Si je me prénomme Gérard, marié, résidant depuis toujours un petit village de campagne d’Alsace, de plus retraité depuis quelques années et un peu bricoleur, touche à tout, il m’arrive bien souvent de dépanner voisins ou autres qui me connaissent et me sollicitent au besoin. Alors si ce lundi en matinée, je reçois un coup de fil, très étonné cela venant du nouveau prêtre de la paroisse en place depuis peu, qui se présente se nommant Bertrand et qui s’était laissé entendre que j’étais un peu bricoleur, à la recherche me précise-t-il d’une âme bénévole pour un peu remettre au propre l’une de ses petites pièces du presbytère, peinture et tapisserie. Un peu hésitant sur le moment, même si ma femme, responsable et en charge de la préparation de tout évènement de cette paroisse, avait déjà fait sa connaissance, alors bien sur, entendant cet échange de conversation, elle n’aura manquée de suite à m’inciter à accepter cette petite mission même bénévole, me précisant que ce dernier était très sympathique et d’une grande gentillesse, et qu’elle aurait plaisir que j’accepte.
Si après la petite supplique de ma femme, je confirme ensuite par téléphone à ce prêtre Bertrand, lui rendre ce service, ce dernier trop heureux, ne cesse au téléphone de me remercier, passant par la même un bonjour dit-il à ma femme qu’il avait en effet rencontrée. Et comme convenu entre nous, je me serais donc rendu ce lundi, en début d’après midi chez ce dernier, qui en effet comme m’en avait fait part ma femme, au premier abord, avait un visage et un physique très sympa, de plus un joli sourire, un léger peut être plus âgé que moi et qui de suite m’invite à faire la visite des lieux m’expliquant les petites améliorations, qu’il souhaiterait dans cette fameuse pièce. Et bien sur s’il me remercie encore il rajoute, de plus en souriant, que faisant cela bénévolement, le bon Dieu ne l’oublierait pas et pour sa part, ne manquerait de procurer tout le matériel nécessaire qu’il irait encore acheter en courant de journée.
Après cela si ce dernier me propose de prendre un verre, nous conversons une bonne heure, où très vite le prêtre Bertrand qui souhaite un peu mieux me connaître, je me laisse presque comme à confesse, à lui parler de ma vie, de mon petit job encore à temps partiel, de mon poste de Président d’une Association, de mon étang allant jusqu’à lui parler de mes moments parfois un peu débridés, allant jusqu’à lui dévoiler dans la conversation que si même marié, il m’arrive depuis deux ans passées des envies et attirances déviantes, mais envers des hommes, allant jusqu’à avoir eu bien des petites aventures coquines, ce qui fait sourire mon Bertrand , rajoutant pour ne pas me culpabiliser, que personne n’était parfait, et que bien sur cela restera comme une petite confession secrète entre lui et moi, ce dont je le remercie.
Si malgré cela, je remarque bien que mes petits aveux que je venais de lui faire, ne l’auront laissé indifférents, toute cette franchise nous aura très vite laissée à une certaine affinité, où alors le prêtre Bertrand se laisse à me proposer de nous tutoyer, du moins le temps des travaux, ce qui ne me dérange d’aucune façon. Si ensuite je lui fais part commencer dés le lendemain mardi vers 10hrs, je quitte ensuite mon Bertrand, qui tout heureux alors, me donnant presque une petite bénédiction pour ma gentillesse, me confirme aller encore cet après midi acheter le matériel que nous aurons malgré notre conversation noté ensemble.
J’arrive donc ce mardi comme prévu après 9hrs 30 où si le Bertrand m’avait laissé une clef, ce dernier étant absent, le supposant être en visite chez quelques paroissiens, mais ayant déposé le matériel qu’il avait acheté, me permet de me mettre lentement au boulot où si pour ma part, j’avais ramené un peu de matériel personnel, rien ne manquait. Et si tout se passe bien sur au mieux, surtout que de plus la pièce n’était en effet pas très grande. Si toutefois, à présent nous n’étions pas loin de 11hrs et que j’avais bien avancé, j’entends soudain un bruit dans l’entrée, où arrive alors le Bertrand dans sa soutane, trop souriant de voir combien j’avais avancé, me demandant dans un premier temps, si rien ne me manquait, le rassurant et le remerciant du bon choix et aussi du bon goût de ses achats.
