J’ai toujours eu un truc pour les grosses. Pas les minettes filiformes qui se pavanent sur Insta avec leurs abdos photoshopés, non, moi c’est les vraies femmes, celles avec des courbes qui débordent, des bourrelets qui roulent sous les doigts, des culs tellement larges que t’as besoin des deux mains pour les empoigner. Les BBW, les meufs bien en chair, c’est mon délire depuis gamin. Rien ne me fait plus bander qu’une montagne de chair qui tremble quand elle bouge. Juillet 2025, la canicule tape, et moi je suis là, à suer sur mon canapé, en train de scroller une appli de rencontres pour dégoter ma prochaine proie.
J’ai un profil bien rodé : “Mec, 28 ans, kiffe les femmes rondes, très rondes, pas de maigrelettes svp.” Ça filtre direct. Ce soir-là, je tombe sur Nadia, 34 ans, une photo floue mais assez claire pour voir qu’elle pèse son poids. Elle m’écrit en premier : “T’aimes vraiment les grosses ou c’est du bluff ?” J’ai répondu cash, “J’aime que ça, plus t’es grosse mieux c’est.” Deux heures plus tard, elle m’invite chez elle, un appart miteux en banlieue, mais je m’en fous, je suis déjà dur rien qu’à l’idée.
Quand elle ouvre la porte, putain, le choc. Nadia, c’est un monument. Elle doit frôler les 150 kilos, peut-être plus. Elle porte une robe stretch noire qui craque presque sous la pression, ses seins énormes tendent le tissu au max, des melons lourds qui tombent sur son bide. Son ventre, une masse molle, déborde par-dessus sa ceinture, et ses cuisses, larges comme des troncs, frottent l’une contre l’autre quand elle marche. Elle me fait entrer, un sourire en coin, et je capte direct qu’elle sait pourquoi je suis là.
On s’assoit sur son canapé, qui gémit sous son poids. Elle sent la sueur et un parfum sucré, écœurant. “T’es pas déçu ?” qu’elle demande, en posant une main sur sa hanche, là où la graisse fait des plis profonds. Je secoue la tête, la gorge sèche. “T’es parfaite.” Elle rigole, un son grave, et se rapproche. Sa cuisse énorme cogne la mienne, chaude, moite. Je tends la main, hésitant, et elle me choppe le poignet pour le plaquer sur son bide. “Touche, vas-y, c’est ce que t’aimes, non ?”
Je pétris sa chair, mes doigts s’enfoncent dans la graisse molle, ça déborde entre mes phalanges. Elle grogne un peu, satisfaite, et soulève sa robe d’un coup sec. Pas de culotte, juste une chatte énorme, cachée sous un tablier de peau flasque. Ses bourrelets tremblent quand elle bouge, et ses seins, libérés, s’écrasent sur son torse, des mamelons larges comme des pièces de monnaie. “Suce-moi ça,” qu’elle ordonne, en attrapant un de ses nichons pour me le coller sous le nez.
Je plonge, la bouche pleine de sa peau salée. Elle est lourde, ça pèse sur mon visage, et je sens son bide qui remue contre mon torse pendant que je lèche. Elle gémit, fort, “Ouais, bouffe-moi, t’es là pour ça.” Je descends, lentement, mes mains écartent ses cuisses grasses, et je vois sa chatte, charnue, luisante, encadrée de plis qui vibrent à chaque mouvement. Je mets ma langue dedans, elle hurle presque, ses doigts dans mes cheveux, tirant comme une dingue.
Elle se redresse d’un coup, me pousse sur le dos. Le canapé craque, je sens les ressorts prêts à lâcher. Elle s’assoit sur moi, son cul gigantesque m’écrase, la graisse déborde sur mes hanches. “T’en veux, hein ?” qu’elle grogne, en se frottant contre ma queue. Je hoche la tête, à moitié étouffé, et elle rigole avant de s’empaler d’un coup. Putain, c’est chaud, humide, ses parois épaisses me serrent, et tout son poids me cloue. Ses bourrelets clapotent contre moi, ses seins balancent, claquent sur son ventre à chaque va-et-vient.
Je l’attrape par les hanches, mes mains disparaissent dans les plis. Elle accélère, essoufflée, la sueur dégouline entre ses seins, sur son bide qui tape mon ventre. “T’aimes ma graisse, salaud ?” qu’elle crache, et je marmonne un “ouais” à peine audible, trop concentré sur cette masse qui m’engloutit. Elle jouit en premier, un cri rauque, son corps tremblant, la chair qui ondule comme une vague. Moi, je tiens plus, je lâche tout en elle, le souffle coupé sous son poids.
Elle se relève, enfin, pantelante, et me mate avec un sourire satisfait. “T’es un bon chien pour les grosses, toi.” Je reste là, crevé, la peau collante de sa sueur, son odeur partout sur moi. Elle remet sa robe, comme si de rien n’était, et me dit, “Reviens quand tu veux, y’aura toujours de la place pour toi.” Je sais que je vais le faire. Les BBW, c’est ma came, et Nadia, c’est le jackpot.
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