Deux semaines se sont écoulées depuis l’épisode dans la cuisine. Je regrette ma curiosité. Je ne pensais pas que voir ma femme avec un autre homme m’affecterais autant. L’image de ma femme, sodomisée par cet homme sur la table de la cuisine, tourne en boucle dans ma tête. Est ce qu’elle sait que je l’espionne ? En pensant au regard qu’elle a lancé vers la caméra, lorsqu’elle le suçait aussitôt après. Je n’ai même pas pu en parler avec elle.
Lorsque je rentre à la maison, Marie n’est pas encore rentrée. Je ne mets pas longtemps à brancher mon ordinateur et à me connecter à mon système de surveillance. Après tout, je sais bien qu’elle me trompe et qu’elle m’aime moins. Pourquoi vouloir en savoir plus ? Je tape quand même sur les commandes et le flot des images commence à se déverser. Ils sont dans notre chambre. Il est grand et pas mal foutu. Elle l’embrasse pendant qu’il lui descend sa robe de ses épaules. Ça alors ? Elle était nue sous sa robe, pas un seul sous vêtement.
Qu’elle est belle ! Lui reste vêtu. J’ai mal réglé le son et je dois tendre l’oreille pour les entendre. L’image elle-même est bonne. Il l’appelle ma poupée et elle mon amour. Il lui demande si le temps ne lui a pas paru long avec moi. Bien sûr, qu’il lui a manqué. Il est progressivement dominant, impérieux.
– Ton cocu ne t’a pas touchée n’est-ce pas ?
– Non. Je lui ai dit que j’avais attrapé quelque chose. Que j’étais irritée.
– Il ne s’est pas plaint. Car c’est moi qui choisis avec qui tu couches, n’est-ce pas ?
– Si tu veux. C’est toi qui décides, mon amour.
– Tu es une gentille petite poupée. Et tu n’aimes que moi n’est-ce pas ?
– Que toi, bien sûr.
Sa main caresse les épaules et le dos de Marie. Elle le laisse faire sans bouger encore. Il passe sur ses fesses et s’insinue profondément dans son sillon, comme s’il caresse à la fois son cul et l’entrée de son vagin. Elle commence à défaillir et à osciller sur place. Il a ramené ses mains sur les tempes de Marie et la force à se baisser. Elle a compris l’ordre, elle défait la ceinture de son amant et dégage son sexe. Elle le caresse, le lèche et aspire le gland. Ses mains à lui n’ont pas quitté les tempes de Marie et il lui impose un mouvement de va-et-vient qu’elle suit sans résister.
Moi, je suis fasciné, désespéré et en même temps, je bande comme un fou.
Au bout d’un moment, il la relève et lui ordonne de se mettre à quatre pattes sur le bord du lit. Elle obéit sans hésiter, restant là un long moment sans qu’il s’approche. Elle commence à devenir nerveuse, elle lui demande :
– Viens, s’il te plaît, vient me baiser.
Il ne bouge pas et semble l’observer. Non ! Il a sorti de sa poche un petit caméscope et la filme pendant qu’elle lui tourne le dos, elle ne s’en aperçoit pas.
Elle continue à lui réclamer qu’il la baise.
– Viens, je veux te sentir. Mon amour viens me prendre.
– Je te baise comment ?
– Comme tu veux, encule-moi si tu veux. Je veux que tu me prennes.
– Supplie ? Dis moi ce que j’aime entendre.
– Je t’en prie, baise moi, je ferais tout ce que tu désireras.
Il pose sa caméra, vient près d’elle, lui met quelque chose dans la bouche ?
– Tiens, une friandise pour ma petite pute.
– Oh ! Oui, merci ! Alors maintenant baise-moi.
Il s’approche enfin d’elle, passe une main entre ses cuisses pendant que son autre main tient sa queue, la première main ouvre le passage, il a fléchi les genoux pour se mettre en face de la moule de Marie et d’un coup de reins, il la pénètre. Elle pousse un cri rauque d’animal, de femelle que l’on satisfait enfin. C’est une saillie, la queue massive est impressionnante. Elle n’arrête plus de geindre et de râler de plaisir.
