Ce soir, en robe de chambre, je me détends en regardant la télé, en attendant Marie qui est au pot de départ en retraite d’un de ses collègues de travail. Le match de foot est fini. Alors, je mets le dernier DVD de Marie avec Jean. Ma queue se redresse évidement, minuit toujours pas de Marie ! C’est la dernière heure que j’ai retenue, après j’ai plongé dans les bras de Morphée, tandis qu’elle se faisait prendre par le cul, on voit bien que ce n’est pas une première pour elle.
Soudain, je suis réveillé par une voiture qui se gare devant le garage, un coup d’œil à la pendule, il est plus de trois heures du matin. J’éteins le lecteur DVD qui est resté allumé, la porte s’ouvre, Marie passe devant le salon pour aller vers la salle de bain.
– Ah ! Te voilà chérie ?
– Oh ! Tu n’es pas couché ! Excuse-moi, mais j’ai eu des imprévus.
– Au point de te laver ? Approche mon amour, viens me faire un bisou ? Oh ! tu pues de la bouche.
Les cheveux ébouriffés, son rimmel a coulé, ce qui lui donne une apparence de clown triste – Je vais tout te raconter.
– J’y compte bien.
– Et si nous allions sur le lit, je suis rompue.
– OK !
Marie ôte son top, c’est plus une surprise, elle a les seins nus. La jupe glisse lentement sur ses hanches ? Elle est cul nu, comme à présent sa moule est imberbe, je peux voir les lèvres de sa chatte gonflées et suintantes de sperme. Un bas à un accroc ! je la pousse sur le lit, où elle tombe les bras en croix.
– Allez ! Raconte, ça doit être croustillant, je veux du détail !
– Comme tu veux. Alors voilà, hier soir vers onze heures, je m’apprête à rentrer, je vais pour remercier Pierre et lui souhaite une bonne retraite. Jean me demande :
– Tu vas donner un coup de main à Pierre pour ranger et même plus après, s’il te plaît ?
– Ça ne m’arrange pas ? Mais bon, puisque tu me le demandes, OK !
Jean m’avait prévenu auparavant qu’il m’offrirait à d’autres et je lui avais donné mon accord.
– Comment ça ? T’offrir à d’autres avec ton accord ?
– Attend ? Que je t’explique. C’était un soir, au moment de partir, il a voulu absolument me présenter à un commercial, dans son bureau, celui-ci me détaillait de la tête aux pieds, il avait dû le mettre au courant de notre relation
– Marie, je te présente Marc, assis toi, tu prendras bien un verre avec nous ?
Et il a sorti une bouteille de son placard, j’étais assise dans un fauteuil, le gars est resté assis sur un coin du bureau, Jean derrière le bureau, tous deux fixaient mes cuisses, car ma jupe remontait à cause de la profondeur du fauteuil, au cours de la conversation, je me suis détendue et mes genoux s’ouvraient, Jean est venu s’asseoir sur un accoudoir.
– Tu as quand même une magnifique poitrine Marie. Vous devriez voir ça Max ?
L’autre, sans gêne, est venue s’asseoir sur le deuxième accoudoir, à partir de là, ça a vite dégénéré. Marc s’est levé pour venir derrière moi, a posé les mains sur mes seins par-dessus puis à même la peau pendant que Jean relevait ma jupe malgré mes protestations vite anéanties quand ma petite culotte a été tirée vers le bas.
Donc ils m’ont carrément foutue à poil, courbée sur un accoudoir, j’en suçais un pendant que l’autre me prenait en levrette, ensuite ils ont inversés les rôles avant de décider de me prendre en double ?
Je me suis retrouvée pliée en deux, assises sur Jean qui me dévorait la bouche. J’ai senti la queue de Marc qui venait taper sur l’entrée de ma moule au dessus de la queue de Jean. J’ai voulu l’empêcher de forcer l’entrée de ma chatte. Jean m’a immobilisé contre lui avec ses bras. Marc a peiné un bon moment avant de trouver sa place dans ma moule déjà bien remplie, ces deux salauds m’ont secouée longtemps, j’eus deux orgasmes, avant qu’ils se vident les couilles, dans un véritable torrent de foutre.
