Si nous sommes dans les premiers jours de septembre et que cela faisait presque plus de trois mois que mon ami le prêtre Bertrand et moi-même ne nous étions revus imaginant pour ma part ce dernier toujours bien occupés par ses charges, ses paroissiens et autres aléas de la vie et bien sur n’ayant pas osé le relancer, pensant que cette petite aventure était passée et oubliée, je reçois ce lundi combien étonné, ravi bien sur mais surtout combien excité, un coup de téléphone de Bertrand, qui s’il s’excuse de me déranger, m’avoue que dans sa situation d’homme d’église, il avait essayé de me sortir de sa tête. Et s’il me fait part que cela aura marché durant toutes se semaines passées, voilà que depuis quelques jours, sans comprendre, le petit démon du vice ne l’aura lâché à penser à moi allant jusqu’à se laisser à quelques petits plaisirs solitaires…. Et ce jusqu’à aujourd’hui, où il me dit n’avoir plus résisté à l’envie de prendre de mes nouvelles, espérant que je ne lui en veuille pas.
Et si bien sur je lui confirme ne lui en vouloir aucunement et trop heureux qu’il ait pris l’initiative de me contacter, le remerciant de tout cœur de son appel, lui avouant qu’au fond de moi il me manquait bien sur lui aussi. Si je lui demande alors comment il allait ce dernier me répond, je vais trop bien mon Gérard, même si ces derniers mois j’avais pas mal à faire ce qui m’aura permis de n’avoir de pensées que pour mon travail. Toutefois, si depuis une bonne semaine la situation était redevenue plus calme, je passe à nouveau bien plus de temps dans mon presbytère, souvent seul avec alors souvent pas mal de petits fantasmes et autres. Et tout cela et si je me répète un peu poussé par le démon du vice, très vite me sera revenu en tête mon petit paroissien préféré (sourire), duquel je commence à avoir trop le temps long et de plus, espérant que le Bon Dieu me pardonne de me sentir en grand manque de quelques petits jeux coquins partagés, même s’il me sera arrivé comme là encore je le disais déjà, de n’avoir résisté de temps à autre de me masturber en pensant à toi mon Gérard.
Et si à entendre mon Bertrand au téléphone je ne me retiens à lui dire que cela aura été un peu pareil pour moi, mais combien à présent d’avoir entendu tes paroles, saches que cela déjà m’aura fait bander et que bien sur l’envie de se faire un peu plaisir ensemble ne serait que trop cool. Et si bien sur à converser ainsi tous deux au téléphone, déjà dans une petite excitation bien avancée, prenant les devants, j’informe mon Bertrand que si aujourd’hui, je n’avais pas grand-chose au programme et si pour sa part il pouvait en être pareil, je lui propose alors si cela devait lui faire plaisir, de passer en début d’après midi et cela en toute discrétion à son presbytère pour nous laisser à un petit café, à profiter à se retrouver et papoter sans oublier à nos envies de se faire un peu de bien. Et si j’entends le sourire de mon coquin au bout du fil, qui s’empresse bien sur d’accepter ma proposition, ne manquant de me remercier, répétant combien il lui tardait de me revoir une fois à nouveau et surtout combien il fantasmait déjà à l’idée de se donner un peu de ce trop plein de plaisir.
