L’humiliation que je viens de vivre cette nuit là, n’est encore rien à côté de celle que je vais bientôt subir.
La dernière performance de Marie et de son amant dans et autour de la piscine, a été observée par notre voisin. Je sais depuis longtemps que lui où son fils, reluque ma femme lorsqu’elle bronze sur un transat les seins à l’air sans vraiment se cacher. Je le sais pour l’avoir aperçu à plusieurs reprises en train de la mater à travers la haie.
Elle aime provoquer ce type, bien que plus âgé que nous et pas forcément beau. Mais cette fois, c’est allé beaucoup plus loin, au point qu’il n’a pas hésité à accoster Marie la semaine dernière.
Il a commencé par la féliciter pour le spectacle offert, lui disant combien il a apprécié cette partie de jambe en l’air. Il lui a même avoué qu’il a filmé avec son téléphone portable, mais il regrette que la qualité de la vidéo ne soit pas meilleure. Et pour finir, il lui a bien entendu proposé de participer la prochaine fois.
Marie me raconte cela comme si cela ne l’atteint pas, même d’avoir été vue et filmée en train de se faire baiser dans notre jardin par son amant.
– Oh ! Quel salaud ? Et que lui as tu répondu ?
– Que j’allais y réfléchir.
Je m’étrangle de rage.
– Quoi ? Tu ne lui as pas dis ça ? Là, c’est sûr qu’il va vouloir te baiser ? Je vais passer pour quoi maintenant ?
– Oh ! à mon avis, tu n’as plus à te préoccuper de ta réputation de cocu. Demande à Luc ?
– Mais tu es vraiment une salope !
– OH ! Jusqu’à présent, cela ne te dérangeait pas beaucoup, qu’il passe des après-midi entières à me mater et à faire des photos lorsque je bronzais ? Et bien, cette fois ci, il en as eu pour son argent !
– Mais tu comptes réellement l’inviter et le faire participer à vos ébats ?
– J’en ai discuté avec Jean et il n’est pas contre de faire ça avec un autre homme que toi.
– Mais non! On ne peut pas faire ça ? Tu me disais toi même que ce type n’avait rien d’attirant et là tu vas accepter de baiser avec lui ?
– Oui, c’est vrai que ce n’est pas un apollon, mais puisqu’il semble avoir une terrible envie de me baiser, je vais tout de même me laisser tenter. Et depuis que l’on a baisé tous les trois l’autre nuit, je t’avoue que j’ai bien envie de ré-essayer. Vous sentir tous les deux en moi m’a procuré tellement de plaisir, que j’ai trop envie de recommencer. Et peut être que toi aussi tu te feras enculer ? La dernière fois tu as aimé ça, il faut voir comme tu bandais !
Je suis effondré par tant d’audace de la part de ma femme. Jamais je n’aurais cru cela possible. Ce n’est plus la Marie que j’ai connu, la jeune femme timide que j’ai dépucelée alors qu’elle avait dix neuf ans et qui à l’époque ne connaissait rien au sexe.
Elle me porte le coup de grâce lorsqu’elle me demande si je souhaite être présent ce jour là, où si je me contente d’une vidéo ? Sonné par tant d’audace, je finis par dire oui.
Le samedi, dès treize heures, Jean et le voisin arrivent à la maison. Le voisin étant marié, il lui est impossible de passer la nuit hors de chez lui. Tant mieux, il restera moins longtemps.
Marie a revêtu sa petite robe rouge de plage, celle qu’elle portait déjà lors de la première vidéo avec Jean dans notre cuisine. La salope, elle sait comment faire pour aguicher les hommes, même moi je bande en la voyant apparaître ainsi.
Jean est habitué maintenant, il l’a saisit et l’embrasse passionnément en la pelotant, le voisin lui reste quelques secondes bouche bée sur le pas de la porte. Il regarde Marie de bas en haut comme s’il ne l’avait jamais vu. C’est sûr qu’à côté de sa femme, il n’y a pas photo. Marie est bien plus bandante que sa mégère. C’est ce qu’il doit se dire dans sa tête en s’approchant de ma femme pour lui dire bonjour.
