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Une journée spéciale promotion Chapitre 3

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Suite de la soirée spéciale promotion !

La nuit fut courte, le réveil fut difficile pour Philippe comme pour Sylvie.

Par contre j’avais une double tâche ce matin pour le réveil matin, une fellation à mon mari et un cuni à Sylvie qui était toute surprise de ce réveil en douceur.

J’accompagnais Sylvie à la douche, je l’aidais à laver sa chatte la faisant même gémir avec le jet bâton du pommeau de douche.

Après sa douche je pris la mienne et elle me rendit la pareille.

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Entre-temps mon mari est arrivé et a pris sa douche.

Sylvie occupe toi de la queue de Philippe tu la laves bien tu décalottes son gland et tu frottes bien sa queue comme si tu le branles, il adore cela.

Après la douche, elle voulait se maquiller, je lui laissais le choix entre la tousse de Manon, Julie, Muriel, Marie Claude où la mienne. Elle a choisi la mienne puis nous sommes descendus nus prendre le petit déjeuner.

Le petit déjeuner terminé, Philippe remonta s’habiller, Sylvie avait laissé ses habits dans le salon et se trouva dans l’embarras, elle m’appela.

Brigitte je ne voudrais pas t’embêter peut tu me prêter une de tes culottes, je ne vais quand même pas remettre celle de la veille.

Écoute Sylvie, tu ne peux pas rester sans aujourd’hui ?

Tu crois ? Cela va se voir, surtout que je porte une minirobe !

Philippe se mêla à la discussion, Sylvie qui va savoir que tu es nue sous ta robe à part moi ?

Je veux bien essayer. Alors elle enfila sa robe et je la zippai. Fait voir la marche tourne toi assied toi sur une chaise.

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Faut pas avoir peur, personne ne voit que tu ne portes pas de soutien-gorge, naturellement si tu sautes ils vont ballotés, et personne ne vois que tu ne portes pas de culote si tu n’écartes pas tes cuisses.

Bien chérie tu es ce soir à dix-sept heures sur le parking extérieur, nous accompagnerons Sylvie chez elle, mais c’est toi qui va aller avec elle et toi Sylvie tu vas dire à ton mari que tu as passé la nuit chez Brigitte c’est une collègue de travail, vous devez terminer un travail urgent à son domicile.

Peut-être va-t-il le croire ?

Sylvie prit sa culotte et son soutien-gorge, suivi par mon mari, ils sont allés travailler. Quant à moi j’allais vaquer à mes travaux quotidiens, ménage, lessive, etc.

Quelques petites, petites pause café ou caresse furent au menu de cette matinée. Muriel était assise dans un fauteuil, lisait un roman érotique, je l’apercevais de temps à autre porté sa main à sa chatte, ou à ses seins.

La fin d’après-midi, je m’apprête à aller au rendez-vous que mon mari m’a fixé afin de raccompagner Sylvie et apporter la preuve (la fausse) qu’elle à bien fait des heures sup.

Alors je me suis vêtue, style-chef d’entreprise, jupe aux genoux, chemisier blanc sous lequel j’ai mis exceptionnellement un soutien-gorge et une veste.

Pendant le trajet je réfléchissais à la meilleure façon de signifier au mari de Sylvie. Je me cassais la tête, alors que peut être cela s’arrange sans que je n’aie besoin d’intervenir.

À mon arrivée sur le parking, Sylvie et mon mari m’attendaient, mon mari étonné de me voir dans cette tenue me demanda si j’avais l’intention de prendre sa place comme sous-directrice.

Oui mon chéri, mais juste le temps de s’expliquer avec son mari !

Sylvie, pour toi je suis la DRH, tu es d’accord, en espérant qu’il ne te fera pas d’histoire après mon départ.

Brigitte, j’ai l’intention de te revoir régulièrement, il faudra trouver une solution afin que mon mari ne le remarque pas.

Je ne peux quand même pas lui dire que je suis tombée amoureuse de toi.

Je sais chérie, mais nous trouverons bien un moyen de se voir, en attendant allons déjà régler ce problème.

Elle habitait à cinq minutes de l’entreprise, elle s’arrêta devant la maison et mon mari se gara derrière elle. Dans la cour jouaient deux enfants, qui en voyant leur maman se sont précipités à sa rencontre.

Sylvie descendit de voiture en faisant attention de ne pas montrer son intimité avant que ces enfants sautent dans ses bras.