S’il est alors 12hrs 30 ce lundi lorsque avec combien de hâte je me mets en route, où bien sur pour ma moitié, je me rendais comme chaque lundi à mon étang, un petit quart d’heure suffira où déjà à bander, je me retrouve dans la cour du presbytère, mettant par discrétion mon véhicule à l’arrière de ce dernier. Et si mon Bertrand impatient, n’avait manqué de guetter mon arrivée, très vite il arrive ensuite et m’accueille combien souriant, les yeux brillants sur le pas de la porte, me faisant alors entrer où je remarque de suite qu’il ne manque comme chaque fois que nous aurons été ensemble, de tourner la clef de la porte d’entrée, ce qui ne m’aura laissé insensible et m’aura fait sourire, me doutant bien sur des envies de mon petit prêtre. Et si aussitôt entré, jetant un regard vers le salon, je remarque que ce dernier nous avait déjà préparé le café sur la petite table devant le canapé, je me doutais un peu que ce dernier attendrait à un peu plus tard. Et effet, si la porte sécurisée, mon coquin de Bertrand revient vers moi, me débarrasse de ma sacoche, me mets de suite à l’aise, nous voilà déjà combien heureux après ses trois mois passés, debout face à face à s’observer, se mater même timidement en se souriant, où après encore quelques secondes, la petite pute combien excitée, s’empare alors sans un mot de moi dans ses bras et se laisse sans un mot, à échanger nos bouches et nos langues, je l’avoue, dans une envie démente et partagée ne manquant déjà de laisser partir ses mains sur moi, me prodiguant quelques petites caresses.
Et si avec combien de plaisir et de soumission, je me laisse aller à mon petit pervers comme cette chose dont il avait tant envie, ce jeu dure encore quelques sublimes minutes, où si le coquins relâche un instant ses étreintes folles, il se dirige vers la fenêtre pour tirer les doubles rideaux, ne manquant d’allumer quelques lampes discrètes, nous laissant à présent dans une intimité parfaite et surtout à l’abri d’éventuels surprises. Très vite il revient ensuite vers moi et sans plus, me dévore à nouveau de petits bisous, et lentement se met à défaire un à un les quelques vêtements que je portais, où si bien sur je ne manque de me joindre à son jeu, où s’il me sourit à me voir déboutonner sa soutane, je découvre avec plaisir et comme je m’en doutais que sous cette dernière, mon petit homme d’église ne portait rien, étant tout à poil avec juste sa jolie queue déjà bien en érection. Et si à présent nous étions tous deux à poil, nous laissant presque tomber dans le canapé, se remettant à se bouffer bouches et langues, bien sur les ébats deviennent d’une intensité et d’une perversité sans nom, ne se retenant en rien de tous les plaisirs que nous avion envie de nous donner, où arrive même un moment où mon Bertrand me lance, « combien j’ai trop envie de t’enculer ma petite pute à moi…, » lui rétorquant souriant, libre à toi, laisses toi aller ma petite salope, prends moi quand et comme tu voudras, dans les positions les plus perverses que tu souhaiteras, j’ai tellement envie de cela, alors fais moi très vite du bien et surtout sentir où tu voudras ta jolie queue.

Et bien sur si ses mots ne seront pas tombés dans l’oreille d’un sourd (sourire), toujours vautrés dans ce canapé, ma petite pute ne se retiens à mille sublimes perversités sur moi, finissant dans ses ébats torrides à basculer au sol, continuant ensuite à se rouler avec fougue tous deux sur son joli tapis devant le canapé, à se bouffer comme deux petite bêtes se dévorant sans retenue nos queues, se doigtant nos trous de culs dans des gémissements et râles partagés, jusqu’au moment où n’y tenant plus à l’envie de sentir la jolie queue de mon pervers petit pédé me défoncer le cul, je lui lance alors « STP mon Bertrand…., STP j’ai trop envie de sentir ta queue au fond de moi… ». Et si ce dernier me rétorque « bien sur que je vais t’enculer ma petite salope adorée…, » mais laisses moi juste encore un peu profiter d’un autre petit jeu où si bien allongé au sol sur ce doux tapis, le petit salaud au dessus de moi, vient se jeter entre mes jambes où si je les écarte un léger gémissant déjà, « vas-y ma petite salope…, je suis à toi sachant combien tu as envie de baiser ton petit paroissien préféré…., » de suite mon Bertrand ne se retient plus, dépose ses mains sur mes deux cuisses pour se jeter entre elles et me bouffer un moment les couilles me laissant à des râles fous « Oh ouiiiiii.., continues ma petite salope…, bouffes moi…, j’adore…, ouiiiiii.., ouiiiiii…, » où si de plus, je sens alors sa langue tournoyer autour de mes fesses jusqu’à finir par laisser cette dernière s’introduire lentement pour aller à humidifier mon trou de cul durant quelques démentielles secondes d’un plaisir indescriptible tout en me caressant ma queue à la limite de l’explosion. Et si ma petite salope aura bien sur compris, il retire sa langue de mon cul, se relève pour se saisir de sa petite pute soumise, où si tous deux comme drogués de ses perversités indescriptibles, nos langues se reprennent avidement l’une dans l’autre et sans se relâcher nos bouches comme alors collées l’une à l’autre, il me fait me relever et m’entraîne comme son petit esclave soumis vers sa chambre à coucher où mon pervers prêtre, me fait alors basculer sur ce lit, pour venir très vite sur moi et encore repartir dans des ébats délirants et pervers jusqu’à finir par me retrouver allongé sur le dos comme son petit esclave sexuel.
