Si combien heureux d’avoir fait connaissance dans mon 1er épisode avec ce prêtre Bertrand cela aura été une drôle mais torride sensation, n’ayant avant lui jamais pensé, connu et surtout avoir pu imaginer un jour, me laisser à de tels échanges avec un homme d’église. Alors pour en revenir à ce mardi où en le quittant, je lui avais fais part ne revenir que jeudi, ce dernier n’aura pu s’empêcher de me téléphoner à deux reprises le mercredi, juste disait-il pour entendre ma voix et surtout se rassurer que je reviendrais bien jeudi dans la matinée, ce qui m’aura fait plaisir mais aussi sourire à entendre combien mon petit prêtre tout comme bien sur moi-même avions encore envie de ce pêché de chair où si vous préférez de baiser ensemble.
Si alors ce jeudi matin, où sans être dans ses habitudes, ma femme m’avait réveillée de bonne heure me rappelant mon rendez-vous chez le prêtre Bertrand, si cela m’aura au fond de moi fait sourire, sortant de derrière ma couette pour prendre mon petit déjeuner, je m’apprête ensuite, en passant un petit short comme en début de semaine et un polo léger, vu que déjà de si bonne heure il faisait bien chaud. Et lorsque sur le départ, ma moitié me souhaite ensuite bonne journée et un bonjour au prêtre, elle ne pouvait à aucun instant soupçonner les rapports pervers dans lesquels nous serons tombés ce dernier et moi même. Si ensuite une dizaine de minutes me suffisent pour arriver au presbytère, où arrivé il devait être 8hrs 45, y entrant sans trouver personne, mon Bertrand m’avait toutefois laissé un petit post ite me faisant part qu’il était sorti faire quelques emplettes et qu’il serait de retour pour après 10hrs. Retirant alors mon polo pour être à l’aise, je reprends mon petit boulot avec encore une dizaine de bandes à poser, où si ne voyant le temps passer, j’étais trop heureux d’en voir bientôt le bout, même si après cela il me restera un peu de peinture à faire. Et si rien qu’à penser que mon petit prêtre ne devrait pas tarder, sans le vouloir, je commence à un moment à bander, sentant ma queue se réveiller, laissant très vite se former une jolie bosse sur l’avant de mon short, derrière lequel avec toute l’envie et les fantasmes qui me tiraillaient, cette dernière c’était mise en érection. Après cela, si une dizaine de minutes passent encore, toujours à bosser bien cool, j’entends alors une voiture arriver, où si je jette un coup d’œil, je vois sortir de cette dernière mon prêtre Bertrand, bien sur dans sa soutane, qui décharge ses quelques achats et enfin se dirige et entre dans le presbytère où il ne manque de tourner le verrou. S’il dépose alors je suppose ses emplettes et pour je pense se rassurer, il se laisse par la même « tu es là mon Gérard.., serais-tu déjà à bosser.., où si je lu réponds bien sur mon Bertrand…, cela fait un bon moment » ce dernier me rejoint ensuite, où pensant nous saluer gentiment, très vite le démon du vice nous aura repris, se jetant presque avec une envie partagée, sans plus, l’un sur l’autre à se dévorer bouches et langues avec démence de longues mais agréables minutes.
Et si bien sur mon pervers coquin n’avait manqué de remarquer la jolie bosse formée derrière mon short, il ne tarde d’y poser sa main pour me la palper à travers ce dernier se laissant par la même à « pardonnes moi mon Gérard, mais combien j’avais envie de cela depuis mardi, alors STP…STP, laisses moi juste profiter un moment…STP.. » Et si je lui réponds par un sourire, très vite mon prêtre fait tomber mon short, pour s’emparer de cette queue bien sur en fusion et me la sucer quelques instants ne pouvant me retenir à des petits gémissements et râles de ce plaisir. Et même si j’adorais cela, voulant encore mais sans lui en parler, avant le déjeuner profiter à se faire plaisir ensemble, je lui fais alors « doucement mon petit Bertrand …, calmes toi un peu…, nous avons tout le temps pour cela… ». S’il se ressaisit ensuite, il s’excuse à maintes reprises de n’avoir pu se retenir, ne lui en voulant bien sur aucunement. Il jette ensuite un œil à l’avancement de mon petit chantier, rajoutant avec son joli sourire, je vois que tu arrives lentement au bout du plus gros mon Gérard…, » ravi que tu auras déjà aussi bien travaillé ce matin. Et si je vois à un moment, que nous allions vers 11hrs, je fais alors part à mon Bertrand que j’avais envie d’une petite pause, lui proposant d’aller nous préparer un petit apéro, ce qui me fera énorme de bien. Ce dernier quitte alors la pièce pour aller nous préparer cela, revenant après quelques minutes avec son plateau et me rejoint dans son petit salon d’à coté où je m’étais déjà installé dans le canapé, remarquant que le coquin nous avait même fait le plaisir de quelques gâteries.
