Quelques jours plus tard, elle m’annonce que Jean est favorable,il est même emballé par cette proposition et si je suis toujours d’accord, qu’ils ont convenu, qu’il peut venir le samedi soir à la maison afin que nous passons cette soirée tous les trois. Il lui a fait part qu’il n’est pas jaloux et qu’il est prêt a me baiser devant toi.
– OK ! On va faire comme ça. Puisqu’il est d’accord pour te baiser ici devant moi. Tu me confirme qu’il est bien d’accord ?
– Oui ! Mais toi ? Ça ne te feras rien de me voir baiser avec mon amant ?
– Absolument pas ! Encore moins si je participe à la fin. Donne lui rendez vous pour vendredi soir, c’est préférable.
– Si, c’est vraiment ce que tu veux ?
Le fameux vendredi soir malgré mon anxiété, je demande a Marie de s’habiller sobrement, c’est à dire au minimum. Il ira droit au but, si j’ose dire. Elle opte pour un mini string simplement caché par un kimono en soie, maquillée sobrement elle est bandante il n’y a pas d’autres mots. Plus sexy et désirable que jamais, délicatement parfumée. Aucun doute qu’elle avait envie de passer la soirée et la nuit à se faire prendre comme une chienne.
Le soir venu, elle a tout organisé pour cette soirée. Le champagne est au frais, les tapas et autres amuses bouche disposés dans les assiettes, sont préparées pour l’occasion.
A l’heure dite Jean arrive un bouquet de fleurs dans une main, une bouteille de champagne dans l’autre, il roule une pelle a Marie en la complimentant sur sa beauté. Il est décontracté, nullement impressionné ou gêné par ma présence. Il se présente lui même en me tendant la main.
– Bonsoir Denis.
– Bonsoir Jean.
– Denis ! j’admire ta réaction a ce problème, tu as de la chance d’avoir une si belle femme, c’est pour ça que j’ai craqué.
Il est vraiment athlétique et sa poignée de main est virile. On s’installe tous les trois au salon et on commence à manger et boire. Il a pris place dans le canapé, moi dans un fauteuil en face et lorsqu’elle n’est pas assise à côté de lui, elle virevolte autour de nous.
Elle nous aguiche l’un et l’autre et je sens une terrible excitation m’envahir. Lui aussi est excité, la déformation de son pantalon ne laisse planer aucun doute. Il saisit d’ailleurs très vite ma femme par les hanches alors qu’elle passe devant lui, et la fait s’asseoir sur ses genoux, face à moi. Il commence à lui caresser les seins et le ventre au début par dessus le kimono, ensuite ses mains glissent bien vite sous le kimono pour remonter sur ses cuisses.
Les mains tremblantes, il défait la ceinture du kimono qui s’ouvre sur le corps pratiquement nu de Marie, il donne un baiser sur les seins qui dardent déjà, le vêtement glisse a terre.
– Allonge toi sur la table chérie ?
Jean descend doucement sa bouche jusqu’au string de Marie, il respire son parfum intime.
Il passe ses doigts sous le vêtement, je peux deviner son clitoris sous ses doigts avant qu’il ne les plonges dans son puits d’amour. je comprends pourquoi elle a cédé tu as une queue magnifique ….
– Alors ? Elle mouille ?
– Une vraie fontaine la chérie ! Je vais lui manger la moule comme tu dis !
Pour enlever son string, Marie l’aide en soulevant son postérieur, remonte ses talons et écarte les genoux, sa moule baille luisante de mouille, elle teint la tête de son amant pour le guider vers ses points sensibles. Elle se met à gémir instantanément, s’abandonnant totalement à ses caresses en me lançant par moments des regards lascifs en se mordillant les lèvres puis en rejetant sa tête en arrière. je me délecte de ce spectacle, si je n’arrête pas de me branler, je vais jouir avant l’heure. Pour me distraire de mes pensées, je vais déboucher le champagne.
– Jean, retire toi un instant, tu va boire une coupe. Chérie, ça va peut être te piquer un peu ?
J’enfourne le plus loin possible le goulot dans sa fente, elle se raidit sous l’effet du froid.
– AAAAHHHHH ! Ça pétille ?
– Soulève tes fesses pour le garder dans ton ventre. Jean es prêt pour la dégustation ?
En faisant des bruits mouillés Jean bois le champagne mélangé aux sécrétions vaginales. Il se redresse, prend la bouteille de ma main et refait se que je viens de faire.
– MMMMM ! C’est bon, qui veut en avoir encore ?