Et si là, sans plus, ma petite salope se saisit d’un coussin qu’il dépose sous mes fesses, faisant à sa guise et à son plaisir se relever ses dernières, se jeter entre mes jambes et sans plus laisser sa queue alors dure comme bois, lentement se glisser dans mon trou de cul bien humidifié me laissant à des râles fous de sentir enfin cette dernière me défoncer et me limer les entrailles dans un plaisir insoutenable, où après quelques instant encore, mon prêtre Bertrand n’y tenant plus me lance « ça me viens mon Gérard…, oh ouiiiiii…., ça me viens…, ouiiiiii.., je jouis…. Je jouis…, » et se laisse sans retenue à gicler sa semence dans des gémissements fous bien au fond de mon trou de cul me donnant par la même un plaisir insoutenable et combien apaisant.
Et si pour ma part, toujours allongé sur le dos après ce torride moment de sodomie, je continue à me branler ma queue, de plus à cet instant à deux doigts d’exploser, mon Bertrand ayant alors lentement retiré sa queue de mon cul, ne manque de me dévorer encore pour me remercier, me couvre de bisous, où me voyant ma queue en main, il me dit alors « laisses moi faire mon Gérard, à mon tour de te faire gémir un peu… » . Et sans plus, il empoigne alors cette dernière pour déjà y passer sa langue pour ensuite la faire glisser dans sa bouche et me la suce à me faire hurler de ce plaisir insoutenable. Et si très vite je bloque ensuite de mes mains la tête de mon Bertrand sur cette queue en feu, sentant de plus son index où majeur s’introduire dans mon trou de cul qu’il me branle, quelques secondes suffisent à exploser à mon tour dans une jouissance délirante ne me retenant en rien à laisser gicler sans retenue mon sperme au fond de la gorge de mon petit homme d’église qui ne relâche rien et semble combien heureux à cet instant de se délecter ainsi de son petit paroissien.
Et si à présent combien apaisé à mon tour, je bloque un instant mon Bertrand sur moi, pour le remercier, laissant partir avec toujours la même envie quelques secondes, nos bouches se mélanger l’une dans l’autre profitant de ce goût de sperme qui lui restait encore. Nous relevant à présent de ses ébats dont nous avions une envie démente tous deux, si à présent nous approchions de 16hrs et que nous venions de passer quelques minutes à salle de bains à nous rincer, si mon Bertrand se couvre ensuite de sa soutane, je remets pour ma part mon jeans, laissant le haut de mon corps nu, où alors ce dernier, souriant se laisse à me dire « j’ai bien peur mon Gérard que notre café ait refroidi… » S’il s’absente alors un moment pour aller nous réchauffer ce café, il revient après quelques minutes avec de plus quelques gâteries que nous prenons tout en conversant de mille choses durant une bonne demie heure et cela bien sage alors tous les deux où si mon Bertrand profite à m’informer être libre jusque 18hrs, j’aurais bien sur compris que mon petit prêtre avait sans aucun doute, encore quelques envies de perversions derrière la tête.