Et combien heureux, il me propose ensuite un petit apéro qu’il sort pour aller nous préparer. Il revient après quelques minutes, où si j’étais toujours sur mon escabeau à faire de la peinture ce dernier se laisse alors à me dire : « fais attention Gérard de ne pas tomber…, lui répondant, merci mon Bertrand, mais j’y veille et pour le moment tout baigne…. Le voyant toutefois tourner drôlement autour de moi, persuadé qu’il me matait dans ma position sur cet escabeau, voilà qu’il se rapproche ensuite où trouvant l’excuse de maintenir un peu cet escabeau, cela m’aura fait sourire, se lâchant même à dire « la sécurité c’est la santé », et comme je suis là, autant que je te serve un peu à quelque chose mon Gérard. Et si cela pouvait être rassurant, cela dure ensuite, jusqu’au moment, où combien surpris, je sens soudain les deux mains de mon Bertrand, qui s’il lâche l’escabeau, se met ensuite sans un mot, à maintenir le bas de mes jambes me laissant à lui dire, ne t’inquiètes pas Bertrand, je suis bien solide sur mes jambes et j’avoue que tes mains sur moi me troublent un peu.
Et s’il ne semble pas vouloir comprendre, toujours ses mains autour de mes jambes, je continue tout de même à bosser, toujours un peu troublé au fond de moi, où pire, voilà que je sent l’une de ses mains, qui lentement se laisse à remonter vers mon entre jambe et sans un mot, finir par me palper à travers mon short, mes couilles et ma queue, qui bien sur ne me laisse en rien insensible, où si je lui fais « mais que fais-tu Bertrand.., arrêtes…, arrêtes…, tu es un homme d’église.., tu n’as pas le droit…, » me répondant sans plus, laisses faire Gérard… continues ton travail…, ne t’occupes pas de moi, laisses moi à mon petit plaisir. Et si bien sur je mentirais à dire que cela ne me plaisais pas et combien excité sachant que le Bertrand de son choix de vie de prêtre, devait être un homme chaste, je continue mon boulot, du moins quelques minutes, remarquant alors que ce dernier, ne se retenant en rien, était tout simplement entrain de faire glisser la tirette de mon short sous lequel, si comme à mon habitude, je ne portais pas de caleçon, le coquin s’empare alors de ma queue bien sur à cet instant en érection, où si mon excitation était à son apogée, n’y tenant plus, je me retourne vers lui sur mon escabeau, lui lançant, « tu la veut vraiment mon petit Bertrand…. », où me souriant, il laisse partir cette queue au fond de sa bouche pour lentement me la sucer tout en me caressant mes fesses. Et si bien sur je ne peux me retenir à gémir de ce plaisir sentant de plus après quelques instants l’un de ses doigts aller pénétrer et me branler délicatement mon trou de cul, ne pouvant me retenir à des « Oh ouiiiiii mon petit prêtre adoré…, ouiiiiii…, continues… bouffes là…, c’est trop bon.. »
Et là espérant surtout que personne ne vienne nous surprendre dans cette position démente, presque à poil sur cet escabeau entre les mains de mon prêtre Bertrand, à subir ce plaisir peut être divin, où si ce dernier, se laisse à des va et viens effrénés sur cette queue tout au fond de sa bouche, me limant de plus les entrailles de mon trou de cul avec l’un de ses doigts, quelques secondes suffiront ensuite, où ne pouvant me retenir, bloquant mes mains sur la tête de ce dernier, je me laisse à exploser dans une jouissance démentielle, laissant gicler sans retenue mon sperme au fond de la bouche de mon Bertrand qui semble prendre un plaisir indescriptible à se délecter ainsi de ma queue jusqu’à la dernière gouttes. Si enfin après encore quelques sublimes secondes, il relâche alors ma queue, retirant son doigt de mon petit trou, où ce la me permet de descendre de mon escabeau pour me remettre de ce torride moment, le Bertrand ne semblant être tout à fait rassasié de moi, me bloque contre l’escabeau, pour laisser partir sa bouche sur la mienne, ne nous retenant en rien avec cette envie que nous avions alors en commun, à se dévorer l’un et l’autre tout en se roulant nos langues durant quelques moments que je dirais démentiels. Et si après cela, mon petit pervers prêtre, semblait un peu apaisé, du moins pour le moment et cela même si pour ma part, je n’aurais encore en rien profité de lui, sans plus et comme si de rien n’était il nous sort un instant, nous chercher un petit apéro, qu’il nous verse ensuite, où si nous trinquons alors aux travaux déjà faits, ce dernier se laisse juste à faire un signe de croix, se laissant à « que le Seigneur me pardonne ce moment d’égarement » rajoutant j’espère Gérard que tu ne m’en veuilles pas, mais depuis ton départ d’hier, et même la nuit passée, je ne cesse de penser à toi et cela même si au fond de moi, je me disais et me redisais que cela m’était interdit.
