait en connaître davantage.
Et papa ?
J’ai enfin fait connaissance avec la secrétaire de papa avec qui il a une liaison.
Continue, maman ! Elle est comment ? Raconte-nous ?
C’est une belle blonde, fin trentaine, grande, gros seins, mariée, des enfants. Plus je ne sais pas, mais demain soir elle vient me rendre une visite.
Ah, alors il faut s’habiller ?
Non je reste nue, vous vous faites comme vous voulez !
Elle vient parce qu’elle a envie d’avoir une relation avec une femme.
Wouah, maman, tu deviens une éducatrice maintenant.
Autre chose que j’ai oubliée, de samedi soir jusqu’à dimanche midi nous ne serons pas là, le PDG nous a invités à une soirée d’échangisme.
Hé ben maman, tu nous raconteras !
Vous serez nombreux ?
Non que nous deux.
Ils sont novices, ce sera une première pour eux.
Maman, je suis certaine que dès votre arrivée tu vas les mettre nu.
Voyons Julie, arrête maintenant avec tes fantasmes et tes questions déplacés, je ne connais pas madame, laisse-moi d’abord faire connaissance.
En plus Julie, tu m’excites alors tu ferais mieux de venir tu occupé de ma chatte.
Il ne fallait pas lui répéter deux fois qu’elle s’agenouillait entre les cuisses de sa maman, lécher sa chatte encore toute trempée.
Je plaquais bien sa tête contre ma chatte, qui ondulait mon bassin. Pendant que Julie s’occupait de ma chatte, Muriel vint s’occuper de mes seins en les malaxant et en prenant un téton entre ses lèvres elle me tétait. Manon vint à son tour et s’occupa de l’autre sein. Restait Marie Claude qui vint me rouler une pelle.
Tellement occupé que je ne me suis même pas rendu compte que mon mari était rentré et nous regardais sa bite dans sa main en train de se masturber.
Quand il remarqua que la chatte, les seins, la bouche étaient occupés, il ne manquait que le cul qui restait inoccupé. Il s’approcha et dit ; écartez-vous il y a urgence et dit à Brigitte de se mettre debout en levrette :
Je vais t’enculer ma chérie !
Il plaça sa queue à l’entrée de son cul et s’enfonça progressivement au fond. Il l’encula pendant un long moment sous le regard des autres qui avaient tous leurs doigts fouillant leurs chattes.
Lorsqu’elle a eu son troisième orgasme et que Philippe a éjaculé dans son cul, ils montèrent tous les deux dans la salle de bain prendre une douche.
Brigitte dit à Philippe : alors ta secrétaire t’a fait jouir après mon départ ?
Elle m’a fait une fellation, mais elle a été interrompue.
Elle ne t’a rien dit d’autre ?
Si elle vient demain soir te voir.
Et le PDG est impatient de te revoir, il aurait bien voulu te baiser hier dans son bureau.
Chéri, tu crois que nous devons dire quelque chose à Sylvie demain soir à propos de nos relations incestueuses ?
Je ne sais pas c’est peut être risqué, déjà fait l’amour avec elle et nous verrons ensuite.
Pourquoi me demandes-tu cela ?
On sait jamais si elle voit Julie et les autres nues.
Mais elle sait que nous sommes naturistes à domicile. Cela ne veut pas dire que nous pratiquons l’inceste.
Mais chéri, il n’est que seize heures trente et tu es déjà rentré.
Oui je suis partie plutôt aujourd’hui, quand le téléphone de Philippe sonna.
Allo ! Excusé moi c’est Sylvie, je ne vous dérange pas ?
Non, Sylvie qui a-t-il ?
Je vous avais promis que je viendrais demain soir voir Brigitte, mais demain soir cela ne va pas.
Ah OK, dommage.
Et si je venais maintenant ?
Attendez, je demande Brigitte, elle est sous la douche.
D’accord Sylvie !
Je vais appeler mon mari et lui dire que j’ai du travail urgent à terminer, qu’il ne m’attend pas.
D’accord je vous couvre en cas de problème !
Je ne sais pas où vous habiter !
Je vous envoie ma fille, elle vous attendra sur le parking de l’église, elle a une Clio blanche.
Oui je vois !
Alors d’ici vingt minutes !
Non attendez je n’ai pas encore fini, dans trois quarts d’heure je serais à l’église.
D’accord à plus.
Je suis descendue au salon où Julie et Manon étaient en train de se bécoter.
Excusez-moi de vous interrompre, mais j’ai un ordre de mission à te confier ma fille.
Oui, monsieur le sous-directeur, de quoi s’agit-il ?
Tu prends la voiture de maman et tu va place de l’église, il y a ma secrétaire qui va venir d’ici un quart d’heure.
