Le lendemain matin, elle n’est pas plus disponible. Son irritation a empiré. Elle m’explique cela très tendrement et si candidement que j’ai presque envie de la croire. Après tout, elle a peut-être vraiment attrapé quelque chose. Je m’accroche à cette idée parce que, sinon, cela voudrait dire que ? Pas d’envie de moi, alors plus d’amour ? Que c’est déjà perdu. Si c’est cela, je vis les derniers moments de notre couple.
La journée du samedi se passe dans la routine : quelques courses, repas dehors, une baignade dans la piscine. Tout est banal. Tout de même cela manque de proximité, je n’arrive pas à l’embrasser ou à la prendre dans mes bras, elle esquive chaque fois avec un prétexte léger et un sourire.
L’après-midi, je prétexte un problème électrique pour installer mon matériel : deux caméras dans la chambre, dissimulées dans des étagères et une dans le salon et une autre dans la cuisine. Je prie le dieu des maris trompés pour qu’elle ne repère rien.
Le soir toujours pas de câlin. Je joue le mari compréhensif et je suis aux petits soins pour elle. Je dors très mal.
Je joue l’endormi, comme un dormeur, je passe mon bras sur elle, la serre contre moi et grogne un, je t’aime. Je fais toujours semblant d’être endormi. Elle se dégage doucement et se met le plus loin possible de moi dans le lit.
La journée du dimanche est triste à mourir. Je simule toujours le mari insouciant, mais je suis moralement défoncé et cela doit se sentir. De son côté, elle ne montre ni hostilité ni tendresse. Bronzette sein nu dans le jardin. Nous déroulons la routine habituelle. Elle finit cependant par me demander si j’ai des soucis puisque je parle si peu. Je saisis cette perche.
— Oui, je suis sur une affaire pénible, cela doit me travailler. Excuse-moi.
Cela lui suffit et la soulage sans doute, elle doit craindre que j’aie des soupçons, car elle a changé les draps ce matin. Elle ne pose pas de question sur cette affaire. Depuis toujours mon métier reste à la porte de la maison.
Je prends prétexte de cette fameuse affaire pénible pour partir très tôt ce lundi matin.
Elle m’a dit au revoir de loin lorsque je quitte le salon. Je suis au bord des larmes en montant dans la voiture. Et puis soudain, elle sort de la maison, se précipite vers moi et m’embrasse passionnément avant de disparaître de nouveau. Elle n’a pas prononcé un mot. Je ne sais plus où j’en suis.
Je vais bientôt savoir à quoi ressemble ce mec qui vient chez moi baiser ma femme. L’’attente a été interminable. Ces deux jours ont duré des siècles, je pense à ce qui se passe au loin et à mes caméras qui veillent et enregistrent. Je vais enfin être fixé ce soir. Lorsque je suis rentré, ma femme était en train de se prélasser dans son bain tranquillement, elle m’accueille comme si rien ne s’était passé.
Mais la trouver au bain à presque dix neuf heures trente-cinq signifiant que sa partie de jambe en l’air à dû durer très longtemps et donc que son mec n’a pas dû partir depuis très longtemps. Je profite qu’elle est dans son bain, elle y est généralement pendant une heure au moins.
Je redoute les nouvelles claques que je vais recevoir ce soir. Je mets pas très longtemps à brancher mon ordinateur et à me connecter à mon système de surveillance. Après tout, je sais pense que je suis trompé et qu’elle ne m’aime plus. Pourquoi vouloir en savoir plus ? Tout de même, je tape les commandes et le flot des images commence à se déverser.
Celles qui m’intéressent se passent dans la cuisine et durent trois heures. Je commence à regarder vite fait sur l’écran en faisant défiler en accéléré jusqu’à ce que je rentre dans le vif du sujet. Le film commence avec ma femme, elle est habillée super sexy, avec une petite robe rouge très courte qu’en principe, elle ne met que pour aller à la plage.
Quelque minutes après, le mec apparaît dans le champ. Il est grand, carrure athlétique, brun. Marie fait petite à côté de lui. Il la tient par la taille et l’embrasse goulûment. Elle lui rend son baiser avec ferveur. C’est vraiment un baiser passionné. Pas de doute, à les voir ainsi s’étreindre, ils sont amants et complices de longue date. Il s’assoit à la table et Marie lui prépare un café. Il ne la quitte pas des yeux.
