Passion assouvie 30/07/2019
Nous étions, ma femme Nini 65 ans, mon ami Patrice 68 ans, de trois mois, mon cadet et moi le mari à se prélasser au fond du jardin, juste au-devant du local technique, endroit sympa au à bord de la piscine, où nous avions installé une petite table ronde, à laquelle nous avions l’habitude de prendre l’apéritif. J’ai depuis des années, toujours eu des tendances candaulisme ainsi que bisexuelles. Avec mon ami Pat… lui aussi bisexuel, nous avions à plusieurs reprises partagé cette passion. Ça se passait chez lui, quand sa femme partait quelques jours sur Paris, voir sa sœur, ou chez moi, dans la piscine quand ma femme partait faire quelques courses.
Ma femme issue d’une culture judéo-chrétienne et emprisonnée dans un bouclier de moralité inébranlable connaissait depuis fort longtemps mes convictions pour mes fantasmes. Elle désapprouvait et refusait catégoriquement de participer, d’où sa moralité.
Depuis quelques années, lors de nos ébats amoureux, j’avais pour habitude de lui parler de mon ami Patrice, chose qu’elle n’appréciait pas particulièrement (en apparence ?), mais, j’avais remarqué qu’elle était plus excitée quand j’approfondissais du genre, imagine te mettre sur lui avec sa grosse queue sur toi, et là, bingo, elle explosait d’un orgasme peu commun, mais le lendemain, en y reparlant, elle niait de toute évidence.
Par la suite compte tenu de ma frustration, elle me fit quelques confidences du genre, je ne suis pas prête, laisse-moi un peu temps, ou alors, il faudrait que j’aie vraiment beaucoup bu pour accepter de passer à l’acte.
Nous avions pour habitude, de boire notre whisky, voire deux, tous les midis au bord de la piscine sur notre petite table, et là, me vient l’idée de lui demander si d’en prendre un troisième te désinhiberait pour t’aider à passer ce cap. D’où, trois whiskys, correspondraient (triolisme) pour sa convenance, ce serait notre code de connivence. Depuis cet accord, chaque fois que nous étions à l’apéritif, je plaisantais toujours, lui demandant si un petit troisième lui conviendrait ?
Ceci dit, quand une femme dit non, c’est non, sauf si c’est oui, mais elle dit non pour ne pas dire oui, pour que se soit un oui alors qu’elle dit non et là, ce jour-là, le 30 juillet 2019 alors que nous étions tous les trois comme je l’ai décrit au début de ce récit, je lui demande un petit troisième ? Elle a bien saisi où je voulais en venir, évidemment ce fut un non de la tête.
Mon ami Pat…, n’étant pas dans la confidence, me demande !
— Que fait-on ?
— Je lui réponds, on va se baigner !
— Oui, mais, je n’ai rien emmené pas de maillot, pas de serviette !
— Peu importe, d’habitude on se baigne à poils tous les deux.
Il commence à se déshabiller, ne gardant que son slip pour rejoindre la piscine, mais qu’il enleva juste avant d’entrer dans l’eau.
« L’exception qui confirme la règle d’une femme qui dit non » se confirme, je vois ma femme entrer dans le local technique et ressortir quelques minutes après en maillot de bain type Bikini pour se mettre à l’eau, alors que mon ami Pat… est à poils au milieu de la piscine.
Tout excité de cette situation, je prends un plateau flottant où j’y dépose deux verres pour un troisième whisky de connivence. Je me mets à poils et emporte le tout dans la piscine pour les rejoindre.
Nini était dans le petit bassin 1 m, je rejoins Pat…, dans le grand bassin 1,5 m, le plateau à proximité, je fais signe à ma femme de nous rejoindre, elle nage et fini près de nous sur la pointe des pieds, compte tenu de sa taille (1,54 m). Elle s’approche se cramponnant à moi comme elle peut, je prends une bonne gorgée de whisky en bouche que je dépose dans la sienne en y mélangeant nos langues, je passe mes mains dans son dos, lui détache son dessus de maillot que je pose sur la margelle. Je fais signe à mon ami Pat… de se joindre à nous et qui, sans hésiter, nous enlaça tout en mêlant sa langue aux nôtres pour un baiser endiablé.
L’excitation était au maximum, je bandais à mort ainsi que Pat… qui quitta nos langues pour venir me placer derrière Nini, lui saisissant les seins, en exclamant qu’il y avait bien longtemps qu’il n’avait pas eu en mains, les seins d’une femme. Nini dans un état second, protestait qu’elle avait trop bu, mais avait ma queue dans sa main et avait passé son autre main derrière elle pour prendre en main la grosse queue mon ami Pat…. Je profitais de cet instant magique pour lui descendre et enlever son bas de maillot qui disparut au fond de l’eau, elle ne protesta aucune résistance, à part qu’elle avait trop bu.