Julie se leva et pris directement la direction de la sortie, Manon l’a rattrapa et lui demanda ;
Julie tu vas où comme ça toute nue ?
Oh mince c’est vraie.
Papa lui dit que je vois que tu es amoureuse de Manon, tu perds la tête.
Elle enfila sa robe et s’en alla.
Dès que Julie était sortie, Philippe et Manon s’enlacèrent, leurs bouches se joignirent et leurs langues s’entremêlèrent les mains parcoururent leurs deux corps et trouvèrent sur leurs chemins les sexes. Ne voulant pas trop faire à cause de la visite, ils se contentèrent de se masturber.
Julie arriva au point de rencontre, pour l’instant personne n’a part une vielle dame qui sort du cimetière avec un arrosoir et cherchait de l’eau au robinet. Ne voulant pas attendre dans la voiture, elle décida de faire un petit tour dans le petit cimetière. De toute façon elle a un aperçu sur le parking si une voiture arrive. Elle croisa la vieille dame qui arrosait les fleurs sur la tombe. Elle lui adressa un bonsoir en passant à ses côtés, la vielle dame lui répondit et n’arrêta pas de la suivre des yeux, car sa robe à raz des fesses et son dos nu jusqu’à la taille ne l’habillaient vraiment pas pour ce trouver dans ce lieu. Si les habitants de ce lieu ouvraient leurs yeux, ils verraient le ciel sans nuages.
Elle sortit du cimetière et en se dirigeant vers la voiture aperçue arriver une voiture qui semblait chercher quelqu’un. Au volant une femme blonde vêtue d’une mini robe comme papa l’avait décrit.
Elle s’arrêta à ma hauteur et me demanda si je suis Julie, la fille du sous-directeur. Oui, madame, suivez-moi.
En remontant en voiture je me suis dit, jolie secrétaire, papa ne doit pas s’ennuyer, de belles jambes, de belles cuisses des gros seins. Papa devrait lui apprendre à ne pas porter de culotte ni de soutien-gorge. Je suis curieuse de voir sa réaction en sortant de la voiture quand je retire ma robe.
Arriver à destination j’ouvre le portail et je me gare suivi par la secrétaire. Elle se gare à mes côtés et je descends de voiture, je retire ma robe et toute nue je me présente devant sa portière. Elle sort de voiture toute gênée, mais que vous arrive-t-il ?
Mon père ne vous a rien dit, que nous sommes naturistes ?
S’il me l’a dit, mais je pensais que vous allez dans des centres naturistes.
Notre centre c’est à domicile ainsi que nous pouvons faire ce que nous voulons.
Ah d’accord.
Venez, suivez moi, nous sommes rentrées, dès la porte d’entrée franchie, papa et maman accueillaient Sylvie dans la tenue d’Adam et d’Eve. Sylvie fit la bise à mes parents.
Papa demanda à Sylvie si elle n’est pas choquée de nous voir ainsi, elle hésitait puis timidement dit :
C’est surprenant en effet.
Nous sommes allés nous installer dans le salon. Elle s’assit sur le canapé, ce qui fit trousser sa mini robe dévoilant la petite culotte blanche.
Philippe demanda ce qu’elle veut boire. Un jus d’orange.
Il servit un jus d’orange et lui pris un Ricard, Brigitte ne voulait rien pour le moment elle se rapprocha de plus en plus de Sylvie. Puis elle demanda à Philippe et à Julie de les laisser seules.
Julie entraina son père dans sa chambre, elle avait envie de faire l’amour.
Quant à Sylvie elle m’a dit que son ménage ne marche pas fort, il ne me fait l’amour qu’une fois par semaine et encore, elle ne veut pas le quitter à cause des enfants, alors elle cherche à avoir une relation avec une femme.
Et avec mon mari comment ça se passe ?
Écoute je veux être franche avec toi Brigitte, à part quelques fellations et lui quelques cunis il ne m’a pas pénétrée.
Tu aimerais qu’il te baise ?
Où au boulot ?
Non ici !
Oui, mais je suis venue pour toi. Et au boulot c’est trop risqué.
Et si après avoir fait l’amour je l’appelle ?
On verra Brigitte.
Lève, — toi Sylvie, je vais te déshabiller.
Une fois debout, Brigitte dézippa la robe lui retira, dégrafa son soutien-gorge et lui baissa sa culotte.
Hum, la voilà nue, pour la première fois devant une autre femme prête à faire l’amour. Elle se laissa guider par Brigitte qui l’enlaça, sa bouche se posa sur la sienne, elles s’embrassèrent longuement.
Brigitte prit Sylvie l’entraina à l’étage et en passant devant la chambre de Julie des gémissements était perceptibles.
