Cependant, je ne suis pas encore au bout de mes surprises.
En ce samedi soir, Marie va encore me surprendre, elle s’approche de moi, alors que je suis entrain de regarder un match à la télé. Elle me tend un DVD en me disant :
– Tiens ! le film sera sûrement de meilleure qualité que ce que tu filmes avec tes caméras dissimulées un peu partout dans la maison !
Je reste interdit, incapable de prononcer une seule parole. Une fois l’objet donné, elle se retourne et part dans notre chambre. J’hésite un moment à regarder ce DVD.
Je redoute son contenu, pourtant j’ai envie de savoir. Je me décide à me lever et à lancer le lecteur. Nerveusement, je découvre les premières images. A ma plus grande surprise, c’est Jean son amant, seul dans une chambre, assis au pied du lit qui s’adresse à moi.
– Comme tu aimes nous filmer, j’ai disposé quatre caméras afin que tu puisses apprécier davantage ce qui va suivre. Cette fois ci, tu pourras mater sur grand écran se va se passer.
Il me montre les emplacements qu’il a choisis. Il y en a une au pied du lit, une sur la table de nuit, une troisième sur une étagère à côté du lit et il a fixé la dernière au lustre au-dessus du lit. Il m’annonce cela avec un grand sourire qui en dit déjà long sur la suite.
Le plan suivant, Marie rentre dans la chambre, vêtue d’une jupe courte et d’un petit débardeur ne recouvrant même pas son ventre, avec son amant derrière elle qui la pelote déjà.
Pendant quelques minutes, j’ai droit à un échange de baisers langoureux et de pelotage, avant qu’elle s’agenouille devant lui et qu’elle commence une fellation digne d’une actrice porno. Elle le lèche et le suce en jetant par moment des regards vers la caméra comme pour me signifier qu’elle y prend du plaisir. Vu l’emplacement de la caméra, j’ai droit à un gros plan sur la bite de ce Jean, qui remplit la bouche de Marie.
Je ne peux plus le nier, ce type est vraiment monté comme un cheval. Très vite, elle se retrouve à nu sur le lit et il se met à son tour à lui offrir un broute minou. Instantanément, elle râle de plaisir. Comme pour me permettre d’apprécier davantage, il a fait un montage vidéo. En fait, les quatre caméras tournent ensemble et lors du montage, il passe
de l’une à l’autre afin que je puisse admirer ma femme sous toutes les coutures.
Marie ne tarde pas à avoir un premier orgasme, avec une vue depuis la caméra fixée au-dessus du lit, qui la montre se tordant de plaisir sous les coups de langues de son amant. Une fois son orgasme passé, on le voit se déshabiller entièrement à son tour. Son sexe dressé est réellement impressionnant. Il s’approche d’elle, la saisit par les chevilles, lui écarte les jambes en les faisant passer sur ses épaules et il la pénètre ainsi. Marie pousse de nouveau un gros râle de plaisir en sentant ce pieu l’investir.
Il commence lentement ses vas et vient. Elle gémit sans discontinuer. J’ai droit à une vue depuis chaque caméra, histoire que je puisse admirer alternativement sa virilité. La position de Marie bien offerte, un gros plan sur son sexe coulissant dans celui de sa maîtresse et enfin le visage de Marie heureuse de cette pénétration. Petit à petit, le rythme s’accélère, la pénétration se fait de plus en plus virile, rapide et profonde, elle ne gémit plus, elle hurle de plaisir sous les coups de boutoir que lui délivre son amant. Elle ne tarde pas à jouir de nouveau en hurlant son orgasme comme je l’ai rarement entendu.
Il s’arrête un instant, il lui laisse reprendre ses esprits, avant de se retourner, l’entraînant sur lui. Marie le chevauche à présent, toujours empalée sur cette monstrueuse bite. Elle ondule du bassin, se procurant de nouveau du plaisir, la tête rejetée en arrière, les bras en appui sur le puissant torse de son amant, qui lui pétrit et lui suce les seins avec forte aspiration. Elle en est à son troisième orgasme et s’effondre sur lui, incapable du moindre mouvement. Il la retourne sur le dos et reprend à la baiser cette fois ci sans ménagement.
