Suite de la journée spéciale promotion 4
En descendant au rez-de-chaussée, Marie Claude et Julie venaient de rentrer, Muriel donnait à manger aux enfants.
J’ai demandé à Marie Claude et à Julie de sortir avec nous, pour les informer de ce qui est arrivé ce matin.
Je leur ai donné les consignes au cas où de ne laisser rentrer personne. Que nous allons aux urgences de l’hôpital et passons à la gendarmerie pour porter plainte. Ensuite nous allons récupérer des affaires à son domicile et s’il n’est plus présent voir si les clés ont bien été déposées dans la boite aux lettres comme convenu.
Marie Claude et Julie occupés par vous des enfants afin que Muriel puisse se reposer !
Ce sera fait Brigitte.
Nous sommes passés par les urgences où Sylvie a obtenu son certificat ITT à la gendarmerie pour le dépôt de plainte pour harcèlement et menace d’enlèvement des enfants. La gendarmerie nous a remis une attestation destinée à l’école comme quoi les enfants ne doivent être remis qu’à leur mère, Mme Sylvie …….
Après la gendarmerie nous sommes allés à l’école voir la directrice lui remettre cette attestation. Cette dernière a informé Sylvie qu’il n’y a pas cinq minutes que Mr Serge ……. Était ici pour la même demande, mais il n’avait pas cette attestation alors ne vous en faites pas, ils ne seront remis qu’à vous Mme. Pour votre information ils reprendront les cours à partir de demain. Merci, je transmets cela aux personnels enseignants.
Maintenant, le plus dur reste à faire en espérant qu’il n’est plus présent et qu’il a laissé les clés.
Lorsque nous sommes arrivés au domicile, une dépanneuse était en train de charger sa voiture sur le plateau.
Sylvie est allée le voir pour lui demander les clés de la maison, d’abord il ne voulait pas les lui remettre, mais sous la menace que j’appelle les gendarmes il les a mis dans la boite aux lettres.
Il m’a aussi lancé que demain soir je peux rester chez mon amant ou chez ma pute si tu préfères qu’il ait eu l’autorisation de la directrice que Marion et Kevin lui seront remis à lui seul.
Je n’ai rien dit du document de la gendarmerie ni même que nous étions à l’école.
Il est ensuite monté dans ma voiture, et moi j’ai de suite prévenu la gendarmerie. Ils m’ont dit de ne pas m’en faire, ils enverront une patrouille demain soir, de toute façon il va être convoqué.
Nous sommes alors rentrés dans sa maison, j’ai contrôlé s’il n’avait rien, emmener qui ne lui appartient pas. Mes affaires étaient au complet, mais lorsque je suis rentré dans la chambre des enfants il a emporté tous les vêtements ne laissant que sur place des vieilleries qui ne leur allaient plus ou ce qui était dans le panier à linge. J’ai rappelé la gendarmerie pour leur signaler le vol.
Brigitte, que dirais-tu de manger un bout. Comme nous n’avons rien mangé au déjeuner, et qu’il fallait vider le frigo des aliments avant qu’ils soient périmés j’ai invité Brigitte à un déjeuner pris à quatre heures.
Avant de passer à table j’ai demander à Brigitte de m’enlever ma culotte, ce qu’elle fit avec grand plaisir en même temps, elle déposa un baiser sur mon minou.
Brigitte mon amour, et si demain soir, je revenais habiter ici ? Je cherche les enfants à l’école et je rentre.
Sylvie, mon cœur, tu n’as pas peur de te faire agresser par ton mari. Attends que la gendarmerie l’ait convoqué et que toute cette histoire se tasse.
Pourquoi tu n’es pas bien chez moi ?
Si, mais je ne veux pas vous déranger, vous ne pouvez plus vivre nus.
Écoute cela est la moindre des choses, vivre nue, de toute façon maintenant va venir la période froide alors nous portons toujours un vêtement sur nous. Et puis comment vas-tu faire pour chercher tes enfants ou aller travailler si tu n’as plus de voiture ?
Bonne question, je vais demander à Philippe si je ne puis pas avoir une voiture de service en attendant d’avoir une autre.
Après avoir fini notre repas, Brigitte me prit dans ses bras et me roula une très longue pelle qui ne fut qu’interrompue par la sonnette de la porte d’entrée.
Qui ça peut bien être, j’espère que ce n’est pas Serge ! Je cachais vite ma culotte oubliée par terre et alla ouvrir. C’était mon voisin qui est venu prendre de mes nouvelles et sa femme. Des voisins très gentils comme l’on en trouve peu à notre époque.
Venez ne rester pas dehors, vous prenez bien un café avec nous ?
Brigitte, tu cherches le café stp ?
Alors je leur racontais toute l’histoire du jour et de la veille.
Ils s’excusèrent de ne pas s’être occupés de Marion et de Kevin, car ils n’étaient pas là au début ; ne vous excuser pas vous ne pouvez pas savoir.