– A ton tour Denis !
Je bois à la source de ma femme avec délice. Pendant que je bois, Jean s’est allongé nu sur le tapis du salon. Il fait signe à Marie de venir sur lui en soixante neuf.
Aussitôt demandé, aussitôt fait, elle s’accroche a sa verge comme a une bouée de sauvetage tandis qu’il écarte les lobes et maintient le fessier a bonne hauteur. Avec ses doigts il lui travaille l’anus.
Bientôt ce n’est que des bruits de sucions et de soupirs, la tête de Marie monte et descend sur le dard a toute vitesse. Dans un mélange de sensualité et d’érotisme torride, elle lui fait une pipe digne d’une star du porno. Alternant les coups de langue, la succion du gland, le léchage de la hampe sur toute sa longueur, elle avale par moment ce monstre de chair avec une facilité déconcertante, jetant toujours des regards provocateurs dans ma direction.
Elle branle le mat à toute vitesse, Jean soulève son cul, il va jouir très vite ? Elle arrête tous mouvements, les joues creuses elle se prépare à l’invasion de sa sauce. Elle déglutit, il jouit. Malgré sa bonne volonté, il lui coule un peu de sperme au coin de la bouche.
Jean une fois la pression redescendue retire les doigts, qu’il avait enfoncés dans le cul et attend.
Je vois qu’il es toujours raide ? Chapeau ! Il s’adresse a Marie :
– Chérie, viens faire du cheval, sur moi ?
– Tu es d’accord pour qu’ont te prenne a deux ? Ton petit cul est bien assouplit !
– OH, Oui ! Avec mes deux chéris !
Elle fait un demi-tour sur le torse de Jean, je reste derrière pour assister en gros plan a la saillie. De deux doigts elle écarte les lèvres de sa moule, même si elles sont déjà bien ouvertes, son gland mafflu vient en contact. Il repousse les chairs, le membre épais disparaît lentement dans son ventre, une fois bien calée sur ses couilles. Elle attend afin de laisser sa gaine vaginale s’habituer au corps étranger en l’embrassant amoureusement. J’ ai un pincement au cœur de la voir l’embrasser ainsi. C’est Jean qui donne le signal en envoyant un coup de rein, elle sursaute et en appuis sur les mains commence une chevauchée fantastique. Ses seins ballottent en tous sens, sa verge bien graissée par la mouille pistonne sa moule a toute vitesse, je crois que le moment pour moi est venus d’offrir ma participation !
Je pose une main sur les reins de ma femme, celle-ci comprend le message et ralentie la cadence.
– Mon chéri, je crois que mon mari veut participer, tu stoppe un instant ? Fait doucement chéri ? Je suis déjà bien remplie par sa queue.
Je cherche la bonne position, son anus palpite d’appréhension ! Après avoir graissé mon nœud autour des lèvres dégoulinantes de sa moule, je pousse sur l’anneau qui se dilate à mesure que j’avance.
– ARH ! ARF ! Doucement chéri ?
– Détend toi mon amour, respire a font, une fois la tête passée les épaules vont suivre ? Tu as déjà dû prendre deux queues en même temps d’après tes dires !
– Voilà ? Ma queue est entré dans ton cul ? Alors ça fait mal ?
– Non pas dû tout, ça fait drôle, j’ai la queue de mes deux chéris dans mon corps !
– Pour moi aussi ça fait drôle de sentir la bite de ton amant sous la mienne, il m’excite le gland. Je ne sais pas si je vais tenir longtemps ?
– Ah non ! Ne me fait pas çà ! Baisez moi à fond tous les deux, va y Jean défonce ta salope de maîtresse comme tu sais le faire.
Comme une machine bien réglée, alternativement nous baisons Marie de plus en plus fort, je me cramponne à ses hanches, coincée entre nous deux, ses mouvements sont limités, elle râle de bonheur, je reconnais qu’il a une bite plus large que la mienne, c’est normal qu’elle y ai trouvé du plaisir et qu’elle y soit revenue !
Je me retire complètement, son anus reste béant comme un puits sans fond, rougi par les va et vient. Un jet de salive et je replonge dans un bruit d’air chassé, cela déclenche a Marie un orgasme puissant, ses sphincters se resserrent sur nos queues. Jean jouit dans un râle à faire fuir un animal féroce, une seconde fois je perçois les contractions de sa pine a mesure qu’elle injecte sa purée dans la grotte de ma Marie. Excité par la situation, je ne peux plus me retenir, aussi je vide mes couilles dans le boyau étroit de ses entrailles.