Il jouit enfin en elle en poussant des cris de fauve en rut. Lorsqu’il se retire, j’ai droit, grâce à la caméra posée au pied du lit, à voir en gros plan, son sperme s’écouler de la grotte béante de Marie.
Je reste sans voix et pourtant je me surprends à bander ? Aussi incroyable que cela puisse paraître, voir ma femme baiser avec cet étalon et jouir autant de fois en si peu de temps, m’excite. La scène suivante, elle suce de nouveau cette bite à nouveau dressée et prête à recommencer. Cette fois, elle s’installe à quatre pattes, bien au milieu du lit. Son amant ne tarde pas à la pénétrer par derrière en levrette.
Je sais combien elle affectionne cette position, cependant avec lui, elle semble carrément en transe. La caméra sur la table de chevet, me montre le visage de ma femme heureuse de se faire ramoner par son étalon. La caméra au-dessus du lit me laisse apprécier toute la longueur de la pénétration et celle au pied du lit, me donne de nouveau un gros plan sur leurs deux sexes en mouvement.
Je vois ma Marie s’accrocher aux draps, elle gémit toujours en poussant par moment de petits cris à l’attention de son mec, du genre :
– RRROOH ! mon salaud ! tu es en forme ! MMME ! je te sens bien ! MMM ! tu es vraiment en forme !
Bref, rien ne m’est épargné, elle fait un numéro de parfaite salope. Ensuite, arrive le moment où il se met à jouer avec l’anus de Marie.
Je n’y crois pas. Il y a droit à chaque fois, alors que moi, j’ai toujours eu l’interdiction ? En effet, après avoir bien dilaté et lubrifié l’anus de Marie, il approche son gourdin de l’œillet brun de Marie, il le fait rentrer tout doucement. Lors du montage, ce salaud a poussé le vice, à réaliser une incrustation d’image pour me montrer en gros plan le visage de Marie pendant qu’il la sodomise.
Elle s’accroche toujours aux draps, pourtant semble réellement apprécier ce traitement. Et de nouveau, il se met à la sodomiser, de plus en plus profondément, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Marie étouffe ses cris en bouffant l’oreiller, s’accroche toujours aux draps, cependant elle le laisse continuer sans rechigner.
Il ne tarde pas à jouir de nouveau, dans ses entrailles cette fois et à peine sorti, s’approche de la bouche de Marie pour qu’elle le suce. Cette fois, grâce à la caméra posée sur la table de nuit, j’ai droit à un gros plan de cette bite qui vient d’enculer ma salope de femme et que celle ci nettoie avec délectation. Comme pour me prouver que je ne rêve pas, j’ai de nouveau droit en incrustation, à la traînée de sperme qui s’écoule de l’anus entrouvert de Marie.
Je découvre par cette vidéo, que ma femme chérie est en fait une extraordinaire salope, une chienne en chaleur qui adore le sexe lorsqu’elle est baisée par un autre mec et qu’elle ne lui refuse rien à lui.
Après avoir visionné cette vidéo, je suis à la fois jaloux et excité. Jaloux, car elle prend un plaisir évident à baiser avec ce gars, en plus, elle se donne à lui sans retenue, ne lui refuse rien elle se comporte en vraie salope, excité parce que je la trouve belle face à la camera.
Je crois que je souhaiterais être dans la chambre avec eux à ce moment là.
Je vais retrouver ma femme qui est couchée et regarde la télé.
– Alors ? Le film t’a plu ? Me dit elle avec un sourire narquois.
– Oui et non ? Pourquoi n’ai-je pas le droit de faire comme lui ?
– Que veux-tu dire ?
– Ne te moque pas de moi ? Il te sodomise à chaque fois et en plus, tu le suces juste après ! Comment peux tu sucer cette bite qui sort tout juste de ton cul ?
– Je te l’ai déjà dit, avec lui ce n’est que pour le sexe, il n’y a pas d’amour, alors je me lâche complètement, c’est pour cela que tu me vois ainsi.