S’il vient ensuite s’installer près de moi, Bertrand me fait alors part que pour notre repas il avait passé chez le traiteur qui nous aura préparé de belles assiettes qu’il espère que j’aimerais et qu’il lui ne lui resterait plus qu’à réchauffer ces dernières. Nous conversons ensuite de mille choses tout en ne manquant de se mater comme deux petits jeunes, se souriant réciproquement avec des airs combien coquins, alors même que nous avions mon prêtre comme moi, la soixantaine passée, mais ce qui ne changeait en rien cette envie folle que nous avions au fond de nous l’un de l’autre.
Alors bien sur, vu que mon Bertrand m’avait fait part, que notre repas n’était juste qu’à réchauffer, pouvant déjeuner à l’heure à notre convenance, avec cette envie et ce besoin que nous sentions au fond de nous et qui nous harcelé presque tous deux, comptant bien se donner un peu de plaisir avant de déjeuner, je prends alors l’initiative, où de plus assis si près l’un près de l’autre, je profite à laisser partir ma bouche autour et dans le cou de mon prêtre qui avec se yeux brillants de désir se laisse bien sur faire. Et si après quelques instants, je me lève, venant me mettre à califourchon entre les jambes de mon coquin, mes deux mains posées sur ses genoux, je laisse alors partir ses dernières , que je laisse lentement remonter le long de son torse bien sur encore caché par sa soutane, tout en me mettant à lui défaire un à un les boutons de cette dernière, où si mon petit homme d’église se laisse déjà à des petits gémissements « encore mon Gérard.., continues…, oh ouiiiiii, comme j’ai envie de cela et surtout venant de toi…, »
Et si la soutane de ce dernier était prête à tomber, je me relève pour me défaire sans plus de mon short, laissant devant les yeux brillants de mon petit pervers, apparaître ma queue toute en érection, où il ne se retient de s’en saisir et laisse y partir sa bouche me dévorant déjà les couilles, pour ensuite se jeter sur ma queue qu’il engloutit et s’en délecte un moment torride. S’il se lève ensuite à son tour et comme je l’espérais, sa soutane tombe à ses pieds, nous voilà tous deux à poil, où dans un plaisir sans nom mais combien partagé, nos mains, nos bouches se déchaînent dans un plaisir dément où très vite on se retrouve à nouveau sur le tapis au sol, où très vite, dans des ébats tout à fait démentiels ne se retenant en rien et se chamaillant comme deux petites bêtes, se couvrant de caresses démentes dans des positions les plus perverses, jusqu’à finir par se trouver allongés à contre sens, mon prêtre sur son dos, profitant pour ma part à passer ma jambe au dessus de ce dernier, laissant à sa vue, mon joli cul où sans plus ce dernier laisse partir sa langue qui se glisse dans mon trou de cul, jusqu’à me limer les entrailles de ce dernier, ne pouvant me retenir à des « Oh ouiiiiii…, continues mon petit salaud…, vas-y …, comme c’est bon…, encore…, encore.. » Et si cela dure encore quelques sublimes secondes, retirant sa langue de mon cul, il se saisit de ma queue, où si de mon coté, je m’empare de la sienne, se dévorant alors dans une frénésie sans nom nos queues réciproques, ne manquant de se doigter par la même nos trous de culs, après encore un torride moment tout en gémissant et nous laissant l’un et l’autre à des râles torrides, quelques minutes encore suffiront pour partir ensemble danse une jouissance indescriptible, laissant gicler durant quelques instants sans retenue nos spermes au fond de nos gorges. Et si enfin nous terminons ce jeu en reprenant avec fougue nos bouches, roulant nos petite langues avec la même envie l’une dans l’autre, à profiter des gouttes de sperme restantes dont nous nous serons délectés avec nos queues. Si nous voilà tous deux un peu apaisés et nous relevant comme si de rien n’était, remettant au mieux nos vêtements, nous finissons notre apéro où si mon Bertrand me dit aller nous réchauffer notre repas et mettre la table, je profite alors pour encoller encore les deux dernières bandes de tapisseries restantes à mettre en place. Et si j’étais à nouveau sur mon escabeau à mettre en place la dernière bande, arrive ce dernier qui me dit que nous pouvions déjeuner, il ne manque pas en passant près de l’escabeau de se laisser tout en souriant à traîner un instant sa main sur mes petites fesses tout en me disant « pardon…, pardon mon Gérard » ne lui tenant bien sur pas rigueur pour si peu à mon pervers petit homme d’église.