Sylvie embrassa Marion et Kevin ; elle demanda aux enfants ou est papa ne voyant pas sa voiture. Les enfants ont répondu, je ne sais pas, il m’a cherché à l’école et il est reparti.

Et il vous laisse sans surveillance, cela ne va pas se passer comme ça !

Maman toi aussi tu n’étais pas la hier soir

Marion, maman avait beaucoup de travail hier soir et après il était trop tard pour rentrer.

Sylvie se tourna vers moi.

Que faites-vous, vous n’allez quand même pas attendre qu’il rentre.

Sylvie vient vite voir Philippe.

Philippe proposa à Sylvie si elle est d’accord d’héberger Brigitte pour cette nuit, tu emmènes cet attaché-case et Brigitte tu feras comme si vous travaillez, d’accord oui chéri et moi demain matin je repasse ici te chercher.

S’il y a un problème, tu m’appelles. D’accord chéri !

Philippe démarra et retourna à la maison, mais en cours de route il avait comme l’impression qu’il allait revenir ce soir voir cette nuit.

Pendant ce temps, j’accompagnais Sylvie et ses deux enfants à l’intérieur. Elle me montra dans le salon ou nous allons travailler. Elle me demanda de surveiller un petit moment les enfants ; je vais mettre une culotte et un soutien-gorge.

J’ouvrais l’attaché-case et je consultais les documents et je mettais en place une mise en scène lorsque son mari rentrait.

Sylvie revint en apportant une boisson.

Elle dit à Marion et Kevin d’aller jouer dehors ou dans votre chambre, maman à du travail et ne veut pas être dérangé.

J’ai alors exposé à Sylvie mon projet lorsque son mari débarque. Son rôle à elle était de prendre quelques notes que j’allais lui dicter.

Tu as compris Sylvie ?

Oui, Brigitte !

J’étais assise à la table elle debout près de moi j’ai alors posé ma main sur sa cuisse, ma main est remonté sous sa mini, elle a trouvé ses fesses couvertes par une culotte, mais Sylvie de peur d’être surprises par ses enfants me demanda d’arrêter.

Pour faire passer le temps en attendant que son mari rentre, elle voulait que je lui raconte nos relations incestueuses, comment nous avons débuté, etc.

C’est u<ne longue histoire Sylvie, pas grave Brigitte, tu fais des chapitres. J’ai alors commencé le chapitre 1 intitulé Julie. Arrivée au quart de mon récit, un grand boum vint l’interrompre, Sylvie se leva, alla à la fenêtre et cria ; oh mon Dieu c’est mon mari il a défoncé le muret avec sa voiture, Marion et Kevin tout affolé sont venus en courant me prévenir, alors que je sortais voir si mon mari n’est pas blessé.

Brigitte vient avec moi, en sortant je vois mon mari qui titube, il ne tient plus debout, ma parole, il est ivre, lui qui ne boit pas d’alcool.

Les enfants ne rester pas là rentrer laisser maman faire. Il est évident que le boum a alerté le voisinage et que plusieurs allaient être témoins de la scène qui va suivre.

J’allais avec Brigitte essayer de le faire rentrer à l’intérieur, mais en arrivant à sa hauteur il commença par me traiter de sale pute, de salope et d’autres mots qui étaient incompréhensibles tellement il était saoul et puait l’alcool, et tout cela devant les enfants.

En voulant le calmer et le soutenir pour le faire rentrer, en se débattant il m’a giflé et m’a bousculer, j’ai perdu l’équilibre et me suis retrouver au sol. Alors il voulait me donner un coup de pied, qui heureusement a échoué, en levant son pied, il a chuté, il est resté au sol ne pouvant plus se relever.

Un des multiples voisins témoins de la scène est venu voir si Sylvie n’était pas blessée et a demandé s’il fallait prévenir la gendarmerie.

Oui s’il vous plait il vaut mieux !

Sylvie, toujours au sol, s’était mise dans une position plus confortable entourée par ses enfants qui pleuraient.

J’ai alors appelé mon mari qu’il arrive le plus vite possible et qu’il emmène Julie où Marie Claude.

Les gendarmes sont arrivés très vite, accompagner par l’ambulance des pompiers.

Les pompiers ont ausculté Sylvie, dont l’état ne nécessitait pas d’évacuation à l’hôpital.

Après les constatations des faits et les dépositions des témoins, les gendarmes ont demandé à Sylvie si elle désire porter plainte. Sa réponse fut non comme c’est la première fois et qu’elle ne comprend pas que son mari qui ne boit pas d’alcool a fait cela.

