Histoires taboues

Un mari découvre qu’il est cocu et que sa femme est gourmande de sexe Chapitre 9

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

Le lendemain matin, je me réveille assez tard. Je vais à la cuisine pour me faire un café. Puis les gémissements recommencent comme hier soir. En tendant l’oreille, je reconnaît ma femme. Jean doit la baiser encore une fois. Je suis entrain de boire mon café quand Jean arrive dans la cuisine.

Il prend du café aussi. C’est là que je réalise que les gémissements de Marie continuent quand même malgré la présence de Jean à mes côtés. Celui-ci sourit de toutes ses dents en regardant mon visage étonné. Il me fait un signe de tête du genre : Vas-y, va voir dans la chambre. Je me lève et va à la chambre. Elle est à nouveau à quatre pattes, le nez dans les draps, les mains crispées sur la couverture. Elle gémit comme une folle. Derrière elle, tout sourire, Luc le fils de Guy, pilonne brutalement le cul de Marie.


J’avance pour voir mieux. Luc a aussi une grosse bite. Aussi grosse que celle de son père et le gluant du sperme la rend encore plus monstrueuse. Il encule ma Marie et s’enfonce jusqu’aux couilles qui à chaque coup de rein, viennent cogner la moule de ma femme.

Jean arrive, il pose une main sur l’épaule de Luc et lui dit : – Quand y en a pour un, y en a pour deux ?
– Sérieux ? Tu veux qu’on fasse une double anale à la ?
– Oh ! Je crois pas que ce soit une bonne idée. Que je leur dis avant d’être interrompue par Jean.
– Je suis sur qu’elle va adorer ? Luc s’enfonce à fond dans les reins de Marie, il passe ses bras autour de sa taille et d’un coup de rein, il ce couche sur le dos avec elle sur son ventre. Ils sont toujours emboîtes ensemble. Jean prend les jambes de Marie qui vient de ce redresser, il les passe dessus ses épaules. Elle ce retrouve face a son amant.

Jean la plaque contre son Luc pour qu’elle lève un peu plus les fesses et présente son gland contre l’autre bite. Il commence à s’enfoncer en elle. Elle sent ses chairs s’étirer comme la première fois qu’elle c’est fait sodomiser. Jean continue sa progression tandis qu’elle a les yeux écarquillés, bouche grande ouverte, incapable de sortir un son, tant la sensation de déchirure lui coupe le souffle. Le plaisir à fait place à la douleur, durant ces longues secondes d’intromission, elle est convaincue que son anus restera ravagé à vie.

Un mari découvre qu'il est cocu et que sa femme est gourmande de sexe Chapitre 9
Porn IA

Finalement, Jean arrive à l’enfiler à fond et commence, en même temps que Luc en dessous, à aller et venir. Leurs sexe collés l’un à l’autre dans un même puits d’amour ne les dérangent pas, elle les sent durs comme du bois. D’abord synchronisés, leurs sexes vont et viennent à des vitesses différentes, l’un accélérant pendant que l’autre se calme et vice versa. Cette double pénétration magistrale l’a refait mouiller et cet afflux de testostérone rend l’enculage de moins en moins douloureux, de plus en plus jouissif.

Au dessus d’elle, Jean lui prend la bouche et l’embrasse avec passion. Le double pilonnage prend de l’ardeur, elle ce laisse embrassée, tant elle est épuisée et concentrée sur ce qui se passe dans son derrière. Les deux sexes dans son orifice déformé se chevauchent, se croisent.

Quand un se met en retrait, l’autre la prend à fond si bien qu’elle n’a aucun répit, elle hurle de plaisir où de douleur, elle sent, une nouvelle fois un orgasme venir.
Je n’en revient pas ? Elle va jouir encore une fois avec deux sexes dans son rectum ! Elle est la pire des épouses et probablement la plus grosse salope qu’on puisse faire.
Elle sent que l’explosion approche alors que son orgasme monte et que les deux hommes dans son cul accélèrent de plus en plus. Jean dit alors à son comparse :
– On la rempli ensemble ?
– Ouais ! On y va, je suis pas loin !

Ils la pilonnent encore quelques coups encore, puis elle sent les premiers jets de sperme jaillir et lui inonder les intestins. Cette formidable sensation déclenche son troisième orgasme du matin, leurs cris de jouissance se mêlent :
– AAARRFF ! Putain ! Je te remplis putain !
– OH MON DIEUUUUU ! je jouis ! Hurle t-elle.

Ils restent emboîté un bon moment. Jean se retire du fion de Marie le premier, il me ragarde et m’ordonne de me foutre à poil. Je m’exécute malgré mon érection.