C’est après ça que jean m’a dit :
– Comme tu as bien joui avec nous deux, je te ferais baiser par d’autres ensemble.
– Oh ! Oui, mon chéri, tout ce que tu veux du moment que je jouis pour toi.
Voilà, je reprends mon récit. Donc, comme je te disais :
– Nous avons commencé à débarrasser les tables, finalement deux intérims qui finissent leur contrat ce soir, un maghrébin et un Malien se sont joints à nous. Je me dépêchais et à un moment donné, je me suis penchée sur une table pour attraper des gobelets lorsque Pierre a crié :
– Ne bouge plus Marie ? Je découvre tes jambes comme jamais je ne les ai vues ! S’il te plaît reste un moment comme çà ?
Je me suis dite : Après tout, je ne le reverrais plus, si ça peut lui faire plaisir.
– Tu m’en remonterais pas un peu plus ?
– Pierre ! Voyons ? Pas ici ?
Que n’aie je pas dis là ?
– Tu as raison, viens et allons dans un bureau, c’est le plus beau cadeau que Jean me fait. Les gars, vous passez un coup de balais et vous pouvez partir.
Comment refuser ? Nous nous sommes retrouvés dans un bureau, un verre à la main :
– Bon, que veux tu voir de plus Pierre ?
– Tu sais ce que j’aimerais ? Un petit strip-tease !
– Je fais ça ici ?
– Oui ! Là, dans le bureau.
Sans musique ce n’est pas facile, j’ai commencé à me déhancher, bon, je te fais grâce de la suite, je me suis retrouvée nue à vingt centimètres de son visage, le pauvre était tout rouge !
– Continue à te balancer, que tu es si belle !
Je ne savais plus que faire ? Pétrifiée, je suis restée sans bouger, il a alors posé ses mains sur mes fesses, sa joue appuyée sur mon pubis, il a embrassé l’intérieur de mes cuisses, malgré moi celles-ci se sont ouvertes, il m’a soulevée pour m’asseoir sur le bord du bureau ….
– Oh, tu sens bon la femme, ouvre toi Marie, tu es mouillée, je veux te boire ?
– Pierre, je ne suis pas très propre, ma douche date de ce matin.
– Justement, c’est comme ça que j’aime une chatte, c’est la seule de la boite que je n’ai pas eue !
Alors, j’ai obéi, il m’a léchée et tu me connais, quand on touche à mon petit bouton, je ne peux plus rien refuser. A nouveau, il m’a prise dans ses bras pour me déposer sur la moquette rase, là, j’ai tout lâché. Je me suis offerte complètement à ses caresses, j’ai fermé les yeux en lui tenant la tête sur ma chatte, j’ai joui.
Quand je suis redescendue de mon petit nuage en ouvrant les yeux ? Tu es sûr de vouloir connaître la suite ?
– OH oui ? Ce doit être très intéressant ?
– Bon ! Eh bien au dessus de moi deux énormes bites se balançaient une bien brune, celles du Karim et l’autre noire, celle d’Ahmed, j’allais protester, mais à ce moment là Pierre m’a pénétrée, mes jambes sur ses épaules, son gros sexe me pourfend en deux.
La bouche ouverte sous la surprise, Karim en profite, il soulève ma tête pour m’embrocher carrément sur sa bite circoncis, Ahmed me pelote les seins en se masturbant. J’ai adoré, comme une affamée, j’ai sucé, je me lance au devant de la queue qui me perfore la moule. Son récit me fait bander à l’extrême, ses lèvres n’ont aucunes formes, collées par le foutre, je les sépare, un flot de liquide coule dans sa raie, mes doigts s’aventurent sur son petit trou, petit ? Avant oui !
Mais ce soir, c’est une boursouflure ignoble à peine refermée, suintante.
