Suite de la journée spéciale promotion 7
Après avoir déposé Damien à la gare, Brigitte profita pour faire quelques emplettes dans une boutique de mode pour femmes, j’avais repéré en vitrine une belle robe de soirée moulante décolletée plongeant devant et derrière jusqu’à la taille.
Une occasion de m’exhibée se présenta alors, la vendeuse me présenta deux modèles identiques à celle exposée dans la vitrine sauf la teinte variait, elle m’accompagna aux cabines d’essayage les accrocha et me laissa seule. Alors j’ai mal fermé le rideau le laissant ouvert juste assez pour que l’on me vois. J’ai enlever ma robe et trainait l’essayage en longueur dans l’espoir que quelqu’un homme ou femme morde à l’hameçon. Bien que dans ces magasins de mode féminine, les femmes sont majoritaires. En effet après l’essayage des deux robes, et après avoir choisi je me suis rendu au comptoir afin que la vendeuse l’emballe et en caisse, lorsque j’ai senti une main sur mes fesses et un souffle dans ma nuque, je n’ai pas réagi aimant et cherchant un contact quand une voix féminine qu’il me semblait connaître me dit :
Bonjour Brigitte !
Martine, que fais-tu ici ? (Martine collègue de travail de Marie Claude et Julie)
Ça me fait plaisir de te revoir, et moi donc !
Après avoir réglé les achats, nous avons décidé de nous retrouver autour d’un bon café.
Nous nous sommes installées à la terrasse d’une brasserie et avons commandé deux grands crèmes et deux croissants.
En attendant que le serveur arrive, elle rapprocha sa chaise, et m’embrassa à pleine bouche devant tout le monde, et passa sa main sous ma robe qui remonta jusqu’à mon entrejambe.
Arrête Martine, il y a des enfants qui regardent.
Le serveur nous signala que des personnes se plaignent, en déposant notre commande et en nous demandant de régler l’addition.
Martine dépêche toi boit ton café et emmène ton café, nous partons, emporte ton croissant, trouvons-nous un petit coin tranquille. Ou passe chez moi.
Écoute, tu es gentille, mais j’ai encore des courses à faire, je passerais chez toi demain après-midi si cela te va, au moins je verrais Julie et Marie Claude.
Et si je t’accompagne pour faire tes courses, tu serais d’accord ?
Oui bien sûr, mais je pensais que tu n’as pas le temps. Après je t’invite à déjeuner dans une ferme auberge.
Tu es d’accord ?
Oui !
Alors pendant que Martine faisait ses courses j’ai appelé Sylvie pour lui demander si elle est d’accord pour aller déjeuner dans une ferme auberge, c’est gentil, j’accepte, les enfants sont à l’école donc je suis libre.
Tu m’attends d’ici une heure, je serais là.
Ensuite j’ai appelé la ferme auberge.
Allo ! Fabienne ?
Non c’est Camille !
Brigitte, tu vas bien ?
Oui, merci et toi ? Quel bon vent t’amène ?
Tu as de la place pour trois personnes ?
Oui tu as de la chance c’est la dernière table.
Ok Camille, je ne veux pas t’embêter plus, je prendrais de tes nouvelles plus tard.
Camille, gros bisous, je t’aime !
Martine a fini ses courses et elle me suivit jusqu’au domicile ou m’attendait Sylvie. Elle laissa sa voiture et après la présentation, Sylvie et Martine montèrent dans ma voiture.
En cours de route je leur racontais comment j’ai connu cette ferme auberge située là-haut sur la montagne (voir les récits nous avons échangé nos femmes nos mères)
Manon a trouvé un emploi comme aide-cuisinière. Je suis curieuse de voir si la situation amoureuse de Fabienne et Camille a évoluée depuis que Raymond à embaucher un ouvrier pour s’occuper de la ferme.
Nous voilà arriver, le parking était plein, j’avais du mal à trouver une place. En rentrant, Fabienne tout sourire me fit un signe de rentrer par-derrière. J’ai de suite compris qu’elle nous installe dans la pièce à la table du personnel pour que nous puissions avoir plus d’intimité. Raymond me dit installe toi et tes invitées, tu connais le chemin, je suis en plein coup de feu je te saluerais après.
Manon, elle nous a vu et nous a fait un signe et un sourire.
Raymond appela Brigitte, si vous voulez boire quelque chose en attendant, tu connais le chemin. D’accord chéri, oh pardon Raymond !
Je suis passé dans la salle derrière le bar pour chercher la boisson, j’ai croisé Fabienne qui m’a fait un rapide bisou sur ma bouche et elle me dit :
Nous avons bientôt terminé ce sont des membres d’un groupe de marcheurs et ils doivent partir d’ici une demie heure.
Après Fabienne ce fut Camille sa fille de me faire un bisou rapide et me dit qu’elle aura quelque chose d’important à me dire en privé, elle reprit le service et je retournais à ma place avec les boissons. Martine vint s’installer à mes côtés, alors que j’étais encore debout à servir à boire, elle passa sa main sous ma jupe remonta sur les fesses qu’elle caressa.
Sylvie remarqua le manège de Martine me lança un regard méchant. Elle était jalouse. Je fis comprendre à Martine de me laisser tranquille, que ce n’était pas le moment.