– C’est bon, c’est trop bon, va doucement, je veux te sentir bien au fond, j’aime ta queue, je te sens gros, bien gros, comme j’aime.
Lui semble très calme, il passe une main sur sa chatte à elle et doit sans doute frictionner son clitoris. L’autre main caresse les fesses, son pouce s’enfonce dans l’anus de Marie, sans douceur, sans qu’elle proteste.
– Oui, branle-moi. C’est bon, c’est trop bon, je sens bien ta queue. Tu me baises bien la moule. RRRAA ! Encore, encore !
Je pense qu’elle jouit plusieurs fois, quand il se décide à lâcher sa jouissance, toujours très maître de lui. Elle s’effondre sur le lit. Il essuie sa verge dans les draps du lit, récupère son caméscope, le glisse dans sa veste. Elle se relève d’un coup et attrape sa main et la tire vers elle pour le retenir et l’embrasser. Cela dure longtemps. Elle le complimente pour ses performances et répète des dizaines de fois qu’elle l’aime. Il lui dit qu’elle est belle et superbe quand elle baise. Un dialogue vulgaire et idiot d’amoureux après l’amour.
Il se déshabille et il bande encore ? Comment fait il ça ?
Comme dans la cuisine, il la sodomise encore et encore. Ils baisent ainsi durant deux heures environ.
Moi, je bande encore plus, pourtant, j’ai sous les yeux, une fois de plus, la preuve absolue de ma défaite. La seule incertitude est de savoir si je la vire ou si je la garde comme ça.
Que faire de tout cela ? Je suis trompé et elle aime passionnément son Jean. Qu’il soit un peu plus âgé qu’elle, ne la gêne pas le moins du monde.
Je devrais réagir, mais c’est le risque de provoquer la séparation que je redoute. Autant être lucide, je l’aime encore et je me sens lâche. J’ai peur de la perdre.
J’arrive à une décision dont, je sens bien qu’elle n’est que le reflet de ma lâcheté. Ne rien faire, ne rien dire. Continuer à les épier, chercher un impossible, espoir dans ces heures d’adultère que je vais scruter, régulièrement, en rentrant de mon boulot.
Les fois suivants ressemblent à celle-ci. Je passe encore de très longs moments à visionner les enregistrements de la journée. Leurs rapports sont réguliers. Je me rencontre que le dialogue est plus dur, il est plus autoritaire et elle plus soumise. Il adore qu’elle s’humilie, se traite de pute et de salope. Il est de plus en plus brutal dans ses saillies, saillies est le mot. Il ne cache même plus son caméscope et lui fait répéter en gros plan :
– J’aime sucer ta queue, j’aime quand tu m’encules. Je suis une chienne en chaleur, une salope. Baise-moi, s’il te plaît, perfore-moi le cul et la chatte.
Il aime particulièrement la faire attendre et sentir qu’elle devient folle d’envie et de frustration. Elle est alors capable de dire les mots les plus crus et de promettre les caresses les plus dégradantes.
Chacun de ces mots me démolit un peu plus. Je ne reconnais plus la femme fière de sa beauté, habituellement maîtresse de ses pulsions sexuelles. C’est l’actrice soumise d’un mauvais porno, avec tous les rites des pornos : Fellation, pénétration vaginale, anale, éjaculation dans la bouche. Un mauvais scénario interprété avec passion par ma femme. J’entends également de plus en plus d’autres mots :
– Tu baiseras avec qui je veux. Tu seras ma petite pute obéissante. Je désire voir comment tu videras les couilles de mes amis.
Marie recroqueville, ses mouvements sont saccadés, comme si elle souffrait ?
– Tout ce que tu veux, je baiserai avec qui tu veux pour toi, mais c’est toi que j’aime, tu comprends ? Avec les autres, je veux bien, pars que je t’aime, mais il faut aussi que tu m’aimes.