Je ne vais pas revenir vivre ici dans l’immédiat, ça vous intéresse des aliments qui risques d’être périmés ? J’ai fait le tri, d’accord Sylvie. N’hésiter pas si vous avez besoin de nous pour garder les enfants ou même pour l’entretien, le jardin.
Merci, c’est très gentil à vous ! Je vous revaudrais ça !
Après leur départ, nous avons remis de l’ordre dans la maison, fermé les volets et les portes à clé.
Je me suis rendu chez les voisins, car j’avais oublié de lui remettre les clés de la maison au cas où !
Puis il était temps de rentrer. En s’asseyant dans la voiture Brigitte à trousser sa robe en la faisant passer sous ses fesses. Sylvie lui dit :
Tu ne vas quand même pas te mettre nue maintenant.
J’aimerais bien, et de vieux souvenirs refont surface, celles ou suite à un pari, avec ses camarades du lycée ou elle devait se mettre nue au volant et parcourir les vingt-cinq kilomètres du cinéma à son domicile. J’ai raconté à Sylvie pour que le trajet fût moins monotone, et pour lui faire oublier ces problèmes actuels. Je me suis aperçu qu’elle aussi a troussé sa jupe et se caressait.
Au retour au domicile, Julie revenait d’une petite promenade avec les enfants. En descendant de voiture après avoir mis de l’ordre dans nos tenues, Sylvie à accueilli les bras ouverts Marion et Kevin, pour la remercier d’avoir pris soin des enfants, elle lui a fait un rapide baiser sur sa bouche et discrètement lui a demandé si elle ne veut pas passer la nuit avec elle. Julie lui répondit :
Oh ! Oui Sylvie, je suis impatiente de connaître ton corps !
Moi aussi Julie !
Vient un peu à l’écart Julie, j’ai une faveur à te demander.
Julie, je voudrais que tu fasses l’amour avec ton père avant que tu viennes me faire l’amour.
Comment ça ? Tu es au courant ?
Oui, Julie, tu ne te rappelles pas ? Nous t’avons entendu jouir la nuit dernière !
Mince c’est vrai je n’y avais plus pensé.
D’accord, alors il faut dormir dans la chambre de papa et maman. C’est ce que j’allais te proposer. Pendant que tu baises avec ton père, je baise ta mère.
Notre conversation fut interrompue par Marion qui voulait savoir si c’est vrai que demain je retourne à l’école.
Oui ma chérie, demain maman vous emmène à l’école et le soir maman vous recherche.
Et papa ?
Non Marion, papa n’a pas le droit, tu es avec maman et avec Julie et Muriel.
Julie rend toi, compte que leur père a osé prendre tous les habits des enfants, ils n’ont que les vêtements que j’ai emmenés avant-hier.
Quoi il a osé faire cela tu l’a signaler aux gendarmes ?
Oui, Julie !
Julie j’ai un service à te demander, demain après-midi pourra-tu venir avec récupérer les enfants à l’école ? Car je crains qu’il soit présent et vouloir les récupérer à ma place. Si tel est le cas au cas où il m’agresse, occupe-toi des enfants. La gendarmerie va envoyer une patrouille.
Rassure-toi Sylvie je serais là, compte sur moi, cela me fait énormément plaisir, Marion et Kevin n’ont rien adopté, Marion m’appelle déjà tante Julie.
Sylvie regarda autour d’elle ou sont les enfants, ne les voyant pas, elle m’embrassa sur la bouche un peu plus longtemps qu’avant. Merci, Julie, en posant sa main sur sa poitrine.
Notre soirée se déroulait normalement, après que Philippe soit rentré du travail, Sylvie l’a informé de la situation actuelle et lui à demander s’il n’y avait pas un moyen d’avoir une voiture de fonction pour qu’elle puisse conduire et récupérer les enfants, le temps qu’elle en a une autre.
Il va étudier cette demande, auprès du service concerner, ce n’est qu’une question d’assurance en principe il ne devrait avoir aucun problème.
Après le diner, Sylvie et Julie sont montées avec les enfants, les doucher et les mettre au lit. Ce ci fait elle pouvait à présent de nouveau vivre leur vie de naturiste et c’est Sylvie la première qui se déshabillait suivie par Julie avant de descendre retrouver les autres elles s’embrassèrent et se caressèrent longuement. En arrivant au rez-de-chaussée, nous trouvons Manon qui déshabillait Brigitte, Muriel qui déshabillait Philippe, et Marie Claude se déshabillait elle-même.
Ce n’était pas prévu au programme, mais, autant en profité, dit Julie à Sylvie, car le temps que ce sexe parti finisse il va être l’heure de dormir pour être en forme le lendemain.
Mon pauvre Philippe, seul homme contre six femmes, non cinq, car Muriel ne compte pas à cause de sa grossesse.
Philippe abandonnait en premier, il n’en pouvait plus après cette orgie. Sylvie elle aussi était la seconde à abandonnée, mais la ce n’était pas la fatigue sexuelle, mais une fatigue psychique. Restaient Marie Claude et Manon les deux seules qui étaient encore en train de se lécher en soixante-neuf, quand à Brigitte et Julie elles se sont endormies sur place.
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