– Ça te fait encore bander de voir ta femme se faire baiser. Met au dessus d’elle, elle va sucer ton vermicelle pendant que tu lui nettoie l’anus avec ta bouche.

Luc se désolidarise de Marie qui couché sur le dos, la tête au bord du lit, écarte ses bras et ses cuisses en signe d’invitation.

Moi, comme une lavette qui accepte son sort, je monte sur le lit et me positionne en 69 sur Marie. Jean me plaque la tête entre les fesses de Marie, qui emprisonne ma tête entre ses cuisses ? J’ai la bouche au niveau de son anus béant qui déborde de sperme.

Elle m’empoigne derrière mes genoux et donne quelque coup de langue sur mes couilles et le bout de ma queue.

Un mari découvre qu'il est cocu et que sa femme est gourmande de sexe Chapitre 9
Nouveaux profils

– Va y ! Elle te l’offre, j’y suis passé y a pas longtemps. Ordonne Jean. – J’ai déjà fait ça à l’internat du lycée, on le faisait entre nous avec les copains.

J’ai mal entendu ce qu’ils disent, mais je réalise l’invitation de Jean, lorsque je sens des mains écartent mes fesses. Je sens que Marie resserre ses cuisses sur ma tête et qu’elle agrippe plus fort le bas de mes cuisses.

Luc, se place derrière moi, il positionne sa bite contre mon anus qu’il lubrifie de salive. Je sens le gland forcer son sphincter et une fois franchi, il s’enfonce dans mon ventre, il se met à faire des vas et viens crescendo. Le nez dans le cul de ma femme, je cris à chaque coups de boutoir. Luc est un virtuose, sa verge glisse sans peine, mon rectum s’habitue à cette forte et grosse pénétration.

Luc éjacule dans mes entrailles en restant bien enfoncé dans mes reins. Il y reste un bout de temps.

Il me libère. J’ai mal au ventre, au cul et j’ai honte de bander, je reste là sans bouger. – C’est bien ! Je vois que tu apprécie la bite ? Mais ce n’est pas encore finis ! Ne bouge pas ! Garde la même position. Commente Jean.

Je reste sans bouger, ne comprenant pas bien ce qu’il veut de plus. Rien ne se passe et mon anus relâche lentement le sperme de Luc qui coule sur mes couilles, que lèche Marie.
Un courant d’air dans la pièce. Quand je veux me retourner pour voir ce qui se passe, Marie me bloque la tête entre ses cuisses.
– Comme tu aimes voir ta femme offrir son cul au premier venu. C’est à ton tour d’être servi. Il te faut une autre leçon.

Je devine, qu’ils ne plus tous les deux dans la chambre avec Marie et moi. Quelqu’un se place derrière moi. Un bruit de fermeture éclair. J’ai juste le temps de dire non avant qu’une queue inconnue m’encule brutalement. Je crie de surprise et de frustration, de me faire prendre pour la seconde fois ce matin.
La bite me semble pas plus grosse que celle de Luc où de Jean. Je ne sais pas qui est en train de me planter sa queue dans mon cul. Mes yeux s’embuent de larmes, j’entends à peine Luc me dire.
– Tu es en train de te faire enculer par un de mes copain !

Je gémit comme une femme sous les coups de boutoir du copain. Il m’encule avec une facilité déconcertante, le sperme de Luc dans mon boyau y est pour quelque chose. Le gland tape durement au fonds de mon ventre me poussant la tête entre les cuisses de Marie. Je ne peux rien voir, Marie me serre toujours la tête entre ses cuisses, pour qu’il subisse la loi du copain qui le laboure en profondeur.
– Marie, tu vois, une fois qu’on l’a ouvert, un cul s’habitue vite aux plus grosses tailles.
Je gémis de plus en plus fort.
– Écoute le gémir. Une vraie gonzesse qui veut se faire engrosser.
Une main saisit ma queue dure comme du bois, elle la ramène en arrière dans la bouche de Marie. Le copain lui me sodomise durement. Je crie sans pouvoir me retenir. On m’écarte les fesses au maximum pour bien montrer mon trou dilaté. D’un plus fort coup de reins il m’envoie un torrent de chaud liquide dans mes entrailles.

Les jets sont interminables et mon ventre se remplit à nouveau d’une semence chaude, qui me fait jouir dans la bouche de Marie. Oui, je jouis, mon plaisir est plus cérébrale que physique. Dans cette situation, je m’imagine à la place de Marie quand elle se fait enculer. Je ressens dans mon rectum ce qu’elle doit ressentir elle aussi dans le sien pendant que l’on se repend en elle. Je m’imagine être une femme, en faite je suis une femme qui se fait enculée. La bite du copain reste bien fichée au tréfonds de mon ventre. Il me caresse le dos et les reins, comme il reste immobile, je le sens débander. Ensuite, La bite sort rapidement, je lâche un pet. Un nouveau courant d’air dans la pièce, un bruit de porte.