S’il est à présent 12hrs 30 et que nous passons ensuite à table où en effet le petit repas était très bon, mon Bertrand se lâche et me raconte alors un peu son parcours de vie où en effet avec sa soixantaine un peu passé tout comme moi-même ce dernier en aura vu bien des choses ayant pas mal voyagé, mais s’étant décidé et dévoué depuis quelques années dans son rôle de prêtre où après là encore avoir été muté à quelques reprises, il aura enfin pu se poser définitivement dans ce petit village qui semble lui convenir et de plus où les paroissiens ne manquent de l’apprécier avec toute cette sympathie qu’il a en lui. Et si sans que j’intervienne, il en vient à un moment à notre relation un peu dépravé surtout précise-t-il vu sa situation, tout en me prenant la main, il me jure n’avoir avant moi jamais connu une telle attirance envers un quelconque homme. Si malgré cela il ne dément pas comme je le disais déjà, être un homme avec malgré sa vocation ses faiblesses, avouant qu’il lui arrive de se masturber, mais jusqu’alors toujours en solitaire. Et revenant à ce fameux lundi où nous avions rendez-vous, il rajoute qu’au premier regard qu’il aura posé sur moi, il aura sans le vouloir de suite ressenti des fantasmes inhabituels, une attirance incompréhensible et des pulsions incontrôlables envers moi, allant jusqu’à le faire déjà bander en ma présence, m’avouant de plus n’avoir pas manqué de se branler après mon départ. Et combien heureux et touché des aveux de mon petit prêtre, le remerciant pour sa franchise, je ne peux me retenir à me lever, venir vers lui et avec une envie démente, reprendre et se dévorer nos bouches, se roulant une fois encore nos petites langues l’une dans l’autre dans un plaisir combien partagé. Et si le temps passe, que nous avions même pris un dessert, si Bertrand nous aura servi un café, comme il m’en avait informé au téléphone, me rappelle avoir en début d’après midi un baptême pour lequel il devra s’absenter une bonne heure et demie, lui répondant alors en souriant, que cela me permettra jusqu’à son retour, de continuer un peu mon petit chantier, n’ayant plus qu’un peu de peinture à faire. Et si même si nous nous étions déjà faits bien plaisir, je fais part à mon prêtre adoré, qu’à son retour je lui promettais quelques petites surprises précisant de plus que je comptais bien me laisser aller à lui et cela sans retenue aucune et qu’il pourra faire de moi tout ce dont il aura envie. Et si combien à ses dires, mon coquin de Bertrand me sourit et me remercie ne manquant de m’avouer certaines envies perverses qu’il avait encore de moi et rajoute de plus espérant là encore que le Bon Dieu lui pardonne.