Il la déshabille du regard. Ils prennent le café, parlent un moment de tout et de rien, puis elle se lève, passe près de son amant et celui ci la saisit par la taille. Il s’ensuit une étreinte passionnée, des échanges de baisers qui n’en finissent pas et ses mains se mettent à se balader sur le corps de Marie. Au début, par dessus de sa robe, mais très vite, elles glissent sous le tissu, dégagent ses seins, qu’il se met à sucer goulûment et enfin sa main plonge sous la robe après avoir caressé ses cuisses et remonte en direction de sa chatte.
Elle apprécie visiblement le traitement. Elle a les yeux clos, la tête rejetée en arrière et gémit d’un plaisir bien réel. Cela dure quelques minutes, puis l’homme s’agenouille devant elle et lui relève la robe. Un tout petit string rouge lui aussi apparaît. Il commence par lui lécher la chatte au travers du tissu, mais très vite, il écarte la dentelle et se met à lui lécher la moule. Marie gémit d’un plaisir non forcé.
La tête en arrière, elle s’accroche aux cheveux de son amant comme pour lui intimer l’ordre de ne pas arrêter ce cunnilingus qui semble déjà la porter aux nues. Ses gémissements se transforment bientôt en cris de plaisir et je la vois très vite submergée par un premier orgasme.
L’homme se redresse et c’est alors elle qui s’agenouille devant lui, ouvre son pantalon et libère son sexe. Ils sont de profil à la caméra, je peux ainsi voir le membre de son amant déjà en érection. Ce mec a une bite impressionnante. Le sexe est vraiment très long et me parait énorme.
Ma fierté en prend un sacré coup, je ne peux pas le nier, à côté de lui, je suis vraiment petit joueur. Bon allez la taille ne fait pas tout, me dis-je pour essayer de me rassurer, la taille ne fait pas tout, peut être qu’il n’est pas aussi bon que cela ? J’aimerais m’en persuader et que le film me donne raison, cependant une petite voix intérieure me soutient le contraire.
Lorsqu’elle commence à le sucer, elle a la bouche remplie par ce sexe hors norme. Je vois bien qu’elle fait tout son possible pour gober cette bite. L’homme s’appuie contre le bord de la table, il apprécie la fellation que lui prodiguait Marie. Il faut dire qu’elle s’applique. Elle le lèche sur toute la longueur de sa tige et le sucer alternativement, tentant de faire rentrer un maximum de chair dans sa bouche.
Même lorsqu’elle semble être au maximum de ce qu’elle peut faire rentrer, il en reste un bon tiers en dehors. C’est là que l’homme la saisit par les cheveux, il lui fait comprendre qu’il veut entrer plus profondément dans sa gorge.
Je vois Marie faire des efforts pour y parvenir, mais rien n’y fait, il en reste toujours un morceau dehors. Cela dura plusieurs minutes où j’assistais à une des plus belles fellations qu’elle offre à un homme qui n’est pas moi malheureusement. Elle le suce, le lèche et lui caresse les couilles comme une véritable actrice de porno. On peut voir qu’elle y prend un réel plaisir.
Lui aussi prend un plaisir à se faire sucer par Marie et cherche toujours à enfoncer sa bite le plus loin possible au fond de sa gorge. A la voir par moment se retirer précipitamment, il n’est pas difficile d’imaginer, qu’il doit bien lui ramoner les amygdales.
Enfin, les choses s’accélèrent tout d’un coup. Sûrement prêt à éjaculer, il interrompt la fellation et relève Marie, la prend dans ses bras et la dépose sur la table. Là, prenant sa bite dans une main, il l’enfonce dans le puits d’amour de Marie, qui pousse un cri de plaisir mélangé à de la douleur, tant la pénétration est rapide et profonde. Elle se cambre et enroule ses jambes autour de la taille de son amant. Ses mains sont crispées, accrochées au rebord de la table.