Je sens que l’on monte sur le lit devant moi ? Marie écarte ses cuisses qui n’emprisonnait la tête. Je relève la tête pour voir Jean nu devant moi, la bite en érection. De sa main il agrippe mes cheveux attire ma tête sur son gland qui se pose sur mes lèvres.
– Vas-y, mon chéri, suce. Allez, suce le !
Crie Marie. Au point ou j’en suis, je ferme les yeux et ouvre la bouche. Jean y glisse sa queue tandis que ma femme écarte mes fesses.

D’un coup, un homme se colle à mes fesses, il pèse de tout son poids sur moi. Son torse épouse son dos, ses mains attrape ma tête ? pour la faire aller et venir sur la bite de Jean. Je me sens femelle, soumise, offerte. Son membre viril frotte sur mon orifice, me procurant une envie de plaisir, je sais que je vais encore me faire enculer. Je vais offrir ma féminité anale, malgré la honte qui m’envahit d’être pris encore une fois par un gros calibre.

L’homme sent que je cède, que je n’oppose pas de résistance et que mon cul lui est offert.
Son gland ce frotte sur mon trou, Je ne sais pas pourquoi, mais je le sens s’ouvrir, prêt à accueillir cette barre de chair dans mon ventre. Jean commence à coulisser dans ma bouche, jusqu’au fond. Il me la baise.
– Tu est comme les femmes qu’on veut engrosser, tu vas être heureux, tu vas être baisée comme la femelle que tu es ! Proclame Jean.
– Luc va filmer, ça ne te dérange pas ?
– Tout ce que tu veux ma belle, c’est du beau spectacle ! Lui répond Luc.
– Oh oui, merci, s’est pour qu’il s’en souvienne.

Je caresse les couilles velues et arrache un soupir à Jean. Petit à petit ma bouche se fait de plus en plus active. Un verrou vient de sauter dans ma tête. Je salive abondamment, ma langue virevolte autour du gland baveux, je la glisse sous la hampe fortement veinée. Je sais ce que nous les hommes, on aime. Il gémit, se cambre, ouvre ses cuisses. Marie s’étonne a haute voie.
– Alors mon chéri, mais tu aimes ça ?
– Putain, oui, il aime ça ! Il va te faire de la concurrence ? Répond Jean.
Ah ! mon chéri, tu m’excites ! Continue, donne-leur tout ce qu’ils veulent ! Lâche-toi !

Ce commentaire, même s’il me fait plaisir, est inutile car je me suis lâché. Je suce Jean goulûment pendant qu’un inconnu me sodomise, sous les yeux de mon épouse.
Je crois que l’on va lui faire nous aussi le cul. Dit Luc dans mon dos.
Oh,oui ! Prenez-le ! Je veux l’entendre gémir !
Ma femme semble dans un état d’excitation incroyable. Je ne cesse de sucer la belle queue de Jean.
– Je veux que vous le baisiez bien tous les quatre ! Enchérit Marie. – Je sais que tu va aimer comme moi. Ils vont bien te sodomiser. Elle est surexcitée.
L’autre me sodomise pendant au moins dix minutes, s’enfonçant de toute ses force dans mon cul offert, il plonge ses trente centimètres de chair au font de mon rectum, m’ouvrant encore plus le cul.
– Tu es fait pour être baisé. Ton trou, qui s’apparente maintenant à une chatte, est un instrument de plaisir pour les hommes. Clame Marie.

Elle a raison, je sens mon cul endolori, douloureux, brûlant, rempli de sperme . Mais je suis heureux d’être la place d’une femme, de ma femme.

Je me laisse sodomiser devant Marie en gémissant de plaisir. Le pieux de l’autre tape le fond de mon ventre m’arrachant à chaque fois des petits cris de plaisir. Je sens son sexe devenir de plus en plus dur, de plus en plus épais. Je sais que Marie, toujours couché entre mes genoux, qu’elle ne perd rien du spectacle que je lui offre. Jean, lui se concentre sur le plaisir de me baiser la bouche, ses couilles tapent contre mon menton quand il s’enfonce au profond de ma gorge. Je me cambre, le nez dans ses poils pubien. L’autre derrière, me tire vers lui de toute ses forces me faisant crier de douleur.
– Je vais le remplir à ras bord ! salope !