Marie tremble de tous ses membres affalée sur son amant, ils s’embrassent comme des amoureux. Ma bite perd de volume et glisse hors de son anus qui fait des bulles en rejetant un surplus de sperme qui coule sur les couilles de Jean. J’ai juste le temps de me relever pour voir Marie qui s’affale sur le Jean, anéantie, gavée, une coulée épaisse enduit son entre-cuisse.
Nous faisons une pause, en prenant du champagne et des tapas, Mais très vite il est de nouveau en érection et recommence à prendre ma femme sur le canapé. J’assiste ébahi à une débauche de positions, en quelques heures elle enchaîne les orgasmes les uns après les autres.
Il finit par demander si on ne peut pas aller sur un lit pour être plus à l’aise. Il se fait directif, mais toujours très courtois. Nous gagnons notre chambre et il me demande de m’allonger sur le lit. Il dit ensuite, à ma femme de se mettre à quatre pattes et de me sucer pendant qu’il recommence à la prendre en levrette. Il la pénètre ainsi depuis quelques minutes et je vois bien que ses doigts refouillent le cul de Marie.
Lorsque je suis en érection, il lui demande alors de venir me chevaucher, ce qu’elle fait sans problème. Il s’approche alors d’elle et la sodomise sans grand ménagement. Marie pousse un râle à la fois de plaisir où de douleur, mais très vite je remarque qu’il n’y a que de plaisir sur son visage. Je découvre pour la première fois cette sensation dans l’autre sens. Je suis dans ma femme et je sens les mouvements de l’autre bite dans son cul, à travers les parois du vagin et du rectum. Cette autre sensation est incroyable .
Elle ne bouge pas. En fait, c’est lui qui donne le tempo et qui la fait bouger. Celle ci a un nouvel orgasme et s’écroule sur moi épuisée. Lui continue à la ramoner sans ménagement. Je finis par jouir avec ma femme toujours écroulée sur moi, il continue encore un long moment avant d’éjaculer à son tour dans les entrailles de Marie et de venir comme à son habitude, se faire lécher la bite aussitôt sa besogne anale terminée.
Comme nous n’avons pas bouger de place, cela se passe devant mes yeux, à quelques centimètres à peine de mon visage. Il tient Marie par les cheveux, il se fait lécher et nettoyer la bite. Il l’enfonce dans la bouche de Marie, la ressort et lui frotte sur le visage avant de la renfoncer profondément dans sa gorge. Une fois qu’il s’est estimé bien nettoyé, il se retire, cependant il a la force à m’embrasser à pleine bouche. J’ai le goût mélangé de son sperme et du cul de ma femme dans la bouche. Étrange sensation que celle d’être humilié et d’apprécier ce traitement.
Si j’ai débandé, il n’en est pas de même pour lui. Il est toujours en érection et n’est pas encore rassasié de baise. Il l’a fait allonger sur le dos, il la prend en missionnaire cette fois, lui écarte plus ou moins les jambes ou les lui fait replier plus ou moins sur la poitrine, tantôt complètement couché sur elle, tantôt se relevant pour la peloter tout en la pilonnant. Je suis allongé à côté d’eux, silencieux, à la fois jaloux et admiratif de cet étalon qui baise la depuis à présent plus de trois heures presque sans interruption.
Marie enchaîne les orgasmes au point que je ne sais plus combien fois elle a joui ce soir. Il se retire juste avant de jouir, et vient éjaculer sur le visage de Marie. Elle est recouverte de son foutre. Elle en a sur le menton, autour des lèvres, dans les yeux, les cheveux et le cou. Putain, mais comment fait il pour avoir encore autant de jus après avoir déjà joui cinq ou six fois ?
Elle se relève et se penche sur moi, elle vient frotter son visage couvert de sperme sur le mien. Elle m’embrasse à pleine bouche, me fait goûter à la semence de son amant, m’en recouvre à mon tour tout le visage. Elle semble prendre un malin plaisir à m’humilier ainsi. Mais je ne suis pas au bout de mes peines. Sitôt fini de m’embrasser, elle se redresse et vient s’asseoir à califourchon sur moi, approchant sa vulve dégoulinante de sperme de mon visage et m’oblige à lui lécher la moule.
Je cherche à me dégager dans un premier temps, mais elle est tellement installée sur moi que je ne réussis pas à me dégager. Je me retrouve avec cette chatte gluante qui recrache tout le sperme qu’elle a reçue depuis le début de la soirée. Je ne peux rien faire d’autre sinon me résigner à la lécher et à avaler ce mélange de sperme et de cyprine qui me coule dans la bouche. Mais l’humiliation ne s’arrête pas là.