Brigitte emmenait Sylvie dans sa chambre, les gémissements devenaient de plus en plus rapides et plus forts.
Hé ben, ma fille qui se masturbe, elle est au bord de l’orgasme.
Sylvie dit alors : depuis que mon mari me délaisse, je me suis mise à la masturbation, même plusieurs fois par jour.
Les deux femmes s’allongèrent et elles firent l’amour dans toutes les positions. Elles ont atteint chacune à un orgasme puissant.
Sylvie n’a pas vu le temps passé, lorsqu’elle regarda sur la montre elle se rendie compte qu’elle allait être en retard à son domicile et que son mari ne va pas comprendre.
En sortant de la chambre elles tombèrent nez à nez avec Philippe et Julie, elle se rendait compte que les gémissements perçus tout à l’heure ne provenaient pas d’une simple masturbation.
Elle dévala l’escalier, remis ses habits et claqua la porte sans même dire au revoir. Julie remarqua alors qu’elle avait oubliée son portable, mais il était trop tard elle était déjà loin.
Philippe me dit si elle s’en rend compte elle va revenir, sinon je le lui rapporte demain.
Brigitte rala avec son mari et sa fille ;
Vous ne pouvez pas être un peu plus discret, Julie nous t’avons entendu jouir depuis notre chambre.
Julie consultat l’écran du portable de Sylvie et elle constata trois appel en absence. Philippe lui dit ;
Laisse cela ne te regarde pas, venez ont va manger un bout, en arrivant à la cuisine Manon et Marie Claude terminait la vaisselle. Elles nous embrassèrent et montèrent dans leurs chambre.
Ça m’embète pour Sylvie, elle a beaucoup appréciée cette première entre femmes, j’espère seulement une chose, qu’elle ne divulgue à personne ce qu’elle a vu.
Je verrais cela demain avec elle. Quand la sonnerie in the moon se mis en marche. Par l’interphone Philippe demanda qui c’est :
Sylvie ! j’ai oublié mon portable.
Venez rentrer. Elle rentra et au moment ou elle prenait son portable celui ci sonnait.
Mince mon mari que vais je prendre.
Allo chéri !…
elle sorti dans le couloir pour que nous n’entendons pas la conversation. Au bour d’un moment elle revint en pleure.
Je voulais la consoler mais elle me repoussa.
Elle nous raconta qu’il ne crois pas que j’ai fait des heures suplémentaires, je suis une menteuse, je le trompe et cela ne va pas se passer comme cela.
Sylvie tu aurais du me le donner je lui aurais confirmer !
Elle me dit qu’il est passer à l’entreprise et le gardien lui à dit que j’ai pointer à dix sept heures zéro trois et 13 secondes.
Je ne sais plus quoi faire il m’a dit qu’il est certain que j’ai un amant et que je n’ai qu’a rester avec lui.
Sylvie il n’a pas le droit de faire cela déjà il y a tes enfants ils est obliger de te laisser rentrer et même si vous ne coucher pas dans le même chambre.
Avant cela tu nous excuseras de t’avoir choquée, je ne savais pas que tu était sensible, mais nous devons t’avouer que nous pratiquons l’inceste consenti depuis des années.
Elle ne répondit rien sur cet aveu.
Sylvie tu veux dormir ici ?
Je ne veux pas vous déranger.
Mais non aller arrête, tu ne va pas rentrée, ton mari va te créer des problèmes.
Brigitte t’accompagneras demain chez toi, il vaut mieux que ce soit elle que moi cela évitera les soupçons.
Maintenant assied toi et mange quelque chose.
Avant de s’asseoir elle dézippa sa robe et la retira, Brigitte lui dégrafa son soutien-gorge et Julie lui baissa sa culotte.
Pendant qu’elle mangeait, Julie se glissa sous la table, se faufila entre les cuisses de Sylvie et ses doigts écartaient les lèvres intimes sa bouche se posa sur sa chatte et la langue lécha le vagin, Julie prit entre ses lèvres le clito, l’aspira le mordilla.
Le visage de Sylvie se crispa et elle dit :
oh ouiiiiiiiii que c’est bon, ne t’arrête pas ouiiiiiiiiiiiiiiii j’adore bouffe moi ma chatte.
Pendant qu’elle bouffait le clito elle lui enfila deux doigts profondément dans son vagin et faisait des allés retour. Sylvie eut un orgasme le deuxième de la soirée.
Il était à présent temps d’aller se coucher.
Sylvie tu va dormir avec mon mari, je prends le lit jumeaux.
Mais Brigitte je ne veux pas prendre ta place !
Chut tait toi Sylvie, mon mari a envie de te baiser et toi tu n’attends que cela. Alors fait le avant que je ne change d’avis.
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