Il ne répond pas. Je réalise qu’il ne lui a jamais dit un, je t’aime. Elle est le jouet, la poupée comme le dit ce mec froid et déterminé. Il joue avec elle. Mais comment lui faire comprendre ça, à Marie ?
Au retour de trois jours de déplacement, je viens de visionner les séances, je laisse défiler le reste en accéléré jusqu’au soir où j’aperçois la silhouette de Luc. Je comprends vite que mon absence fait l’affaire du jeune Luc. Il se présente, mais pas seul. Deux copains de son âge l’accompagnent. Je comprends immédiatement ce qu’il va se produire. Luc veut montrer sa conquête à ses potes et leur en faire profiter. Marie aussi a tout de suite compris.
Je la vois parlementer, d’abord sur un ton amusé, gentil. Mais Luc sait ce qu’il veut. Il la prend dans ses bras, l’embrasse devant les autres en remontant son tee-shirt. Elle essaie de se dégager, mais sans succès. Il passe sa main dans l’élastique de la jupe et baisse d’un coup la jupe qui reste bloquée à mi-cuisses et entravent Marie. Je constate une fois de plus l’absence de sous vêtement. Il enlève complètement son tee-shirt et la retourne pour la montrer à ses copains.
Elle est exposée, poitrine nue, pubis découvert devant les deux garçons qui rigolent sans oser encore s’approcher. Luc incite l’un d’entre eux à retirer entièrement la jupe. Ce qu’il fait en reniflant son pubis.
– Elle sent bon la salope ?
La première insulte est jetée, elle donne le ton. Les deux jeunes s’approchent et lui caressent les seins, le ventre. Leurs mains se gênent d’autant que c’est la chatte qu’ils visent tous les deux.
– Ouvre les cuisses ma petite pute ! Ordonne Luc.
Elle obéit, elle semble d’accord. Elle caresse les cheveux des deux garçons et embrasse Luc à pleine bouche. Les copains fouillent sa fente pour l’un et son cul pour l’autre. Luc la pousse sur le canapé et dit au plus blond des deux autres :
– Baise-la. Ne t’en fais pas, elle aime ça.
Le jeune doit être puceau ou au moins très inexpérimenté, il se débraguette d’une main, l’autre caressant les seins de Marie. Puis, il vient la pénétrer. Ses deux copains tiennent fermement les jambes de Marie écartées. Elle est ouverte et sans défense aux coups de reins du premier baiseur. Elle doit avoir mal, elle râle un peu. Cela semble gêner Luc qui lui enfonce trois doigts dans la bouche et ordonne :
– Suce, pense que c’est ma bite.
Le premier garçon jouit rapidement, et les deux autres la prennent à tour de rôle. Elle ne participe pas vraiment et est comme un paquet que les trois manipulent, retournent. Ils baisent sa bouche, son cul, Luc fait bénéficier les deux autres de ses compétences. Ils sont jeunes et ont de l’énergie. Chacun jouit plusieurs fois. Ils finissent par partir en lui lançant :
– Tu as aimé, hein, ma salope. On reviendra pour te baiser encore. Tu verras, ce sera encore mieux.
Je suis glacé et de nouveau honteux d’avoir assisté à cela, presque comme si j’y avais participé. Je regarde la montre, cela s’est passé en un peu plus d’une heure. Je passe aux images suivantes en accélérer pour la trouver dans son lit. Je ne sais pas si elle dort. J’ai une immense pitié pour elle. Tout ce qu’elle m’a fait subir ce week-end est oublié. Je l’aime et je me reproche de n’avoir pas été là pour la protéger.
Le reste de la semaine est une répétition navrante de ces scènes. Domination et initiation de Luc auquel elle apprend avec art comme doigter et détendre l’anus d’une femme pour la sodomiser sans douleur et avec tendresse. Ou bien caresser l’intérieur de sa chatte. Je sens bien que tout cela est trop sophistiqué pour ce crétin qui préférerait la baiser sans chichis, mais il est assez obéissant.
Sam Botte
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