J’ai alors demandé à un gendarme s’il ne valait pas mieux qu’elle et les enfants ne restent pas là, que nous sommes d’accord pour les héberger aussi longtemps qu’il le faut.

Il m’a répondu que oui c’est la meilleure des solutions. Il a alors pris mes coordonnés.

Le mari de Sylvie fut emmené en cellule de dégrisement.

Tout rentra dans l’ordre, les gendarmes, les pompiers sont partis, restaient encore le voisin et sa femme.

Sylvie demanda au voisin s’il pouvait s’occuper de déplacer la voiture encastrée dans le muret.

Il réussit à la dégager et à la garer le long du trottoir. Il faudra la faire dépanner, madame.

Elle remercia les voisins et en attendant mon mari, je dis à Sylvie, vient, nous allons t’aider à rassembler tes affaires et ceux des enfants. Prends une fois pour une semaine, nous verrons bien comment cela va se terminer. À toi de prendre la décision.

Après avoir rassemblé quelques vêtements pour elle, pour les enfants, les affaires de toilettes et autres produits de nécessités, et surtout pas oubliez les documents de mon mari, nous attendons mon mari qui ne devrait plus tarder.

Avec toute cette histoire, je ne t’ai même pas demandé l’âge de Marion et de Kevin, Marion a neuf ans et Kevin sept ans.

Tiens, voilà mon mari et Marie Claude.

Chérie que c’est il passer ? Après lui avoir tout raconté, Philippe me dit qu’en partant d’ici il a eu comme un pressentiment qu’il devait revenir encore ce soir.

Chérie, quelles sont les suites ?

Écoute avec l’accord de la gendarmerie, j’ai proposé à Sylvie et aux enfants de venir chez nous pour le temps qu’il faut. Il faut voir ce que son mari va dire, et ce que Sylvie décide. En tout cas elle est en état de choc, ainsi que ses enfants qui ont assisté à la scène.

Marie Claude, tu voudras bien t’occuper de Marion et de Kevin ?

Oui, bien sûr, Brigitte.

Marie Claude prit les enfants par la main et monta dans la voiture avec mon mari.

Vient Sylvie, je prends la tienne et on les suit.

En cours de route elle me demanda comment vous remercier.

Ecoute Sylvie cela est tout à fait normal que nous t’aidons, tu me remercieras plus tard.

Tout en conduisant, j’ai posé ma main sur sa cuisse et elle s’insinua entre ses cuisses touchant sa culotte. Elle comprit ce qu’elle devait faire en se soulevant de son siège, elle fit glisser sa culotte jusqu’au mollet me laissant libre accès à sa chatte.

Tu aimes ça Sylvie ? Tu aimes que je te caresse ?

Oui Brigitte, mais j’aimerais autre chose que tu me fais l’amour pour te remercier.

Nous trouverons bien un moment, il faut que ton moral remonte après cette épreuve.

Tu crois que demain je peux aller travailler ?

Non du tout tu resteras avec moi, les enfants n’iront pas à l’école.

Tu appelleras l’école.

Nous arrivons remonte ta culotte chérie ou enlève la carrément !

Voilà, venez, nous allons rentrer, prend un sac, je prends l’autre.

Vient Sylvie, je vais te montrer la chambre des enfants et toi tu dors avec nous.

Nous allons manger Sylvie et après tu mettras les enfants au lit.

Sylvie demanda à Marie Claude si Marion et Kevin étaient tranquilles pendant le retour

Oui Sylvie j’étais assise au milieu avec Marion la tête sur ma cuisse droite et Kevin sur ma cuisse gauche, Marion s’est mise à pleurer au début, j’ai parlé avec elle et elle s’est endormie.

Nous avons diné, puis Sylvie est montée à l’étage coucher les enfants.

Marie Claude nous laissa aussi, elle allait rejoindre Julie, car comme toujours, elle se levait tôt.

Pendant qu’elle était avec les enfants et en attendant qu’elle redescende, Philippe a entrepris de me déshabiller et une fois nue, je l’est déshabillé à mon tour,

Il s’est assis dans le canapé et je me suis mis à genoux pour le sucer. C’est à ce moment-là que Sylvie est revenue et en nous voyant à vite fait de quitter sa mini et son soutien-gorge.

Elle nous rejoignit elle d’un côté moi de l’autre nous avons sucé Philippe à tout de rôle.

Nous sommes alors montés nous coucher. Je laissais Sylvie faire l’amour avec mon mari me contentant de me goder à leur côté.

À suivre !

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