Martine lança alors, tu as bien accepté ce matin à la terrasse que je te roule une pelle, je voulais seulement terminer ce que j’avais commencé.
Martine, tu arrêtes maintenant, tu es une bonne amie, mais Sylvie est mon amante et je ne veux pas la perdre.
C’est bien que tu me dis ça, soit c’est ton amante, tu fais ce que tu veux, mais alors arrête de fricoter avec les autres aussi.
Qu’elles, autres ?
Tu as bien compris, Julie Manon Marie Claude et Muriel.
Maintenant ça suffit, Martine, tu te tais.
Je me suis levée, fallait que je sorte prendre l’air, Manon ayant entendu la scène me prit dans ses bras.
Maman calme, toi ne pleure pas.
C’est à ce moment-là que Camille et Fabienne entrèrent et me voyant dans cet état, ce sont précipités pour venir à mon aide.
Viens, Brigitte prendre l’air.
Une fois dehors, Fabienne me dit viens me dire bonjour avant elle m’embrassa langoureusement puis ce fut au tour de Camille, avant que je leur raconte ce qui s’est passé.
Je ne connais pas Sylvie, Brigitte est tu certain d’être vraiment amoureuse d’elle ?
Oui Fabienne, oui Camille, je le suis.
Et nous alors Brigitte ? Tu ne veux plus de nous ?
Ne dites pas cela, je vous aime aussi, et autant que Sylvie.
Manon nous appela pour déjeuner. En entrant, Martine nous a laissé la place et nous a dit qu’elle vient d’appeler un taxi.
Manon, Raymond à table pendant que c’est chaud.
Après le déjeuner, Camille voulait une entrevue seule à seule avec Brigitte, mais vue la situation, elle préféra attendre que Brigitte se calme.
Après le déjeuner, Raymond et Manon décidèrent qu’ils allaient débarrasser les tables de l’auberge afin que Fabienne et Camille puissent être avec Brigitte.
Sylvie demanda à Fabienne si elle doit nous laisser seules, alors que dehors un taxi venait d’embarquer Martine. Non tu peux rester que cela te concerne aussi.
Mais comment va-t-elle faire pour récupérer sa voiture ? Elle ne connaît pas le code ?
Laisse là Brigitte elle à qu’a attendre notre retour.
Bref, Brigitte, je tiens à te faire part de la situation concernant notre vie sexuelle depuis l’embauche de l’ouvrier.
C’est tout comme avant cela n’a pas changé, alors que je pensais que c’est la fatigue, mais rien à faire. Il me baise une fois par semaine et encore c’est qu’il ne faut pas lui demander la totale ? Une baise sans fellation, un soda pareil sans préliminaire ou alors juste une fellation et puis c’est tout ?
Alors Brigitte j’ai pensée à toi, mais je ne savais pas que tu as une amante, et s’il elle sera d’accord.
Camille changea de place et s’installa à côté de Sylvie.
Fabienne exposa le projet pour elle et Camille, pour combler le manque je vous propose se devenir Camille et moi les amantes de Philippe, s’il est et si vous êtes d’accord bien entendus.
Tu en as de ses idées, répondit Brigitte.
Brigitte j’ai pensé que cela serait réalisable un jour Camille et l’autre moi, seulement deux jours par semaine cela nous comblera le reste Camille et moi nous aurons nos relations incestueuses.
Qu’en penses-tu ?
Et qu’en est-il de l’ouvrier ? Comme tu me l’avais dit !
Non, j’ai réfléchi, cela ne se fait pas et il n’en a pas envie.
Brigitte et Sylvie qu’en pensez-vous ?
Sylvie prit la parole et dit que ce n’est pas à elle de prendre la décision, je ne suis que l’amante de Brigitte même si Philippe me baise de temps en temps.
Camille pour tester Sylvie si elle devient jalouse, se rapprocha de Sylvie et posa sa main sur la cuisse dénudée de cette dernière. Voyant qu’elle ne disait rien et qu’elle permit à la main de toucher son minou, passa sa main par-dessus ses épaules et les deux bouches se soudèrent pour un long baiser ? Sylvie écarta même ses cuisses pour faciliter le doigtage. Raymond observa la scène de la cuisine sans réaction.
Alors Camille se leva, prit Sylvie par la main et l’entraina à l’étage dans sa chambre, bientôt rejointe par Fabienne et Brigitte qui avait appelé Philippe pour lui demander son avis.
Philippe trouva cette demande bizarre, mais ne refusa pas aussi longtemps que Brigitte est d’accord, elle à bien aussi un amant et une amante. Mais ne voulant pas avoir d’histoire avec Raymond, il veut connaître si lui est d’accord.
Fabienne s’adressant à Raymond lui dit :
Ma décision est prise, je reste ici à cause de l’affaire, tu me baises si tu en as envie, mais je prends Philippe comme amant.
Fais ce que tu veux !
Demain soir ce sera moi qui découche et après-demain ce sera Camille.
Ensuite, Fabienne et Brigitte ont rejoint Sylvie et Camille et elles firent l’amour à quatre.
Il était temps pour Sylvie et Brigitte de redescendre dans la vallée, retrouver les autres.
Ajouter un commentaire