– Oh chéri, baise moi ! Baise ta salope de femme !
– Te baiser ? Que veux tu que je baise ? Un trou difforme où je vais nager ? Je vais plutôt t’enfiler ma main pendant que tu continues à déballer tes saloperies.
– Comme tu veux mon amour ? Karim a déchargé dans ma bouche, ça m’est ressorti par les trous de nez, le reste est parti dans mes cheveux et sur mes seins.
Pierre lui aussi a joui dans ma moule, il s’est rapidement retiré, bousculé par Ahmed qui voulait la place, sa trique est plus dure que celle de Pierre qui m’a bien lubrifiée. Je jouis sans discontinuer, hystérique, gourmande de queues, je leur demande de me défoncer, alors Ahmed me bascule sur lui, je me cambre, j’offre mon cul sans m’en rendre compte.
C’est Karim qui en veut encore, donc il décide de me prendre en double par la chatte avec son copain. J’ai cru entendre craquer mes chairs, j’ai eu une pensée pour toi, toi qui aimes me voir prise par Jean, ma chatte devait être belle à voir, plantée par deux matraques. Karim me travaille l’anus, je pense avoir compris et j’appréhende. Ils m’ont tellement pistonnée la moule que ma vessie a lâchée, je leur ai pissé dessus ?
– AAHH ! la salope elle nous pisse dessus ?
Je ne pouvais même pas crier, car Pierre a voulu que je le suce pour lui redonner une érection convenable. Il clame :
– On va te baiser encore et encore.
Et ce qui devait arriver ? Karim a pointé son gland sur la cible désormais préparée, lentement sa matraque s’enfonce dans mon boyau. Tous mes trous sont pris.
Vas y chéri ta main est presque rentrée ? Aie ! Force encore un peu, je vais me dilater encore, comme tout à l’heure ! Tu es sur que tu ne veux pas me baiser, j’ai envie de ta queue ?
– Finis d’abord ton récit !
A ce moment là j’ai crié :
– Donnez moi à boire, j’ai la bouche sèche ?
On m’a tendu un gobelet plein de champagne, je sais, c’est de l’eau que j’aurais du boire ?Karim a dit :
– Donne moi la bouteille, lui aussi en veut ?
C’est de mon cul qu’il parle, car il retire sa queue, je sens le liquide froid couler dans mon trou du cul béant, des milliers de bulles éclatent, ça pique et c’est bon, je deviens folle de jouissance. Il enfonce a nouveau sa queue jusqu’à la garde, le champagne gicle hors de mon boyau.
– OOORRR ! Mes salauds, allez y ? Je JOOUIIIIIII !
À nouveau des giclées fusent de ma chatte, mais cette fois, c’est mon côté femme fontaine qui se déclenche. Combien de fois m’ont-ils déchargés dans tous mes puits d’amour, je ne sais plus, mais tu vois le résultat ? Lorsque nous nous sommes relevés, une flaque impressionnante décore la moquette. Pierre me roule une pelle et me dit :
– Tu remercieras Jean du merveilleux cadeau qu’il m’a fait !
Pour ne pas tacher le siège de la voiture, je me suis assise sur mon foulard et me voilà.
Tu as encore envie de me baiser après ça ?
– Je voudrais bien ! Mais, tu vas à la salle de bain maintenant salope, laisse toi tremper une heure pour dégorger tout ce que tu as dans le corps ?
– Tu es dur avec moi ….
– Je veux bien être cocu consentant ? Mais il y a des limites tout de même.
Je pars me coucher et lorsqu’elle me retrouve au lit, je lui annonce que je souhaite être là la prochaine fois qu’ils baiseront ensemble, je veux être présent dans la pièce, les voir et les filmer moi même.
Elle est un peu surprise de ma demande, elle reste un moment silencieuse.
– Tu es vraiment sûr que c’est ce que tu veux ?
– Oui, je veux être là.
– Bon ? Je lui demanderai s’il veut bien ?
Sam Botte
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