Il déshabille littéralement Marie du regard, il la scanne de haut en bas et de bas en haut, et doit déjà s’imaginer ce qu’il va pouvoir faire avec cette voisine qui lui fait envie depuis si longtemps. Nous sommes encore dans l’entrée, Jean s’approche de Marie par derrière et la saisit dans ses bras en la caressant par dessus sa robe et en l’embrassant dans le cou.
Il la présente à Guy, notre voisin, qui leur fait face, il qui ne tarde pas à s’approcher d’eux. Il se met à son tour à embrasser ma femme dans le cou, ensuite sur la bouche comme des amants de longue date. Je suis surpris par l’absence de réaction de Marie qui lui rend son baiser et s’offre lascivement à ces deux hommes. Guy s’enhardit et saisit la poitrine de Marie à pleines mains.
Très vite celle ci se retrouve les seins à l’air, pelotée par quatre mains qui jouent avec ses gros tétons déjà gonflés d’excitation. Guy ne tarde pas à prendre un sein en bouche, à le lécher, à le téter goulûment, à sucer ce mamelon déjà gonflé de désir, Tandis qu’une main de Jean est déjà en train de caresser le sexe de ma femme. Sa petite robe ne tarde pas à tomber par terre, dévoilant une Marie nue intégralement.
Le trio m’ignore totalement, je suis là, dans l’entrée, à côté d’eux, mais totalement transparent, inexistant.
Jean, en chef d’orchestre, commence à se déshabiller, ne gardant que son boxer, immédiatement imité par le voisin. Il saisit Marie par les cheveux et lui demande de s’agenouiller entre eux et de les sucer. Elle s’exécute sans hésiter.
Elle s’accroupit jambes grandes écartée entre les deux hommes, extrait de leur boxer les deux bites, elle se met à les sucer alternativement en leur prodiguant un massage des couilles et en masturbant celui qu’elle n’a pas en bouche. Je suis surpris par la taille du sexe de notre voisin. Lui qui ne ressemble à rien, est tout de même doté d’un bel engin. Pas aussi monstrueux que celui de Jean, mais tout de même de belle taille. Un peu plus gros que le mien et également plus long.
Décidément, je n’arrive pas à rivaliser même avec le voisin. Il ne manque décidément plus que ça pour accentuer l’humiliation d’être cocu.
Elle pompe les deux hommes comme une pro. Je n’ai jamais eu à me plaindre lorsqu’elle exerçait ses compétences buccales sur moi, mais en la voyant faire avec les autres, j’ai l’impression qu’elle est encore meilleure qu’avec moi. La sensation qu’elle se transcende pour ses amants, comme si elle veut leur démontrer qu’elle est la meilleure dans cet exercice et qu’ils ne trouveront pas meilleure suceuse de bite qu’elle.
Il faut dire qu’elle y met tout son cœur. Elle lèche la hampe de chacun avant de leur sucer le gland, passant de l’un à l’autre puis prenant une bite à pleine bouche et la suçant comme une forcenée. Jean met fin à cette scène, la relève et les entraîne directement dans notre chambre. Il est comme chez lui. Il la fait allonger en travers du lit, un coussin sous les épaules pour lui défléchir la tête en arrière, il invite Guy à regagner la bouche de Marie qui lui offre une magnifique gorge profonde pendant que Jean qui s’est installé entre ses cuisses, commence à lui brouter le minou.
Il lui lèche la moule, passant sa langue sur ses lèvres intimes joue avec son clito turgescent, enfonce par moment sa langue le plus loin possible dans son vagin, puis recommence à lécher et titiller le petit bouton. Elle gémit de plaisir sous les coups de langues de Jean tout en avalant le pénis de notre voisin qui disparaît entièrement dans sa gorge. Elle se retrouve avec les couilles de ce mec sur les yeux et le nez. Elle a ainsi son premier orgasme d’une intensité extraordinaire.
La bite du voisin toujours plantée jusqu’à la garde l’empêche de hurler, mais à la voir se tordre, il n’y a aucun doute possible sur le plaisir qu’elle ressent. Ce Jean sait comment la faire grimper aux rideaux. La voir ainsi prise par ces deux hommes me fait bander alors que je devrais du me sentir humilié. Alors que, je n’ai envie que d’une seule chose, me masturber en les regardant tous les trois.
Guy et Jean changent de place.