– Cela serait ce trop difficile pour toi, de te lâcher avec moi, comme tu le fais avec lui ? Ne serait ce qu’une fois ? Cela m’a vraiment excité de te voir ainsi.
J’espère biens en disant cela, qu’elle m’offrira un traitement de faveur, mais la seule chose que je reçois, c’est une fin de non-recevoir. Déçu et frustré, je repars au salon me taper un bon whisky et me branler en la regardant encore se faire sauter.
Quinze jours de plus sont passés et elle m’a donné un nouveau DVD. Comme la dernière fois, elle me dit, moqueuse, que je devrais aimer et elle part se coucher.
Cette fois ci, je n’hésite pas une seule seconde. Je suis surpris moi-même par l’excitation provoquée à l’idée de voir ma femme se faire baiser par son amant.
Cette fois ci, la vidéo commence par la vision de Marie allongée sur un transat au bord de la piscine, seulement vêtue d’un mini slip de maillot de bain, les seins a l’air. Elle bronze lascivement étendue. Ce qui me gêne un peu, c’est que cela se passe chez nous, dans notre jardin, au bord de notre piscine et que notre voisin peut la voir.
Son amant s’approche d’elle tout en la filmant, pose la caméra sur la table basse en prenant bien soin de la centrer, immédiatement, il commence à l’embrasser, la peloter, il lui suce les seins et lui passe la main sur son entrejambe. Marie semble apprécier cette entrée en matière pour le moins directe, car elle se met à gémir instantanément.
A peine quelques minutes plus tard, il glisse entre les cuisses de sa maîtresse, écartant le petit triangle de tissus et le voici en train de lécher la chatte de Marie. Il fait cela avec beaucoup de soin, elle se tord de plaisir, elle gémit bruyamment, les mains crispées sur les accoudoirs. Ce broute minou dure de longues minutes pendant lesquelles, elle a au moins deux orgasmes très rapprochés.
Puis l Jean se redresse, s’approche du visage de Marie, ouvre lui-même son pantalon et sort son sexe déjà gonflé et dur pour le fourrer dans la bouche de Marie sans plus attendre. Celle ci se met à le lécher longuement avant de le prendre en bouche et de le sucer jusqu’à ce qu’il explose dans sa gorge, il lui remplit la bouche de sa jouissance. Cette image m’excite, je me surprends à bander.
Dans la scène suivante, ils sont tous les deux dans la piscine, elle fait face à la caméra, accrochée au rebord de la piscine, tandis que, lui derrière elle, se prépare à la pénétrer. J’ai droit de nouveau à l’expression de bonheur sur le visage de Marie, lorsque celui ci enfonce sa grosse bite dans son puits d’amour.
Il pousse le vice, à disposer sous l’eau une caméra de sport, afin que je ne rate rien de leurs ébats aquatiques. Il varie également les positions, il la retourne pour la prendre debout, le dos contre la paroi, puis revient à la levrette afin que je puisse la voir jouir sous ses coups de boutoir, avant que lui-même ne jouisse à son tour.
Après cela, ils sortent tous les deux de l’eau, ils vont s’allonger entièrement nus sur les transats. Ils ne restent pas inactifs très longtemps. Il a commencé à passer de la crème solaire sur le dos de Marie, il pétrit ses fesses sans retenue, les écarte de ses doigts afin de bien voir l’entrée de ses reins, qu’il se met à lécher. Visiblement elle apprécie cette caresse buccale, car elle se cambre de plaisir, elle ne tarde pas à jouir sous les coups de langue de son amant.
C’est à ce moment là que je l’entends très clairement lui dire :
– Vas y ! prend moi comme ça ! maintenant ! je te veux là dans mon cul.
Je ne suis pas habitué à un langage aussi cru dans la bouche de Marie, qui plus est pour demander à son amant de l’enculer. Entendre ma femme prononcer ces mots, renforce mon excitation et mon érection en devient douloureuse, au point que je dois me masturber pour me soulager.