Si à présent il n’était pas loin de 14hrs, nous débarrassons la table, si mon prêtre me fait alors aller se changer pour ce baptême, il ne manque avant cela de me bloquer dans un coin de cette cuisine pour juste reprendre un instant ma langue dans la sienne où pour ma part, ne résistant de passer ma main entre les jambes de ce dernier, sentant à travers sa soutane combien sa queue était à cet instant encore raide, espérant que loin de moi, il allait bien sur devenir plus serein pour faire un bel office. Ce dernier monte ensuite à l’étage pour alors se changer, où bien sur je reprends pour ma part mon petit chantier, où j’avais plaisir de savoir que je n’en aurais plus que pour deux bonnes petites heures. Et si en effet, mes travaux avançaient trop bien, ayant pris un petit rafraîchissement entre, jetant un œil à l’heure, je constate que s’il était alors 15hrs passé, mon coquin n’était toujours pas de retour me doutant alors, qu’il aura été invité et n’aura pu refuser de prendre après l’office un verre avec les convives présents. Et toujours à continuer ma petite peinture, combien je ne pouvais m’empêcher cette fois encore de bander au plaisir que mon pervers petit prêtre, ne tarderait pas à revenir et surtout à toutes les surprises qui m’attendaient ensuite. Si alors les minutes passent, se rapprochant de 16 hrs, j’entends à un moment arriver bien sur la voiture de mon Bertrand qui après quelques minutes entre ensuite dans le presbytère, ne manque comme ce matin, de tourner le verrou de la porte, pour de suite venir me voir, s’excusant de ce retard mais n’ayant pu refuser comme je le pensais d’aller prendre un verre et laisser quelques belles paroles aux convives. Me déposant étonné juste un petit bisou. S’il jette ensuite un regard autour de lui, ravi de voir alors cette pièce presque terminée, la trouvant superbe, se réjouissant de pouvoir sous peu aménager cette dernière dont il me dit en faire son boudoir ce qui lui évitera de toujours monter dan sa chambre pour sa tranquillité, je l’informe aussi avoir juste encore quelques retouches de peinture et couper les bords débordants de la tapisserie, je préfère laisser sécher cela et repasser d’ici un ou deux jours où alors l’ensemble aura bien séché.
Si à présent je lui fais part de mon envie de faire une pause, je me dirige vers le petit salon pour aller prendre place dans le canapé, me laissant à un sourire coquin envers mon Bertrand, lui faisant comprendre en lui passant un instant ma main entre ses jambes, que j’étais prêt à jouer à tout ce qu’il aura envie. Si tout en me souriant, il s’excuse me disant qu’il allait juste monter un instant dans sa chambre pour se changer, m’installant bien cool dans le canapé, après quelques minutes j’entends alors la voix de mon prêtre qui s’il m’interpelle, me lance « tu pourrais juste monter un instant mon Gérard.. », où ne pensant à mal, je lui réponds aurais-tu un problème mon choux, mais j’arrive. ». Et là à peine le temps d’entrer, mon petit pervers qui aura passé un short, sans un mot il se jette alors sur moi, pour me bloquer contre l’armoire en place, où si je me laisse aller à ce dernier, de suite sa bouche s’empare à nouveau avec fougue de la mienne, me retire très vite mon polo, laisse partir sa langue dans mon cou autour de ma bouche pour ensuite laisser cette dernière longer mon torse tout en me caressant, s’attarde quelques instants sur mes tétons, où si je ne me retiens à gémir il continue à promener sa langue dans le bas de mon ventre, jusqu’à finir par la rouler un moment dans mon petit nombril. Si très vite alors, les mains de mon prêtre partent dans mon entre jambes, fait ensuite lentement tomber mon short, toujours bloqué contre cette armoire, les jambes un peu écartées, ce dernier se jette entre ses dernières, puis laisse glisser ma queue au fond de sa bouche pour me la sucer comme un petit dément ne se privant de plus à laisser partir l’une de ses mains entre mes jambes écartées pour aller me doigter de son index les entrailles de mon trou de cul, ne pouvant me retenir à des « Ahhh…, ouiiiiii…, encore mon petit salaud…, continues mon petit prêtre adoré, donnes lui a ta petite pute…, donnes lui à ton Gérard… »
Si ce plaisir dément me semble durer un moment indescriptible, il relâche un instant ma queue, laisse ensuite tomber à son tour son short, où me faisant basculer sur son lit, nous voila repartis dans des ébats à se bouffer et se donner les plaisirs les plus fous durant de longues et sublimes minutes et dans des positions les plus folles et perverses, où alors ne se retenant en rien mon prêtre se laisse à me lancer sans plus « cette fois mon Gérard c’est à mon tour de t’enculer…, de te faire sentir ma queue bien en toi et je sais combien tu en as envie.. ». Se relevant il se saisit alors de moi, me faisant me mettre à quatre pattes, mon torse et mes bras posés sur l’avant de ce lit, où venant très vite derrière moi se jette entre mes jambes et comme il n’avait déjà manqué à le faire ce matin, il se laisse à écarter mes fesses pour laisser y promener sa langue, qui très vite tourne autour de mon trou de cul et doucement s’y enfonce, me laissant à un plaisir indescriptible et des râles déments « oh ouiiiiii…., vas-y…, bouffes moi…., encore…., encore mon petit homme d’église ..». Et si ce jeu dure encore quelques torrides minutes, s’en retirant alors, je sens très vite la queue de mon prêtre se poser, puis s’enfoncer lentement dans mon trou de cul et se laisse à de petits va et viens incessants jusqu’à me faire sentir son bas ventre cogner contre mes fesses, où si de plus, l’une de ses mains part s’emparer de ma queue qu’il me branle alors, et si heureusement personne ne pouvait nous entendre, nous voilà tous deux à gémir et se laisser à des râles partagés de plus en plus fort.