Elle doit méchamment la sentir passer. Il marque une courte pause, puis commence un lent et profond va et vient. Elle gémit de manière ininterrompue. Pas de doute, elle éprouve vraiment du plaisir avec ce pieu planté au plus profond de sa grotte d’amour, qui doit lui labourer le vagin. Il s’ensuit de longues minutes de ramonage, ponctuées par les grognements de l’homme et les hurlements de plaisir de Maryse qui finit par jouir une nouvelle fois.
L’homme la reprend dans ses bras, il la soulève de la table pour venir s’asseoir sur une chaise. Alors, elle le chevauche. Je la vois s’empaler sur la longue matraque de son amant en poussant de petits cris et en faisant des commentaires sur la virilité de son partenaire. Elle se met à monter et à descendre toute seule sur ce sexe tendu au zénith, l’homme prend ses seins à pleines mains, les pétrit et les sucent, jouent avec ses tétons gonflés.
Elle a un troisième orgasme et s’effondre sur le torse puissant de son amant. Visiblement, elle n’en peut plus, cependant lui ne l’entend pas de cette oreille. Il la soulève pour la reposer, assise sur le bord de la table et recommence ses va et vient dans sa moule. Celle ci continue de gémir. Cela fait maintenant plus d’une heure, qu’il la baise sans discontinuer. Il s’arrête un instant, lui dit quelque chose que je ne comprends pas, je la vois descendre de la table et s’installer pour une levrette.
Il se rapproche d’elle par derrière et s’enfonce en elle d’un coup. De nouveau, elle pousse un cri et s’accroche à la table. Son visage un instant croise l’objectif de la caméra, je peux y lire tout ce qu’elle ressent. Cette grosse bite qui la pilonne, qui lui perfore le vagin, qui néanmoins lui procure un plaisir inégalé. Il s’accroche à présent à ses hanches et intensifie son pilonnage. Elle hurle son bonheur en s’accrochant à la table.
J’entends, à ma plus grande surprise, ma femme jurer sous les coups de boutoirs de son amant. Elle lance pêle-mêle des :
– Oh putain ! tu me fais mal ! vas y ! continue ! c’est trop bon ! Salaud ! Etc.
Lui continue imperturbablement. Ensuite, au milieu de son pilonnage, je le vois se mettre à jouer avec ses doigts dans l’anus de Marie. Il n’y a pas de doute possible, il enfonce des doigts dans son petit trou, ses pouces de ce que je peux en juger. Ça alors ? Elle ne dit rien.
Elle qui m’a toujours refusé ce plaisir. Moi qui n’y ai jamais eu droit, tandis que lui, elle le laisse faire sans sourciller. Et d’un coup, je crois avoir une hallucination. Je le vois se retirer de sa moule et rediriger son sexe. Je ne peux pas le croire. Il s’apprête à la sodomiser.
Ah ! Ça non, elle va réagir, elle ne va pas le laisser faire. Il est beaucoup trop gros pour son petit cul. Ça, c’est incroyable, elle le laisse faire.
Je perçois le moment où son amant la pénètre dans son petit cul, il écartèle le sphincter, il s’insinue dans son anus. Il s’enfonce dans les entrailles de Marie qui s’accroche toujours à la table en poussant des gémissements de douleurs ou de plaisir ? Je n’arrive pas à savoir je ne comprends pas comment elle peut le laisser faire. Il entreprend un lent et profond va et vient dans le fondement de Marie. Elle est totalement offerte et elle semble prendre du plaisir dans cette pénétration. Encore une fois, cette scène dure de longues minutes. Une éternité pour moi. Il jouit enfin dans les entrailles de ma Marie.
Il est agité de plusieurs secousses. Il doit bien se vider les couilles ce salaud. Ensuite, il se retire, il l’aide à se redresser et contre toute attente, je la vois de nouveau s’agenouiller devant lui et entamer un nettoyage minutieux de cette queue qui vient de sortir de son cul. Mais comment peut elle faire cela. Visiblement cela ne la dérange pas le moins du monde. Elle regarde même un moment vers la caméra et je crois qu’elle m’adresse un clin d’œil. Je suis anéanti. Ma femme est belle et bien une salope de première.
Sam Botte
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