Évidement, il ne se fait pas prier, il approche son braquemart de l’anus de Marie qu’il encule sans difficulté. Il s’enfonce lentement jusqu’aux couilles et il commence un pilonnage en règle du cul de Marie qui crie de plaisir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il lâche sa charge dans les entrailles de sa soumise et lorsqu’il se retire. Il filme à mon intention, sa semence qui s’écoule de cet anus laissé béant. Elle dégouline sur la vulve dans laquelle, il enfonce sa bite encore bien raide. Il se remet à limer Marie qui a encore un orgasme très vocal.
Quelques minutes après, ils changent une nouvelle fois de position, elle vient le chevaucher. Je la vois s’empaler sur cette matraque, descendre lentement le long de cette tige qui disparaît petit à petit dans son puits d’amour. Elle se met alors à monter et à descendre, rythmant la pénétration selon son envie, elle ne tarde pas à jouir de nouveau, en hurlant son plaisir sans retenue. Je suis moi-même tellement excité que je ne peux me retenir plus longtemps d’éjaculer.
Il ne lui laisse pas le temps de se remettre, il se relève tout en la soulevant comme une plume sans que son sexe ne quitte la grotte d’amour de Marie. Celle ci est accrochée à lui, les bras autour de son cou et les jambes nouées autour de la taille de son amant. Celui ci, les mains sous ses fesses, la fait aller et venir sur toute la longueur de sa tige.
Elle subit ce nouvel assaut en gémissant de plaisir et en s’extasiant sur la virilité de son amant. Celui ci, tel un fauve en rut, souffle bruyamment. L’excitation, sûrement trop forte pour lui, il la repose par terre, l’attire contre la table de jardin, la retourne et la pénètre brutalement par-derrière. Accroché à ses hanches, il pilonne ainsi comme un forcené la moule de Marie qui hurle maintenant à la fois de plaisir ainsi que de douleur tout en s’accrochant aux bords de la table. Il y met une telle énergie, que par moment, elle a du mal à se maintenir sur ses deux jambes, elle décolle du sol sous la violence des coups de reins de son amant.
Sentant son orgasme monter inéluctablement, il la saisit par les cheveux, il la force à s’agenouiller et lui envoie sa jouissance sur le visage. Le premier jet de foutre lui atterrit sur le nez et les yeux, le second sur la bouche et dans le cou et les suivants tombent sur sa poitrine. Sans lâcher les cheveux de Marie, il se fait sucer en cherchant à enfoncer le plus loin possible son engin dans sa gorge.
Je pense que la vidéo se termine sur cette scène, mais il ajoute un commentaire à mon intention, comme pour m’humilier davantage. Il se permet de me dire qu’il souhaite que ce film me plaise parce que lui a eu énormément de plaisir à le tourner et il s’excuse pour le sperme qu’il a lâché dans la piscine. Ce salaud n’a vraiment aucune gêne.
La chose impensable pour moi, il y a encore quelques semaines, je dois reconnaître que voir ma femme baiser ainsi et se comporter comme une grosse salope avec ce type, m’excite au plus haut point. Je bande de la voir se faire prendre, de l’entendre gémir de plaisir sous les coups de cette grosse bite, de la voir jouir avec ce con. Je bande et je ne peux me retenir de me branler en la regardant et d’éjaculer à mon tour devant l’écran de la télé.
À ce moment là, j’ignore qu’à leur insu, le voisin qu’elle n’aime pas, apprécie chaque minute de cette séance de baise. Il regarde ma femme nue se prendre des coups de bite par son amant. Il garde ses jumelles braquées sur les corps des amants ainsi que son appareil photo. Il sait qu’il ne va pas attendre longtemps avant qu’elle suce sa bite pour qu’il ne dévoile pas ces photos a son mari.
Je prends mon courage à deux mains et en la retrouve au lit, je lui annonce que je souhaite être là, la prochaine fois qu’ils baiseront ensemble, je désire être présent dans la pièce, les voir et les filmer moi même.
Elle est plus que surprise par ma demande, elle reste un moment silencieuse, se demandant si elle a bien entendu.
– Tu es vraiment sûr que c’est ce que tu veux ?
– OH ! Oui, je veux être là !
– Bon ? Je lui demanderai s’il veut bien.
Sam Botte
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