Il s’approche de nouveau et la pénètre alors que je suis entrain de la lécher. Non seulement j’ai son sperme dans la bouche, mais à présent j’ai son énorme queue qui lime ma femme juste sur mon nez, avec ses couilles qui frottent sur mon menton. Comble de l’humiliation pour moi, il se remet à sodomiser Marie tandis qu’elle continuer à frotter sa chatte sur ma bouche.
Il navigue quelques minutes dans le fondement de ma femme avant de se retirer et de revenir dans son vagin. Elle jouit une nouvelle fois, m’inondant le visage et la bouche. Il recommence cette manœuvre trois où quatre fois, elle a un autre orgasme, il éjacule de nouveau un peu dans le cul, un peu dans la chatte et il se finit en entrant dans ma bouche. Je sens son sperme chaud me couler dans la gorge. Cela m’écœure, mais je ne peux rien faire d’autre que subir et avaler.
Il murmure à l’oreille de Marie, aussitôt elle plaque sa moule sur mon nez et son anus sur ma bouche ? Elle pose ses mains sur mes bras, pourquoi elle m’immobilise ainsi ?
J’ai vite la réponse. Je sens Jean m’attraper derrière les genoux et écarter mes cuisses. Je n’ai pas le temps et la force de réagir asse vite. En un éclaire, il enfonce son pieu dans mon anus qui s’est relâché sous l’incompréhension de leur agissement soudain. J’ai beau resserrer mon sphincters, le nœud est déjà rentré, le reste suit.
Il m’écarte les jambes le plus possible et son sexe s’enfonce en moi. Malgré mes cris étouffé par la croupe de Marie, il continue, il enfonce toute sa matraque dans mon boyau et s’immobilise avec mes jambes sur ses épaules. J’ai l’impression d’être ouvert en deux, mon anus me brûle, c’est gros ? Trop gros ?
Il ressort de mes reins, il repositionne son sexe sur mon orifice encore béant.
– Je vais te baiser comme ta femme ?
Dès que le gland est rentré, Il se renfonce dans mon rectum d’un coup brutal, en entier. Je hurle, je suis sur que je vais mourir, que mon cul va éclater, je veux de le pousser hors de moi, mais mes mains sont prisonnières des cuisses de Marie.
– Calme toi mon Chéri ! Tu es enculé maintenant ? C’est juste un peu dur au début, mais tu vas aimer aussi comme moi ? Je t’assure ?
Jean reste un moment enfoncé en moi en entier et petit à petit, il commence des vas et viens.
Pas trop important d’abord, mais de plus en plus fort, insérant des mouvement de plus en plus amples. Ça dure une éternité, il me sodomise pendant plus d’un quart d’heure et se con me fait bander à m’enculer ?
D’un coup, Jean grogne et je le sens s’enfoncer au plus profond de mon ventre, soudain des jets chauds me remplissent ses entrailles ? Il vide son plaisir dans mon boyau. Ensuite, subitement, Marie se retourne, s’allonge sur mon ventre en enserrant ma tête avec ses cuisses. Elle me suce la bite en érection, pendant qu’il se finit en me ramonant le cul.
Elle finit par avaler ma jouissance, alors qu’il ce retire de mon anus, avec son sexe encore dure et il me regarde en souriant. Il m’écarte les cuisses et les fesses, permettant a Marie de voir de prêt, mon trou rougi et encore bien éclaté.
– Ça t’as plu mon chéri de te faire défoncer par sa grosse bite, hein ? Réponds ?
Me demande Marie. Je sens mon cul endolori, douloureux, brûlant, rempli de sperme.
– MMM ? Je sais pas, c’est la première fois ? Bon, Peut être, Oui !
– Tu es notre pute maintenant, notre sac à foutre, tu appartiens a Omar !! Dit elle ?
Mon calvaire prend fin vers trois heures du matin, lorsqu’ils partent tous les deux dans la salle de bain, me laissant seul sur le lit. Je les entends encore baiser une fois dans la douche. Marie hurle de nouveau de plaisir. Mais qu’est ce qu’il peut encore lui faire pour qu’elle jouisse encore ? Malgré la curiosité qui me tenaille, je n’ai vraiment plus la force de me lever et d’aller voir. Je m’endorme et les abandonne à leurs ébats qu’ils continuent jusqu’au petit matin.
Sam Botte
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