Mais si le démon du vice ne m’aura pas lâché depuis, et à te voir en arrivant à te déhancher sur cet escabeau, la tentation et l’envie auront été trop fortes.Si je le rassure ensuite, lui rappelant que malgré ses engagements il n’était qu’un homme et que bien sur là encore, cela restera juste un secret entre lui et moi, reprenant avec avidité sa bouche, roulant ma langue dans la sienne, se laissant aller à moi comme un petit soumis. Si ensuite lui faisant juste part, sachant qu’il allait déjeuner avec un confrère de la paroisse voisine, que j’allais à présent rentrer pour déjeuner, mais ne manquerais d’être de retour après 13hrs, rajoutant avec un sourire coquin, que la journée n’était pas terminée et que mon envie de lui n’en était qu’à son début, Bertrand me rend mon sourire en retour, ne manquant de rajouter, « j’ai trop hâte de me donner à mon tour et sans retenue à toi mon Gérard… » Si un petit bisou encore, nous nous quittons ensuite, où une fois de retour chez moi, ma femme ne manque de me demander si tout se passe bien, si ce n’est pas trop dur et surtout si le prêtre Bertrand était satisfait de moi. Si je lui réponds que je n’en doute aucunement, je l’informe bien sur retourner chez ce dernier en début d’après midi pour reprendre la suite des travaux, ce qui ravis ma petite femme qui bien sur ne pouvait à aucun moment imaginer combien pervers et démente aura déjà été cette matinée avec mon prêtre Bertrand.
Et s’il est 13hrs 30 et que sur le chemin du presbytère, je n’arrêtais de bander, me voilà arrivé où me doutant que mon Bertrand ne serait pas encore présent, surtout invité par son confrère, je me remets bien sur au boulot, profitant à bien avancer me doutant que l’après midi ne manquerait de dégénérer encore avec mon petit homme d’église. Et si en effet nous allions sur 14hrs 30, où là, j’entends arriver mon Bertrand, qui ne manque de plus de refermer la porte à clef. Si ensuite il me rejoint où si nous conversons quelques minutes, ce dernier déjà trop heureux de voir que j’avais encore bien avancé, me parle quelques instants encore de son confrère de la paroisse du village voisin, sympathique mais un peu ennuyeux, ne lui parlant que d’église, ce qui me fait sourire. Il s’excuse alors pour juste monter chez lui et se rafraîchir un peu, ce qui me permet de terminer le coin de la pièce, que j’avais commencé à tapisser. Et en effet si un petit quart d’heure avait passé où mon Bertrand réapparaît cette fois, s’étant alors vêtu d’un short mi court et d’un simple polo, nous ayant préparé un bon café, qu’il m’invite aller prendre dans la pièce à coté, cette dernière assez jolie et de plus équipées de fauteuils et d’un joli canapé où si nous voilà à nouveau à converser, ce dernier me relance une fois encore avec de plus son petit sourire coquin, espérant que je ne lui en veuille pour ce matin, le rassurant une fois encore combien j’avais adoré me laisser à ce torride plaisir Et si de plus, n’y tenant plus avec cette envie à présent démente de lui, je me lève, pour le faire se relever et laisse partir ma bouche dans la sienne, roulant nos langues l’une dans l’autre dans une étreinte terrible, où tout en continuant à se bouffer comme deux petites bêtes déchaînées, laissant cette fois à mon tour partir mes mains entre ses jambes, remarquant de suite que ce dernier ne rêvait que de cela, grimaçant déjà et se mordillant les lèvres où alors à ma grande surprise le petit prêtre dépravé était tout simplement sous son short lui aussi à poil, me souriant par la même avec des yeux brillants et combien pervers .
Et si quelques secondes suffisent ensuite où le défaisant de son short, qui tombe au sol et sous lequel tout comme moi-même il était à poil, ce dernier tout en me lançant son sourire coquin, fait pareil sur moi. Et si se jetant presque l’un sur l’autre, rien ne pouvait plus retenir nos ébats les plus pervers et les plus fous où si déjà je fais basculer mon Bertrand dans l’un des fauteuils, je me saisi enfin de sa queue encore un peu molle où si ce dernier se laisse déjà à des gémissements et des râles de ce début de plaisir « Oh ouiiiiii mon Gérard…, ouiiiiii…, continues…, encore.., encore.., j’en avais tant envie…, ». Et si très vite cette dernière ce sera mise dans une érection torride, je la laisse glisser bien au fond de ma bouche, où si ce dernier ne manque de me malaxer mes petites couilles tout en jouant avec ma queue, je continue à me délecter de la sienne, tout en le couvrant des caresses les plus perverses, continuant tout en le suçant, à laisser à mon tour mon index partir dans son trou de cul, où là encore mon petit homme d’église, se remet à gémir de plus fort « Comme c’est bon mon Gérard…, continues….Oh ouiiiiii, encore.., encore.. ». Et si nos jeux pervers perdurent, se faisant un bien réciproque presque insoutenable, combien mon envie de lui défoncer son petit cul était à cet instant dément.
Et si durant ses ébats, je sentais bien que ce dernier était à la limite de la jouissance, voulant encore trop profiter à me faire plaisir sur lui, je relâche mes petits jeux, lui proposant de faire une petite pause boisson, ce qui semble tout à fait convenir à mon pervers petit Bertrand. Nous relevant alors et nous couvrant avec nos shorts reprenant quelques instants nos bouches et nos langues toujours avec avidité, où mon petit prêtre sort alors, pour très vite revenir avec cette fois une jolie petite bouteille de champagne bien fraîche, qu’il me dit avoir plaisir à partager avec moi après ses moments délirants, qu’il n’aura jusqu’alors jamais connu, rajoutant espérant que le Bon Dieu lui pardonnera cette journée déviante mais combien partagée avec toi Gérard. Et si nous conversons ensuite un bon petit quart d’heure, tout en trinquant, lui précisant toutefois que tout cela ne fait pas avancer mes petits travaux, il me répond que cela n’est pas à un jour près et que bien sur je pourrais remettre cela à un autre jour à ma convenance, si toutefois cela pouvait me convenir. Et si je lui réponds que bien sur mon Bertrand rajoutant que de plus pour rien au monde je ne voudrais laisser passer toute cette envie que j’ai encore de toi. Quant au Bon Dieu, je sais qu’il comprendra que même avec ta vocation sincère, cette dernière t’aura cette fois laissée rappeler qu’avant tout tu étais aussi un homme et que si aujourd’hui, une occasion ce sera présentée à toi tu n’auras pas résisté à l’envie de juste te faire une fois plaisir.
Si a ses mots, mon Bertrand se lève un instant pour me remercier d’un simple bisou de ce réconfort que lui auront apporté mes paroles, disant « pardonnes moi Gérard, mais j’ai encore envie de ta bouche, te toucher et sentir partout sur moi, ta jolie queue et ton adorable petit cul » et surtout aussi de me laisser aller à toi et cela comme ton petit soumis avec toutes tes envies, même les plus folles » Et si ce mot « soumis », m’aura fait sourire non sans laisser insensible mes fantasmes fous et mille plaisirs que j’avais de mon petit complice même prêtre, qu’il était, je lui avoue alors avoir une cette envie démente de lui faire sentir ma queue bien au fond de son petit cul et l’inonder de mon sperme, ce dernier me sourit et sans plus rajoute, laisses toi aller mon Gérard, je suis à toi. Et si de plus, il me propose alors de rejoindre sa petite chambre où me précise-t-il se trouve un lit douillet sur lequel nous pourrions être bien plus à l’aise, reprenant avec toujours le même plaisir nos bouches, nous montons alors à l’étage où en montant l’escalier, je ne manque de laisser mes mains partir entre les jambes de mon Bertrand, où arrivé dans cette chambre bien cool et agréable, avec de plus le lit encore défait, sans plus, je fais à nouveau tomber son short, retirant par la même le mien se jetant tous deux sur ce lit où reprennent durant de longues et sublimes minutes les ébats les plus pervers et ce dans des positions tout à fait démentes.