Guy qui n’a pas résister longtemps au traitement dans la bouche de Marie se met à lui bouffer la chatte à son tour et Jean vient se faire sucer et lui aussi finit par lui enfoncer son énorme tige au fond de la gorge. Je n’ai toujours pas compris comment elle peut avaler un tel braquemart. Il lui déforme la bouche et lorsqu’il s’enfonce, on voit sa gorge se soulever. J’ ai impressionné que sous les coups de langues de Guy, elle a un deuxième orgasme, Jean vient à son tour lui remplir la bouche et la gorge de sperme. Elle manque de s’étouffer tellement il a déchargé.
Nullement rassasié, Jean passe entre les cuisses et la pénètre en missionnaire sans débander pendant que Guy se fait réanimer de nouveau dans la bouche de ma femme. Lorsqu’il est de nouveau bien dur, Jean lui demande de s’allonger sur le dos et elle vient le chevaucher et bien entendu, Jean va directement la sodomiser. Celle ci est maintenant prise devant moi par deux mecs et manifestement elle adore cela.
Il suffit de l’entendre gémir pour en être convaincu. Elle est empalée sur la bite de Guy qui lui caresse et lui suce les seins, pendant que Jean à grand coups de reins, lui défonce le cul en lui donnant par moment de grande claques sur les fesses. Guy entre deux succions des seins de ma femme, commente par des :
– Oh putain que c’est bon ! t’es vraiment trop bonne ! Jean lui va et vient sans ménagement dans le cul de Marie, qu’il lime bestialement en poussant des cris de fauve.
Marie me lance par moment des regards en passant sa langue lascivement où en se mordillant les lèvres pour bien me montrer le plaisir qu’elle ressent d’être prise en sandwich entre ces deux bites. Je vois bien que le plaisir monte de nouveau en elle, elle ne tarde pas à s’écrouler emportée par un nouvel orgasme.
Jean me fait signe de m’avancer et intime l’ordre à Marie de me sucer. Elle se met à me sucer sans que Guy ni Jean ne changent de place et n’arrêtent de la baiser. Pour la première fois, elle a une bite dans chaque orifice et ce n’est pas moi qui a la meilleure place. Jean finit par éjaculer dans les entrailles de Marie. Il m’ordonne de m’allonger sur le dos et elle vient me chevaucher alors que Guy la sodomise à son tour. Comme à sa son habitude, Jean vient se faire sucer après être sorti de son cul. Guy trop excité, ne résiste pas longtemps au plaisir d’enculer Marie et jouit en à peine quelques secondes.
Il vient à son tour se faire sucer. J’ai devant les yeux, ma femme en train de sucer les deux bites qui viennent de la sodomiser et de jouir en elle, et cela me fait bander encore plus fort. Tant et si bien que je finis par me dégager et je viens à mon tour derrière ma femme, j’approche ma bite de son anus resté béant, je le pénètre à mon tour, nageant dans le sperme de mes deux prédécesseurs.
Son rectum est tellement dilaté, que c’est à peine si je sens mon sexe frotter contre les parois. Je jouis à mon tour et comme les deux autres, je m’approche de la bouche de ma femme pour connaître le même bonheur que les deux autres.
Nous nous arrêtons un moment pour aller boire un verre et recharger nos batteries, en nous installant au salon. Au bout d’une demie heure environ, Jean toujours meneur de la troupe, se lève, la fait agenouillé au milieu du salon et nous demande à Guy et à moi de les rejoindre. Elle n’a pas besoin d’explications pour savoir ce que cela signifie. Elle se met à nous sucer et nous masturber à tour de rôle, une bite dans chaque main et la troisième dans la bouche.
Rapidement nous sommes tous repartis en érection. Elle se montre terriblement douée dans cet exercice, nous avons tous les trois joui sur elle, lui inondant son joli visage de notre foutre, lui envoyant quelques giclées dans les cheveux et le cou. Du sperme finit par couler sur ses seins. Elle est magnifique ainsi maquillée. Elle reste immobile agenouillée pour que nous l’admirons. Je bande de voir ma femme ainsi souillée et cela atténue un peu l’humiliation que je ressens. Elle sourit en regardant Jean.
Alors Jean demande à Guy et à moi de sortir et ils passent la nuit ensemble.
Je vais dans la chambre d’ami pour dormir, Guy rentre chez lui.
Sam Botte
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