Si de plus, une idée me germe et pour encore pimenter le jeu, je profite à un instant à me tortiller et réussi même à faire encore se relever mon cul, sentant de plus belle cette queue me limer les entrailles, où si ma petite pute au comble de l’extase relâche cette dernière il agrippe avec force ses mains autour de ma taille, me mordille et me dévore presque le cou, activant par la même les va et viens de sa queue, dans mon trou de cul dans une cadence alors démente, ne se retenant plus en rien, faisant à cet instant toute abstraction du prêtre qu’il était, me lance ensuite comme drogué par le démon du vice « tu la sent bien cette queue te défoncer ton cul de petite pute…, avoues que tu adores cela ma petite salope.. ». Et si je me doute que son excitation était à ce moment au comble du supportable, il se laisse après encore quelques instants et dans des râles fous et démentiels à partir dans une jouissance torride et laisse enfin sans retenue, gicler avec force son sperme au fond de mon trou de cul dans des râles déments, restant après cela allongé sur moi quelques instants pensant qu’il était apaisé, ne manquant de me lancer sans plus, j’en ai pas fini avec toi ma petite pute de Gérard.
Et en effet, s’il se relève ensuite relâche son étreinte autour de moi, voilà qu’il me demande de me rallonger cette fois sur le dos, où venant se mettre à califourchon sur mon torse, remontant et déposant son cul sur ma poitrine au niveau de mes seins s’emparant toujours comme drogué un moment de ma bouche, il se saisit alors de sa queue encore toute imbibée de sperme, qu’il laisse glisser dans ma bouche où bien sur je ne manque de m’en délecter, la faisant rouler autour de ma langue avec tout le plaisir que je pouvais encore lui donner, lui suçant cette dernière quelques instant divins. Et si le pensant rassasié de toutes ces perversités démentes, mon pervers prêtre n’en avait et je m’en doutais pas fini de profiter de moi. Et comme dit, s’il retire sa queue de ma bouche, me sommant par « ne bouges pas mon petit salaud, je n’en ai pas fini…., » il descend de mon torse pour revenir entre mes jambes que je profite à écarter au mieux, où alors ce dernier s’empare de ma queue, me caressant les couilles, et enfin se jette sur cette dernière qu’il glisse entièrement au fond de sa bouche, ne pouvant me retenir à des « Ahhh…, oh ouiiiiii….encore mon petit pervers prêtre…., bouffes là…., je suis à toi…., fais moi du bien… ». Et s’il ne manque de plus de laisser repartir un puis deux doigts bien dans mon trou de cul à les faire tournoyer, me laissant alors à des râles torrides « ça me viens…, ça me viens mon petit salaud…, continues.., encore.., ». Et si comme un démon, il ne relâche en rien son torride jeu, je finis alors par bloquer de mes mains sa tête sur cette dernière et là ne me retenant plus en rien, je me laisse à mon tour dans des cris de démence à exploser dans une jouissance indescriptible, laissant gicler sans retenue mon sperme bien au fond de la gorge de mon petit prêtre Bertrand qui se délecte de ce dernier et finit après encore quelques sublimes secondes, à relâcher ma queue et venir pour dans un dernier et torride échange de bouche et de langue à se délecter de ce sperme dont sa bouche était encore emplie.
Si enfin nous serons allés nous rincer tous deux sous la douche où là encore quelques moments de plaisirs n’auront manqué, nous aurons après cela continué de nous revoir les semaines suivantes comme alors comme deux amants même hommes que nous étions, à continuer à nous faire plaisir au fil de nos envies.
FIN
Gégé
Ajouter un commentaire