Et cela dure jusqu’au moment où si mon filou de prêtre finit par se retrouve de plus, à son initiative, allongé sur le ventre, les bras en croix, les jambes bien écartées, très vite je m’empare des deux têtes d’oreillers, que je place sous son torse, laissant alors à ma seule vue son joli cul bien relevé, où n’y tenant plus, je me jette derrière lui, bien entre ses jambes, lui embrassant le cou, caressant ses jolies fesses pour y promener très vite ma langue jusqu’à laisser partir cette dernière le long de sa raie et finir par lentement glisser dans son trou de cul où si mon Bertrand n’arrête de se déhancher,, bouge dans tous les sens et se remet à gémir de plus fort, sachant trop bien où je voulais en venir, se laisse toutefois à des « que vas-tu encore me faire mon Gérard…, continues.., Oh ouiiiiii, fais moi encore du bien.. »
Et là, tout en continuant à le caresser de partout, relâchant ma langue de ce trou, que je remplace ensuite très vite par ma queue toute en érection que si je laisse cette dernière se promener autour de ce joli trou de cul, je finis lentement à la faire pénétrer dans ce petit cul, où si mon prêtre Bertrand, se remet à des « Ahhh…, ouiiiiii…encore… vas-y mon Gérard…, je n’aurais jamais pensé adorer autant sentir une queue ainsi en moi…, alors ne te retiens pas…, continues…, continues .., donnes moi ce plaisir auquel jamais jusque alors je n’aurais imaginé me laisser aller.. ». Et si je m’enfonce ensuite encore et encore, me laissant à des petits va et viens torrides et effrénés pour faire durer ce moment démentiel, me saisissant par la même de la queue de mon Bertrand que je lui branle lentement tout en lui palpant ses petites couilles, après quelques démentielles minutes de ce jeu et cette fois dans des râles et gémissements partagés et réussissant même à reprendre nos bouches l’une dans l’autre, nous finissons dans une osmose réciproque et combien torride à partir tous deux dans une jouissance combien forte et démente, laissant gicler nos spermes pour ma part bien au fond du trou de cul de mon pervers prêtre qui pour sa part ne manque de laisser partir sa semence pour m’en emplir autant les mains que les doigts durant quelques instants démentiels.
Et enfin après cet apaisement divin, je me retire de ce trou de cul, nous laissant tous deux basculer sur ce lit, où avidement nous reprenons encore nos bouches, si mon Bertrand ne manque de s’emparer de ma main où tous deux, nous laissons nos langues se délecter quelques instants du sperme dont ce dernier s’était libéré. Après cela si nous nous serons rendus dans sa petite salle de bains, nous finissons tous deux sous la douche à nous rincer, à encore se délecter de nos langues se couvrant de quelques dernières caresses, pour enfin aller nous rhabiller. Et s’il était à présent 16hr 30 passé, que mon petit prêtre m’informe avoir un office après 17hrs 00, je lui fais part que j’allais le laisser pour se remettre, se calmer et lui permettre de célébrer son office en toute sérénité. Quant à la suite et finition de cette pièce commencée, je fais part à mon Bertrand, ne pouvoir revenir que jeudi, à savoir après demain si cela pouvait lui convenir ce qu’il ne manque de me confirmer, m’informant par la même que pour midi, il comptait bien que nous déjeunerons ensemble dans son presbytère et que s’il s’occupait de notre petit repas, je serais bien sur son invité, Et enfin, juste avant mon départ il ne manque de me dire tout en souriant, qu’il comptait bien encore que jeudi nous nous laisserons en dehors des petits travaux, à quelques moments de plaisirs partagés, ne manquant de lui lancer un clin d’œil se dévorant encore avec fougue quelque instants nos bouches.
- Pour les lecteurs de ce premier épisode, je peux vous assurer que la suite avec mon petit prêtre Bertrand, ne manquera pas aussi elle de vous faire je l’espère bander et vous branler autant que j’espère l’avoir fait lors de cette première rencontre, sachant que je n’avais jusque aujourd’hui jamais imaginé un jour me laisser à tant de plaisirs avec un homme d’église.
Gégé.
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