Son foutre jaillit dans mon ventre. Des jets chauds me remplissent encore le ventre pendant que Je déverse mon plaisir dans la bouche de Marie. Il lâche toute sa semence tout au fonds de mon ventre. Ses fesses sont collé contre mes fesses. Je me fais remplir les intestins jusqu’à ce que l’autre se soit complètement vidé les couilles devant ma femme. Jean m’empoigne par les oreilles, il enfonce sa grosse queue au fond de ma gorge en y déversant son plaisir, que je suis obligé d’avaler pour pas m’étouffer.

Là ! C’est le summum pour moi, dans mon imagination d’être une femme qui donne du plaisir à l’homme. L’autre s’est enfin calmé, Je reste immobile en avalant le plaisir de Jean, étant toujours empalé sur son sexe vigoureux. Quand l’autre sort de mes entrailles, mon anus lubrifié recrache un peu de sperme qui doit couler sûrement dans la bouche de Marie. J’ai une sensation de vide et de manque à présent que je n’ai plus rien dans le cul.

Aussitôt un autre s’engouffre sans ménagement dans mon anus. Quand celui qui vient de m’enculer, vient enfoncer sa bite souillée dans ma bouche libre, je m’imagine une fois de plus à la place de Marie. Un goût acre m’envahit la bouche et la gorge. Il me baise littéralement la bouche et ce répand légèrement dans ma gorge. J’avale le tout sous ses ordres.

Mon cul, accepte toutes les bites qui me défoncent sans ménagement. Au fil du temps, elles deviennent plus acceptables. Ma bouche et ma gorge tentent de s’adapter à chaque bite qui vient de me baiser. Chacun a joui une première fois dans mon cul et lors de son deuxième passage dans ma bouche. Je me suis même pas aperçu que Marie n’est plus sous moi.

Une bite ramone mon cul en feu, une au plus profond de sa gorge, je fais jouir frénétiquement chaque bite qui se présente.
Soulagés, les types s’écartent et Marie s’approche. Elle se penche, approche sa bouche de la mienne et m’embrasse, nous nous partageons tout le plaisir de ces cinq hommes. Elle aspire et me racle le palet avec sa langue.
Je les entends se rhabiller. J’en profite pour reprendre ma respiration, je sens un liquide visqueux couler de son cul disloqué.


Une bouteille d’eau vient se coller à mes lèvres et je peut me rassasier et rincer ma bouche.
– Tu vois Marie que Jean n’a pas menti en te disant que ton mari aime se faire baiser.
J’ai un peu honte, elle a bien vu que je bande encore. Elle a la voix très douce.
– C’est bien mon chéri ! Je vois que tu apprécie comme moi le sexe des hommes. Mais ce n’est pas encore finis.Tu es notre pute maintenant, notre sac à foutre, tu appartiens comme moi à Jean ! Proclame Marie ? – Hein ? Pourquoi  Jean ?
– Dorénavant, tu dois obéir a Jean. Tu feras tout ce que l’on te demande. Tu es sera aussi notre pute. Réponds, tu as compris ?
– Oui ? Oui !
– Oui ! tu es quoi ?
– Je ? Je suis une pute.
– C’est bien.

Ils ont abusé de toutes les parties de mon corps. Quand ils en ont terminé, mon anus est béant, ma bouche irritée, mes seins sensibles à force d’avoir été martyrisés. J’en éprouve tout de même une plénitude d’avoir passé cette marinée comme une épreuve, comme un palier me prouvant ce que ressent une femme soumise aux désirs des hommes.

Je devine que Jean doit s’occuper de la caméra. Le film, deviendra un objet de chantages en souvenir de cette dépravation que Marie et Jean ont secrètement organisée.

Elle m’enfonce un plug dans l’anus encore dilaté. Mon trou l’accueille sans problème.
– Vas dans la salle de bain. Tu trouveras une djellaba. C’est bien plus pratique pour toi. Bien sur tu garde le plug…
J’ai du mal à marcher et je garde les yeux baissés. La honte de croiser son regard, ou reflex de soumis. Je ne sait pas. Un peu des deux peut être ?
Dans la salle de bain, je n’ose pas me regarder dans la glace. Je ne pense à rien, j’agis comme un automate. Après une douche brûlante, j’enfile en tremblant la djellaba propre et fraîche. Le tissu est très fin, presque transparent. J’ai mal au ventre et le plug entre ses fesses, me gêne, il me donne envie de jouir. Je retourne dans la chambre.

Ce jour là, J’ai perdu définitivement ce qu’il me restait de ma dignité de mâle.

A suivre

Sam Botte

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou