Je me suis assoupi un instant, quand je refais surface, je suis encore très bien entouré.
Je ressens comme un coup au cœur, surtout à les entendre jacasser sur mon épouse avec des termes si peu élogieux. Cela me déstabilise, car je sens la pression de leur regarde sur moi. Je redresse la tête que je passe entre deux hommes assis sur mon lit.
Il me faut quelques minutes devant la masse des corps nus, gesticulant comme peut être une mêlée grouillante de rugbyman. C’est dans un déplacement des corps que je peux voir enfin Marie allongée sur le matelas décrépie.
Cela me provoque un blocage intellectuel quelques instants de ma stupeur pour regarder la scène de débauche avec femme. Autour de nous, il n’y avait que des mains dans leurs pantalon ou djellaba s’asticotant le sexe en attendant leur tour.
Jean, m’accoste?

-Alors tu la trouves comment ma pute? Elle bosse bien ma pute et toi aussi. A présent c’est ma pute, ce n’est plus ta femme compris! Comme toi aussi tu es ma pute.
– COMPRIS?
-OUI! OUI! Compris!
Alors, il m’attrape par la nuque et m’entraîne vers l’entrejambe de Marie. Il ordonne au type qui la baise, de libérer la place, il se précipite de finir de jouir pour se retirer de sa chatte. Je suis déjà à genoux, lorsque cet homme passe devant moi debout avec son sexe à la hauteur de mes yeux. Je peux voir qu’il n’y a pas de capote et que son gland est encore enrober d’une partie de son sperme.
J’entends les commentaires peu flatteurs lancer à mon encontre tout autour de moi.
Jean me reprends par les cheveux pour coller ma bouche sur la chatte de mon épouse dégoulinantes de foutre.
Sa chatte barbouillée de sperme est pendante, son clitoris est gonflé, sa vulve est béante, on pourrait y entrer la main là-dedans comme dans un sac à main.
Mais je lèche sa chatte et j’avale ses jus de sperme. Ça pue le foutre épicé, la sueur et tout ce qui a craché là-dedans. J’ai un peu la nausée.
– Non ! Lèche-tout et avale !
Exige, rapidement Jean.
J’avale, il me saisit la tignasse à pleine main et plaque mon nez contre sa chatte :
– Renifle? Sens, humes le fumet des mâles africain.
J’inhale, j’inspire le parfum brut de leurs copulations est enivrant. Je chavire et je m’ assois sur mes talons. Je me saoule avec une autre respiration et ma tête me tourne.
– Tète ses lèvres! Ordonne Jean.
Alors, je suce, je ressens la plénitude, l’épaisseur, le muscle en elles. Gorgées de sang, gonflées par la convoitise, elles empoignent les bites aussi serré qu’elles peuvent. Je les imagine étroitement accrochées à la bite d’un bâtard.

Un grand africain, vient se coller contre Marie, l’embrasse lentement, bouche grande ouverte. Une douce caresse sur ses seins, puis sa main descend, le ventre, puis les plis de sa moule. Il écarte ses lèvres avec ses doigts bruns et je peux lécher plus profondément dans sa grotte. Un bouchon de sperme se brise et tout s’écoule dans ma bouche, alors j’avale.
Marie frissonna de plaisir.
Elle a envie d’être encore baisée. Je la regarde ouvrir sa braguette. Elle glisse sa main dans l’ouverture de son pantalon et ensuite, avec effort, elle sort la bête.
Je regarde fixement, c’est moche. Sa queue est épaisse, laide, un bélier avec un énorme gland grenat au sommet d’un tronc noir. Les veines saillent, gorgées de sang épais. C’est massif, laid, épais, menaçant. Jean peut aller se rhabiller il ne fait pas le poids.
Elle caresse son mandrin comme si c’est un jeune enfant, le regard fixe, la bouche ouverte. Elle sort sa langue pour s’humecter les lèvres, enfiévrée de désir.
C’est disproportionné. Marie est minuscule face à ce baobab. C’est comme si elle allait être baisée par un cheval. C’est trop gros, trop épais, trop musclé.
Quand il met son gland contre sa chatte, je vois les lèvres de distendre. Dès que le gland est entré, les lèvres se referment sur la poutre. Sa moule l’agrippe et ses cuisses tremblent.
Il l’a soulevée du lit comme une plume, elle se pend à son cou, ses jambes font le tour de la taille du bonhomme.
Il commence à la baiser. Et l’odeur, sa putain d’odeur explose de nouveau dans mon visage.
Sa queue coulisse facilement dans sa moule mouillée. Chaque fois qu’elle ressort, les jus de Marie coulent sur ce braquemart massif jusqu’à ses couilles. Marie gémit doucement un oh oui mon chéri? Elle ressent d’instinct le besoin d’offrir si profondément sa féminité. Elle doit être baisée de cette façon. Toutes les femmes blanches sont censées prendre une bite noire comme celle-ci pour se sentir femelle.
Il glisse les mains sous ses fesses et la promène à travers la pièce, la faisant monter et descendre sur sa branche. Il lui donne un putain d’orgasme. Elle ne peut plus l’arrêter, clouée sur cette putain de bite.
Jean pose une main sur mon épaule, je lui jette un regard interrogateur?
– Eh? Oui! Elle a besoin de nous deux, nous nous la partageons, car elle l’aime aussi.
Le choc de les voir s’accoupler ainsi, avec l’odeur capiteuse de leur accouplement, m’étourdisse. Chaque pas accompagné d’une poussée brutale fait râler Marie.
Là, devant moi, l bonhomme se fige un instant, ses couilles se crispent. Elle se blottit contre lui, alors qu’une frénésie les fait se cogner à l’unisson pendant qu’il éjacule son chargement en elle.
– Tiens! Prends-ça, notre salope! Gronde-t-il, tandis que la moule de Marie se verrouille pour que rien ne lui échappe.
Le visage enfoui dans son cou, elle gémit : – Je vous aime tous les deux.
Je regarde ce noir embrocher ma femme. Pas étonnant qu’elle me regarde de cette manière hautaine maintenant. Elle a terriblement besoin des deux à présent.
Ensuite, je suis cantonné à côté de Marie pour assister de près aux inséminations grossières de cette foule d’immigrés. Je dois reprendre le cunnilingus à mon épouse pour la rendre immaculée pour son nouveau guide.
Jean, s’approche pour constater le nettoyage, qu’il m’impose à plusieurs reprises. Il se déshabille pour présenter son mandrin pour la baiser. Marie, bien que fatiguée ouvrit davantage ses jambes pour que le sexe énorme de son maquereau d’amant. Ses coups de bite sont violemment, on voit le corps de Marie remonter par à coup, lui donnant des râles de plaisir.
Elle est prête à tout pour eux deux à présent, au point de leur réclamer de la mettre enceinte. Je prends conscience du détail que j’ai oublié, elle ne prend plus depuis longtemps de contraception. Il est évident que tôt ou tard elle va avoir un bâtard. Son second amant attitré présente sa matraque à la bouche de Marie, qui l’aspire instantanément. La voilà en prise avec ses deux amants. Jean fait un signe à je ne sais qui?
L’autre amant de Marie, retire sa matraque de sa bouche, il descend du lit. Il me fait mettre à quatre pattes et me plaque la tête sur le bord du lit où marie se fait baiser par Jean. Une porte s’ouvre et un drôle de bruit se fait entendre de plus en plus près. Alors, c’est là que j’entends grogner, un chien? J’en mène pas large et il grogne toujours et cette fois derrière moi quand a ma grande surprise, il est en train de me renifler puis a commencer a me lécher l’anus.
Sa langue large et rappeuse me lèche des couilles jusqu’au dessus de l’anus. Deux choses se passent dans mon cerveau: La peur de me faire mordre et l’envie de me relever. Cependant je dois me l’avouer, j’aime cela en faite comment d’écrire se que je ressens? Cela me fais des choses surtout lorsque sa langue s’introduit dans mon anus qui s’ouvre et se ferme. Je sais pas pourquoi, mais je veux que cela continu, je serre et desserre les fesses, puis environ dix minutes plus tard. J’ai une peur bleu quand il monte sur moi, mais son seul but est de me fourrer sa queue dans mon anus si bien lécher. Il y réussit a force de chercher la bonne position, faut avouer que cela m’a aussi exciter. Je n’ai qu’une envie, le sentir en moi et savoir ce que ça ferait de me faire enculer par un chien.
Et bien j’aime et que je l’encourage même a me limer encore plus, se qu’il fait et après quelques minutes, il a fini par jouir au creux de mes reins. Il veut sortir de mon cul, mais ayant mis son nœud dans mon anus, il lui faut attendre que celui ci débande. Le second amant de Marie m’a lâché la tête. Je pense être sortis d’affaire, mais ce n’est que dix minutes plus tard qu’il c’est détaché de mon anus.
Moi je ne suis pas sortis d’affaire le deuxième amant me demande si j’ai aimé? Je lui demande, aimer quoi, il me dit d’un ton ironique: – King t’a enculé ? alors tu as Aimer ? Devant le faite accompli je réponds oui aux deux questions, c’est alors qu’il se met devant moi. Il présente sa matraque devant ma bouche. Là, j’ai une envie folle de le sucer, de le prendre un max en bouche, comme Marie.
Je le suce et King se remet a me lécher l’anus, je fais tout pour me mettre à sa hauteur, je lui tends mon cul au max tout en suçant cette belle queue. King me baise à nouveau, il me sodomise durant quinze bonne minutes, pendant que je gobe cette merveilleuse queue qui durcit au contact de ma langue. Le bonhomme jouit au même moment que King, puis ayant jouis une deuxième fois. King se retire et cette fois c’est le bonhomme qui n’a pas encore débandé qui se met derrière moi.
Il m’agrippe par les hanches et rentre sa queue en entier, d’un coup si violant que j’ai faillis tomber. J’ai plus de vingt centimètres de queue en moi et d’une largeur de cinq centimètres. Il me démonte et me lime le cul pendant que un bon quart d’heure, car il a les couilles presque vides. King vient me lécher la queue, il avale le peu de sperme qui en sort.
Du plaisir oui j’en est eu cette soirée et je ne le regrette pas.
A suivre
Sam Botte
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