Et si bien sur, là je profite alors tout en conversant à revenir à cette partie d’après midi bien torride en plaisirs, voilà que mon Bertrand me fait part que malgré son âge, il ne comprend pas n’être encore assez rassasié de moi, où si à nouveau assis bien près l’un de l’autre ce dernier passe soudain discrètement sa main le long de mon dos, je me laisse aller à son jeu, où pour exciter ma petite salope, je ne manque de me trémousser alors sur ce canapé dans tous les sens, où comme drogué, il se jette ensuite sur moi me dévorant le cou, laissant sa langue parcourir mon dos et torse nu où si très vite il me bloque et me défait de mon jeans, je me retrouver avec combien de plaisir à nouveau tout à poil et combien soumis entre les mains perverses de mon Bertrand, qui ne manque de se laisser à des « Oh ouiiiiii.., j’adore…, continues à te tortiller ma petite pute, laisses toi aller…, j’ai trop envie de m’occuper encore de toi et de se donner du plaisir…. ». Et si à présent sur ce canapé faisant semblant de me débattre je me laisse aux positions les plus perverses pour mon petit salaud qui se laisse alors à partir dans ses envies les plus démentes sur moi, écartant mes jambes pour aller me dévorer de sa langue mon trou de cul, tout comme mes couilles et enfin ma queue qu’il fait entrer bien dans sa bouche la faisant rouler autour de sa langue, ce qui me laisse à des gémissements déments et presque insupportables de plaisir.
Et si bien sur pour ma part, j’avais aussi encore envie de jouer avec mon pervers petit homme d’église, toujours dans ce canapé, je finis par me libérer de son emprise où tout à poil je me jette à présent sur lui et sur sa bouche que nous nous dévorons avec toujours ce même plaisir partagé, lui redéfaisant très vite sa soutane où alors à mon tour, mes mains et ma bouche lui caressent et lui dévorent sans retenue tous les petits recoins de son corps, laissant mon petit prêtre repartir dans des râles torrides de « continues ma petite salope…., oh ouiiiiii.., ouiiiiii.., encore…, encore… ».
Et si cela dure encore quelques torrides minutes, où alors mon prêtre se joint à nouveau à moi, reprenant sa langue dans la mienne, repartant ensuite dans des ébats pervers partagés, nos positions n’étant plus faite pour ce canapé alors top étroit, se débattant réciproquement dans des plaisirs pervers et démesurés, nous nous retrouvons très vite à nouveau à se rouler sur le tapis au sol, où là, quelques secondes encore suffiront pour se retrouver dans une position l’un sur l’autre à gémir, se caresser, jusqu’à finir par profiter réciproquement à se bouffer nos entre jambes, laisser quelques instants nos langues se dévorer nos trous de culs, jusqu’à finir dans un plaisir fous à se saisir et laisser nos queues se glisser bien au fond de nos bouches pour se sucer, se caresser par la même nos couilles laissant de plus nos doigts pervers s’introduire dans nos trous de culs à chacun, où après encore quelques instants de ce moment alors divin, nous arrive dans une osmose de folie partagée, cette jouissance torride, emplissant nos bouches et gorges réciproques de ce sperme duquel nous nous délectons tous deux dans un apaisement combien serein.
Si à présent combien heureux de ces sublimes moments, mon prêtre Bertrand m’empoigne pour encore me serrer sur con corps, me remercie pour ses ébats fous, se dévorant encore de longues minutes nos bouches, pour ensuite nous rhabiller, prendre en toute sérénité un dernier verre et bien sur se promettre de remettre cela à très vite. Et s’il n’est à présent pas loin de 18hrs, je me remets heureux et souriant sur le chemin du retour chez moi.
Gérard où gege

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