Nous nous trouvions à présent tous les trois enlacés à poils dans l’eau. Instant magique de ma vie, que je n’aurais jamais cru possible était bien réel, j’appréciais chaque minute de ce moment de bonheur, ma queue quant à elle semblait être au paradis, elle n’avait jamais été aussi dure elle était prête à jaillir à explorer depuis toutes ses années de frustration.
Nous finîmes par changer de place, je pris la place de Pat…, une main sur chaque sein, prodiguant de multiples bisous dans son cou, ainsi que des petits mots d’affection lui prouvant ma reconnaissance. Pat… prit ma place au-devant et décida descendre en bas, en apnée, pour tenter un cunnilingus et dévorer son clitoris. Un acte qu’il affectionne particulièrement, prendre en bouche une belle chatte. Sentant qu’elle n’était pas prête, il remonta, prit l’autre verre de whisky sur le plateau flottant, le vida dans sa bouche pour aller y verser dans la bouche de mon épouse par un baiser à langues entremêlées, Nini, comme pour se faire pardonner de son refus, pris sa queue de ses deux mains et le masturba énergiquement. Nous restions, comme ça, enlacée, nous déplaçant vers le petit bassin où nous étions plus à l’aise surtout pour Nini, qui elle justifiait, son état, proclamant qu’elle était bourrée.
Arrivé à la troisième marche d’escalier, moi toujours derrière et mon ami P… devant, la tête dans ses seins, retenta un cunni-clito qui encore une fois n’aboutit, que par un refus catégorique et comme la fois précédente, pour se faire pardonner, pris la queue de mon ami, mais cette fois-ci, dans la bouche et se mit à le pomper, ni tenant plus, je vins alors lui présenter la mienne qui aussitôt fut engloutie dans sa bouche. Elle alternait d’une queue à l’autre en essayant de temps en temps d’y introduire les deux et reprendre sa respiration, toujours justifiant qu’elle avait trop bu.
Les laissant jouir de cette situation, je m’écartais un peu pour profiter du spectacle. La queue de mon ami toujours en bouche de ma femme, les yeux de Pat… scintillant d’excitation, il pivota légèrement, se baissa et vint engloutir ma queue pour une pipe d’enfer. J’en profitais pour prendre la bouche de Nini en mélangeant nos langues pour des baisers affectueux de reconnaissance.
Nous restâmes ainsi quelque temps en échangeant nos rôles, la grosse queue de mon ami Pat… dans ma bouche, et les deux amants dans un combat de langues acharné.
Je décidai de sortir de l’eau pour chercher deux serviettes de bain. Nini sur la deuxième marche et Pat… carrément couché dessus, les bras enlacés autour de son cou pour des câlins affectueux de reconnaissance. Chacun sorti de la piscine tout en s’essuyant.
Nini alla s’allonger sur le transat et toujours en s’exclamant qu’elle était bourrée. Pat… et moi prîmes place autour de la petite table, là où nous étions tout au début de notre périple amoureux. Je regardais Nini allongée toute nue sur le transat, je vins vers elle pour la remercier pour ce moment inoubliable. Je pris sa bouche en bouche et pendant que nos langues s’entremêlaient, mon ami Pat… vint nous rejoindre, il enjamba le transat et avec sa queue toute raide, se frotta sur le pubis de ma femme. Nini passa sa main en bas et masturba cette queue en la frottant sur son pubis, Pat… fait de même sur sa queue. J’observais d’en haut ce spectacle fascinant, tout en embrassant ma Nini et encore, plus fascinant, quand Pat… explosa en giclant tout son sperme sur le pubis, le ventre et les seins de ma femme.
Après avoir éjaculé, il s’effaça de nous et reprit sa place autour de la petite table tout en nous observant. J’en profitais pour descendre au pubis et regarder l’étendue de cette vague de sperme. Je pris un chouïa en bouche que je vins partager avec Nini. Pendant notre mélange buccal, je pris le reste du sperme de ma main droite et lui massa le ventre, les seins, les épaules tout en l’embrassant pour lui prouver mon amour.
Nous en restions là ce jour, pour un début d’une nouvelle vie à trois comme je l’avais toujours imaginé, ma Nini, notre amant Pat… et moi-même.
Les sentiments d’amour pour ma femme sont devenus plus forts, plus grands. Je ne serai jamais assez reconnaissant pour ce moment de plaisir partagé. Je l’aime encore plus, elle a su se donner pour nous et j’espère que ses moments de honte, de culpabilité disparaitront pour laisser place à un amour partagé entre notre amant Pat… et moi, son mari qui l’aime.
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